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Claude, cette femme en moi.

Chapitre 8

Travesti / Trans
Le week-end touchait à sa fin, maman allait nous quitter, la mort dans l’âme. Mais avant de partir, elle avait tenu à me préparer.Elle m’avait lavé, puis de la douceur de ses paumes m’avait ointe d’huile pour le corps, sans omettre de graisser mon petit orifice, afin de faciliter plus tard l’introduction des jouets que Aude m’offrirait.Enfoncée jusqu’au poignet, elle flatta longtemps l’abîme de mes entrailles, lubrifiant chaque recoins de mon colon détendu, sachant avec certitude que cela décuplerait mon ravissement.Elle me poudra ensuite de la tête au pieds, sans omettre mon sexe, mes bourses, mes fesses, ma raie et mon anus, pour adoucir le grain de ma peau, m’assura t-elle.Vint ensuite, la coiffure de ma longue chevelure, le maquillage de mon délicat visage, puis mon habillage.Moi je me laissais faire, alanguis, comme la sage petite fille que maman cajole.
Chantal embrassa Aude avidement, une interminable galoche les unie longuement, puis elle s’avança vers moi, posa son sac à terre et souleva sa jupe.Elle ne portait pas de culotte, et enfouit tout ses doigts dans sa chatte gluante, puis, après un vertigineux attouchement, elle me tendit sa main visqueuse que je dégustais avec voracité." - Pour que tu gardes en bouche le goût de ta maman qui t’aime, en attendant que je revienne... bientôt !", me soupira t-elle.
Enlacées Aude et moi, nous la regardâmes disparaître au loin, une grande mélancolie nous assaillit soudain.Quinze jours se passèrent, mon petit cœur d’amour me proposait de me faire une surprise, elle pensait inviter Jessica la coiffeuse pour qu’elle me refasse une coupe.Le rendez-vous fut fixé pour le samedi soir, elle passerait après sa journée de travail pour s’occuper de moi et fut aussitôt invitée à rester dîner en notre compagnie.Aude pensait à tout, et savait que cela me ferait du bien que l’on s’occupe un peu de moi; l’absence de maman me pesait, même si nous nous appelions tout les jours.
Jessica arriva vers 18 heures, elle s’excusa de son retard en précisant qu’elle était passée se changer avant de venir.Effectivement elle portait une tenue ravissante certes, mais avec ce je ne sais quoi d’aguichant, de provoquant même, le genre "es-tu prêt(e) à déballer ton cadeaux".
Je m’assis, Jessica prépara ses accessoires, quand nous entendîmes Aude nous lancer :" - Une belle coupe, une belle couleur, les ongles et plus si affinité !".La coiffeuse rougit, moi aussi je devins pivoine, puis nous nous mirent à rire toutes trois, à gorge déployée.
Jessica commença son travail, elle me reposa quelques rajouts, reprit la couleur, puis commença la coupe.Elle prenait plaisir à poser sur ma main sagement reposée sur l’accoudoir du fauteuil son petit minou.
Moi impassible je la laissais faire, et souvent, comme pour prendre un meilleur appui, elle se frottait discrètement.Je sentais au fur et à mesure de ces attouchements que je croyais bien involontaire, la chaleur de son ventre.
Aude s’éclipsât, pour préparer le repas traiteur qu’elle avait commandé.Elle revint un quart d’heure plus tard, avec pour chacune de nous un verre d’apéritif de son invention et quelques amuses-gueules.Aude en me tendant mon verre, me chuchota à l’oreille de rester bien sage en attendant.
Je plongeais mes yeux toujours plus profondément dans le décolleté de Jessica, je voyais ses seins volumineux qui s’agitaient au rythme de ses coups de ciseaux.Ils bougeaient en cadence, comme des melons que l’on tâte au creux de sa paume.La coupe terminée, comme les trois verres de la délicieuse boisson d’Aude, qui s’en amusait et nous déclara hilare qu’elle avait des vertus aphrodisiaques...
Aude malgré sa petite jalousie, trouvait Jessica fort à son goût.Je le voyais de la manière dont elle la regardait, les caresses lesbiennes avec ma mère lui avait ouvert un nouvel appétit, et je voyais bien qu’elle s’enhardissait, malicieuse et coquine.
Jessica passa ensuite au chevet de mes ongles, et furtivement me cajolait le dessus des mains.Une fois apprêtée, je pus me lever et me mirer dans le grand miroir.Jessica avait une fois de plus fait des merveilles, j’étais radieuse.
Aude s’approcha de moi, et m’embrassa à pleine bouche, je sentais ses doigts qui dé-zippait ma jupe, et je la sentie tomber au sol.Elle se plaça derrière moi, et fit glisser ma culotte lentement, puis se tourna vers notre coiffeuse, elle la fixa un instant dans les yeux et lui dit :"  - Maintenant place au plus si affinité ! ".
Jessica ne se fit pas prier, déjà elle s’agenouillait devant moi, nullement gênée par ma nudité, par mon petit zizi. Elle le prit immédiatement en bouche, et commença à le suçoter.Pendant qu’elle œuvrait Aude vint derrière elle et lui enleva son chemisier, la belle ne portait pas de soutien gorge, et sur chacun de ses mamelons elle portait des " nipples shields piercings ", ces bagues d’acier inox que l’on fixe aux tétons.
Je saisis les anneaux et commença à les faire tourner, Jessica couinait de plaisir sous ma douce torture, je me fis plus ferme et commença à les triturer dans tout les sens, les faisant rouler entre mes doigts, tordant ses pointes de plus en plus, étirant ses seins sans aucune retenue.
Jessica saisit alors mes bourses et ma verge et les gobas tout l’ensemble, sa bouche était brûlante, sa langue peu farouche, allait et venait sur ma virilité.Elle tirait sa tête en arrière pour tendre la peau de mes testicules, puis revenais en avant et recommençait son manège, la douce Jessica était en train de me traire de son palais gourmand.
Aude maintenant dévêtue se caressait en m’embrassant goulûment, l’excitation l’avait gagnée, elle ruisselait de mouille.Je déchargeait mon sperme abondant au fond de la gorge de l’adorable coiffeuse, sans retenue.L’éjaculation fut copieuse, plus que d’habitude.Jessica à la limite du vomissement avala tout mon foutre, gardant sa bouche hermétique sur mes attributs.Soumise, elle attendit sagement que j’eus terminé de lui crépir le gosier.
Je la fis se dévêtir, elle s’exécuta sans broncher.Elle portait sur les lèvres de son sexe une multitude d’anneaux, de sa chatte visqueuse dépassait une ficelle noire.La belle s’était enfoui au fond de son vagin des boules de geishas.Je compris alors d’où lui venait son trouble quand elle se frictionnait sur moi.Mais son cul nous réserva une délicieuse surprise, elle l’avait comblé d’un long et gros plug. Je pus en estimer la taille en le dégageant un peu, mais le remit vite à sa place.
J’intimais alors à Aude d’aller chercher un gode ceinture à l’étage:" - Le plus gros que tu as ! Et ramène aussi ta boite d’amours mon amour.", dis-je simplement.Ma Chérie s’empressa de gravir les marches quatre à quatre.Jessica docile attendait silencieuse qu’elle revienne, elle aimait être possédée et punie, nous allions la satisfaire.
A son retour je pris Aude par la main et la plaça face à notre charmante esclave à genoux, "  - Lèche !", et Jessica se mit consciencieusement au travail.
Aude était aux anges, sa chatte était l’objet de tout les soins possibles, elle mouillait par flot entier, et Jessica impudique s’en reput.Elle lui suçait le clitoris avec de petits grognements gourmands.Elle lui polissait l’abricot de sa douce langue retroussant ses lèvres pour la nettoyer au plus profond de ses commissures.
Moi pendant ce temps là, je triturais dans tout les sens les seins de ma chérie, pour l’encourager à se laisser aller.Lorsque Jessica eut entreprit de lui titiller le méat par de savants fignolages, Aude fut soudain pris de soubresauts, et éjaculât sa mouille sur le visage de Jessica.Sous la flatterie buccale, Aude devint femme fontaine, inondant toute entière la face de son asservie.
Aude enfilait son gode ceinture, le plus gros de sa collection, "l’anaconda".Je faisais tournoyer dans le fondement de Jessica le plug qu’elle s’était introduit avant de venir nous rejoindre, la déformant chaque fois un peu plus.Il dilatait énormément son trou du cul.Je le rentrais, je le sortais, mais son orifice recevait sa punition facilement, la belle, auparavant avait dû bien se le dilater.Elle avait l’anus avide de gros jouets elle n’allait pas être déçue, Aude était prête...
Elle lui présenta son gros engin à sucer, histoire de le lubrifier, la petite cochonne s’y consacra de toute sa motivation, mais le toy était gros, trop pour sa bouche gourmande, alors elle le lécha de la pointe à la base, sur chaque face, avec entrain et application.Aude prit quand même le tube de lubrifiant et en astiquât le bout, c’était quand même le gros modèle.Quand je vis qu’elles étaient parées, je retirais d’un coup sec le bouchon de son cul, ses sphincters s’ouvraient et se fermaient tout seul, comme une carpe échouée sur la rive qui cherche son souffle.Jessica poussa un grand râle de jouissance, je la fis venir sur moi, et saisissant ma verge et mes boules, je les introduisis tout les trois dans sa chatte imbibée de mouille, laissant à l’intérieur les boules de Geishas.La belle adora mon supplice, et s’assit sur mes genoux.Pour moi cette intromission était devenue un régal, j’aimais que Aude me possède de la sorte avec toute ma virilité enfoncée en elle.
Je penchais Jessica en avant, et écartais ses fesses pour permettre à Aude de repérer son "petit trou".Elle colla l’extrémité de plastique à l’entrée de sa grotte ouverte, et d’un coup sec y entra dix bon centimètres, il en restait au moins vingt cinq à engouffrer.
Alors elle commença ses coups de butoir, au bout de quelques minutes elle défonçait Jessica jusqu’au fond de son rectum, elle lui barattait son colon.La petite hurlait son plaisir, avec mon service trois pièces dans son vagin, et Aude fortement insérée dans son cul.
Je sentais dans son sexe les boules roulées autour des miennes, elles s’enroulaient sur ma bitte, le con était serré et mes attributs malmenés par ses clandestines sphère étaient bien à l’étroit.
Je lui martyrisais les seins avec force, et cela décuplait sa jouissance, Aude finit par l’insulter, mais Jessica aimait cela et jouissait d’avantage.Aude se délectait de l’injurier et de l’outrager. Nous avions une chienne servile, asservit à nos jeux et nous étions bien décidés à en profiter.
Nous atteignîmes enfin l’orgasme, moi aspergeant son vagin de foutre jusqu’à son utérus.Jessica dans une longue agonie, jouit de tout ses orifices, et dans un spasme me pissa dessus, m’inondant de son urine.Aude essoufflée, calma sa frénésie, et s’effondra sur son cou qu’elle se mit à mordre puis à embrasser.
L’anaconda fut enlevé, et le cul de Jessica grand ouvert sortit son prolapsus, une belle tomate de chair rubicond qui allait et venait et s’ouvrait par à-coups.Aude s’en saisit, l’étira un peu et commença à déguster la chair.Elle se délectait introduisant sa langue dans ce drôle de conduit, flattant le boyau de toute sa dextérité orale, la petite obéissante la laissait à son festin, et atteignit une fois de plus la félicité...
Jessica, la voix tremblotante nous remercia d’un :" - Merci Mesdemoiselles ! ".
La soirée débutait bien, Aude et moi fîmes une pause devant un verre et quelques gourmandises, pendant que Jessica, en attendant son prochain supplice, nous servait nue, plusieurs godes enfoncés dans les profondeurs de ses cavités.
En guise d’apéritif, elle nettoya de sa langue, la pisse qu’elle avait répandue sur mon ventre.
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