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Ma cliente

Chapitre 3

Hétéro
Cela fait maintenant 6 mois que je fais chanter Sophie. Au début on se retrouvait toutes les semaines sur le parking de l’hôtel pour qu’elle me donne l’enveloppe. Lorsqu’elle ne pouvait pas réunir la somme elle me payait en nature, et on passait la nuit dans une chambre, parfois un client de passage me rapportait quelques billets supplémentaires, comme la première fois. Mais au fil du temps les enveloppes se sont faites de plus en plus rares. Et comme l’hôtel était vraiment minable et les clients très rares, j’ai décidé de changer la donne.
Le jour du rendez vous à l’hôtel je suis allé attendre Sophie dans le parking où elle travaille. A 17h02 (administration oblige !) elle arrive dans le parking accompagnée de quelques collègues. Le service semble adepte du Friday ware, les hommes sont en jean - polo, Sophie porte une jupe blanche assez courte avec un top sans soutient gorge, qui lui laisse apparaitre le nombril. Lorsqu’elle me reconnait appuyé sur sa voiture elle manque de s’étouffer. Elle baratine une excuse à ses collègues et s’approche de moi blême.
— mais qu’est-ce que vous faites ici ? — je passais dans le coin, ça nous évitera un détour par l’hôtel ce soir. Tu as mon enveloppe ?
En fait j’espérais bien qu’elle ne l’aurai pas, sinon ça aurait foutu par terre toute la soirée. J’ai vite compris en la voyant baisser les yeux que j’avais deviné juste. Elle n’a pas eu à prononcer un mot, elle s’était déjà repliée dans son attitude de soumission, les bras ballants, le regard au sol, en attente mes ordres. Je jubilais.
— Bon, et bien je crois qu’on va passer la soirée ensemble, mais cette fois on va changer un peu, j’en ai marre de cet hôtel minable.
Elle se dirige vers sa voiture, visiblement très pressée de partir, probablement par peur de croiser quelqu’un qu’elle connaît en ma présence.
— Où on va alors ?-Oh, pas bien loin. En fait j’avais envie de visiter ton lieu de travail. Après tout c’est avec mes impôts que ça tourne tout ça !
De plus en plus blanche elle se retourne et me dit-Oh non, pas ça, s’il vous plait ! Pas ça.-Comme tu veux. Je te le dis à chaque fois, si tu veux qu’on arrête, on arrête. Mais tu connais les conséquences.
Sophie marque un temps d’arrêt, cette fois elle semble vraiment hésiter, je suis peut-être allé trop loin.— Quitte à te faire virer tu aurais mieux fait de le faire le premier soir, avec tout ce que tu as fais ce serai dommage d’abandonner maintenant.Après un nouveau temps d’arrêt elle finit par fermer sa voiture et soupire-d’accord.
Ouf, cette fois c’est passé vraiment juste.-tant mieux, en plus ce soir j’avais prévu un petit cadeau pour toi !Je sors de ma poche un petit paquet emballé dans un papier cadeau coquin avec le logo d’un sex shop.-Il y a sûrement des caméras partout dans ce parking, on sera plus tranquilles dans ta voiture.
Elle ouvre sa voiture et je lui fais signe de monter à l’arrière, puis je la suis. Une fois à l’intérieur je lui tends le paquet-Tiens, ouvres-le.Elle déballe le cadeau très délicatement, comme si le paquet allait lui sauter à la figure d’un instant à l’autre. Elle finit par découvrir un ouf doré.-ça te plait ?Sophie reste paralysée, les yeux fixés sur l’engin. Au bout de quelques secondes j’attrape l’ouf et lui dis-Attends, si tu ne sais pas à quoi ça sert je vais te montrer. Enlève ta culotte.
Résignée, Sophie obéit. Elle descend son slip sur ses chevilles, mais garde les cuisses sagement serrées. Je passe une main entre ses cuisses et commence à la caresser. Elle a maintenu son sexe glabre, comme je lui avais ordonné.-Allons, ouvre tes cuisses, ne fais pas la timide. C’est pas comme si on ne se connaissait pas !
Lentement elle écarte ses jambes et remonte sa jupe pour me permettre d’atteindre mon but. Du bout des doigts je caresse son mont de vénus, j’écarte délicatement ses lèvres qui commencent un peu à s’humidifier. Puis j’introduis un doigt, un seul d’abord, pour faire durer le plaisir. Quelques mouvements de va et viens, calmement. Sophie a fermé les yeux. Sa respiration est profonde.
-masse toi les seins pendant que je m’occupe de ta chatte. Je sais que tu adore ça.Obéissante elle commence à poser les mains sur sa poitrine, et elle se pince les tétons à travers le vêtement. Un second doigt rejoint le premier dans sa chatte, facilement, et lorsque ma main est recouverte de mouille je présente le jouet à l’entrée de son vagin. Le contact avec le métal froid la fait sursauter, mais elle ne cherche pas à échapper à ce qui l’attend. J’appuie doucement sur l’ouf pour qu’il pénètre le vagin, Sophie bloque sa respiration le temps de s’habituer à la présence de l’objet en elle, puis elle se détend. Les yeux toujours fermés elle recommence à s’occuper de la poitrine, une de ses mains passe même sous son T-shirt. Puis son autre main descend le long de son ventre pour trouver son clitoris qu’elle commence à malmener. Je la laisse se donner du plaisir toute seule, profitant du spectacle pendant quelques minutes. Elle semble très proche de l’orgasme. C’est à ce moment là que je sorts silencieusement de ma poche la télécommande de l’ouf vibrant. Sophie pousse un cri de surprise et de jouissance lorsque je déclenche les vibrations au maximum de leur intensité. Les yeux et la bouche grands ouverts, son corps entier se tétanise quelques secondes avant de complètement s’abandonner sur la banquette de la voiture. J’arrête les vibrations en lui montrant la télécommande.
-Surprise ! Maintenant, même quand tu joue toute seule, je participe un peu.Je m’amuse quelques instants en faisant varier l’intensité des vibrations, je l’amène au bord de l’orgasme et je coupe juste avant, plusieurs fois, avant de recommencer le manège, sans jamais la laisser jouir. Puis j’attrape sa nuque et je la rabat sur mon ventre.
— Si tu veux jouir encore une fois il va falloir me faire venir aussi.Immédiatement elle ouvre mon pantalon et sort ma queue déjà bien raide, elle l’embouche d’un coup et commence à me sucer sauvagement.— Non non ! Pas si vite. On a toute la nuit devant nous. Je ne te permettrai pas de jouir si tu bâcle le travail comme ça !Sophie se calme alors un peu, et recommence sa fellation, en s’appliquant cette fois. Ses lèvres descendent lentement sur ma tige jusqu’à ce que son nez touche mon ventre, puis remontent. Sa langue tourne autours de mon gland pendant qu’une main pleine de mouille joue avec mes boules. Pour montrer que j’apprécie l’effort je règle l’intensité de vibration sur mi-puissance. Ma main droite lui caresse le dos, et comme son vagin est déjà occupé je joue avec sa rondelle. Sa jouissance précédente l’a tellement lubrifiée que deux doigts pénètrent son anus sans aucun problème. Je calque les mouvements de mes doigts dans son cul sur ceux de ses lèvres le long de mon sexe. Lorsque je sens que je ne vais plus me retenir bien longtemps j’augmente les vibrations de l’ouf, et Sophie intensifie sa pipe en retours. Quelques secondes de ce traitement suffisent à me faire exploser. Au moment où j’éjacule dans sa bouche je pousse la télécommande au maximum, si bien que Sophie jouit en même temps que moi. Comme à son habitude maintenant elle avale toute ma semence, puis elle lèche ma queue jusqu’à ce qu’elle ramollisse complètement. J’aime beaucoup ce traitement. Je coupe les vibrations dans son sexe trempé, puis lui fait lécher mes doigts qui sortent de son cul. Elle s’exécute sans rechigner.
Après quelques minutes pour reprendre notre souffle et nous rhabiller (Sauf la culotte de Sophie que j’ai encore une fois mise dans ma poche, je dois être un peu fétichiste !) nous sortons de la voiture. Une belle tache sombre macule la banquette là où Sophie était assise. Persuadée qu’elle s’en sort à bon compte cette fois Sophie ouvre la portière conducteur et s’apprête à partir.
— Ola ! Attends un peu ! Tu ne pense quand même pas que c’est déjà fini ! Je t’ai dis que je voulais visiter ton bureau ! Allez, sort de là et montre-moi.Résignée elle sort de sa voiture, claque la portière et se dirige vers l’ascenseur. En la suivant je remarque qu’un filet de mouille lui coule le long de la cuisse. J’appuie un instant sur la télécommande dans ma poche et Sophie manque de tomber devant moi. Elle s’arrête pour reprendre son équilibre, puis recommence à marcher. Le temps que l’ascenseur arrive je remets un petit coup de vibrations, idem dans l’ascenseur, j’adore la voir sursauter en se mordant la lèvre, les yeux presque révulsés. Arrivés au quatrième étage Sophie sort la première de l’ascenseur, elle semble soulagée de voir que le couloir est vide (forcément, un vendredi soir dans une administration.) Son bureau se trouve tout au bout du couloir, elle m’y entraine presque en courant et referme la porte derrière nous. C’est une pièce quelconque avec trois bureaux identiques, trois chaises identiques et trois ordinateurs. identiques forcément. Le bureau du chef de service se trouve derrière une porte qui donne dans cette pièce. Mieux installé, un fauteuil au lieu d’une chaise dactylo, un écran plus grand pour l’ordi, une télé avec lecteur de DVD, et même un caméscope (service com oblige.)
— C’est mignon ici. C’est lequel ton bureau ?Elle me désigne celui qui est le plus proche de la porte du chef, indiquant ainsi qu’elle est hiérarchiquement la plus élevée dans la pièce. Je m’installe dans sa chaise, et commence à farfouiller sans conviction dans ses tiroirs, sans chercher quoi que ce soit d’ailleurs. Puis je me lève et commence à visiter le bureau du chef. — Tiens, ça me rappelle un de mes phantasmes : passe sous le bureau et taille moi encore une pipe !Sophie entre dans le bureau et ferme la porte, puis elle contourne le bureau, se met à quatre pattes pour passer dessous et je me positionne devant elle. Elle déboutonne mon pantalon pour attraper la queue qu’elle commence à lécher comme j’aime.
Tout d’un coup je vois une fenêtre s’allumer dans le bâtiment d’en face, de l’autre côté de la petite courre intérieure. Une femme entre dans ce bureau et commence à fouiller dans les tiroirs. Je crois reconnaitre Annie, une des collègues de Sophie que j’avais croisée dans une réunion professionnelle. Sophie ne s’est rendue compte de rien et continue sa besogne sous le bureau. Au bout de quelques secondes Annie fouille toujours frénétiquement dans des tiroirs, un homme la rejoint et l’enlace, puis l’embrasse goulument. Je relève Sophie pour lui demander :
-Qui c’est ce gars ?-C’est un conseiller général ! Mais qu’est-ce qu’ils font là à cette heure là ?Ses jambes flageolent encore plus que quand elle m’a vu dans le parking. Si on se fait surprendre dans ce bureau, elle sans culotte et moi la bite à l’air, je n’aurai même pas besoin d’envoyer les photos pour qu’elle se fasse virer. Sophie se précipite sur l’interrupteur pour éteindre la lumière dans le bureau. Nous somme maintenant invisibles depuis le bureau d’en face.
Pour profiter du spectacle j’allume le caméscope qui est déjà branché sur l’écran de télé. Posé sur une étagère et le zoom à fond il donne une image parfaite de ce qui se passe dans le bureau d’en face. J’en profite bien entendu pour enregistrer la scène, ça me fera toujours un souvenir.Sur l’écran Annie, déjà en sous vêtements, est en train de déboutonner le pantalon de son élu. Sophie quand à elle semble captivée par la scène. -Tu la connais cette fille non ?-Oui, c’est Annie, mon ancienne secrétaire. -Tu savais qu’elle couchait avec un élu ?-Non, pas du tout ! En plus elle est mariée ! -En tout cas elle est chaude dis donc !En effet sur l’écran Annie est en train de tailler une pipe digne d’un film porno. Le gars est appuyé sur un bureau pour ne pas perdre son équilibre, la tête en arrière, il semble apprécier le traitement.Sophie est toujours fascinée par le spectacle, elle ne quitte pas l’écran des yeux.C’est maintenant Annie qui s’est assise sur le rebord du bureau, et l’homme qui est maintenant totalement nu s’apprête à la pénétrer.
De mon côté j’attrape Sophie par le bras et la fait reculer jusque derrière le bureau, puis je la penche au dessus. Elle est comme un pantin, comme hypnotisée par l’écran. Les coudes sur le bureau de son patron, les jambes écartées et la jupe relevée sur son dos, la vue est splendide. J’enfile un préservatif et je l’agrippe par les hanches, puis je commence à m’introduire en elle. Soudain mon gland butte contre l’ouf vibrant qui est toujours dans son vagin. Je déclenche le jouet, doucement d’abord. La sensation est agréable, tout son vagin tremble et les vibrations se transmettent dans ma queue. Mais la place étant prise je me sens vite gêné dans sa chatte. Je ressors donc pour présenter mon gland bien lubrifié sur sa rondelle. Le sphincter cède d’un coup sous la pression, Sophie pousse un long soupir quand je me plante dans son cul jusqu’à la garde, ce qui ne suffit pas à détourner son attention de l’écran sur lequel sa collègue se fait défoncer allongée sur le bureau, les jambes croisées autours de la taille de son amant. Les vibrations de l’ouf qui se transmettent à travers la paroi du vagin me procurent une sensation nouvelle et très agréable, beaucoup plus que quand je buttais contre dans sa chatte. Frustré par le manque de réaction de ma partenaire je décide d’accélérer le rythme pour obtenir toute son attention. J’augmente l’intensité des vibrations de l’ouf, puis je lui pilonne le cul comme jamais. Mon ventre claque sur ses fesses, et mes doigts s’enfoncent dans ses hanches en laissant des traces blanches. Secouée par les coups de butoir Sophie réagit enfin. Elle se plaque contre le bureau, les bras tendus pour s’agripper de l’autre côté du bureau. Ses cris sont de plus en plus forts à chaque coup. Enfin je la sens se contracter complètement, elle tire encore plus sur ses bras, elle serre la mâchoire dans un râle intense, et je jouis moi aussi planté dans son cul, avant de m’affaler sur son dos.
Le temps de reprendre mon souffle je remarque en me relevant que l’autre couple en a terminé aussi. Lorsqu’ils se sont rhabillés j’arrête le caméscope et récupère la cassette DV. Sophie se réajuste un peu, ses cheveux sont défaits et sa jupe froissée, un filet de mouille lui a coulé tout le long de la jambe. Si on croise quelqu’un dans le couloir en repartant elle aura du mal à faire croire qu’elle avait juste oublié son sac dans son bureau ! Heureusement ce n’est pas le cas, et nous rejoignons le parking sans encombre. Elle monte dans sa voiture sans un regard vers moi, redoutant sans doute que je la rappelle pour un nouveau run, tandis que je monte dans la mienne garée à côté. Je la suis jusqu’à la sortie du parking.
Je me demande si elle a retiré le jouet de son vagin avant de partir. Juste avant un virage serré entre deux murs j’attrape la télécommande et déclenche une vibration maximale de l’ouf. La voiture de Sophie fait une embardée avant de piler net. Le rétroviseur droit a frotté contre le mur. Je vois alors Sophie remuer un peu sur son siège avant de repartir.
A la sortie du parking nous prenons des routes différentes. Vivement la semaine prochaine, d’autant plus qu’avec la cassette que j’ai dans la poche .
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