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clochard

Chapitre 1

Zoophilie
Clochard

Connaissance
Je pense que pour comprendre cette histoire, il faut remonter loin dans le temps car aujourd’hui je suis un vieux monsieur. Quand j’étais enfant, il n’y avait pas d’animaux à la maison. Je ne sais pas pourquoi. Ni chiens, ni chats. Mes parents n’aimaient sans doute pas particulièrement les bêtes. Quoiqu’il en soit, peut-être est-ce pour cette raison que tout au long de ma vie j’ai eu des rapports contradictoires avec les chiens. D’un coté, j’ai toujours été étonné de constater que les chiens, eux, semblaient m’apprécier. Chaque fois que je me trouvais dans un lieu, dans la rue ou chez des amis par exemple, les chiens venaient vers moi pour se faire caresser, venaient se coucher à mes pieds. Je pensais que leur instinct aurait du leur faire sentir que de mon coté, je ne ressentais pas d’aversion, mais pas non plus d’attirance.De l’autre coté j’avais une certaine appréhension des chiens, j’en avais un peu peur. Par méconnaissance sans doute. J’ai fait vraiment connaissance avec les chiens beaucoup plus tard, lorsque j’ai vécu avec une femme qui, elle, avait toujours eu des chiens. Même si cela est une autre histoire, je crois que c’est seulement à partir de ce moment que je n’ai plus eu peur des chiens.Nous avions à cette époque une très belle chienne qui s’appelait Eva. C’était un lévrier de pure race dont j’avais fait cadeau à mon amie et qui vivait donc avec nous. C’était moins facile que maintenant d’avoir un chien, car je venais d’aménager dans la maison et le jardin n’était pas encore clôturé. Un matin nous avons trouvé une espèce de bête hirsute, au bord de la piscine. C’était manifestement un chien errant. Sans collier, jeune. Un chien, bâtard, plein de puces et de tiques surtout, très maigre, sale, puant. Bref dans un état lamentable et pitoyable. Evidemment mon amie lui a donné à manger en m’expliquant qu’on ne pouvait vraiment pas le laisser dans cet état. Mais quelques minutes après avoir mangé, le chien a disparu et nous avons oublié l’incident. Cependant le lendemain le chien est revenu. On a donc convenu de le garder quelques jours pour qu’il se refasse une santé. Et il était convenu qu’après le chien serait amené à la SPA (société protectrice des animaux) pour qu’il trouve un nouveau maître. Et cette fois il est resté et Eva, notre chienne, a commencé à jouer avec lui. Bien entendu j’ai vite été convaincu que le chien ferait un compagnon pour elle, et nous l’avons gardé.C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés avec deux chiens. Les choses se sont bien passées et Eva ayant été opérée, cela évitait des problèmes. Quant au chien, je l’ai baptisé ‘clochard’ en souvenir du fait que c’était un vrai clochard quand il est arrivé. Mais il est toujours resté indépendant et quelques fois il disparaissait une journée entière. Au début cela m’a paru naturel puisque c’était somme toute un chien ‘sauvage’. Mais d’une part il revenait souvent dans un piteux état après s’être battu, et d’autre part les voisins se plaignaient qu’il pénétrait chez eux. J’ai donc fait clore une partie du jardin.Quelques temps après nous nous sommes séparés. Mon amie est partie avec la chienne et moi je suis resté avec le chien. En quelque sorte, le chien et moi sommes restés sans compagne. Peu à peu, je me suis pris d’affection pour ce chien. Il était intelligent, comme la plupart des bâtards, et affectueux. Je pense aussi que la présence d’un chien peu aider à supporter la solitude que l’on éprouve après une séparation. Bientôt, il m’a suivit au commerce que j’exploite. Puis il a accompagné les clients à la plage. Il était finalement connu dans tout le quartier. Le seul problème était son agressivité avec les autres chiens. Il se battait avec tous, quelle que soit la taille de l’autre. Je me souviens avoir été obligé de le séparer avec le jet d’eau que j’utilise pour arroser le jardin, un jour où il se battait avec un autre chien !

Première fois
C’est ainsi que peu à peu mon affection pour clochard a pris de l’importance. Il adorait jouer et nous le faisions souvent. C’est ainsi qu’un soir en batifolant avec lui dans l’herbe, je me suis fait la réflexion que lui aussi se trouvait sans compagne. Et que c’était un peu par ma faute puisque sa compagne était partie avec mon amie et que je le tenais enfermé pour éviter les problèmes de voisinage. Pour la première fois l’idée de le toucher m’a traversé l’esprit. Pour la première fois j’ai eu envie d’aller plus loin. Mais que faire, comment faire ? Le temps passa car j’ai mis longtemps à me décider, à surmonter sans doute mes appréhensions. A peser le pour et le contre. Quelques semaines après, un soir, j’étais au lit et Clochard dormait au pied du lit. Je n’arrivais pas à dormir, et j’ai repensé à tout ça. Je pensais en moi-même que faire des attouchements à mon chien était une perversion. Oui, sûrement, mais je me disais aussi qu’il n’y avait pas de mal à cela. Je pensais que c’était lui donner du plaisir. Oui, mais où est le plaisir que peut ressentir un chien ? Justement, c’est une occasion d’essayer, d’apprendre. Et qui le saura ? Et puis c’est aussi une manière de lui témoigner de l’affection. De lui montrer que je comprends son manque, de me faire pardonner sa solitude. Mais enfin, c’est un chien ! Tu ne vas quand même pas caresser un chien ! Et pourquoi pas ? Finalement je crois que c’est mon envie et surtout ma curiosité qui a été plus forte que tous les autres arguments, que tous les discours de moralité. J’avais déjà dépassé le blocage. La barrière, le tabou s’était effondré. Je me sentais libre. Je me suis levé et je suis venu m’asseoir à coté de mon chien. Clochard m’a regardé, sans comprendre sans doute ce que j’allais faire. J’ai commencé de passer ma main, doucement, sur son poitrail, puis sur son ventre. Comme pour m’encourager, clochard s’est mis sur le dos, ouvrant largement ses pattes. J’ai continué à le caresser doucement tout en lui parlant. Petit à petit ma main s’est rapprochée de son sexe que je ne pouvais pas voir car il était abrité à l’intérieur de son fourreau. Enfin le dos de ma main est parvenu à toucher son fourreau. Alors ma main a pris de l’assurance et a commencé de se frotter tout le long de son fourreau. Clochard n’a pas bougé. Nous sommes restés comme ça un moment. Tout en continuant de le caresser, ma main est descendue jusqu’à ses bourses. Je les ai touchées, massées ; elles étaient rondes, bien fermes. Je dois dire que c’était pour moi une impression nouvelle. Un toucher agréable. Je me suis demandé ce qu’une femme pouvait ressentir quand elle caressait les bourses d’un homme, quand elle jouait avec, comme je le faisais en ce moment. Mon chien n’a pas eu de réaction de rejet et j’ai pensé que je pouvais aller plus loin.Mes doigts sont venus enserrer son fourreau, comme je l’aurais fait avec ma propre verge. Ma main a commencé un lent va et vient sur ce fourreau et bientôt, j’ai été rassuré. J’ai su que Clochard éprouvait quelque chose, je le sentais vibrer et je voyais maintenant la pointe de sa verge qui sortait du fourreau. J’étais content d’avoir osé, j’étais content d’avoir transgressé les tabous. Je me sens bien. Ma main montait et descendait le long de son fourreau et peu à peu clochard s’est mis à bander, maintenant je voyais sa verge apparaître, je la voyais grossir. Elle était presque entièrement dégagée de son étui. C’était la première fois que je voyais d’aussi près le pénis de Clochard. Mais j’en voulais plus, je voulais qu’il se découvre entièrement, ce sexe. J’ai continué de tirer en arrière la peau de son fourreau chaque fois que ma main descendait et bientôt j’ai vu apparaître son nœud. Enfin je suis arrivé à découvrir complètement cette boule. Et je pouvais maintenant regarder, comme jamais je ne l’avais fait, le sexe de clochard lorsqu’il bande. Il était pratiquement de la même taille que le mien. Il était d’une couleur rosé. Il était très raide. Finalement je l’ai trouvé assez beau et fier, ce membre. Il était presque de la même forme que le mien, excepté la pointe plus effilée et cette boule, ce nœud en arrière de son pénis. Mais ce que je voulais, c’était le masturber. Avec ma main, j’ai serré son pénis, en arrière de son nœud, dans l’espoir de le faire éjaculer. J’ai repris ma masturbation, sans trop bien savoir comment faire. Un peu de liquide presque transparent s’est écoulé de la pointe de sa verge. Bientôt clochard a récompensé mes efforts en accompagnant les gestes de ma main avec son corps. J’ai pensé qu’il voulait m’aider en se frottant lui-même contre ma main. Il a accéléré ses mouvements, et cela m’a incité à faire de même avec ma main. C’était un spectacle assez fascinant. A ce moment je ne pensais plus à rien, et tout ce qui avait pu me retenir était oublié, envolé ! Je ne pensais qu’à m’appliquer pour obtenir son plaisir. Je voulais voir son sperme jaillir de son pénis. Je ne me souviens plus combien de temps je l’ai masturbé. A un moment je me souviens avoir posé mon autre main sur ses bourses, les avoir caressé. Enfin, brusquement, des jets de sperme se sont échappés de son sexe. C’est impressionnant la quantité de liquide qui a jailli de sa verge, j’avais l’impression que ça n’allait pas s’arrêter. Il y en avait partout, y compris sur ma main et sur mon bras. Je ne savais pas quoi faire, je craignais de lui faire mal si je continuais, mais sa semence continuait de s’échapper de sa verge. Finalement, après plus de 10 minutes, la source s’est tarie et c’est Clochard qui, de lui-même, s’est retiré de ma main. Il s’est éloigné de quelques mètres, et il a commencé de nettoyer son sexe avec sa langue. Je le voyais s’appliquer. Et peu à peu son sexe est rentré dans son fourreau. Quand il a eu fini, il est venu vers moi et m’a léché la main et le bras avec sa langue, pour faire disparaître toute trace de sperme.

Autre chose
Les semaines sont passées. Nous avons recommencé l’expérience, je crois avec le même plaisir. Puis, j’ai eu envie d’aller plus loin. C’est alors que je me suis mis à rechercher des sites Internet ou des forums sur la zoologie et la bestialité. J’en ai trouvé. Peu, mais il y en a quand même quelques uns, surtout en anglais. Et j’ai appris beaucoup de choses, et surtout que je n’étais pas le seul. J’ai découvert qu’il y avait beaucoup de gens, hommes et femmes que cela intéressaient également. Des gens qui avaient la même curiosité que moi. J’ai appris aussi que la zoologie et les rapports sexuels entre les humains et les animaux étaient une chose qui remontait à la nuit des temps. J’ai lu beaucoup d’articles expliquant comment faire, comment avoir des rapports sexuels avec un chien. Et un jour, j’ai décidé de faire le pas, d’aller plus loin encore avec Clochard. Je me souviens que c’était un jour de semaine et que j’avais décidé de l’emmener à la plage. Il y avait effectivement peu de monde. Comme d’habitude, en rentrant j’ai douché Clochard avec le jet pour lui enlever l’eau salée et le sable. Il n’aimait pas ça, mais finalement il acceptait. Après la douche il aimait s’ébrouer et généralement il éclaboussait partout. J’ai fini de l’essuyer avec une grande serviette. Et j’ai commencé à le caresser. Maintenant je savais mieux comment m’y prendre et je crois que lui aussi. Ce n’était plus la découverte de la première fois, mais je crois que son plaisir était le même, qu’il savait ce qui allait se passer et qu’il l’attendait. Clochard était sur ses quatre pattes, et j’avais étendu la serviette sur le sol. Torse nu, je me suis glissé sous son ventre, et couché sur la serviette. Son sexe était vraiment très près de mon visage. Comme les autres fois, j’ai commencé par le caresser en lui parlant doucement. Puis je l’ai branlé à travers son étui. Rapidement son sexe est sorti et il s’est mis à grossir. Bientôt j’ai eu sous les yeux sa verge entière qui bandait, luisante et rouge. Déjà un liquide, dont j’avais appris que c’était son liquide séminal, s’écoulait doucement de son sexe. J’ai reçu quelques gouttes chaudes sur le visage. Malgré la décision que j’avais prise, je dois reconnaître que j’ai quand même hésité. Mais j’étais allé trop loin pour reculer maintenant. Et au fond de moi, je voulais faire cette expérience. J’ai avancé ma tête et j’ai sorti ma langue. Avec le bout, j’ai à peine touché l’extrémité de sa verge pour goûter un peu de ce liquide. Il était chaud, mais presque sans goût. Rien de désagréable. Alors je me suis enhardi et cette fois j’ai fait courir ma langue tout le long de son membre. Je savais maintenant que tout ce membre est en fait comme notre gland, aussi sensible. C’était chaud et luisant de ma propre salive. Pendant un long moment j’ai continué de le caresser ainsi, avec ma langue, faisant le tour de son membre. Je sentais cette verge qui tressautait. Je me suis habitué à son goût, fort, un peu acre. Ma langue maintenant n’hésitait plus. Toute entière, sans aucune retenue, elle léchait cette verge. Je n’ai ressenti aucun dégoût. Et même si je ne peux pas faire de comparaison, je pense que ça ne doit pas être très différent d’un sexe d’homme. Mais je voulais faire plus. Je l’avais déjà décidé. Et à la vérité, à ce moment là je crois que, en plus, j’en avais vraiment envie. Mes lèvres sont venues s’enrouler sur l’extrémité de son gland. Je suis resté dans cette positon, sans bouger. C’était encore une sensation nouvelle. Cela m’a rappelé la texture d’un letchi, mais plus ferme. J’avais entre mes lèvres quelque chose de vivant. Je sentais comme des palpitations. C’était chaud et finalement d’un goût qui n’était pas désagréable. Pourtant j’hésitais encore à aller plus loin, à le prendre vraiment dans ma bouche, ce sexe que j’avais sur le bord des lèvres. Mais finalement je n’ai pas eu à hésiter bien longtemps. Clochard a pris la décision pour moi, et d’un puissant mouvement en avant, c’est lui qui a pénétré ma bouche.Voilà, cette fois, c’était arrivé. Je crois que je n’ai pas réalisé sur le moment toute l’ampleur de ce que je vivais. Toute l’importance de ce qui m’arrivait. Et pourtant, oui, c’était bien moi. C’était bien ma bouche qui était remplie par ce sexe qui devenait de plus en plus gros. Clochard était en train de prendre du plaisir dans ma bouche ! C’était bien moi qui était en train de sucer mon chien. J’étais en pleine bestialité. Comment avouer, comment avouer à moi-même qu’en plus je ne trouvais pas cela désagréable ? Comment reconnaître que j’étais aussi en train de prendre un certain plaisir ? Ca paraît impensable et pourtant à ce moment je ne pensais qu’à sucer cette verge qui allait et venait de plus en plus vite, et qui cherchait à me pénétrer de plus en plus profondément. Je m’appliquais à la serrer avec mes lèvres pour mieux la cerner. Je sentais les jets réguliers de son sperme chaud envahissant ma bouche.J’aurais voulu rester ainsi, permettre à Clochard de se déverser complètement en moi. Mais je n’ai pas pu. Ma bouche s’est remplie rapidement avec le flot de son sperme. J’en ai avalé involontairement une petite partie, mais bientôt je me suis étouffé et j’ai du me reculer pour pouvoir respirer. Pendant ce temps, la semence de mon chien continuait de se déverser. Maintenant c’était mon visage et mon torse qui étaient aspergés. Cette fois encore j’ai été surpris par la quantité et la chaleur de sa semence. Finalement Clochard a fait quelques pas et il s’est assis. Comme les autres fois, il a entrepris de se nettoyer jusqu’à ce que sa verge rentre dans son fourreau. Pendant ce temps, j’étais resté allongé sur la serviette, abasourdi par ce qui venait de m’arriver. Je commençais seulement de vraiment réaliser ce que j’avais fait. Enfin Clochard est revenu vers moi, pour me nettoyer avec sa langue râpeuse et faire disparaître toute trace de son sperme. Puis il est parti un peu plus loin, comme si rien ne c’était passé. Quant à moi, j’ai commencé par prendre une longue douche. Je sais que ça peut paraître incroyable, mais sous cette douche, je me suis masturbé. Je n’éprouvais aucun remord. En fait, je venais de réaliser que non seulement je n’avais éprouvé aucun dégoût, mais qu’en plus j’avais trouvé cela agréable, pour ne pas dire plus. Plus grave encore, j’ai découvert que si j’avais éprouvé le besoin de me masturber juste après ce que je venais de faire, c’est parce que je me sentais frustré.C’est ainsi que j’ai pris la décision de recommencer un autre jour à sucer mon chien. J’ai eu envie de recevoir encore son gros sexe tendu dans ma bouche. Mais plus encore, c’est alors que j’ai décidé d’aller encore plus loin. C’est alors que je me suis rendu compte que j’avais finalement envie qu’il me prenne. Et que j’ai décidé de le faire. Oui, je voulais sentir son sexe en moi. Je voulais qu’il me pénètre de toute sa verge. J’avais envie qu’il me déflore l’anus.
Epilogue
A quelques temps de là, Clochard se trouvait avec moi à mon commerce. J’étais en train de discuter avec des clients quand il est parti comme une flèche. Il venait de voir un chien de l’autre coté de la rue et allait chercher encore une fois la bagarre. Il n’a jamais traversé cette rue. A ce moment arrivait une grosse moto qui l’a heurté de plein fouet. Il est mort, presque dans mes bras et je ne pourrais jamais oublier son regard. Je suis resté des années avant d’admettre un autre chien à la maison.

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