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Le club des nymphes - tome II

Chapitre 7

Orgie / Partouze
Chapitre 7 (Thomas) : Soirée chez Louise

J’ai encore revécu la scène cette nuit en rêve. Je revois Louise, le visage choqué de voir ma sœur m’embrasser. Je revois ses yeux humides et je réentends son « non » désespéré. Elle serait arrivée une minute plus tard, j’aurais repoussé ma sœur et elle n’aurait pas eu à souffrir davantage. J’ai vraiment eu peur de l’avoir perdue ce soir-là. Je lui ai couru après et l’ai rattrapée juste à la sortie de l’école.
— Louise, attends ! Laisse-moi t’expliquer.— Il n’y a rien à expliquer, pleurait-elle. J’aurais dû me douter que tu étais encore attiré par ta sœur. Et puis, toi et moi nous sommes toujours laissé la possibilité d’aller voir ailleurs. Tu fais donc ce que tu veux. Mais quand même, Thomas, pourquoi ce soir ?— Je te jure que je ne voulais pas ce qui est arrivé. Je voulais simplement lui parler. J’allais la repousser, je te jure. Oui, je reconnais qu’elle m’attire encore mais je ne voulais pas te blesser. Je t’aime trop.
J’ai finalement réussi à éviter le pire. Mais depuis le temps, elle se montre un peu plus distante avec moi et plus réservée. Je sais qu’elle ne m’a pas tout à fait pardonné. Je n’aime pas cette ambiance qui plane sur notre couple depuis ce jour.
Quoi qu’il en soit, j’espérais que la soirée organisée à son appart lui changerait les idées. Malheureusement, il faut dire que les sirènes et le BDE remportent pour le moment la guerre d’influence dans laquelle ils nous ont menés. Si toutes les nymphes et leurs copains sont là – à part celles de troisième année qui ont un gros projet à préparer – seuls cinq élèves de première année ont répondu présent à notre appel : Élizabeth, Boris, Lindsay et Arthur, respectivement les fillots de Louise, Miss Punk, Marie et le mien. La cinquième première année est Noémie.
— Oui, elle est venue nous parler à Lula, Ondine et moi, déclare cette dernière au sujet d’Élodie. Elle a essayé de nous recruter dans son club. Lula et Ondine l’ont rejointe, mais personnellement elle ne m’inspire pas confiance. Je préfère me tourner vers les nymphes, même si un tas de rumeurs planent sur vous.— Des rumeurs ? ne s’étonne guère Louise. Quel genre de rumeurs ? Et qui les colporte ?— Des imbécilités, pour la plupart. Il y a pas mal de notre promo qui les ont propagées ; ils auraient entendu ça de quelqu’un qui l’aurait entendu de quelqu’un d’autre, et ainsi de suite. Je ne sais pas d’où ça vient à l’origine.— Bah, il n’y a pas à chercher bien loin ! s’exclame Sylvain.— Oui, moi aussi ça m’est venu aux oreilles, confirme Boris, mais je n’ai pas prêté foi à ces âneries. Vous m’avez l’air sympathique, c’est tout ce qui m’importe.— C’est très bien, fillot, lui sourit Anzhelina, une bière à la main.— Mais c’est quoi au juste cette guerre que vous faites avec le club des sirènes ? cherche à comprendre Boris. Qu’est-ce qu’elles vous veulent ?— Leur présidente Élodie s’était présentée contre moi pour diriger le club des nymphes, mais faut croire qu’elle ne s’en est pas remise. Elle a donc monté un autre club et maintenant essaye de nous faire disparaître.— Mais vous faites quoi au juste dans vos clubs ? redemande-t-il.— Pour ça, fillot, je crois que tu n’es pas encore prêt… plaisante sa marraine.
Quoi qu’il en soit, malgré le fait qu’on ne soit seulement que douze personnes – alors que l’année dernière nous étions plus du triple chez Sarah – la soirée se déroule quand même. Au moins, l’avantage c’est qu’on ne se marche pas sur les pieds.

— Kyakyatkyetsky ! lance Boris.— Non, c’est Kyakatzkyetsky, le corrige Anzhelina.— C’est trop compliqué, j’abandonne ! Je n’y arriverai jamais, se décourage-t-il.— Mais si, fillot ; allez, un petit effort si tu veux ton cadeau.— Au moins si tu me disais quel cadeau tu veux m’offrir...— C’est une surprise, tu verras.— Allez, marraine… insiste-t-il.— Bon OK, je vais te le dire : ton cadeau, c’est une fellation.— Ha-ha, très drôle ! ironise-t-il. Mais vraiment, c’est quoi mon cadeau ?— Boris, lui lancé-je, tu peux la croire. Si elle te dit que c’est ça ton cadeau, c’est que ça l’est.
Il commence à douter que ce soit une blague. Il observe Miss Punk qui reste impassible. Ses yeux passent sur tous les élèves de deuxième année présents qui lui confirment tous mes dires d’un signe de tête. Boris retient un sourire. Il n’a pas l’air totalement convaincu mais doit se dire que ça vaut le coup d’essayer.
— Kyakakyetsky, se relance-t-il avec une toute nouvelle motivation.— Presque, mais ce n’est pas encore ça, rit Anzhelina.— Elle est vraiment sérieuse ou c’est une blague ? me questionne discrètement Arthur.— Bien sûr qu’elle l’est ! répond à ma place Louise. Tu ne l’en crois pas capable ?— Non, je n’sais pas… C’est juste qu’elle en parle comme ça…— Comme la plupart des personnes, Anzhelina aime le sexe. Elle n’a aucune honte à avoir à ce sujet, et donc ne se gêne pas pour en parler ouvertement, d’autant plus que nous sommes ici en amis. Vous aimez le sexe aussi tous les deux, je suppose ; pensez-vous que ce soit une chose à cacher ?
Arthur et Élizabeth rougissent. Ils semblent mal à l’aise. Je souris et me revois un an en arrière, pris entre Sarah et Aliénor qui me chauffaient.
— Euh, non, hésite à répondre Élizabeth.— Pensez-vous que c’est normal d’en avoir honte et de finir par se priver de se faire plaisir ? Vous priveriez-vous d’un bon repas ou d’aller mater un bon film sous prétexte que certaines personnes trouvent ça dégradant ?— Non, ça paraît insensé ; il n’y a aucun mal à se faire plaisir, répond Élizabeth.— Et toi, fillot, qu’en penses-tu ? demandé-je à Arthur.— Euh… oui, je suis d’accord. Personne ne devrait avoir à se restreindre.— Dans ce cas, vous partagez la philosophie du club des nymphes. Maintenant, dites-nous, tous les deux : trouvez-vous que vous vous accordez ce plaisir aussi souvent que vous le voulez ? les questionne Louise. Aimerez-vous pratiquer plus ?
Aucun des deux ne semble vouloir répondre. Ils rougissent à la place et détournent les yeux. Visiblement, ils ne pratiquent pas assez à leur goût.
— Anzhelina, appelle Louise ; je pense qu’il est l’heure d’expliquer à nos invités ce qu’est vraiment le club. Qu’en penses-tu pour ton fillot ?— Boris a l’air prêt, présidente.
Ce dernier tend une oreille intéressée. Il n’y a que lui, Arthur et Élizabeth qui ne sont pas encore au courant. Marie a déjà expliqué à sa fillote ; Lindsay est donc au courant. Quant à Noémie, c’est Élodie qui lui a expliqué quand elle a tenté de la recruter.
— Vous savez déjà tous que le club des nymphes est chargé d’apporter son soutien à diverses associations caritatives, se lance Louise ; mais ce n’est pas son unique but. Le club a aussi pour vocation d’offrir aux filles qui le rejoignent un cadre dans lequel elles pourront vivre leur sexualité sans aucun tabou et sans que personne ne vienne trouver quelque chose à redire. Et pour ceci, nous choisissons consciencieusement les garçons avec qui nous allons partager cet amour de la sexualité. Ceux-là deviennent nos favoris, et s’ils respectent les règles et nos nymphes, ils peuvent le rester très longtemps. Dans le cas contraire… eh bien, beaucoup ont regretté. Vous êtes ce soir à une soirée des nymphes. Si vous décidez de poursuivre la soirée, il faut vous tenir prêts à coucher avec un ou plusieurs partenaires. Vous êtes libres, bien évidemment, de choisir avec qui vous allez accepter de coucher. Si vous n’êtes pas intéressé par ce que le club a à offrir, il est encore tant de partir. Je vous prie cependant de garder sous silence ce que je viens de vous révéler. Alors ?— Lindsay et moi avons déjà exprimé notre désir de rejoindre le club, déclare Noémie. Nous allons donc rester.— C’est un truc de dingue ! Bien sûr que je reste, se réjouit Boris. Enfin, si vous voulez bien de moi en tant que favori, bien sûr.— Tu ne serais pas là sinon, répond Miss Punk.— Et vous ? demande Louise à Arthur et Élizabeth.
Ils hésitent un petit moment, regardent tout autour, et finalement acceptent de rester. Et voilà, la première soirée de l’année des nymphes débute véritablement. Nous ne sommes que douze. J’ai connu de plus grosses orgies, mais ça sera déjà bien suffisant. Cinq garçons pour sept filles.
Damien lance les hostilités en se rapprochant de la filleule de sa copine. Le voici commençant à caresser et embrasser Lindsay. Marie reste pour le moment en retrait pour les observer. Boris, bien échauffé par la situation, dévore des yeux Miss Punk. Il l’embrasse puis tente de lui caresser un sein, mais elle le repousse.
— Ah non ! Pas ce soir, fillot. Pas tant que je n’aurai pas pu t’offrir ton cadeau.— Quoi ? Mais ce n’est pas juste !— Trouve-toi quelqu’un d’autre.
Quant à moi, je me rapproche de Louise, mais elle aussi me gratifie d’un refus.
— Désolée, je vais passer mon tour ce soir. Mais ne te gêne pas et prends quelqu’un d’autre.— Tu es sûre ? Qu’est-ce qui ne va pas ?— Rien de bien grave ; je n’ai pas trop la tête à ça, ce soir. Ne t’inquiète pas et amuse-toi bien.
Mince, je n’aime pas ça. La voilà encore distante. Elle tente de me sourire pour me rassurer et s’éloigne un peu. Boris en profite pour tenter une attaque mais est repoussé lui aussi. La déception se lit sur son visage. C’est finalement Noémie qui se propose à lui. Anzhelina profite de la mise à l’écart de Louise pour m’approcher et s’asseoir sur mes genoux. C’est avec plaisir que je l’accueille. Arthur et Élizabeth, assis l’un à côté de l’autre, jouent les timides. Ils se contentent pour le moment de regarder les couples se former sans oser vraiment entrer dans la partie. Pris de pitié, Anita et Sylvain qui commençaient à jouer ensemble décident de les approcher et de les faire participer. Ils les entourent et commencent à les caresser.
Sur le tapis, Boris a allongé Noémie et commence à lui lécher la chatte. D’après les fortes respirations de cette dernière, il semble bien se débrouiller. Ma bouche se soude à celle de Miss Punk. Ses lèvres ont un délicieux goût de fraise. Tandis que ma main a glissé sous sa jupe pour lui caresser le sexe, elle a retiré sa chemise à carreaux et libéré sa magnifique poitrine. Mes doigts glissent entre les lèvres intimes et s’enfoncent de plus en plus profond dans sa cavité humide.
Arthur et Élizabeth se laissent enfin aller sous les caresses d’Anita et Sylvain, qui commence à déshabiller la fillote de Louise et dévoile une jolie poitrine menue qu’il caresse du bout de la langue. J’observe un peu le spectacle avant qu’Anzhelina n’attire mon attention sur elle. Ses mains migrent vers mon entrejambe et défont ma ceinture. En quelques mouvements mon sexe se retrouve à l’air libre, mais pas pour longtemps car ma compagne vient s’empaler dessus. Elle affiche un sourire de satisfaction.
Anita réserve le même sort à mon fillot. Au sol, c’est Noémie qui se retrouve pénétrée par Boris. Il n’y a que Lindsay qui n’a pas encore de pénis en elle. Cette dernière est prise entre Damien et Marie qui la caresse et l’embrasse de toute part. Marie est visiblement en train de lui doigter l’anus : elle prépare sûrement le passage pour son copain. Ce n’est que quelques minutes plus tard que la première année se retrouve à quatre pattes, le cul pénétré par le sexe de Damien.
Anzhelina prend son temps avec moi. Elle coulisse lentement sur mon sexe et se montre beaucoup moins avide que lors de nos retrouvailles à la rentrée. Ses bras posés autour de mon coup, elle me fixe les yeux en souriant. Cette fille et vraiment belle. Habituellement, je ne suis pas très fan de maquillage, surtout quand il est abondant ; mais elle, ça lui ajoute beaucoup de charme. Les taches noires qui lui entourent les yeux rendent son regard plus profond. Son rouge à lèvre couleur de sang donne envie de lui dévorer la bouche. Quelques mèches de couleurs vives parsèment ses cheveux blonds qu’elle a coiffés avec deux couettes qui lui donnent l’allure d’une Harley Quinn sexy. J’ai vraiment de la chance de fréquenter les nymphes !
Je jette un coup d’œil par-dessus l’épaule de Miss Punk pour tenter de voir ce que fait Louise ; elle a disparu, probablement partie se réfugier dans notre chambre. J’espère qu’elle va bien. Anzhelina semble mécontente que je ne me concentre plus sur elle. Elle a l’air de me vouloir complètement à sa merci.
— Laisse-la dans son coin, devine-t-elle qui je cherchais du regard ; elle ne veut pas baiser : c’est elle que ça regarde. Moi je suis là, et prête à te faire jouir.— Tu sais ce qu’elle a ? lui demandé-je.— Non, et honnêtement je m’en fous, répond-elle sur un ton un peu trop sec. Tout ce qui m’intéresse pour le moment, c’est profiter d’une bonne partie de baise avec toi.— Anz, s’est-il passé quelque chose entre vous deux ? J’ai l’impression que vous n’êtes pas en bon termes.— Chut ! Ne parlons plus d’elle et baisons, me conseille-t-elle en me mettant un doigt sur les lèvres.
Elle m’embrasse, et sa langue investit ma bouche. Elle n’a pas infirmé mes doutes. Aurais-je vu juste ? Depuis quelque temps, j’ai remarqué qu’elles s’évitaient autant que possible. J’ai demandé à Louise s’il y avait une raison ; elle m’a dit que non, que je me faisais des idées, mais je n’en suis pas convaincu. Je finirai bien par savoir, de toute façon.
C’est Noémie la première à jouir de la soirée. Boris a déclenché son orgasme par de vigoureux coups de queue. Elle est toute rouge et semble épuisée par la vitalité du première année. Lui, en revanche, paraît avoir encore pas mal d’énergie ; Lindsay ne tardera pas à suivre sa collègue. Toujours avec le sexe de Damien qui lui lime le fondement, elle lâche de grands cris d’extase, mais c’est finalement Damien qui jouit le premier. Il se retire et s’enfonce dans un fauteuil. Marie s’assoit sur ses genoux et l’embrasse à pleine bouche.
Lindsay a à peine repris son souffle que Boris présente son gland à l’entrée de son cul pour prendre la relève de Damien. Sylvain malmène Elizabeth par de grands coups de queue, mais la petite semble bien apprécier ce traitement. Quand à mon fillot, il se contente d’observer Anita coulisser le long de sa tige, un grand sourire aux lèvres.
De mon côté, je continue de profiter de la vice-présidente en savourant chaque instant la chance que j’ai. Que ce soit cette année ou l’année passée, j’ai toujours été un partenaire de choix pour les présidentes et les vice-présidentes. Qu’ai-je donc bien pu faire pour que ces filles me donnent l’impression d’être un dieu ? Depuis mon entrée à cette école, j’ai appris à faire un peu plus confiance en mon charme, mais quand même… J’embrasse ma belle du soir et lui palpe les seins.
La plaisir me grimpe à la tête. Je ne vais plus tarder à venir, d’autant plus qu’Anzhelina, ses doigts glissants dans ses cheveux multicolores, se déchaîne maintenant sur mon sexe. Elle a ce regard tant excitant qui indique qu’elle va jouir sous peu elle aussi. Je sens une décharge dans le bas-ventre et me vide dans sa matrice. Elle m’accompagne, puis s’écroule sur moi en laissant échapper un soupir de soulagement.
Arthur et Anita sont les suivants à jouir, puis Sylvain et Elizabeth concluent à leur tour leur rapport tandis que Damien et Marie ne se contentent que de caresses et de baisers. Il ne reste plus que Boris et Lindsay. Cette dernière semble complètement épuisée après que deux garçons lui aient limé le cul. Allongée, ventre sur le canapé, elle se contente de subir l’assaut de Boris sans oublier de l’encourager, mais il n’a pas besoin de ça pour y aller à fond. Quelle endurance, quand même ! Depuis tout à l’heure il tient le même rythme. Moi, j’aurais déjà craqué à la place.
— Allez, fillot ! lui crie ma punk préférée. Plus fort ! Yeah !
Le couple se retrouve finalement au centre de tous les regards mais ne s’en préoccupe pas. Cela fait au moins cinq bonnes minutes que des cris s’échappent de la gorge de Lindsay sans qu’on parvienne à savoir si elle a joui ou non, quand soudain Boris montre des signes indiquant qu’il a atteint sa limite. Son visage et tous ses muscles se crispent. Il lâche un son étouffé. Quelques secondes plus tard, il s’écroule au sol, complètement vidé, alors qu’on les applaudit. C’est sur cette dernière scène que s’achève la première orgie des nymphes de l’année. D’autres suivront à coup sûr.
Louise refait apparition peu de temps après la fin des hostilités alors que les premières personnes commencent à quitter l’appartement. En peu de temps, il n’y a plus qu’elle et moi. Je m’avance vers ma belle pour la prendre dans mes bras et l’embrasser, mais elle me repousse, dévie du regard puis finit par me tourner le dos.
— Tu vas me dire ce qu’il y a, à la fin ? fais-je, agacé.— Rien. C’est juste que cette soirée est une catastrophe… soupire-t-elle.— Tu exagères. Même s’ils ne sont pas venus nombreux, cela s’est très bien passé. Laisse-toi le temps ; les choses vont finir par s’améliorer.— Ah oui ? Et dis-moi comment ça peut s’arranger ! Les sirènes ont recruté la majorité des filles qui étaient intéressées par notre club, et maintenant elles font courir de sales rumeurs sur nous. Nous n’avons que trois nouvelles recrues de notre côté. Le BDE s’est foutu de notre gueule avec une fausse promesse et tout fait pour nous nuire. Povin m’a mis la pression pour que j’assure le rôle de mon club, et par derrière il me fout un coup de poignard dans le dos en autorisant le club des sirènes. Même ma vice-présidente me fait la gueule et me tient responsable de tout ce fiasco. Et par-dessus le tout, il y a toi qui étais presque à céder à ta catin de sœur, elle qui n’attend que ça pour célébrer totalement sa victoire. Les choses vont s’arranger, dis-tu ? Crois-tu vraiment que ta sœur va laisser les choses s’arranger ?— Louise, ne désespère pas.
Je ne trouve rien d’autre à lui dire pour la calmer.
— Je… hésite-t-elle, je crois que l’on devrait faire une pause, toi et moi.— Quoi ? Mais non, c’est insensé ! paniqué-je. Je t’aime, voyons…— Moi aussi je t’aime, Thomas, plus que tout au monde ; mais écoute : j’ai besoin de temps et d’espace pour redresser la situation. La vérité, c’est que d’une certaine manière tu me déconcentres. Et puis ta sœur ne s’arrêtera pas avant de m’avoir tout pris. J’ai donc besoin qu’elle s’imagine avoir gagné pour qu’elle me laisse un peu de champ libre. Je voudrais donc que tu la rejoignes et que tu la distraies. Couche avec elle si ça te chante, mais entre nous deux, aux yeux de tous, ça sera officiellement fini.
Quoi ? Mais comment peut-elle me demander cela ? C’est insensé ! N’est-ce vraiment que pour distraire ma sœur, ou se sacrifie-t-elle aussi pour me laisser une chance de céder à mes désirs incestueux, même si elle doit en souffrir ? Il est vrai qu’Élodie m’attire toujours, mais je n’ai absolument pas envie de quitter Louise. Quoi qu’il en soit, elle semble décidée à s’engager sur cette voie. Je sens que rien ne pourra la faire changer d’avis.
— Alors quoi ? C’est pour de faux ? Tout ça ce n’est qu’une mise en scène ?— Oui, Thomas. Jamais je ne pourrais renoncer à toi, mais nous ne pouvons plus nous voir pour le moment.
Mise en scène ou pas, mes larmes coulent quand même.
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