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Le club des nymphes - tome II

Chapitre 23

Orgie / Partouze
Chapitre 23 (Louise) : L’avènement de Lorelei

Nues devant toute l’assistance, nous nous apprêtons à commencer les épreuves des jeux érotiques. Je me souviens comme si c’était hier des différents matchs. Le premier va m’opposer à Lorelei. Nous allons devoir choisir trois favoris chacune et nous aurons des actions à accomplir sur eux : caresse sans contact sexuel, baiser sans contact sexuel, masturbation, mazophallation, fellation et coït. Une minute par action et sur un favori à la fois. L’action et le favori sont déterminés par un lancement de dés. La vainqueur est celle qui arrive à faire jouir le plus de mecs.
C’est Élodie qui s’occupe d’expliquer les règles à l’assistance. Comme mon équipe va être occupée avec les autres épreuves et qu’elle connaît les règles, c’est elle la plus apte à animer la soirée.
C’est le moment d’appeler nos favoris. Je laisse l’honneur à Lorelei de nommer le premier.
— Thomas, annonce-t-elle.
Deuxièmes jeux érotiques auxquels je participe, et une nouvelle fois ce n’est pas moi qui appelle mon homme. Lorelei me lance un petit regard de défi. Je souris et appelle mon favori officiel : Arthur. Lorelei enchaîne avec un gars de première année que je ne connais pas : Jeff. Je poursuis avec mon favori officieux : Boris, alias « Le King », surnom qu’il s’est donné dans l’optique de sa campagne pour le BDE. Le dernier choix de Lorelei, Laurent, est encore un type que je ne connais pas, un ancien favori des sirènes. Le mien est Étienne, lui aussi membre de l’équipe de Boris. J’affiche ainsi clairement mon soutien à la candidature de Boris pour le BDE.
— Que les jeux commencent ! hurle Élodie pour couvrir les acclamations du public.
C’est parti. Les dés sont lancés. Lorelei commence soft en devant embrasser Jeff. Elle choisit de l’embrasser sur l’intérieur des cuisses. Le mec frissonne et son sexe gagne en volume. Mon tour me voit obligée de sucer ce même type. Sa hampe finit donc sa croissance dans ma bouche. Les dés donnent le même résultat pour Lorelei. Le mec se marre et s’estime chanceux. Vu le visage de Jeff, mon héritière a l’air de ne pas trop mal se démerder. Les cinq autres favoris sont tous au garde-à-vous au moment où je lance les dés. C’est Étienne qui est désigné ce coup-ci ; il a droit à une petite branlette d’une minute. C’est encore Jeff qui est désigné le coup d’après : Lorelei doit lui aussi le branler.
— Jeff, t’as trafiqué les dés ou quoi ? se plaint Boris.
La salle rit tandis que le poignet de Lorelei s’agite rapidement sur la bite de Jeff.
— Elle a choisi une masturbation vigoureuse, commente Élodie. Va-t-elle réussir à emporter sa jouissance ?
Non, pas cette fois. La minute se termine et je lance les dés. Je dois embrasser Thomas ; il me sourit, heureux. Je choisis de l’embrasser dans le cou, sachant que ça l’a toujours fait frémir.Nouveau lancer de dés : Lorelei doit s’empaler sur Arthur.

— Et oui, Mesdames et Messieurs, hurle Élodie, nous avons droit au premier coït de la soirée !
Mon tour m’impose de branler Laurent avec mes seins. Même s’ils ne sont pas imposants, cela semble tout à fait lui convenir.Lorelei doit ensuite s’occuper de Thomas avec quelques caresses. Mon homme se laisse faire avec plaisir en lui lançant un sourire d’encouragement.C’est de nouveau au tour de Jeff d’avoir droit à mes services. Mes doigts s’enroulent autour de sa hampe et entame une lente série d’oscillations. Voyant son plaisir monter dangereusement, j’accélère la cadence pour le faire venir avant la fin du gong mais échoue.Lorelei fait le lancer suivant.
— Encore Jeff, se marre Élodie.— Et moi, bordel, c’est quand mon tour ? plaisante Boris.
Lorelei doit donc branler Jeff avec ses seins. Il tente de résister mais, sans surprise, lui éjacule sur le visage et la poitrine. Élodie passe une serviette à sa fillote pour qu’elle s’essuie.À mon tour : je souris quand les dés s’arrêtent et m’avance vers Boris.
— Ah, enfin, c’est pas trop tôt ! se réjouit-il. Vas-y, Louise, comme tu sais y faire.
Je m’agenouille et prends son sexe en bouche. Je ne me précipite pas, ça ne sert à rien : c’est sa première séance et je sais qu’il est endurant. Je ne risque donc pas de le faire jouir maintenant, alors autant prendre le temps de déguster.
Les coups s’enchaînent. Au creux de mon ventre, Étienne est le second à jouir, rétablissant ainsi l’égalité de score. Arthur le suit peu après tandis que Lorelei le suce. Laurent tient quelques tours de plus, mais la vigueur de mon poignet l’emporte.
— Ah là là, Mesdames et Messieurs, nous avons là un match serré : la présidente sortante vient encore d’égaliser. Qui sera la grande gagnante ? Le suspense est à son comble.
Il ne reste donc plus que Boris et Thomas. Les lancements de dés s’enchaînent et tout y passe : caresses, baisers, branlette, pipe et baise, mais les deux hommes tiennent bon. Ils semblent cependant tous les deux sur la pente raide. Mon homme avait été le dernier à jouir l’année dernière ; va-t-il encore tenir jusqu’à la fin et vaincre l’endurance de Boris ?
C’est au tour de Lorelei de lancer les dés. Elle doit sucer Thomas. Elle s’agenouille devant lui et ne perd pas une seconde à engloutir son sexe au fond de sa gorge. Moi qui ai toujours eu du mal avec les gorges profondes malgré de nombreux essais, je suis étonnée qu’elle y arrive sans broncher. La voilà qui le suce avec passion. Thomas est rouge. Son visage se crispe soudain et je comprends qu’il est en train de jouir. Mince, moi qui espérais emporter son orgasme… Il ne me reste plus que celui de Boris pour égaliser.
Je suis surprise de voir Lorelei s’approcher de moi sans rien dire. Je la regarde sans comprendre quand soudain ses lèvres se posent sur les miennes. Par réflexe, j’ouvre ma bouche pour recevoir sa langue. Un goût de sperme m’envahit la bouche : Lorelei voulait donc me faire partager la semence de mon amour ! J’apprécie cette délicate attention.
— Oh, ce n’est pas croyable ! s’écrie Élodie.
Son cri attire notre attention. Le sexe de Boris est en train d’expulser plusieurs longs jets de foutre.
— Le spectacle de cet échange baveux de sperme a poussé notre cher Boris à bout, commente Élodie. Il n’a pas pu se retenir plus longtemps. La victoire de cette première manche revient donc à Lorelei.
Seconde épreuve : ça va être à notre équipe d’assurer maintenant. Elles vont devoir s’affronter dans divers défis dans le but de remporter l’un des objets que nous utilisons habituellement pour l’initiation des nouvelles nymphes. Elles se serviront ensuite de ces objets pour nous faire jouir, Lorelei et moi. La première de nous deux à jouir fera remporter l’épreuve à notre équipe. Cette manche vise à tester la cohésion d’équipe.
Premier défi : le strip-tease.
— Je veux m’en charger, déclare Marie tandis qu’Anzhelina, comme l’année dernière, commence à s’avancer. Je me suis beaucoup entraînée avec Damien : ça lui fait beaucoup d’effet.— Une épaule dénudée fait déjà beaucoup d’effet à Damien, se moque Anz. Allez, bonne chance !
Morgane, future vice-présidente, va affronter Marie. Son regard semble assuré. Marie a-t-elle fait le bon choix de prendre la place de Miss Punk ? L’année dernière, cette dernière avait assuré comme une reine et avait ridiculisé Natacha.
La musique débute et les deux filles commencent à onduler sur le rythme. Il est vrai que Marie se déroule merveilleusement bien. Elle est très sensuelle et prend le temps de faire monter le désir avant de se dévoiler davantage. Elle se laisse glisser sur la musique et fait cœur avec. Elle est vraiment très belle.
Malheureusement, elle a affaire à une adversaire redoutable. Son pur capital beauté jouant déjà en sa faveur, Morgane peut aussi compter sur un savoir-faire hors du commun. Comme Miss Punk, cela ne m’étonnerait pas qu’elle ait suivi quelques cours de danse vu la grâce qu’elle déploie pour l’exercice. Ses mouvements sont précis, adroits et techniques tout en étant voluptueux, magnifiques et érotiques. Elle sait parfaitement comment mettre ses formes en avant et use de son corps à la perfection. Son effeuillage n’en est pas moins savant et parfaitement orchestré. Je me surprends moi-même à baver avec envie devant ce corps qui se découvre.
— Quelle prestation magnifique ! commente Élodie au moment où la musique se termine. Encore une fois nous avons pu assister à un merveilleux spectacle. Encore un match serré. Cher public, c’est maintenant à vous de désigner la gagnante de ce défi.
Après comptage des votes, Morgane l’emporte avec une bonne majorité. Elle tire donc un bout de papier au hasard dans un sac afin de déterminer quel objet elle remporte ; la chance lui offre un gode. Marie s’avance vers moi, l’air déçu.
— Désolée, me fait-elle. J’ai encore perdu mon épreuve.— Pas grave, lui souris-je. Tu as été très bien. Bravo !
L’heure est maintenant au second défi. Une fille de chaque équipe va devoir se choisir un favori et mimer un coït. Celle qui se montrera la plus convaincante remportera un nouvel accessoire. Anita veut participer à cette épreuve ; l’autre équipe désigne Lindsay. Les deux filles se déshabillent et se dirigent vers le public. Anita grimpe sur les genoux de Sylvain tandis que Lindsay choisit Boris.
L’épreuve est lancée ; les deux filles commencent à osciller sur une bite imaginaire. Les attouchements n’étant pas interdits, nos quatre protagonistes ne se gênent pas d’en profiter.
Les souvenirs de l’année dernière me reviennent en tête. Sandrine avait tellement été crédible qu’elle avait fait jouir Nathan dans son pantalon, remportant ainsi la victoire. Quant à Marie, c’est à cette épreuve qu’elle s’est entichée de Damien. Elle a peut-être perdu le défi mais a gagné un petit copain.
Lindsay remue très sensuellement sur Boris tandis que le fillot d’Anz en profite pour lui caresser les fesses. Le volume sonore de ses gémissements factices, mais néanmoins crédibles, augmentent au fur et à mesure que la simulation se poursuit. Bientôt la voilà qui se déchaîne et qui grogne de plaisir.
— Oh oui, t’aimes ça, coquine… T’aimes te prendre ma grosse bite ! plaisante Boris, ce qui fait une nouvelle fois pouffer de rire la salle.
Anita est beaucoup plus silencieuse que Lindsay et moins démonstrative, mais bizarrement, on y croit beaucoup plus. Elle et Sylvain ont l’avantage de former un couple depuis un peu plus d’un an. Ils ont donc souvent fait l’amour ensemble et se connaissent par cœur. Leur complicité se lit dans leur regard fixé l’un sur l’autre. Tout cela donne l’impression qu’ils sont vraiment en train de le faire.
Personnellement, j’ai été bien plus convaincue par la démonstration de ma trésorière. Le public montre qu’il est globalement de mon avis au moment du vote. Anita va donc piocher un bout de papier : c’est le stylo qu’elle remporte.
Dernière épreuve. Anz, tout sourire, s’avance pour affronter Ondine. Les filles se déshabillent et se mettent à quatre pattes. Le défi est juste une série de questions auxquelles répondre. La réelle difficulté consiste à pouvoir se concentrer tandis qu’un plug anal leur vibre dans le cul.Leur fessier lubrifié et les appareils installés, Élodie leur lance la première question :
— Quel est le nom de la fondatrice du club des nymphes ?— Samantha Angevin, répond Miss Punk avant qu’Ondine n’ait pu ouvrir la bouche. Facile, celle-là !— Correct. Dans la mythologie grecque, quel était le nom de la déesse de l’Amour ?— Aphrodite, à ne pas confondre avec Vénus, son homologue romaine ! répond une nouvelle fois Anz. Tu n’as pas des questions plus difficiles ?— Encore correct. Troisième question, et celle-là risque en effet d’être plus dure : quel est le second prénom de notre directeur ? Un indice, ça commence par un P.— Patrick, répond Ondine.— Non, ça c’est son premier prénom.— Pierre ? tente Anz.— Non. Second indice : ce prénom comporte quatre lettres.— Euh…. Paco ? tente complètement au hasard Ondine.— Non, pas du tout, sourit Élodie. Allez, encore un effort.— Paul ? lâche Miss Punk entre deux gémissements.— Exact ! Patrick Paul Povin.
La télécommande qui contrôle les plugs à distance dans la main, Élodie augmente leur puissance afin de compliquer encore plus la tâche. Les visages ne restent pas impassibles.
— Quatrième question : combien font soixante-neuf plus soixante-neuf multiplié par soixante-neuf moins soixante-neuf, le tout divisé par soixante-neuf ?— Hein, quoi ? gémit Ondine.— Soixante-neuf ! hurle Miss Punk qui ne se laisse pas perturber par l’apparente et fausse difficulté de la question.— Et c’est encore une bonne réponse d’Anzhelina ! La prochaine est une charade : mon premier est une charmante partie de l’anatomie, mon deuxième est une marque de négation, mon troisième est un tissu réalisé à partir d’une fibre végétale, mon dernier est un synonyme de « mec », et enfin mon tout est très agréable pour nous, Mesdames, même si, d’une certaine manière, les mecs apprécient aussi.
Les filles prennent le temps de réfléchir. La salle est calme et attend la réponse. Seul le bourdonnement des plugs et quelques gémissements se font entendre. Élodie s’amuse à augmenter la puissance des appareils, ce qui manque de faire s’écrouler Ondine. Elle a l’air de perdre sa concentration.
— Cunnilingus, répond enfin Anz.— Félicitations ! Notre jolie blonde est décidément très douée : elle a répondu à plus de la moitié des questions et a donc déjà remporté le défi, mais nous allons quand même continuer. Va-t-elle faire un sans-faute ? Que dit la règle n°34 d’Internet ?— « Si quelque chose existe, alors une parodie porno de cette chose existe. » récite Anz.— Elle est incroyable ! C’est encore une bonne réponse. Mais où va-t-elle chercher tout ça ? Attention dernière chance pour Ondine de sauver l’honneur : épelez le mot « bacchanale ».
Anz semble réfléchir. Visiblement, sa concentration commence vraiment à faiblir. De son côté, Ondine semble avoir complètement abandonné le défi. Elle a l’air de ne se concentrer que sur son plaisir anal. Son visage grimace de plaisir.
— B-A-C… C-H… Ah, purée, c’est en train de me défoncer le cul ! Je disais, B-A-C-C-H… A-N-A-L et E.— Elle l’a fait ! hurle Élodie. Mesdames et Messieurs, ce soir, sous vos yeux émerveillés, Anzhelina a réalisé un sans-faute ! Elle remporte donc sans aucun doute ce défi. Veuillez l’applaudir bien fort.— Bravo, marraine, t’es la meilleure ! se fait entendre la voix de Boris malgré le brouhaha des applaudissements.
Les filles se relèvent ; elles semblent avoir les jambes flageolantes. Ondine félicite Anz et va rejoindre son équipe. Élodie invite la gagnante à piocher un bout de papier. Anz y lit : banane. On retire donc cette dernière d’un sac. Ma vice-présidente fait la moue en voyant l’état du fruit.
— Dis-donc, elle fait la gueule votre banane !— Désolée, fait Élodie, elle a dû être écrasée par les autres objets. Tu en veux un autre ?— Pas la peine, nous pouvons nous en passer. Ça ne nous est pas absolument nécessaire.— Comme tu voudras. Nous allons enfin pouvoir conclure véritablement cette deuxième manche. Le but, je le rappelle, consiste à faire jouir votre présidente. Interdiction de tricher et de simuler un orgasme : nous vous gardons à l’œil afin de nous assurer de la véracité de votre orgasme. Les accessoires que vous avez remportés peuvent vous être utiles, mais vous êtes libre d’utiliser vos doigts ou vos langues. Bon courage !
Enfin la meilleure partie de cette manche ! Je n’ai rien à faire, juste rester allongée et profiter pendant que mes trois collègues s’occupent de moi. Je suis très excitée ! Comme l’année dernière, plusieurs mains et bouches se posent partout sur mon corps. C’est un véritable festival de caresses et de baisers. Des doigts se perdent sur ma fente humide, une langue m’agace les tétons, le stylo harcèle mon anus ; je gémis. Les filles se donnent à la tâche avec acharnement.
Comme l’année dernière, c’est Anzhelina qui prend l’initiative du cunnilingus. Pile ce que je voulais. J’écarte les cuisses pour lui faciliter la tâche. Chaque fois que nous nous sommes toutes deux partagé Boris, j’ai eu envie de contact saphique avec elle, mais elle n’a jamais été intéressée par la chose. Dommage, je l’ai toujours trouvé belle et excitante. Ce soir, c’est différent : elle se dévoue afin de nous faire gagner l’épreuve. Je compte donc bien profiter de cette langue dévouée en rêvant pouvoir lui rendre la pareille un jour.
Les yeux fermés, je me laisse guider par le plaisir qui me gagne de plus en plus. Cette langue qui explore les moindres replis de mon intimité, ce stylo qui s’agite dans mon fondement, ces langues et ces doigts qui se promènent sur mes cuisses, mon ventre et mes seins… c’est merveilleux ! C’est le dernier acte qui marque la fin de mon mandat de présidente, qui ne pouvait se terminer de plus agréable façon. Me dire que je vais laisser ma place à quelqu’un d’autre me fait bizarre ; j’ai dû affronter plein de galères cette année, mais je n’ai pas envie d’abandonner mon poste.
Quoi qu’il en soit, le bonheur qui m’envahit me fait oublier toute autre considération. J’ignore où en est Lorelei, mais moi je suis sur le point de m’envoler au septième ciel. Mon corps ne me répond plus et gigote dans tous les sens sous les sensuels assauts labiaux de ma divine vice-présidente. Je fonds de plaisir et hurle ma jouissance.
— Et l’équipe de Louise remporte cette deuxième manche ! déclare Élodie.
Plus qu’une épreuve. La dernière est elle aussi une épreuve d’équipe : il nous faut sucer tous les favoris présents, et celle qui fera jouir le plus de mecs remportera la manche. Je réunis mon équipe et leur murmure :
— Écoutez, les filles, recherchez le plaisir plutôt que la victoire pour cette épreuve. Prenez le temps de déguster, ne vous précipitez pas.— Tu veux les laisser gagner ? s’étonne Anz.— Nous avons déjà montré à tout le monde de quoi nous sommes capables. Elles ont besoin de s’imposer et de faire leurs preuves : laissons-les gagner leur légitimité de nous succéder.— OK, comme tu veux, lance Anita.— Puis-je t’emprunter cette fois aussi Thomas ? me demande Anz. Je te laisse Boris ?— Non, je vais m’occuper personnellement de mon homme, cette fois.
Je m’avance donc vers le concerné qui, tout sourire, se met en position, prêt à me laisser savourer son pénis qui redresse la tête à mon approche. Je m’agenouille et caresse l’engin pour lui laisser le temps de se réveiller totalement.
— T’aurais pu te retenir tout à l’heure, me plains-je faussement ; tu m’as fait perdre la manche, salaud !— Ma chère, commence-t-il en utilisant un ton pompeux, je ne cherchais pas votre malheur, mais la petite y mettait tant d’ardeur que je n’ai pas eu le cœur de lui refuser ma liqueur. Mais, ma douce beauté, si vous le désirez il me reste quelques jets que je vous cèderai volontiers. Il faudra vous montrer gourmande pour mériter cette belle offrande que je vois désirée ardemment dans vos troublants yeux amande. Ne perdez donc pas plus de temps à écouter ce discours éloquent et honorez maintenant votre amant en lui savourant le gland.
Je souris, amusée par cette poésie grivoise dont la soudaineté m’a laissée pantoise. Comment ne pas accéder à sa requête après de si belles paroles ? Attendre plus longtemps de combler son envie me rendrait folle. Je m’exécute donc avec plaisir pour que son désir puisse s’accomplir et dépose avec précision une langue pour ma dégustation. Sur cette hampe acquise, je peux enfin agir à ma guise. Je la sens sous mes lèvres frémir, et bientôt le voilà qui gémit.
Combien d’autres messieurs, pendant ces deux merveilleuses années, se sont retrouvés comblés par mes soins attentionnés ? J’ai vu passer des tas de verges gonflées. Me voilà bien changée, en deux ans : dévergondée, délirante je me suis retrouvée. Délicate, je les ai sucés. Des liqueurs j’en ai savourées. Délicieuses, toutes étaient. Je ne fais pas déni de ce délit de luxure car il est vrai que m’est acquis le goût du stupre. Je suis braise pour la baise, j’aime qu’ils pipent pendant mes pipes, j’adore l’anal, les bacchanales, je ne suis pas gauche pour la débauche, et les orgies me font jouir. Je voue mon corps à la sensualité, aux plaisirs charnels, à la sexualité.
Vois-tu, mon bon compagnon, moi aussi j’ai de l’inspiration. La vue de ta belle trique me déclenche l’âme poétique. Moi, nymphe énamourée, signe cette ode osée par des coups de langue bien dosés sur ta tige adorée. Tu es proche de jouir, je le devine ; alors laisse ta coquine extraire de ta douce pine le foutre que tu lui destines. Je me sens impériale au moment de ton cri bestial.
Je fais céder la quéquette de la plus belle de mes conquêtes, et n’ayant pas le cœur d’aller voir ailleurs, je reste là et je souris devant ton sexe qui se ramollit.
— Et la victoire revient à Lorelei et son équipe ! hurle la voix d’Élodie. Elles viennent de remporter cette troisième manche. Avec deux victoires contre une, Lorelei est la grande gagnante de ces jeux érotiques. Veuillez faire une ovation, Mesdames et Messieurs, à la future présidente du club des nymphes, Lorelei Gutz ! Vous pouvez aussi applaudir son équipe : Morgane Liande, Ondine Durand et Lindsay Baltrot !
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