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Le club de vacances

Chapitre 1

Fire connaissance

Erotique
Depuis quelques jours je découvrais les attraits de ce village de vacances en Corse, là où ma femme avait voulu emmener toute notre petite famille.
Il y avait d’abord la plage privée, propice aux observations les plus discrètes …pour peu que je garde mes lunettes de soleil, mon air de père attentionné avec ses enfants et  que je reste sur le ventre … quand même !!! Il y avait là nombre de familles similaires à la notre et je dois avouer que j’étais souvent plus ému par les imperfections de quelques mamans avoisinantes que par la plastique parfaite des mannequins des couvertures des magazines qu’elles lisaient !!!! Leurs pudeurs lorsqu’elles se déshabillaient, leurs hésitations avant de dégrafer le haut de leur maillot sous les regards tantôt inquiets, tantôt indifférents de leurs maris !!! Tout cela éveillait en moi le désir d’en savoir plus, beaucoup plus sur elles et leurs vies intimes.
Il y avait ensuite les restaurants du village, où je les croisais parfois, et où je m’amusais à imaginer sous leurs vêtements les courbes entrevues quelques heures plutôt. J’ai toujours été admiratif de ce talent féminin à mettre en valeur ses atouts et cacher ses disgrâces avec trois rien ! Si leur allure extérieure en suggérait parfois beaucoup sur leurs audaces ou leur timidité, je n’en fantasmais pas moins sur les dessous qu’elles pouvaient porter : si celle-ci avait visiblement gardé son maillot sous une petite robe de plage, celle-la avait pris le temps de se remaquiller et d’enfiler un string discret sous son pantalon de toile fine, à son initiative, ou à la demande son mari peut être, rêvant déjà d’une sieste égrillarde ?
Le hasard au début, puis mes manœuvres « forcément involontaires », nous avaient fait côtoyer à plusieurs reprises un couple un peu plus âgé que nous sans doute, nanties de trois adolescentes adorables. Mais ne vous méprenez pas vous avez sans doute deviné que plus que les gamines c’était leur mère qui m’attirait. Blonde mèchées (fausse blonde ????) et les cheveux courts, les ridules du visage accentuées par le soleil, pour l’avoir vue sur la plage je savais son corps plutôt fin, ses cuisses un peu marquées par le temps mais encore désirables et de tout petits seins aux tétons suffisamment proéminents pour poindre sous le maillot humide lorsqu’elle sortait de l’eau, je  bandais dans le sable pour ce corps androgyne. Et puis surtout elle faisait preuve d’une réserve, d’une pudeur que je rêvais de mettre à mal. Ainsi elle s’obstinait à conserver malgré le soleil un maillot une pièce couvrant et je l’avais entendu plusieurs fois morigéner ses filles pour des attitudes à son goût trop provocantes avec les garçons du village de vacances. Leur couple finalement ressemblait assez au nôtre : elle, encore visiblement attachée à son mari, ou en tout cas donnant très bien l’illusion de l’être par quelques attentions, des baisers rapides, des sourires (questions que je me posais aussi sur mon épouse !), lui, s’efforçant de paraître bon et bon époux sans parvenir à dissimuler toujours un brin d’agacement !
Pour ne pas vous ennuyer, je tairai ici mes diverses manœuvres d’approche, juste pour vous dire qu’au terme de quelques rencontres « fortuites », je ne semblais pas la rebuter puisqu’il lui arrivait de nous saluer en souriant, voire même de guider d’elle-même sa petite troupe à proximité de nos serviettes sur la plage, lorsque nous y étions installés avant leur arrivée !!!
Par contre la fin de la semaine arrivait, et si nous avions décidé de passer deux semaines au même endroit je craignais fort qu’il n’en soit pas de même pour eux, il devenait urgent de passer à des actions plus …offensives. Las, l’occasion ne voulût pas se présenter et je me retrouvai le samedi matin sur la plage à contempler les nouveaux arrivants, trahis par leur peau blanche, luisants de crème solaire. Tout en les détaillant, j’étais tiraillé entre plusieurs pensées contradictoires : le regret bien sûr, la raison aussi qui me poussait à me dire que j’étais marié…l’envie aussi qui me faisait déjà chercher des yeux une nouvelle conquête possible !!! J’avais ainsi repéré une silhouette grâcile, cette fois plutôt toute en rondeur et surtout nantie d’une croupe que je prendrais certainement plaisir à dénuder, à fesser doucement, à forcer même qui sait, si la dame n’était pas trop farouche. Cela semblait d’ailleurs être le cas à en juger par le naturel avec lequel elle avait tout retiré ou presque, restant un instant dans cette position si aguichante où l’on peut admirer tout à la fois les seins lourds et tendus, les reins creusés et les fesses cambrées…avant de s’allonger sur le sable, provoquant malgré elle sans doute plus d’une érection si j’en juge par les divers regards furtifs que des messieurs lui lançaient, et leur propension à se vouloir ensuite se faire bronzer le dos ! !
Absorbé par les plans à tirer sur cette nouvelle comète, je fus ramené dans le réel par un léger bonjour, ils étaient restés eux aussi !!!! Mon désir qui se calmait à peine reprit de plus beau et je ne su que bredouiller un quasi incompréhensible « ah êtes restés vous aussi…raison...bonjour » qui la fit me sourire avec un brin de condescendance. Non mais pour qui se prenait-elle celle-là, tout à mon envie animale je me jurais à ce moment là de lui faire payer cette attitude hautaine, je vous laisse imaginer comment !
Cette fois ci l’occasion ne fut pas longue à se dessiner.
L’après-midi même, prétextant la chaleur excessive sur la plage, je proposai à ma femme de retourner au bungalow faire une sieste.Nous avions fait l’amour la nuit précédente, sans trop de bruit ni de passion (la chambre des enfants était tout de même très proche), mais avec un réel plaisir. J’avais adoré ce moment où elle avait presqu’écrasé son sexe sur ma bouche, me le donnant à lécher, à manger, à mordre presque en enfouissant mon nez dans sa toison,  tandis qu’elle se caressait les seins les mains en coupe sous ses petits globes écartés mais mignons, se mordant les lèvres pour ne pas trop gémir. Tout en activant ma langue sur cette fente luisante je me branlais d’une main et m’amusais à effleurer la rosace brune de son cul, par pure provocation, car je savais qu’elle refusait la plupart du temps de me laisser y abandonner ne serait-ce qu’un ongle !!! Je l’avais ensuite prise sous moi, ses chevilles, puis ses mollets et finalement ses cuisses repliées sur mes épaules, pour mieux la pénétrer. Excité comme je l’étais par mes fantasmes quotidiens et la rareté à mes yeux de nos ébats, j’avais joui très vite en elle, trop vite sans aucun doute à en juger par la mine déconfite qu’elle avait faite lorsqu’elle avait senti mon sperme l’envahir à jets saccadés, même si j’avais essayé de continuer ensuite à aller et venir en elle, le cœur n’était plus (messieurs ne mentez pas on l’a tous fait au moins une fois cela aussi…et vous mesdames ne riez pas qui simulez si bien l’orgasme pour ne pas nous peiner !). Il y avait donc dans cette suggestion de sieste l’idée pour ma part de me « rattraper » de cette peu brillante prestation, mais ma charmante déclina, estimant sans doute que nos ébats de la veille suffisaient, à moins  qu’elle ne jugeât mon cas irrécupérable !!! A cet instant donc je la maudissais et j’en étais réduis à me dire qu’une bonne branlette suffirait peut-être à me calmer un moment, pour peu que je trouve dans mes fantasmes de quoi m’exciter.
Je remontais donc seul vers notre bungalow quand je la croisai, oui elle, seule, lassée elle aussi de la plage où elle avait abandonné mari et filles. Je ne sais pas ce qui me prit à ce moment là mais la platitude de l’échange qui s’ensuivit (« il fait chaud  - Oui trop, on est mieux ici – En effet vous avez raison ») n’eut d’égale que la détermination avec laquelle je la poussai dans son bungalow, sans même refermer la porte.
Je n’avais que mon bermuda de bain, elle était vêtue d’un pantalon de toile marine et débardeur blanc. Revenant de la page elle s’était autorisée à retirer son haut de maillot, jugeant sans doute ses seins minuscules suffisamment peu visibles sous le coton pour se permettre cette audace.
Ma main aussitôt se plaqua que sa bouche, mon autre saisissant ses deux poignets au dessus de sa tête, je la collai ainsi contre le mur de crépi. Je relâchai un peu ma pression sur ses lèvres, prêt à la bâillonner de nouveau si elle tentait de crier, quelle ne fut pas ma surprise de voir au contraire se dessiner un sourire dans ses yeux tandis que sa bouche s’entrouvrait doucement pour mordiller ma main. Je la retirai bien vite pour la remplacer par mes lèvres, qu’elle força presqu’aussitôt de sa langue vrillant ma bouche.
Ses poignets toujours fermement maintenus au-dessus de sa tête, je glissai ma main d’abord dessus son débardeur pour deviner, exciter ses tétons déjà entr’aperçus plus d’une  fois. Je ne resistai pas longtemps à l’envie de relever le tissu, de la dépoitrailler presque pour les pincer plus à mon aise. Elle répondit à mon « attaque » en accentuant une dernière fois son baiser avant de reculer son visage pour me cracher « salaud » dans un murmure rauque qui décupla mon envie.
Elle se cambrait contre le mur, son bassin en avant collé au mien, ses petits seins à peine dessinés sur son buste fin…plus je mordais ses tétons, plus elle me les offrait le débardeur retroussé à ses aisselles. Pour pouvoir le lui retirer je lui abandonnai enfin ses poignets, elle me repoussa aussitôt , ou plutôt me poussa dans  leur chambre et  je tombai le dos sur le lit encore défait, plein de leurs odeurs, et où traînait encore une chemise de nuit courte de coton blanc…à elle ? à une de ses filles ?
Sans me laisser le temps de réagir elle m’enjamba, ses yeux dans les miens, puis saisissant son t-shirt pour le retirer définitivement. L’espace d’un instant j’eu envie de lui emprisonner son visage dedans, de cacher son regard mais en même temps découvrir son buste nu, à la fois frêle et musclé me clouait sur place. Sans un sourire cette fois elle vint poser son ventre sur la barre dure de mon sexe sous le bermuda s’y frottant sans vergogne. Je posai mes mains sur son cul, lui découvrant au passage une rondeur que je n’avais pas soupçonnée jusqu’alors. Je lui pétrissais les fesses sans douceur en encourageant son va-et-vient que ma queue. Je n’avais plus qu’une hâte maintenant, la dénuder complètement l’explorer, et plus qu’une peur : être surpris.
Je tirais sur son pantalon pour essayer obstinément de la déculotter, elle résistait, tout à son plaisir de se masturber sur moi, car c’est précisément ce qu’elle faisait, peu soucieuse de mon désir. Je finis par la renverser sur le lit et je baissai sans ménagement et d’un seul coup son pantalon et son maillot. Dans la pénombre de la chambre ses fesses blanches m’apparurent soulignées par le bronzage de ses cuisses. Je mis mes mains à ses hanches encore secouées de tremblements, d’ondulation et posai mes lèvres doucement, délicatement juste au creux de ses reins à la naissance de ce sillon qu’elle avait si serré. Après la violence initiale de nos ébats cette douceur la fit s’effondrer, la tête dans un oreiller, cambrant ses fesses pour  mieux les offrir à mes baisers tout en me gémissant d’arrêter ! trop tard bien sûr. Ma bouche avait goûté aux deux rondeurs de ses globes..ma langue se glissait maintenant de plus en plus dans sa raie, jusqu’au plus profond son cul sentait si bon…la mer, le sable, l’ambre solaire aussi un peu. A califourchon sur elle ma queue battait entre mes jambes dans mon bermuda que je fis glisser pour plus d’aise. Je me plaquai sur elle, mon membre dur trouvant naturellement sa place dans son sillon, elle poussait de tous ses reins se redressant sur les coudes, les mains, jusqu’à ce que je la laisse petit à petit se mettre à genoux. Je découvris alors enfin une fente encadrée de deux lèvres encore fermes et entre ses cuisses maintenant écartées je glissai ma main jusqu’à deviner sous mes doigts un triangle doux et soigné de poils bruns. Mes doigts trouvèrent très vite sa fente ouverte, clapotante de désir, elle cria quand je poussai mon index et mon majeur d’un seul coup, puis aussitôt porta sa main elle même à son bouton, le pinçant presque pour augmenter son plaisir.
Je n’en pouvais plus, jamais ma queue ne m’avait paru si dure si grosse d’envie ...mes doigts retirés avaient laissé son con béant et luisant, je saisis ses hanches et lui enfournai d’un coup, jusqu’à ce que me couilles viennent se frotter à ses fesses. Je pensais en moi-même « ça y est tu la baises enfin comme elle le mérite » mais c’est elle qui guida ma main sur son anus, sans un mot (un seul avait été prononcé depuis le début !!) mais avec une envie tellement explicite. Je lui doigtai le cul, la maintenant ainsi sous moi, elle continuait à pousser  ses reins vers moi comme pour se déchirer encore. Je réussis à ne pas jouir en elle avant qu’elle commence à râler au rythme de ses coups de bassin…malgré la position c’est elle qui me baisait et elle me le faisait comprendre !!! Dans un dernier sursaut de raison je retirai mon sexe de son ventre et lui giclai tout mon foutre sur le dos et les reins…inondant au passage ma main sur son cul !!!!
Elle s’écroula sur le lit d’un coup, je n’avais pas revu son visage depuis le début, et là elle le cachait encore dans l’oreiller. Dans un geste de tendresse j’allais passer ma main dans ses cheveux, lui murmurer à l’oreille qu’elle était extraordinaire mais elle se retourna d’un coup son visage inondé de sueur,  et ses cuisses écartées luisantes de mon foutre et de son désir. Elle saisit ma queue encore dressée, y planta ses ongles « baise-moi…mieux que ça »
Cette demande presque humiliante, la douleur de ses ongles qu’elle plantait dans ma chair encore échauffée du frottement de son ventre, éveillèrent en moi une haine froide de cette femme. J’allais me jeter sur elle, quand je me ravisai et me contenter de lui jeter au visage « demande à ton mari de te finir… », et de me relever en rajustant tant bien que mal mon bermuda sur ma queue endolorie. J’avais à peine fais une dizaine de mètres dans les allées du village que je le croisais justement, je ne pus m’empêcher de sourire en imaginant dans quel état ce « cocu » allait trouver sa chère épouse….on a les vengeances qu’on peut !!!
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