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Cobaye pour ma soeur et ses copines

Chapitre 8

Inceste
Ma mère quitta la chambre pour aller se changer. Elle revint quelques minutes plus tard dans une superbe robe rouge moulante.
— Alors ? Qu’est-ce que vous en dites ? Je tiens à préciser que je suis complètement nue en-dessous. — Tu es superbe, maman. Quoi que tu veuilles faire, je suis sûr que grand-père appréciera. — Je confirme, ma chérie. Tu es sublime. — Merci beaucoup pour vos avis, les garçons. Je vais de ce pas rendre visite à mon père.
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Je quittai la maison d’un pas allègre. En effet, depuis toutes ces années, mon père et ses petits jeux coquins m’avaient beaucoup manqué. Je me sentais toute drôle dans ma robe. C’était la première fois que je sortais de chez moi dans une tenue aussi... Légère. Mais bon, il y en avait au moins un qui en serait ravi.
Après dix minutes de marche, j’arrivai à la maison dans laquelle j’avais grandi. Je montai les escaliers qui menaient au perron et sonnai à la porte. Des bruits de pas se firent entendre et mon père ouvrit la porte.
— Solange ! Ma chérie ! Comment vas-tu depuis tout ce temps ? Et Daniel ? Et les enfants ?— Tout le monde se porte à merveille. Et toi, ça va ? Et maman ?— Moi, ça va. Quant à ta mère, j’ai quelques jolies anecdotes à te raconter. Bon, allez, entre. Nous serons plus à l’aise dans le salon pour parler.
Mon père me fit entrer et m’invita à m’assoir dans un fauteuil en face de lui.
— Alors, ces jolies anecdotes ?— Tu veux les connaître ? Très bien. Lorsque tu as quitté la maison, ta mère a découvert que nous couchions ensemble ainsi que les petits gang-bang que nous organisions avec mes amis. Elle nous a alors traités de salope incestueuse et de dépravé désespéré. Le ton est monté entre nous et, au bout d’un moment, j’ai dû lui montrer qui était le plus fort. — C’est-à-dire ?— Je me suis saisi d’une corde et lui ai attaché les mains. Je lui ai ensuite demandé de s’excuser pour nous avoir insultés. Elle l’a fait en pleurant. J’ai alors décidé de profiter de la situation. Je l’ai emmenée à la cave et l’ai attachée par les pieds à l’un des poteaux. J’ai ensuite libéré ses mains pour qu’elle puisse prendre la nourriture. Depuis, je lui apporte toujours son repas dans une gamelle et elle mange comme une chienne. — Whaou ! Ce devait être splendide à voir ! J’aurais beaucoup aimé être là. Au fait, en parlant d’anecdote, j’en ai aussi une à te raconter mais, d’abord, je vais t’expliquer l’objet de ma visite. J’ai une petite surprise pour toi. Petit indice : regarde sous ma robe. Enlève-la moi.
Mon père se leva de son fauteuil et me retira ma robe.
— Pfff... Magnifique ! Rien en dessous ! Ton vieux père te manquait, c’est cela ? Ce n’est pas à cause de Daniel, j’espère ?— Non, non. Je t’expliquerai tout plus tard mais, maintenant, je veux que tu me prennes comme tu le faisais quand j’avais dix-huit ans. — Depuis le temps que j’attendais que tu repasses... De plus, les années et les deux maternités n’ont en rien nui à la beauté de ton corps. Bien au contraire ! Et puis, quelle chatte ! Je n’en ai jamais vu d’aussi bien entretenue !
Mon père se déshabilla à toute vitesse, tout excité à la vue de mon corps nu. Il s’avança ensuite vers moi et me demanda de m’agenouiller devant lui. Je pris alors son sexe noueux dans ma main et me mis à le caresser avec amour.
Je posai ensuite mes lèvres sur le gland violacé de mon géniteur et commençai une fellation.
— Hum... Solange ! Tes fellations sont toujours aussi bonnes ! Oh oui ! Quelle experte tu es devenue !
Je continuai à sucer le membre de mon père pendant quelques minutes puis celui-ci sortit son sexe de ma bouche et me demanda de poser mes seins contre la table et de me cambrer au maximum.
Mon père se plaça derrière moi et enfonça sa verge dans mon intimité. Mon géniteur commença à faire de puissants va-et-vient dans mon sexe puis, au bout de quelques minutes, je sentis que mon père allait jouir.
— Non, ne jouis pas en moi. J’ai une meilleure idée.
Mon père se retira de moi et je me dirigeai vers mon sac à main. J’en sortis mon gode-ceinture et me l’attachai autour des reins.
— Tu ne refuserais pas une faveur à ta fille chérie, papa ? Depuis un certain temps, j’éprouve le fantasme de prendre un homme avec mon gode-ceinture. — Hum... Tu es vraiment une petite vicieuse... Je suis fier de toi, ma fille. Dis-moi ce que tu veux que je fasse. — Je vais m’allonger sur le dos et toi, tu t’empaleras sur mon gode-ceinture. Pendant que tu t’empaleras, tu vas te masturber jusqu’à ce que tu jouisses sur moi. — Bonne idée, ma chérie !
Je m’allongeai sur le sol et mon père s’assit sur mon phallus factice. Il commença à s’empaler en se masturbant frénétiquement tandis que je gardais la bouche ouverte et les seins tendus en coupe.
Après quelques minutes, mon père éjacula dans ma bouche et sur ma poitrine dans un râle de plaisir. Je le laissai se relever puis me redressai à mon tour avant d’ôter mon gode-ceinture.
Mon père alla s’assoir dans son fauteuil et je pris place en face de lui.
— Alors, cette anecdote ?— Eh bien, pour tout te dire, nous avons été imités par mes enfants. Oui, Alexandre et Morgane ont fait l’amour avec deux amies de Morgane. Daniel et moi l’avons découvert aujourd’hui. Nous avons également pris part au jeu et nous nous sommes dit que, au vu de notre passé, tu aimerais participer.— Parfait ! Le vieux pervers que je suis n’aurait pas pu rêver mieux ! On sera samedi demain. Par conséquent, vous pourriez peut-être venir tous les six ici et nous pourrions nous retrouver autour d’une belle partouze familiale. Qu’en dis-tu ?— Super ! Je vais prévenir les enfants et Daniel.
Sur ces mots, j’embrassai mon père puis, après avoir revêtu ma robe, pris le chemin du retour, tout heureuse d’annoncer la bonne nouvelle à ma famille.
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