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Cocu content mais pas trop. Voire pas du tout

Chapitre 4

Le loup dans la bergerie.

Hétéro
Résumé : Relativement affecté par le fait que Mathilde ait pu sucer un autre que moi, j’invente un stratagème afin de savoir jusqu’où elle sera capable d’aller.
La dernière fois nous sommes retournés au club du moulin et nous avons eu notre première expérience à trois. Un peu malgré moi d’ailleurs. Depuis je suis comme fou.
Depuis l’aventure du club, je fais comme si de rien n’était. Mathilde a paru un peu gênée au début, le lendemain surtout, mais rapidement elle s’est détendue. Contrairement à la première fois, tout est très vite redevenu normal. Comme si rien ne s’était passé. Il fallait que je sache jusqu’où elle serait prête à aller. Quelle histoire devrais-je encore mettre au point ? Puis soudain l’idée m’est venue comme ça. J’allais faire venir un homme à la maison. Je ferai tout pour les mettre en situation et nous verrons comment elle réagit. En fonction, je serai fixé, et je pourrais alors poser mes conditions et la prendre en main comme je l’ai toujours espéré.
Je décide donc de m’inscrire en tant qu’homme sur un site de rencontres. Je choisis un site plutôt orienté rencontre d’un soir, de sorte à trouver des hommes vraiment accrocs, expérimentés et surtout très cochons. Je veux vraiment la pousser dans ses derniers retranchements en prenant un homme qui saura peut-être déclencher en elle le démon qui sommeille, me permettre enfin de profiter pleinement de ma femme et de son corps.
Un homme qui recherche un autre homme pour sa femme, c’est, je pense, toujours plus intéressant, pour les pervers qui traînent.
Je sélectionne donc quelques photos d’elle, habillée pour la plupart ou légèrement vêtue. Il me faut maintenant trouver une annonce aguicheuse. Après quelques heures de recherche en lisant d’autres annonces, je griffonne une annonce puis l’améliore. Voilà elle est prête. Homme 40 ans, marié, recherche pour sa femme, 50 ans, homme, 55 - 60 ans, très expérimenté pour la séduire et lui faire l’amour. Femme plutôt BCBG, mais coquine et volontaire. Hommes fortement membrés appréciés. Merci de bien vouloir faire suivre photos.
Pourquoi avais-je parlé de coquine, volontaire ? Sans doute pour justement qu’il y aille franco. Pas de fioriture. Je voulais un mâle un vrai. Je voulais qu’il la séduise et qu’elle se donne à lui corps et âme.
Les réponses n’ont pas tardé à pleuvoir. Deux cents mails en trois jours. J’ai commencé par trier par âge enlevant tous les moins de 55 ans. J’ai réussi à mettre des filtres sur ma messagerie pour que seuls les profils correspondant à ma recherche puissent m’écrire. Tout s’est rapidement calmé. J’ai ensuite éliminé ceux qui n’avaient pas envoyé de photos. Il me restait finalement qu’une dizaine de profils. J’ai ensuite doucement trié pour finalement rester sur un profil intéressant.
Ce profil m’a vraiment beaucoup surpris et intrigué :
Je m’appelle Bernard, j’ai 65 ans, photographe de charme professionnel à la retraite, mobile et expérimenté. Je me propose de vous aider à débloquer votre femme pour en faire la salope dont vous rêvez. En bonne condition physique et bien membré, je saurais lui faire apprécier le plaisir qu’on peut prendre à se donner sans contrainte, sans tabou et sans honte.
La photo le présentait en costard, légèrement bedonnant et dégarnis, pas un top model mais une certaine classe qui ne laissera pas Mathilde indifférente, j’en suis sûr. Puis il me parle de ma femme en des termes très polis puis très crus disant qu’elle une belle bouille de suceuse qu’elle doit bien prendre et que je fais bien de la prêter car ce genre de femmes, et il a l’œil dit-il, aiment la queue et il faut leur en donner. Enfin, je tombe sur la photo de son sexe en érection. Un bel engin. Assez long mais bon dieu vraiment large avec un gros gland. Mon dévolu se posa sur lui, encore faut-il que je sache où il habite et s’il se sent capable de rentrer dans mon délire et participer à mon stratagème. J’apprends au final qu’il est veuf et qu’il passe son temps à batifoler de droite à gauche. Rapport toujours protégé, il est sain.
Pendant plus d’une semaine nous avons conversé par mail. Nous échangions des photos, pour sa part, de modèles plus ou moins, voire pas du tout connus. Certaines photos étaient même à caractère pornographique, il m’avoua avoir, à une certaine époque, travaillé pour un metteur en scène porno dont il refusa de me donner le nom et fini par concéder avoir vu un grand nombre de castings, prises de vues et scènes aussi hard les unes que les autres. Je lui fis parvenir quelques photos volées, à l’occasion, en nuisette ou en maillot de bain. Il me dit que Mathilde était très photogénique et que bien qu’à la retraite, il avait gardé un petit studio dans sa maison d’Arcachon et qu’il était toujours aussi mordu de photographie investissant encore dans du matériel de haute qualité et que ce serait avec plaisir qu’il ferait un petit book à Mathilde, en ma présence bien évidemment. En confiance, je lui racontais nos deux escapades, comment elle avait réagi, ce qu’elle aimait, etc...
J’ai pris beaucoup de plaisir de parler de Mathilde avec Bernard. Jamais je n’avais aussi peu pensé à faire l’amour avec Mathilde. Puis vint le jour où je lui ai soumis de mette en place notre rencontre. Voilà le plan :

Nous avons pas mal d’amis et nous sortons régulièrement en boîte. J’organise donc une soirée, resto, bar, boîte avec évidemment un capitaine de soirée qui passera nous prendre et nous ramènera. Donc pas de voiture, on pourra boire tranquillement. Mathilde adore faire la fête. Elle aime boire et quand elle boit ses inhibitions disparaissent comme par enchantement. Souvent nous avons failli avoir des ennuis parce que justement elle n’a plus aucune limite quand elle a trop bu. Même si depuis quelques années elle s’est calmée, il n’en reste pas moins que parfois le naturel revient au galop.
Nous convenons donc de nous rencontrer en boite de nuit samedi prochain. Il est d’accord le rendez-vous est fixé. Le soir même, je dis à Mathilde, ravie, que nous avons rendez-vous en boite avec des amis ce week-end. Mathilde adore faire la fête avec ces copines. J’organise tout ça tranquillement. L’air de rien.
Le samedi arrive, doucement ma femme s’apprête, je l’encourage a mettre une tenue un peu sexy pour l’occasion. Elle opte finalement pour les chaussures à talons de l’autre fois, une paire de bas noirs, son micro string et une jupe mi-cuisse légère. Un petit chemiser blanc translucide assez décolleté ou l’on aperçoit ses tétons au-dessus des demi-bonnets du soutien-gorge dentelles que je lui ai offert et qu’elle rechigne à mettre. Et nous voilà partis.
Arrivé en boite nous retrouvons nos amis. Je me mets en quête de mon apollon. Je trouve un coin discret et calme et l’appelle sur son portable. Il me dit qu’il est en route, il sera là dans 10 minutes que je le retrouve à l’entrée. Dix minutes paraissent des heures. Je ne cesse de regarder ma montre. Ma femme boit et s’amuse comme une petite folle. Elle tourne à la vodka orange, moi au whisky coca. Elle ne supporte pas super bien les alcools forts, et rapidement elle est un peu éméchée. Dans ces moments-là, elle est très amoureuse et très tactile. Elle me colle, m’embrasse, elle est chaude, je le sens. Elle colle aussi nos amis leur passant la main sur les cuisses ou dans le dos sans même une arrière-pensée. Je ne bois pas trop, je veux rester maître de la situation. Je m’approche de l’entrée, j’attends un moment puis le voilà qui entre habillé plutôt classe. Je lui montre rapidement où nous sommes placés et laisse libre cours à sa méthode d’approche. Ca me permettra de le tester et ainsi de voir ce qu’il vaut.
Le voilà partit sur la piste de danse. Il attrape une amie de ma femme et la fait danser, elles rigolent, dansent, il sait y faire, c’est sûr, il danse super bien l’ancien. Mathilde adore danser, sa jupe virevolte laissant parfois apparaître le haut de ses bas. Puis arrive une séance de slow. Mathilde déteste ça. Les filles, elles sont trois, invitent notre homme à venir boire un verre sans doute pour le remercier de les avoir si bien faites danser. Je dois avouer que la chance a joué en ma faveur cette fois, il leur a plu de suite. Nous sommes entre mecs on papote et on picole tranquillement. On le salut, lui serre la main, nous discutons tous ensembles comme si de rien était. Le temps passe et la soirée tire à sa fin, nous riions tous de bon cœur, Bernard fait danser les filles, je danse aussi un peu et Mathilde est maintenant à point, elle n’arrête pas de me faire des bisous. Elle a une pêche d’enfer, ça fait longtemps que je ne l’avais pas vue aussi joyeuse. Une dernière danse avec Bernard, elle est accrochée à son cou comme une Bernique à son rocher. Ses mains à lui se baladent sur sa jupe, sur ses fesses. Elle ne dit rien, c’est qu’elle est à point. Tant mieux.
Finalement tout le monde se prépare à rentrer. Bernard nous propose de nous ramener évitant ainsi un détour à l’un de nos amis. On accepte avec plaisir. Bernard nous précède et c’est une superbe BMW série 7 qui nous attends.
— On ne se refuse rien ! Dis-je jaloux. J’aime les belles voitures et j’ai presque failli gaffer en parlant de son métier alors que j’étais censé ne pas le connaître. C’est le coup de coude de Mathilde dans les omoplates qui m’a empêché de finir ma phrase
— Oui depuis le décès de ma femme, je ne me refuse plus rien. La vie est trop courte et j’ai la chance d’avoir bien préparé ma retraite.
Je fais monter Mathilde derrière qui malgré son désintérêt total pour l’automobile trouvait celle-ci particulièrement belle. Moi je n’en croyais pas mes yeux. J’aurais donné n’importe quoi pour avoir la même.
Arrivé devant la maison, il est déjà 4h30 du matin, Mathilde, bien éméchée, lui propose de boire un dernier verre en me regardant sachant que je ne suis pas très sociable, j’acquiesce, Mathilde me félicite de cet élan de savoir-vivre qui ne me caractérise pas, surtout à cette heure. Bien sûr il accepte. Mathilde sourit et dit :
— Allez champagne pour tout le monde.
Bernard éclate de rire, détendu et serein, comme si tout était normal.
— Quelle santé !!! Dit-il.
Il l’attrape par la taille et l’accompagne jusqu’à la porte d’entrée. Je suis nerveusement, mais confiant. Je suis sûr de mon coup. Elle ne cèdera pas, malgré l’alcool, je suis sûr qu’elle le repoussera. On entre dans le salon, Bernard et Mathilde s’installent dans le canapé pendant que je vais chercher le champagne. Je mets les coupes sur la table basse et fais le service. On trinque et on commence à discuter de tout et de rien. Des enfants, du boulot, de nos passe-temps. Je vois le regard de Bernard détailler le corps de Mathilde dont la jupe est remontée et laisse voir la lisière de ses bas, elle a défait un bouton de son chemisier, offrant une vue imprenable sur son décolleté. Bernard n’en perd pas une miette. Je mets un peu de musique douce, histoire de me détendre. Bernard saute sur l’occasion pour la faire danser. Décidément, il est vraiment doué pour s’attirer les grâces de Mathilde. Ils dansent enlacés doucement, il a les mains sur ses hanches et elles sur ses épaules. Il caresse le haut de ses jambes, son dos, lorgnant franchement dans son chemisier.
-J’adore votre soutien-gorge. J’adore ces soutiens-gorges qui n’enveloppent que le galbe des seins et laisse libres les tétons. Dit-il
— C’est mon mari qui me l’a offert, je ne le mets quasiment jamais. Il a insisté pour que je le mette aujourd’hui. Répond-elle en rougissant.
— Et bien ma chère Mathilde, votre mari a très bon goût et il a bien eu raison, car il vous va à ravir. Mathilde, toute rouge, lui sourit, sans même un regard dans ma direction. Elle se cambre fièrement comme pour lui en montrer davantage. Moi, je suis fou, je bois, sans doute plus que de raison. Quand ils reviennent, j’ai fini la bouteille de champagne et en ouvre une autre. Je me décide à lancer les hostilités.
— Et votre femme ? Surpris pas la question. Il me fusille du regard.
— Non mais t’es con ou quoi !!! Eructe Mathilde. Je suis navrée, mais l’alcool le rend complètement idiot.
- Ce n’est pas grave, je vous ai dit tout à l’heure, mais vous n’avez sans doute relevé qu’elle était décédée. Dit-il en me souriant, comprenant que je venais, malgré moi, de le faire entrer dans le cœur de Mathilde.
— Ca fait maintenant 10 ans, mais il en reste toujours quelques choses.
— Ca doit être dur de vivre seul non ? Demanda Mathilde.
— Vous savez ? Je m’occupe, j’ai beaucoup d’activité, j’aime rencontrer des gens nouveaux comme ce soir.
Il profitait de la situation. Je lui avais raconté notre petite expérience. Je sentais l’affaire m’échapper, j’étais saoul et j’ai voulu faire le malin.
— Vous allez en club échangiste ?
— Oui ! Ca m’arrive de temps en temps. Quand je me sens seul.
— Ah oui. Nous aussi nous y somme allez. Deux fois. N’est-ce pas chérie ?
Mathilde, une fois de plus me fusille des yeux. Cette fois, je crois que je me suis grillé tout seul. Et pourtant, imbécile et alcoolisé j’insiste.
— Bah quoi ??? Y a pas de honte. En plus t’as aimé ça il me semble non ? Surtout la dernière fois. - Mais tu vas la fermer !!!
— Allez quoi raconte à Bernard il sait ce que c’est. Je ricane.
— Oui Mathilde. Racontez-moi.
— Sûrement pas.
— Allez quoi... fait pas ta mijaurée. Dis-je.
— Fous-moi la paix.
Mathilde est écarlate, rouge vif, gênée, et pourtant je suis surexcitée. Bernard vient à son secours. — Laissez tomber. Allez venez danser.
Mathilde se lève et se love dans ses bras comme une pauvre petite chatte, me jetant au passage un regard assassin dont elle en a le secret. Moi, plein comme un âne, je lui fais un clin d’œil. Finalement. Je finis par m’éclipser dans la cuisine, je ramasse les assiettes qui traînent dans l’évier et les mets dans le lave-vaisselle. Pourquoi ? Je ne sais pas. Il fallait que je me change les idées. J’avais le cerveau embrumé par l’alcool que j’ai bu trop vite. Puis, je me suis souvenu que Mathilde dansait avec Bernard. Je ne sais pas combien de temps, c’est écoulé, mais je reprends un peu mes esprits en me disant que j’ai peut-être bien jeté ma femme dans les bras de cet homme avec mes réflexions idiotes. Je décide donc de les épier. La porte de la cuisine entrouverte, ils ne peuvent pas me voir. Je les vois tout aussi bien que je les entends. Je suis bien placé.
— Alors comme ça, Mathilde, vous avez aimé vous rendre dans ce club ?
— Oui, j’ai trouvé ça étrange et à la fois excitant. Dit-elle timidement.
Voilà qu’elle se confie. Je n’en crois pas mes oreilles. Je m’appuie doucement contre le mur afin d’observer la scène confortablement.
— Vous avez aimé être vue et touchée par d’autres ? Vous avez fait l’amour avec d’autres hommes ?
- Non. Dit-elle.
— Qu’avez-vous fait ?
— Je l’ai... je l’ai... juste une fellation.
— Oh Mathilde que vous êtes belle comme ça, toute timide. On vous donnerait le Bon Dieu sans confession.
— Elle rit, et se serre un peu plus contre lui.
Elle est rouge comme une pivoine, signe caractéristique qu’elle est bien attaqué niveau alcool. Je crains le pire et pourtant m’interdit d’intervenir. J’essaye de me rassurer. Ce n’est pas possible tout va bien se passer.
Et pourtant, la voilà dans ces bras. En train de se confier à un inconnu alors qu’elle ne me dit jamais rien. Je les vois danser, il passe sa main sur ses hanches, sur le haut de ses cuisses, remontant légèrement la jupe puis la relaissant descendre. Et moi je mate. Sa main caresse une de ses fesses. Elle blottit sa tête dans son épaule. Le voilà maintenant qui lui pelote les fesses doucement, il caresse sont dos, lui fait des bisous dans le cou. Elle apprécie. Il passe derrière elle, la tient par les hanches. Ils se dandinent sur un zouk, elle ses fesses contre lui. Il lui parle dans le creux de l’oreille, tout en l’embrassant dans le cou. Elle adore ça. Elle frissonne. Par-dessus son épaule il a une vue plongeante sur son décolleté.
— Vous avez une poitrine magnifique Mathilde.
Et joignant le geste à la parole, ses mains quittent les hanches de Mathilde, glissent sur son ventre et viennent se caler sous ses seins. Il les soupèse maintenant timidement. Un dans chaque main. Les pressent doucement. Elle ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse. Visiblement elle aime ça. Il déboutonne doucement son chemisier laissant apparaître son soutien-gorge où les tétons sont à nu. Délicatement, il les frôle qui durcissent instantanément. Puis, d’un geste habile, il fait glisser les bonnets sous les seins lourds de Mathilde. Ca a pour effet de faire bien remonter sa poitrine tout en la laissant libre de retomber par-dessus. Elle ne dit rien. Il commence alors à masser les seins de Mathilde tendrement. Il joue avec les tétons qui pointent comme jamais j’ai vu ça ? Ils sont vraiment bien sortis. Elle est vraiment excitée. Moi je commence à bander. Je n’en reviens pas et pourtant je suis fasciné impossible de bouger.
— Que faisait ton mari pendant que tu suçais cet inconnu ?
Il la tutoie maintenant.
— Il me prenait dit-elle.
— Tu as bien joui ? Dit-il en soulevant la poitrine qui je le vois s’agite de plus en plus rapidement. Il dépose de petits baisés dans le cou de Mathilde qui semble apprécier en inclinant légèrement la tête. Il presse les seins fermement attendant une réponse qui tarde à venir.
— Oouii dit-elle dans un souffle court. Elle ferme les yeux au moment même où les mains de Bernard se referment sur ses seins.
— Oui tu as bien joui petite coquine. Tu as aimé le sexe de cet autre homme dans ta bouche ? lui demande-t-il tout en pressant davantage ses gros seins.
— Ouiiii... sa voix se fait plus troublée, haletante.
Il lui parle toujours dans le creux du cou. Je sais qu’elle adore ça. Ca la rend folle. Je suis comme dingue devant ce spectacle, je bande comme un âne. Décidément l’âne me caractérise à merveille ce soir :
— Ane bâté,
— Bandé comme un âne,
— Plein comme un âne. Un festival.
D’un geste, il remonte sa jupe sur ses hanches dévoilant sa peau nue au-dessus de ses bas et son mini string et pendant qu’une main continue de travailler un sein, l’autre s’insinue entre ses cuisses. D’une main experte, il pose la main à plat sur la chatte de Mathilde et fait une pression à l’endroit de son clitoris. Je la vois se tétaniser. Elle pousse un soupir, il prend ça pour un encouragement et écarte le string et enfile un doigt dans la chatte déjà humide.
A ce moment-là, je comprends qu’elle a cédé. Elle a complètement oublié ma présence. Elle s’offre à cet homme qu’elle ne connaissait pas il y quelques heures. Il la branle doucement un doigt sur son clito. Elle se dandine doucement frottant son cul contre son sexe et il lui pétrit les seins sans ménagement, franchement, et elle apprécie.
Mathilde respire fort. Ils ne dansent plus. Il lui malaxe un sein et tient un doigt dans sa chatte. Debout. Elle a écarté légèrement les cuisses pour lui laisser libre accès. Son string est maintenant au sol. Il lui masse la chatte sans vergogne. Insinuant tour à tour un puis deux doigts dedans.
Il la dirige vers la table basse et la penche en avant. Mathilde par réflexe pose les mains sur la table trop basse, ses seins pendent dans le vide et son cul est bien cambré. Bernard derrière relève la jupe et commence à lui bouffer le cul. Je le vois laper la chatte jusqu’à l’anus. Elle soupire, gémit, souffle. Moi, j’ai sorti ma queue et me masturbe devant ce spectacle dont je ne comprends pas les enjeux.
— T’aimes ça qu’on te bouffe le cul ! Hein ma belle ?
— Ouiii, dit-elle dans un soupir.
— Tu vas voir je vais bien te faire grimper aux rideaux lui dit-il en lui fourrant deux doigts dans la chatte.
— Ahhhh
— Humm oui tu dégoulines bien. Coquine. Sortant ses doigts pleins de mouille il les remet et commence à les tourner dans la chatte en faisant des vas et viens.
— Ahh Ahhh Ahhh fait-elle timidement.
— Mais quel cul t’as. Un bon gros cul. J’adore ça. Dit-il en collant sa langue dans l’anus.
— Ohhh
Mathilde remue son cul pour mieux sentir les caresses, les seins ballottent au rythme de la pénétration.
— Tu vas voir, je vais bien te dilater tes trous avec ma grosse queue. Je vais faire de toi une accroc de la bite. Espèce de petite pute. Tu crois que tu vas me la faire à moi ? Je les connais les petites bourgeoises de comme toi. Elles font leurs saintes nitouches et une fois qu’elles ont une grosse bite dans le cul elles en redemandent. Ton mari, c’est un pauvre type, il n’y connaît rien. Tu vas voir.
Je suis abasourdi, effondré, je ne comprends plus rien à ce qui se passe. Quel changement d’attitude et Mathilde qui ne réagit pas. Si je lui en avais dit le quart, je serai passé par les armes et là, lui, l’excite. Et pourtant, je suis incapable d’intervenir. J’aurai l’air malin la queue à la main. Que dois-je faire ? Si j’interviens. Que va-t-il se passer ? Comment va-t-elle réagir ? Et si je laisse faire. Ils ne savent pas que je sais.
Puis d’un geste, il sort sa queue de son pantalon. Il bande ferme. Je suis impressionné par le diamètre. Un gourdin. La photo n’était pas aussi impressionnante. L’excitation y est sans doute pour quelque chose. Il va la défoncer. Enfin, il se penche sur elle collant sa queue entre ses cuisses, la prend par les cheveux, tirant vers lui pour qu’elle se redresse.
— Alors ma belle, tu sens ma grosse queue entre tes cuisses ? Je vais bien te la foutre. Et après je te casserai le cul.
— Oui prends-moi. Dit-elle.
— Oui salope je vais te baiser. Dis-le
— Oui baise-moi, oui viens baise moi fort.
— C’est bien tu commences à comprendre, espèce de petite traînée. Tu sais les vielles putains comme toi, normalement, on les encule d’abord. Mais je vais faire une exception. Mais pour bien te mettre à la page et pour que tu comprennes qu’une chienne comme toi c’est juste bon qu’à prendre de la bite. Je ne vais pas mettre de capote, je suis sûr que tu détestes ça !!!!
Comment savait-il qu’elle avait horreur de ça. Mathilde n’avait jamais voulu qu’on en mette quand on s’est rencontré. Elle m’a même avoué ne jamais avoir fait l’amour avec.
Puis d’une main il dirige son gland à l’entrée de sa chatte et commence à la pénétrer doucement la tenant par les hanches. Il force doucement puis petit à petit il la pénètre. Mathilde a la bouche ouverte. Aucun mot ne sort. On pense presque qu’il va lui ressortir par la bouche, empalée. Moi je me branle frénétiquement absorbé par ce magnifique spectacle.
Le voilà au fond. Jusqu’aux couilles ! Il commence ses va-et-vient. Il se penche pour tirer, malaxer, pétrir les gros seins de Mathilde qui pendent sous elle d’une façon obscène.
— Ohhh putain qu’elle bonne chatte tu as. Tu me serres la queue c’est trop bon.
— Ouiii ouii plus fort.
— Oui, je vais t’en donner pétasse.
Tout en commençant à la limer, il lui titille le trou du cul avec le pouce. Insinuant un doigt puis deux. Il lui prépare l’anus d’une façon experte. Mathilde n’en peut plus, elle jouit. Prise de spasmes.
— Ouiiiii, c’est bon ouiii bien à fond baise moi ouiii.
— Tiens chiennasse. Prends ça. Il la défonce de plus belle.
Puis elle s’effondre sur la table. Rapidement il prend quelques coussins et les jette à terre. Puis l’aide à se mettre à quatre pattes la tête dans les coussins, le cul bien en l’air, large, luisant de mouille. Mathilde se laisse faire et déjà il lui bouffe le cul en la doigtant sauvagement. Il lui met trois doigts dans la chatte et la branle. Elle ne met pas cinq minutes avant de redémarrer. Il crache dans son cul ouvert par deux doigts, pendant qu’il la branle avec les autres.
Puis il se relève, crache dans sa main, enduit son gland de salive et de mouille. Puis crache dans son petit œillet, pose son gros gland contre l’anus de Mathilde. Il commence sa progression doucement, mais sûrement, il est bien droit au-dessus d’elle.
— Ecarte ton cul sinon tu vas dérouiller.
Mathilde la tête écrasée dans le coussin écarte ses fesses de ses deux mains en tirant bien dessus.
— Voilà ouvre bien. Pousses. Voilà ça rentre. Ahhh la vache t’es serrée.
Mathilde grimace, geint, souffle, et pourtant halète comme jamais. Bernard est maintenant à fond dans son cul. Il attend un peu puis commence à ressortir. Crache dans le trou puis rerentre comme ça trois ou quatre fois. Je vois le trou du cul de Mathilde bien ouvert qui palpite. Il est magnifique.
— Voilà, tu l’as bien dans le cul maintenant.
— Hummm oui
— Tu la sens bien ?
— OUIII
— Et maintenant je vais te ramoner ton gros trou du cul comme jamais on te la ramoné. Je vais te le refaire à neuf.
Et il commence de tout son poids à percuter le cul de Mathilde.
— AHHHHHHHHHHHH !!!!!! crie-t-elle
— Ahhh tu vois. C’est bon de se faire défoncer le fion.
— OUIIIII plus fort ouiiiiii
— Tu vois que tu aimes ça.
— OUIIIIII - Dis-le que t’aimes ça.
— Ouiii j’aime ça, vas-y.
— Maintenant tu peux te vanter d’être une belle enculée.
— Ouiiiii
— Tiennns, ohh putain je vais jouir.
Il redouble de violence à la défoncer. Mathilde hurle de plaisir, griffant, mordant les coussins. Moi j’éjacule dans mes mains, alors que Bernard jouit dans le cul de Mathilde. Je m’éclipse doucement jusqu’à la chambre me débarrassant de ma semence dans un kleenex.
J’écoute les derniers bruits dans la salle à manger. Sans savoir ce qui se passe réellement. Mathilde vient me rejoindre une heure plus tard. Je fais semblant de dormir.
Il est 7h00 du matin. Je ne dors toujours pas. Je me lève. Mathilde dort profondément. Je retourne au salon, ça sent le cul à plein nez. Bernard est apparemment parti. Je m’assieds dans le canapé face à la scène des exploits de mon amour, je me sens vidé, dégoûté, anéanti. Je me repasse le film encore et encore, n’oubliant aucun détail, je bande et pourtant, j’ai envie de chialer. D’ailleurs ça y est.
PS Entre le début de cette histoire et ce moment, il s’est passé environ quatre mois. En quatre mois j’ai réussi à foutre 20 ans de mariage en l’air. Enfin je crois. Mais si seulement ça s’était arrêté là. Rappelez-vous ce qu’elle me disait :
— Méfie-toi !!! Qui sait ??? Une fois là-bas, tu me connais, si ça me plait, je vais être intenable et je voudrai y retourner même si ça ne te plait pas.
— Tu m’as traité de tous les noms et je déteste ça.
A suivre...
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