Le lendemain, à mon réveil, je me préparai un petit déjeuner équilibré et une assiette de croquettes pour Nougat. Je devais recevoir un coup de fil de Roger afin qu’il me transmette ses instructions pour la journée. Comme à mon habitude, après avoir mangé, j’allumai mon téléviseur et me mis à regarder "Watts", un bêtisier sportif. Je réglai le volume aussi bas que possible afin de pouvoir entendre le téléphone sonner le moment venu. Vers dix heures, la sonnerie du téléphone raisonna dans le salon. Je me précipitai sur le combiné et décrochai. « Allô?— Élodie? C’est moi, Roger.— Je t’écoute. — Axel et moi sommes en route. Bingo est avec nous. Bon, voici ce que tu devras faire: déshabille-toi et attends Axel dans ta chambre. Moi, j’attendrai dans le salon avec les chiens. Nous sonnerons une fois puis nous rentrerons. — D’accord. Axel a bien digéré la nouvelle? Il se sent prêt?— Oui, oui. Ne t’en fais pas pour lui. Il est plus que prêt. Fais ce que je t’ai dit: nous arrivons.» Roger raccrocha. Je montai vers ma chambre et retirai mes vêtements. Je m’allongeai ensuite sur mon lit et attendis l’arrivée de Roger et Axel. Quelques minutes plus tard, les deux hommes sonnèrent à la porte et entrèrent. J’entendis ensuite des pas dans l’escalier. La poignée de la porte tourna, livrant passage à Axel. En me voyant, le jeune garçon sourit et, sans me regarder, retira ses vêtements sans la moindre gêne, me dévoilant une magnifique verge d’au moins dix-huit centimètres. Axel s’approcha et s’agenouilla sur le lit, face à moi. «Suce-moi la bite, salope.» me dit-il en dirigeant son sexe vers ma bouche. Ce ton dominateur cachant une crainte évidente, je le rassurai calmement en lui posant une main sur l’épaule. « Relax, Axel. Tu n’as pas besoin d’être aussi vulgaire. Tu as peur et c’est normal. Laisse-moi faire, d’accord?»
Axel hocha la tête en signe d’approbation. Je caressai alors lentement ses hanches puis redescendis le long de ses cuisses jusqu’à son sexe. Je soupesai ensuite ses testicules et le fis lentement basculer sur le dos. Je frôlai ses joues et sa bouche de mes lèvres en y déposant un rapide baiser. Je caressai ensuite doucement son crâne puis ma main descendit le long de ses joues tandis que je rapprochais mon visage du sien jusqu’à joindre mes lèvres aux siennes dans un long baiser passionné. Je fis ensuite glisser ma main sur le torse d’Axel jusqu’à atteindre son bas-ventre. J’interrompis notre baiser puis me saisis doucement de son sexe que je sentis grossir dans ma main en quelques secondes. Lorsque l’érection d’Axel fut à son plus haut niveau, je m’allongeai sur le dos et invitai mon jeune partenaire à me pénétrer. D’un geste mal assuré, Axel prit sa bite dans sa main et la dirigea vers ma chatte dégoulinante de cyprine. Pour le rassurer un petit peu, je me saisis de son sexe et le mis de moi-même dans le mien. Axel prit ensuite la mesure des évènements et se mit à faire de puissants va et vient en moi, me faisant soupirer de plaisir. Mon jeune partenaire s’accrocha à mes hanches et augmenta de plus belle la cadence de ses coups de queue. Soudain, Axel s’immobilisa, paniqué. — ÉLODIE! JE VAIS JOUIR!!! Je le fis alors calmement sortir de mon intimité et dirigeai son gland vers mes seins. Puis, dans un râle de plaisir, mon jeune partenaire éjacula par puissantes saccades successives sur ma poitrine. Lorsqu’il fut apaisé, Axel m’enlaça et posa sa tête sur mon ventre. — J’ai été nul, n’est-ce pas?— Mais non, Axel. C’est ta première fois. Il est normal que tu manques un peu de contenance mais cela viendra avec la pratique. Et puis, pour une première fois, tu t’en es plutôt bien tiré. J’ai beaucoup apprécié. — Est-ce que tu me suceras la prochaine fois?— Si ton père décide qu’il y aura une prochaine fois, oui, je te sucerai. Tu vas même me sodomiser et te branler dans mes seins.» Je caressai son crâne en lui murmurant quelques mots d’encouragement. C’est alors que la porte de la chambre s’ouvrit, livrant passage à Roger, flanqué de Bingo et Nougat. « Vous êtes mignons. On dirait presque un jeune couple. Si seulement la fille n’avait pas déjà un copain... J’ai entendu votre conversation et, oui, Élodie, il y aura une prochaine fois et, crois-moi, je suis sûr que ça va te plaire. Et toi, Axel, tu as aimé ton dépucelage?» Axel hocha la tête et sourit d’un air entendu. Son père ne s’embarrassa pas plus de détails. — Bon, très bien. Maintenant, bouge-toi de là et regarde ton père baiser cette salope. Prends-en de la graine. Axel obtempéra et Roger me fit signe de m’agenouiller au sol. Après le dépucelage, la prise en main commençait.
