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Un cocufiage peu commun

Chapitre 6

Zoophilie
Environ une semaine après notre séance de galipettes, Roger m’envoya un SMS comme il me l’avait signifié alors. 
« Salut, ma petite salope. Axel et moi passerons te voir cet après-midi. Nous souhaitons que tu sois déjà à poil à notre arrivée, histoire de ne pas perdre de temps avec des préliminaires inutiles. Réponds à ce message dès que tu l’auras lu.»

Comme l’exigeait le père de mon copain, je répondis à son message par l’affirmative et me risquai à demander si Axel et lui venaient accompagnés de Bingo. La réponse ne tarda pas à venir. 

« Oui, petite vicieuse. Tu auras le plaisir de te faire baiser par deux hommes et deux chiens bien montés.»

Le contenu du message me fit sourire. J’y répondis que j’avais hâte d’y être et mis mon téléphone sur mode Avion afin de ne pas être dérangée. Comme il n’était que onze heures, je décidai de visionner quelques épisodes de « Friends» afin de calmer mon excitation et de tuer le temps jusqu’à l’arrivée de mes amants. 

Vers midi, je me préparai un repas léger afin de ne pas avoir le ventre trop lourd car, connaissant Roger, celui-ci voulait sûrement profiter de mes meilleures ressources. Lorsque j’eus fini de manger, je montai dans ma chambre pour me déshabiller. Lorsque je fus nue, Nougat, qui demeurait allongé sur mon lit, bondit dans ma direction et essaya de me lécher la chatte. 

— Non, pas tout de suite, Nougat. Un peu de patience. Ne t’en fais pas, je te laisserai bien profiter de tout ça. Allez, recouche-toi. 

Je déposai un baiser sur la tête de mon chien et celui-ci obtempéra à l’ordre que je lui avais donné. Bien que la perspective de prendre du plaisir avec Nougat me séduisait, je souhaitais être fraîche pour Axel et Roger et luttais pour ne pas me toucher en imaginant ce qu’il allait se passer. 

Je n’eus pas à prendre mon mal en patience bien longtemps. À treize heures, on sonna à ma porte. Je m’empressai de me lever de mon lit et regardai par le trou de la serrure pour m’assurer de l’identité de mon visiteur. Satisfaite, j’ouvris la porte pour accueillir mes deux amants et leur chien. 

— Je vois que tu es très désireuse de faire plaisir à tes amants, ma belle. Regarde-moi cette vision de paradis, Axel. Ça ne te fait pas envie ?— Oui, papa. J’ai envie d’elle. 

Je rougis en entendant ces remarques à mon propos et m’empressai de les faire entrer. À peine eus-je refermé la porte que Bingo passa sa langue sur mon sexe déjà humidifié par l’excitation. Sans piper mot, je pris la direction de ma chambre. 

— Non, Elodie. On ne fera pas ça dans ta chambre cette fois. Axel et moi avons envie d’un peu de naturisme. Nous te baiserons donc dans le jardin. — Dans le jardin ?! Tu n’es pas sérieux, Roger ? Si quelqu’un nous voit...— Aucun risque. Tes voisins sont au travail au moins jusqu’à 17h et Jean est bien trop occupé pour te rendre visite. 

Lorsque Roger évoqua mon petit ami, pour la première fois, je fus prise de remords. 

— Écoutez, je pense qu’il vaut mieux qu’aujourd’hui soit notre dernière fois. Je me rends compte que j’ai déjà fait beaucoup trop de mal à Jean. Je l’aime et je me sens terriblement mal de l’avoir trompé avec deux chiens et ses propres père et frère. 

Malgré toute la sincérité de mes paroles, Roger ne sembla cependant pas avoir été attendri le moins du monde par ce que je venais de dire. Axel, quant à lui, se contenta d’éclater de rire, ce qui provoqua mon incompréhension. 

— Qu’est-ce qu’il y a ? Vous pensez que je ne suis qu’une salope qui se tape le père, le frère et le chien de son copain, c’est ça ?— Non, pas du tout, Elodie. Bien au contraire. Nous ne voulions pas t’en parler tout de suite mais il faut que tu saches que Jean ne mérite pas tes remords.— Comment ça ? Est-ce qu’il sait pour nous trois ?! Pour Bingo et moi ?! Il a dit qu’il ne voulait plus de moi ?!— À tes questions, je vais répondre qu’il y a une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle. La bonne est qu’il ne sait pas ce que nous faisons. La mauvaise est que, même s’il ne l’a pas dit explicitement, ses actes parlent d’eux-mêmes. Et ils montrent clairement que tu ne l’intéresses plus. — Comment ça, je ne l’intéresse plus ? Cela fait une semaine que nous ne nous sommes pas vus mais il était en vacances. Il a bien besoin de récupérer un peu du voyage.— Le voyage n’a rien à voir avec ça. Axel, montre-lui. 

Axel sortit son téléphone portable de sa poche et pianota sur l’écran jusqu’à trouver ce que Roger désirait que je voie. En voyant ce cliché, je manquai de peu de tomber à la renverse. Sur l’image, on pouvait très nettement distinguer mon copain et sa mère nus dans la cuisine de leur maison. À genoux devant Jean, sa mère était en train de lui prodiguer une fellation. 

— Je n’arrive pas y croire. Il me trompe avec sa propre mère... — Maintenant que tu connais la vérité, qu’est-ce que tu décides ?— Au vu de la situation, je parlerai à Jean pour savoir si notre histoire est finie ou non mais en attendant, j’aimerais savoir si vous avez pris cette photo assez discrètement. — Ne t’inquiète pas, Elodie. Mon frère et ma mère ne savent pas que nous connaissons leur petit secret. — Ça me rassure. Bon, dans ce cas, faisons ce pour quoi vous êtes venus. Je vais vite chercher Nougat. Après une semaine sans me baiser, il doit être très désireux de participer. — Tu as réussi à tenir une semaine sans coucher avec ton chien ? Bravo. — Je tenais simplement à être au top pour le jour où vous viendriez. 

Roger et Axel me sourirent et je montai chercher mon chien pour l’emmener dans le jardin.

 Lorsque je les rejoignis à l’extérieur de la maison, mes deux amants étaient déjà nus et installaient un parasol et un paravent. Bingo, qui était resté couché, courut en bondissant joyeusement vers moi en me voyant arriver en compagnie de Nougat. Lorsque Bingo arriva à mes côtés, il s’empressa de passer sa langue sur mon sexe en gémissant joyeusement. Excité de voir son congénère me prodiguer ces caresses, Nougat prit soin de me lécher les fesses. Submergée par le plaisir, je me laissai aller aux caresses de mes deux amants à quatre pattes, ce qui fit sourire Roger et Axel. 

— Il y en a qui sont impatients... En attendant, nous avons installé un parasol et un paravent. Il ne faudrait pas qu’un coup de soleil vienne amocher ta peau si belle et si délicate. Et puis, avec tout ce qu’on entend de nos jours, on n’est jamais trop prudent. C’est pourquoi nous avons installé le paravent pour nous protéger des regards indiscrets. 

J’adressai un sourire reconnaissant à Roger puis pris place sur la chaise longue que les deux hommes avaient également pris soin d’installer derrière le paravent. 

— Bien installée, belle créature ?

Je hochai la tête en guise d’acquiescement. 

— Dans ce cas, à toi l’honneur, Axel. Ensuite, ce seront les chiens qui te passeront dessus puis moi. Ça te va comme programme ?— C’est parfait. 

Sur ces mots, d’un mouvement de l’index, j’invitai Axel à me rejoindre sur la chaise longue. Le jeune homme s’allongea sur moi, son ventre contre le mien. D’une main, il caressa mon corps jusqu’à arriver à hauteur de mes seins qu’il malaxa des deux mains avec fermeté et douceur. Axel se pencha ensuite sur ma poitrine et y posa ses lèvres. Mon jeune amant se délecta quelques instants de mes seins en les suçant avec passion puis il remonta lentement vers ma bouche tout en embrassant mon cou. Lorsqu’il parvint à la hauteur de mon visage, sa bouche se posa sur la mienne et nous échangeâmes un baiser passionné. Je souris intérieurement en constatant qu’Axel avait pris de l’assurance depuis notre dernière entrevue. 

Le jeune homme interrompit notre baiser et se releva pour se placer à mes côtés et me présenter sa queue à sucer. 

— Hum... Très belle queue ! — Plus que celle de Jean ?— Eh bien, s’il n’était pas trop occupé à baiser votre mère, je pourrais peut-être te le dire en comparant vos bites parce que je n’ai plus vu ton frère depuis tellement longtemps que je serais incapable de te dire si tu es mieux membré que lui ou non. 

Roger éclata de rire en entendant ma déclaration. 

— Petite coquine... — Ça vous plaît, non ?

Sans attendre la réponse des deux hommes, je pris le sexe d’Axel en bouche. Mon jeune amant me laissa aller à mon rythme durant quelques instants puis il me saisit l’arrière du crâne pour m’imposer le sien. Son sexe manqua plusieurs fois de m’étouffer tant il était grand et rapide. Décidant que le moment était venu de passer à autre chose, Axel me fit recracher sa queue et se positionna à nouveau en face de moi. En voyant mon intimité suintante de cyprine, mon jeune amant lança un regard inquisiteur à son père. 

— Papa, Elodie mouille comme pas possible. Je bois son jus ou je te le laisse ? Toi qui aimes bien ça...— Ce qui coule de la chatte de notre copine est le jus de la victoire. C’est toi qui l’as fait mouiller donc tu dois boire son nectar. 

Sans prendre la peine de répondre à Roger, Axel pencha son visage sur ma chatte et but avidement le liquide qui s’en écoulait. Lorsqu’il s’en fut suffisamment rassasié, il en décolla sa figure et y enfonça sa verge jusqu’à la garde. 

Estimant que les préliminaires et leurs douceurs avaient assez duré, Axel fit des va-et-vient puissants en moi, me procurant rapidement un plaisir indicible. Mon jeune amant me lima ainsi jusqu’à ce qu’il sente sa jouissance arriver et se répande sur mes seins. 

Axel demeura quelques instants au-dessus de moi, le temps de reprendre son souffle puis il s’éloigna pour laisser sa place aux deux chiens, jusqu’ici maintenus sur place par Roger. Afin de faciliter l’accès de mes amants canins à mes orifices, je quittai ma chaise longue et me mis à quatre pattes sur le gazon. 

Bingo et Nougat se dressèrent sur leurs pattes arrière et leurs deux sexes remplirent respectivement ma chatte et mon cul. Les deux chiens s’amusèrent à me baiser ainsi jusqu’à être submergés par le plaisir. Je fis sortir leurs verges de mon corps puis m’allongeai sur le dos afin qu’ils puissent éjaculer sur mes seins, provoquant ainsi un mélange de sperme humain et canin. Je masturbai mes compagnons à quatre pattes jusqu’à ce qu’ils ajoutent leur semence à celle d’Axel. 

Épuisés, les deux chiens s’allongèrent sur le sol, cédant leur place à Roger. À l’instar de son fils, il me fit allonger sur la chaise longue, à la différence près qu’au lieu d’être sur le dos, j’étais sur le ventre. En l’entendant parler, je compris vite pourquoi il m’avait demandé d’adopter cette posture. 

— Tu as été très bon, tout à l’heure, Axel, mais tu as oublié d’honorer un trou. 

Sur ces mots, Roger empoigna mes fesses et les écarta pour montrer à son fils de quoi il parlait puis, sans plus de cérémonie, il enfonça à son tour sa verge dans mon petit orifice. Le père de mon copain me sodomisa violemment pendant plusieurs minutes en me donnant de temps à autres une claque coquine sur le cul. Avant d’éjaculer, il exigea que je me retourne de façon à ce qu’il puisse gicler sur ma poitrine. Ayant une idée derrière la tête, j’obtempérai sans discuter et Roger jouit sur mes seins. 

Pendant que Roger reprenait ses esprits, je jouai avec mes seins afin de mélanger les liquides séminaux de mes quatre amants puis portai la mixture ainsi obtenue à ma bouche. 

— Hum... Petite vicieuse ! Tu aimes bien avaler, on dirait !— Oui, et surtout lorsque mes partenaires ont été excellents. C’est ma façon à moi de les récompenser. — Tu as déjà avalé le sperme de mon frère ?— Pour être honnête, non, parce qu’il a toujours préféré éjaculer en moi. — Quel dommage ! Si Jean avait voulu que tu avales son sperme, tu aurais pu nous dire lequel d’entre nous avait le sperme ayant le meilleur goût. — Peut-être que je vous dirai ça si j’arrive à parler avec lui. D’ailleurs, j’aimerais que vous m’envoyiez la photo que vous avez prise de lui et Françoise. — Pas de problème, on t’envoie ça tout de suite. 

Sur ces mots, Axel et Roger se rhabillèrent et, comme promis, m’envoyèrent le cliché concerné. Les deux hommes m’embrassèrent chacun à leur tour avant de repartir en compagnie de Bingo. De mon côté, je décidai d’aller me rhabiller avant de ranger tout le matériel et d’aller promener Nougat. 

Cela faisait plus d’une semaine que je n’avais pas vu mon petit ami et après ce que j’avais découvert, je souhaitais avoir des explications. 

[ à suivre ]
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