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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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J'ai cocufié mon mari le jour de notre mari

Chapitre 1

Divers
Je me prénomme Jennifer, j’ai 28 ans, je vis depuis 10 ans avec celui qui est mon mari aujourd’hui. C’est lui qui m’a initié au sexe à l’âge de 18 ans, je lui dois tout et je l’aime bien sûr, mais côté sexe justement je ne suis pas très branchée, en fait j’accomplis plus pour son plaisir que pour le mien, d’ailleurs je sais qu’il a déjà, en parlant de moi, fait la réflexion suivante : elle n’aime pas trop, pour preuve elle mouille à peine...sans compter qu’en plus lui qui comme tous les hommes où presque adorent les sous-vêtements suggestifs, il n’a pas de chance je suis très sage : type petit bateau si vous voyez. Ceci dit j’ai fait un effort pour ce jour en achetant un ensemble string et sous tifs en dentelle blanche plus des bas blancs auto-fixant. C’est vrai aussi que le jour du mariage la mariée est la plus belle et sans être prétentieuse je ne suis pas mal, pour preuve, j’assiste souvent à des enregistrements d’émission télé et chaque fois on me place au premier rang des spectateurs. Je suis une blondinette d’un mètre soixante-cinq, des cheveux mi-longs, le corps d’une femme de 28 ans qui n’a pas encore subit le poids des années. Revenons à ce jour, préparé depuis un an, deux cents convives au repas. Je passe sur la messe, le vin d’honneur, en tant que héros du jour nous ne voyons et profitons de rien puis commence la soirée qui a modifié ma vie, sexuelle du moins. En effet, les invités apprécient pleinement le repas et comme toujours en pareil cas les mariés vont de tables en tables voir si tout se passe pour le mieux, c’est ainsi qu’arrivant à la table de mes beaux-parents mon regard croise celui de cet homme, un ami de mon beau-père, la cinquantaine, poivre et sel, bel homme, sur de lui et de son charme, je tombe en arrêt, je begaies pour demander si tout va bien, mon trouble doit être perceptible où du moins je le crois. Je quitte la table et retourne à la mienne mais mes sens sont bouleversés. Je m’assoie près de mon mari et lui fait un bisou en regardant vers cet homme pour lui faire comprendre que mon homme il est là. Durant tout le reste du repas je ne cesse de croiser son regard, puis viens l’ouverture du bal par les mariés, chacun de notre côté nous allons chercher un convive à commencer par mon beau-père pour moi et ma mère pour Paul Antoine mon mari. Le suivant que je vais chercher n’est autre que cet homme, à ce moment-là j’ignore son prénom. Nous tournons sur cet air de valse et avant de le quitter pour prendre une autre personne il me chuchote à l’oreille : alors jeune fille je te trouble, je suis certain que tu as envie de moi, tout à l’heure tu me rejoindras près de la réception, c’est compris... et je lui répond : Oui Monsieur. Sur cette parole il s’éloigne et va rejoindre son épouse. Inutile de vous dire que j’ai les jambes en coton, j’invite une autre personne puis encore une autre mais mon esprit est près de cet homme, je sens mon sexe tout humidifié pour peut-être la première fois de ma vie. Mon corps et ma tête ne communique plus ensemble, je suis effectivement sous le charme et j’ai très envie de lui. Au dessert, il viens dans mon dos et profitant de la cohue autour du buffet il pose sa main sur mes fesses et me les caressent au-dessus de ma robe, je suis tétanisée, on pourrait le voir, il se colle à mes fesses et je ressens l’effet érective que je lui fait ! Les danses se succèdent, je sais qu’il me regarde je perçois ses yeux sur mon corps, profitant que tout le monde où presque est sur la piste je quitte la salle et me dirige vers la réception. Une main se saisit de mon bras c’est lui, il me guide vers un vestibule, nous pénétrons à l’intérieur et il verrouille la porte, il est dans mon dos, face à moi il y a une table ronde sans rien dessus. Ses mains se posent sur le zip de ma robe qu’il descend jusqu’à l’arrêt puis de suite dégage mes épaulettes et ma robe me quitte pour tomber à mes pieds. Je suis de dos en sous vêtements avec cet inconnu, alors que se devrait être mon mari qui profite de cette vision. Il fait sauter l’attache de mon soutien gorge et de suite ses mains s’emparent de mes seins qu’ils malaxent durement tout en faisant rouler entre ses doigts mes tétons en érection. Il finit par lâcher mes seins et s’attaque à mon string qu’il baisse à mi-cuisse et me fait écarter les jambes tout en m’intimant l’ordre de me plier sur la table. Il s’agenouille et son souffle est perceptible sur mes fesses qu’ils séparent puis sa langue pointe sur mon orifice, c’est la première fois de ma vie qu’un homme a l’honneur de cette acte. Il me lubrifie la rondelle avec sa salive puis se relève et pointe un doigt pour perforer mon anus, cela à pour effet de me faire pousser un cri : non pas par là lui dis je, il me répond je prends ce que je souhaite et je suis persuadé que tu es vierge de ton cul. Oui, je lui réponds, sache jeune fille que tu me donneras tout ce que je veux de toi. Sa bite est tendue au maximum il la guide vers mon nid d’amour, je suis trempée comme jamais je ne l’ai encore été, il s’amuse à la frotter sur mes lèvres vaginales qui s’ouvrent à lui et me saisissant par les hanches me pénètre violament jusqu’à la garde puis s’immobilise au fond de mon utérus, il ne me demande même pas si je suis protégée, il me dit : tu la sent ma queue...Oui monsieur elle est bonne, et commence par se retirer pour mieux replonger à l’interieur de cette grotte qui suinte de mon jus abondant. Il pousse des han de bûcheron pendant qu’il me besogne le ventre, je sens tout mon être qui répond à ses assauts et une sensation jamais ressentie jusque là investie mon bas-ventre, cet homme est entrain de me donner le premier véritable orgasme de ma vie. Je l’encourage en disant : bourrez moi, plus fort çà viens ; n’arrêtez pas SVP, inondez ma chatte, je veux votre sperme en moi, cela l’excite tout autant car je ressens dans mon vagin sa queue qui grossit puis d’un coup une déferlante liquide frappe le fond de mon utérus il jouit et moi également. Il reste planté en moi encore quelques instants avant de se retirer pour me dire : on se retrouve ici dans une heure, il est inutile que Paul Antoine s’inquiète de ton absence, Oui monsieur je viendrai. Il fait glisser mon string le long de mes jambes et le met dans sa poche, tu seras mieux sans et çà m’excite de te savoir sans culotte sous ta robe. Moi qui avait acheté ses sous vêtements pour mon mari il m’en manque déjà un et c’est un étranger qui en profite. J’ai honte de moi, il me remonte la robe et la zipe après m’avoir remis mon soutien gorge non sans avoir malaxé mes seins une nouvelle fois, il quitte la pièce, mais mon sexe à présent nue sous ma robe est encore tout excité, j’ai envie de me caresser avant de regagner la salle, alors je me retrousse et ma main plonge entre mes cuisses, je profites de la semence de cet homme qui s’écoule de ma chatte pour faire glisser mes doigts le long de ma fente et très rapidement un nouvel orgasme m’emporte au septième ciel. Il me faut un instant pour récupérer de mes excès, je rabats ma robe et je regagne la salle. Mon mari m’interpelle et me demande où j’étais passé et je lui répond au wc, une demi-heure me dit-il, tu n’es pas bien,si,si tout vas ne t’inquiète pas. En même temps, je ressens le long de mes cuisses le sperme de mon amant qui s’écoulant de ma chatte mouille le haut de mes bas. Aussi tôt après, je cherche mon amant dans la salle, il est assit près de mon beau-père, il me regarde et passe sa langue sur ses lèvres, je me retiens sinon je pense que j’irai sur ses genoux, c’est dingue l’effet qu’il me fait, je ne suis plus normale, je suis impatiente de le retrouver dans une heure. Mon mari viens m’inviter à danser mais je rêve m’imaginant dans ses bras à lui. Je me colle et mon mari me dit : tu as l’air très amoureuse, soit patiente tout à l’heure je te ferai l’amour comme jamais, comme jamais c’est ce que je viens de faire et j’ai encore envie. Je regarde ma montre sans cesse, j’ai l’impression que le temps n’avance plus, j’ai hâte de retourner au vestibule. Enfin, je le vois qui se lève et se dirige vers la sortie, je tremble sur mes jambes. Paul Antoine je m’absente un moment ne t’inquiète pas et occupe toi de nos invités, je reviens, ça va mon coeur me lance t il, oui, oui à tout de suite. Je cours pour ainsi dire jusqu’au vestibule, je pousse la porte, il m’attend, je me jette dans ses bras et nous échangeons un long baiser, sa langue pénètre ma bouche, je frotte mon bas-ventre contre son sexe, il bande fortement cela dure quelques minutes, je suis folle, j’ai encore envie de vous Monsieur, redonnez moi du plaisir comme tout à l’heure que je lui murmure à l’oreille. Il se dégage de moi, me fait reculer et me dit : retrousse toi petite pute, montre moi à nouveau ta chatte, écarte tes lèvres, montre moi que tu veux que je te baise, prouve moi que tu as envie réellement de moi, je m’exécute, les mots crus qu’il emploie décuple mon envie qu’il me prenne brutalement,bestiallement même ! Il me fait à nouveau plier en deux sur la table, relève ma robe, m’oblige à écarter mes jambes, il sépare mes fesses et je sens un corps gras avec lequel il enduit mon oeillet rose tout en introduisant un doigt dans mon fondement, je m’ouvre à lui et pousse mes fesses en arrière pour qu’il puisse bien l’enfoncer, puis c’est un deuxième doigt qui rejoint le premier, une douleur se fait ressentir mais je n’ose pas m’en plaindre et après quelques va et viens la douleur disparaît pour faire place à quelque chose que je ne connais pas, mais c’est très agréable, je l’encourage verbalement et lui ne se prive pas de me dire des mots que je n’ose même pas écrire ici, il finit par ouvrir sa braguette et extraire sa queue, il la positionne sur ma rondelle et s’enfonce en moi petit à petit pour bien me faire sentir son membre et me faire comprendre que je suis à lui. Ses mots sont de plus en plus orduriers à mon encontre mais je m’en fiche, sa queue me fait le plus grand bien et je crois jouir en permanence tellement c’est bon. En fait c’est un plaisir nouveau pour moi la frigide que j’étais il y a encore quelques heures. Sa bite me bourre de plus en plus fortement, elle grossit dans mon conduit, je la sens d’avantage et il se cabre au fond de mon cul et son sperme jaillit dans mes intestins, je suis terrassée par cette nouvelle jouissance et m’écrase sur la table. Il se retire et il observe mon anus qu’il vient de violenter en me le détaillant afin d’accentuer d’avantage ma soumission et ma culpabilité en ce jour exceptionnelle. Il plonge sa main dans la poche, en retire mon string, s’essuie le sexe avec et avec une grande délicatesse me l’enfile comme s’il ne m’avait jamais quitté, puis me faisant une tape sur les fesses, tourne les talons et quitte le vestibule. Je reste inerte, entrain de récupérer de la baise que nous venons de vivre. Je reste un bon moment comme cela avant de regagner la fête et mon mari. Tout à l’heure je serai à nouveau sa femme où presque.......il se prénomme Jean, depuis cette soirée j’ai connu trois autre quinquagenaires a qui je me suis donnée sans retenue leur offrant ce que je refuse à mon mari... ma jouissance !
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