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Ma coiffeuse: on passe du virtuel au réel

Chapitre 4

Gay
Pour rappel j’ai soixante ans et je retrouve mon ex coiffeuse tous les lundi, son jour de repos. Elle a vingt-cinq ans, célibataire, et on s’offre de chaudes baises. Je l’encule (entre autres choses) et elle me rend la politesse avec un gode ceinture. On s’est quitté la dernière fois alors qu’elle pensait à un éventuel partenaire. Voici nos échanges de ce lundi dernier:
— Vous n’avez jamais essayé avec un homme?— Non, je n’ai jamais eu l’occasion.— Ca vous dirait un partenaire avec une grosse queue comme notre gode?— Je pense que oui, mais dis moi, tu penses à quoi?— Je connais quelqu’un, mais il faut que je vois s’il est d’accord. — Et apparemment tu connais sa queue? Je croyais que tu n’avais eu que deux relations.— C’est un petit oubli. Mais promis je vous raconte tout la prochaine fois, et je l’aurais appelé entre temps.— C’est un jeune?— Je ne veux rien vous dire tant que ce n’est pas fait, patientez huit jours et vous saurez tout.— Ok petite salope, tu m’excites.— Je le sais vieux cochon.
Je la retrouve ce lundi et elle toute heureuse de m’annoncer la bonne nouvelle: l’homme en question est d’accord pour nous recevoir. Puis comme promis elle me raconte tout concernant ses relations avec lui:
Elle le connait depuis toute petite puisque c’est un de ses oncles. Adolescente elle passait les vacances chez lui et sa tante. Ils habitaient au bord de la mer, il avait un bateau et elle adorait qu’il l’emmène en promenade. Sa tante avait le mal de mer et ils se retrouvaient seuls. Elle aimait bronzer sur le bateau,, s’exhiber en bikini ou parfois monokini, mais son oncle semblait ne pas s’en émouvoir, même si en grandissant il lui semblait que son regard devenait différent. Quoiqu’il en soit il ne s’est jamais rien passé jusqu’à sa majorité.A dix-huit ans révolus elle n’avait toujours pas de petit copain et allait toujours en vacances chez ses oncle et tante.Comme les autres années elle s’amusait à allumer son oncle, mais cette fois elle a trouvé une réponse. Il lui passait de la crème solaire, à sa demande comme chaque fois, mais là c’était différent. Elle était allongée sur le ventre, en bikini, le haut dégrafé et le bas qui cachait peu de ses belles miches. Il lui badigeonne le dos, normal, puis ses mains continuent sur se fesses. Il les caresse longuement lui disant qu’elle a un très joli petit cul. Puis il la retourne, ses seins sont à l’air, il les caresse et sa main descend sur son ventre, dans son maillot.Elle a fermé les yeux et se laisse faire en gémissant. La suite est inévitable, et elle s’offre à lui, lui offre son pucelage. Depuis ce jour, et durant trois étés, ils ont baisé à chaque occasion, et elle lui a donné sa chatte et sa bouche sans compter.Puis elle a connu son premier petit ami, et elle n’est plus partie en vacances. Son oncle et tante ont divorcé, mais elle est restée en relation avec lui. Ils se racontent tout et elle sait qu’il s’est découvert une passion pour les hommes. Il ne baise plus avec aucune femme, mais lui a assuré de faire une exception pour elle, sa petite nièce chérie, dès lors qu’elle aura envie de la grosse bite à tonton..
Pour avoir une grosse queue il en a une , à l’en croire, et c’est grâce à notre gode qu’elle a pensé à lui pour une partie à trois. Seule ombre au tableau, il habite loin, sept heures de route; mais ses yeux magnifiques s’illuminent tant à l’idée de cette rencontre que je ne peux lui refuser ce plaisir qui sera aussi le mien.Il y a un week-end prolongé qui s’annonce, avec un mardi férié, un pont, et un samedi qu’elle va prendre. On part le vendredi soir et on arrive à trois heures du matin. Son oncle vient nous ouvrir, en pyjama, encore endormi. Elle se jette à son cou, ils se roulent une pelle, puis il me fait la bise. Il nous conduit à la chambre d’amis où il a prévu que je dorme avec sa nièce.
C’est notre première nuit à Anne-laure et moi, et au lieu de s’aimer comme des bêtes on n’a qu’une idée: dormir. On a des pyjamas d’été, elle un shorty et un top, moi un short, et on s’endort dans les bras l’un de l’autre.
Le matin j’entends du bruit dans l’appartement et je me lève. Tonton est à la cuisine et prépare le petit déjeuner. Il m’accueille par un tendre baiser puis on s’attable. On déjeune, on discute, on fait connaissance; je sais qu’il se prénomme Philippe et qu’il a cinquante-deux ans. Anne-laure nous rejoint, dans sa tenue sexy, et s’installe avec nous. On a fini de déjeuner, on se fait la toilette, puis on sort, à la fraîche. On fait un tour au marché, au port, puis on rentre se mettre aux abris. Ils ont prévu de chaudes températures, un temps à rester chez soi, volets fermés, pour une baise torride, à température ambiante.
On est au salon, Philippe est dans un fauteuil et s’adresse à sa nièce:— Viens ma chérie, fais moi une bonne pipe comme au bon vieux bon temps.Anne-laure n’hésite pas une seconde. Elle s’agenouille entre les jambes de son oncle et entreprend d’ouvrir son pantalon, de le baisser ainsi que son caleçon. J’ai à peine le temps d’entrevoir sa queue qu’elle l’a déjà prise en bouche. Il la félicite pour ces premiers instants, lui dit qu’elle a fait des progrès, puis m’invite à me mettre à l’aise. Je baisse le bas aux chevilles et je me branle. Elle se recule, a bien fait bander son oncle, et ils échangent quelques mots:— Oh tonton! Elle est trop belle ta bite, aussi belle que dans mes souvenirs.— Tu ne l’as pas oubliée ma petite salope.— Oh non tonton, c’est la plus belle de toutes.— Merci ma chérie.— Non, pas ta chérie, dit moi que je suis ta salope et bien plus. Soit grossier, on adore ça Eric et moi.— Ok salope, mais à propos d’Eric il a une belle bite lui aussi.— Oui, vous êtes mes deux bites préférées.Puis son oncle s’adresse à moi:— Tu ne t’es jamais fait pomper par un mec?— Non, que des femmes.— Il est temps de réparer cette erreur. Viens, donne moi ta queue, j’ai envie de sucer.
Je me lève et me plante devant lui, pétrifié par ma première expérience homosexuelle. Il me caresse tendrement, les cuisses, les hanches, le ventre, les couilles, la queue, me dit de me détendre avant de me prendre en bouche. Il me suce quelques instants et se recule pour contempler mon érection:— Eh, on dirait que ça te plait!— Oui, c’est bon, tu suces trop bien.J’ai à peine fini ma phrase qu’il me reprend. Elle est chaude sa bouche, bien saliveuse, et je trique comme un âne. Je le regarde me pomper, et il me fixe dans les yeux, me demande de l’insulter puisque j’aime ça. Il me suce toujours, sans détacher son regard du mien, tandis que je lui balance des obscénités, lui dit qu’il est une salope, une pute, comme sa nièce. A propos de sa nièce, elle s’applique à turluter la belle bite de son oncle, et ne manque rien du spectacle qu’on lui offre. Il s’en rend compte:— Ca te plait ma chérie de voir tonton sucer. Eh oui, j’aime la queue comme toi, j’aime le sperme comme toi, je vais le sucer à fonds à ton ami et avaler son foutre.Puis il s’adresse à moi:— Tu as entendu, je vais te vider les couilles et tu as intérêt à tout me donner.Il reprend sa fellation experte, je ne vais plus pouvoir me retenir et le préviens. Il s’active sur mon manche, salive au maximum, avec des bruits de bouche qui résonnent dans toute la pièce. Je jouis et le sers généreusement; il engloutit tout.On se congratule réciproquement, lui pour mon offrande, moi pour sa pipe.
On a prévu les grandes lignes de cette séance, et c’est maintenant à mon tour de le sucer. Je prends sa place dans le fauteuil, Anne-laure suce mon asticot tout mou, tandis que Philippe exhibe sa superbe bite devant moi (elle ne fait peut-être pas la taille du gode, comme me l’avait dit sa nièce, mais elle est au moins aussi large que la mienne et surtout plus longue). Je redoutais cet instant, mais maintenant que je louche sur sa colonne au ras de ma bouche je n’ai qu’une envie, la prendre toute, l’engloutir. J’embouche son gland sans hésiter puis mes lèvres coulissent sur sa hampe, de plus en plus loin. Il a l’air content de mes premiers débuts:— Je ne sais si c’est vraiment ta première fois, mais tu te débrouilles pas mal du tout.— Oui, c’est ma première, mais j’observe quand on me suce et je vois des vidéos. Alors j’ai une idée de ce qu’il faut faire.— Tu es un petit malin. Tu suces aussi bien que ma nièce à ses débuts, et quand je vois les progrès qu’elle a fait tous les espoirs sont permis; avec un peu d’expérience tu vas pomper aussi bien qu’elle, mieux que beaucoup de putes. Suce salope, prend la toute, bouffe moi les couilles.Je lèche ses belles boules, les gobe délicatement puis reviens sur sa queue. Je ne parviens pas, du moins je n’ose pas, à la prendre toute; il me dit de le laisser faire. Il va et vient dans ma bouche, plus profond à chaque fois, plus longtemps à chaque fois. Je le repousse, je crache, reprends mon souffle, puis ouvre grand la gueule pour l’inviter à revenir:— Mais c’est que tu en redemandes salope, elle te plait ma queue. Je vais te la mettre toute, tu vas sentir mon gland dans ta gorge, tu vas voir c’est trop bon. Oui, prend la toute grosse pute, je vais t’en donner de la queue, tu ne vas pas être venu pour rien. Anne-laure intervient pour dire qu’elle non plus n’est pas venue pour rien, et il la rassure en lui disant qu’elle ne perd rien pour attendre, c’est au programme. En attendant elle me suce, et m’a remis en forme, d’autant plus facilement que la queue de mon amant m’excite au maximum. Il la regarde faire:— Humm, c’est bon de te voir pomper ce chien. Fais le bien bander pour la suite.La suite c’est que je vais l’enculer, et il ne manque pas de me le rappeler. Il cesse de me baiser la gueule, me laisse le pomper librement et me demande de lui fouiller le cul en même temps, de bien lui ouvrir. Je passe une main entre ses cuisses, l’autre par derrière, et il écarte ses fesses pour mieux m’offrir son petit trou:— Salaud, ça te plait d’explorer mon cul de pédé. Elle est belle ta queue, je la veux dans le cul, mais avant tu vas me vidanger salope, tu vas être ma pute comme j’ai été la tienne.Il jouit à son tour, éjacule de longues giclées épaisses. Je suis habitué à bouffer mon sperme quand je me branle, et j’avale tout me disant que c’est la même chose. Il me félicite pour ma performance, et me roule une pelle savoureuse.
Le programme se déroule comme prévu, et on va dans sa chambre pour les séances sodomie.Il est à quatre pattes sur le lit, et je suis debout derrière lui. Je lui fouille le cul une dernière fois tandis qu’Anne-laure me suce pour me maintenir en forme. Son fion est prêt et je l’embroche d’un seul coup, puissant et profond. La petite me regarde faire avec curiosité:— Oh tonton, quand je pense comment tu m’as aimé, je n’aurais jamais cru que tu sois homo.— Mais c’est ta faute ma chérie, et celle de ta tante; ou plutôt je devrais dire c’est grâce à vous.— Comment ça?— Tu m’as offert ta chatte et ta bouche, mais tu m’as toujours refusé ton cul. Quant à ta tante, elle c’était ni son cul ni sa bouche, juste sa chatte et pas tous les jours. Alors j’ai été voir ailleurs, et je sais qu’entre hommes on ne se posent pas de questions, on baise, point barre.— Et les femmes! tu ne baises plus avec.— Non, toutes des coincées du cul. Il n’y a qu’une avec qui je veux baiser, aujourd’hui, demain, tous les jours que Dieu fait: c’est ma nièce, ma petite salope, toi mon Anne-laure chérie. Viens sous moi, je veux voir si ta chatte est toujours aussi bonne.Elle s’empresse de se glisser sous tonton, en 69, et ouvre grand les cuisses pour lui offrir son huître dégoulinante. Je ne la vois pas, mais je la devine lui pomper la queue, lui lécher les couilles, et s’émerveiller de ma tringle qui coulisse entre ses fesses d’enculé. On passe un petit moment ainsi, puis il s’adresse à sa nièce:— Equipe toi Anne-laure, je veux que tu me baises toi aussi, avec ton joli gode.— Tu es sûr, je ne sais pas si je vais oser.— Mais oui tu vas oser, tu encules bien Eric, ce salaud.— Mais c’est pas pareil, tu es mon tonton.— Justement, un tonton incestueux qui baise sa nièce, et qui a besoin d’une punition. Alors tu vas me prendre comme un chien, défoncer mon cul comme j’ai souvent rêvé de défoncer le tien. — Ok cochon, tu l’auras voulu.Elle prend son gode ceinture, se l’enfile dans la chatte pour le lubrifier, et se le fixe en place. Je me retire et elle s’engouffre dans son trou bien ouvert et accueillant. Elle lui a mis tout entier d’un seul coup, il pousse un cri que j’étouffe de suite avec ma queue que je lui plante dans la bouche:— Ferme ta gueule salope, on va bien s’occuper de toi tous les deux. Je lui baise la gueule, ma petite copine lui matraque le cul, et on libère des propos bien graveleux.Je vais bientôt jouir, je me retire, sa nièce aussi, et elle vient lui donner son gode à sucer. Il faut qu’il le nettoie s’il veut sa récompense:— Suce ta nièce salope, regarde comme elle est belle avec sa grosse bite. Nettoie sa queue et tu auras ensuite droit à la mienne, bien juteuse comme tu dois les aimer.— Tu es un beau salaud toi, tu sais comment traiter les putes, tu dois avoir l’habitude avec Anne-laure. Je vais la pomper cette chienne et puis tu pourras m’utiliser comme vide couilles, tu as raison j’adore ça.On fait comme prévu et on stoppe cette séance.
Il nous reste une étape pour conclure notre début d’après midi, celle ou je vais me faire mettre, mais avant cela on fait une pause bien méritée. On est allongés les trois sur le lit, lui au milieu. Il bande et sa nièce le caresse gentiment:— Ca va tonton, je n’ai pas été trop sévère?— Tu as été parfaite ma chérie, comme toujours. Par contre ton copain ne m’a pas fait de cadeau le salaud, alors crois moi que je ne vais pas le rater.— J’aimerais être à sa place, elle est trop belle ta queue tonton.— Patiente, ça va venir. Bon, on reprend?Il se lève et on se met en place. Je suis à quatre pattes, en 69 au dessus d’Anne-laure, et Philippe s’agenouille derrière moi. Je bouffe la chatte de ma petite chérie, mais elle ne s’occupe de ma queue ramollie. Elle écarte mes fesses au maximum pour bien dégager ma raie et l’offrir à son oncle. Je sens sa langue musclée parcourir mon sillon, s’attarder sur mon œillet, transpercer ma rondelle, me préparer à le recevoir. Il se relève, puis me plante son engin hyper bandé. Il s’adresse à sa nièce comme pour me mépriser, m’avilir, me soumettre:— Regarde bien ma nièce, regarde comme je vais le matraquer cet enculé. Je vais lui casser son putain de cul de chienne. Ah, il a voulu faire son macho avec moi, je vais lui montrer ce que c’est qu’un pédé queutard. Il est bon son cul, tu vois ma queue comme elle coulisse bien, jusqu’au fond?— Oh oui tu es le meilleur tonton, venge toi de ce qu’il t’a mis, et moi je lui en mettrais autant que je t’en ai mis. C’est bon de voir ta grosse bite entre ses fesses de salope, et tes belles couilles qui se balancent, tu me fais mouiller et il en profite cet enculé.— Oui, sers lui à boire à ce gros porc, et caresse moi les couilles. Putain, que j’aimerais pouvoir fournir autant de foutre que tu fournis de mouille, je l’inonderais ce fumier.......................Ils continuent leurs insultes et obscénités sachant que j’aime ça; finalement ce n’est qu’un jeu, pour adultes consentants. Il continue surtout à m’enculer comme un dieu, tandis que sa nièce pelote ses valseuses. Il me baise jusqu’à épuisement puis se retire pour venir dans ma bouche tandis qu’Anne-laure le relaie dans mon cul avec son super gode. Elle me lime comme jamais elle ne l’a fait tandis que son oncle m’enserre la tête avec ses grosses paluches et me fait aller et venir sur son manche. Il finit par éjaculer dans de gros râles, et j’avale tout comme la dernière des trainées. La séance est finie.
On se repose, on se félicite pour nos performances, on félicite surtout Ann-laure pour sa complicité; elle a accepté que l’on s’aime entre hommes sans trop s’occuper d’elle et elle a mérité sa récompense. On va sortir un peu, prendre l’air, boire un coup, se remettre, puis on va revenir pour la baiser. Promis, juré, ses deux queues préférées ne seront que pour elle.
A suivre.....
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