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Coline

Chapitre 9

SM / Fétichisme
Nous arrivons chez Pablo, qui me découvre en robe. Mais tu es magnifique ma chérie !Merci Pablo, lui dis-je en lui faisant la bise.je vais rester un peu, il te ramènera une fois ton service fini, fais bien tout ce qu’il te demande, je ne veux pas de réflexion de sa part, compris ?Bien Monsieur Max. Ce soir elle va faire le service pour les salons intimes.Bien, j’espère qu’elle sera à la hauteur, si ce n’est pas le cas, dit le moi.T’inquiètes, allez viens ma chérie, je vais te trouver une tenue plus adaptée pour le service. Ah bon ? En bas on est habillés normalement ?Oui mais là, ça dépend du restaurant, alors c’est différent !
Nous traversons les cuisines, et nous arrivons dans un vestiaire, un peu sordide, mais il contient des casiers pour y ranger ses affaires, et Pablo a un petit stock de vêtements et chaussures. Trouves ta taille et reviens me voir, je vais t’expliquer le travail.
Je passe une jupe droite bleue marine, elle est un peu courte, mais ça passe. Un corsage blanc en coton à col Claudine, et une lavallière rouge. Je me regarde dans la glace, on devine mon soutien gorge noir sous le chemisier, excitant à dire vrai. Je me sens complètement Coline. J’essaye les chaussures elles ont des talons de 5cm mais je ne sais pas marcher avec, je décide de conserver mes chaussures flamenca. Je noue le tablier blanc à broderies et me dirige vers la réception.Je ne sais pas nouer la lavallière, aussi, je vais trouver Pablo pour qu’il me montre comment faire. non, ne mets pas la lavallière, ouvre juste un peu ton corsage, ça suffira. Tiens, voilà un badge avec ton prénom. Merci, je vais tacher d’être la serveuse modèle, dis-je avec un grand sourire.A la bonne heure.
J’arbore fièrement mon badge, et parler de moi au féminin m’émoustille.
Il m’explique que je vais servir les desserts, ainsi que les cafés, dans les salons comme celle dans laquelle j’étais avec Maître Max.
Je prends mon service, et je ne m’en tire pas trop mal. J’ai plutôt de bonnes réactions, le plus dur étant de s’annoncer discrètement pour que les personnes aient le temps de trouver une posture convenable avant qu’on entre.

J’assure le service en prenant de l’assurance et tout se passe très bien, jusqu’à ce que j’ouvre le rideau d’un salon, pour trouver Monsieur Max en compagnie d’une jeune femme brune dans une position qui n’est pas équivoque. Je manque d’en renverser mon plateau. La colère me monte à la vitesse de la lumière. La femme est jolie, le teint mat, des cheveux longs et noirs geais, la poitrine nue est ferme et est portée fièrement elle me regarde avec arrogance.
Entre Coline !oui entre ! Et bien ma chérie, tu vas pas te mettre à bouder ? Merci, mais je dois continuer mon service, dis-je d’une voix blanche. Je te présente Gwen, une vieille amie. Nous couchons parfois ensemble, et c’est comme ça, tu n’as pas à discuter. Réfléchis et si tu veux continuer, c’est à toi de voir. Je vois, effectivement, il y a de la matière, je vais voir ce que je peux améliorer, mais ça ne va pas être facile, dit Gwen.
Je suis rouge écrevisse, je tourne les talons après avoir débarrassé mon plateau sur la petite table, je descends trouver Pablo.
Je lui explique la situationa toi de voir fillette, non les hommes ne sont pas des saints, mais le savoir permet de ne pas se tromper. N’oublie pas, il t’a amené jusque là où tu es.C’est à dire ?Il me passe la main sur mon sexeTu le sais depuis le début ?Oui fillette, alors réfléchit bien.
Je vais m’enfermer dans le vestiaire pour réfléchir un peu. C’est vrai que la vie que je mène ne me déplaît pas, et après tout, qu’est ce que je peux espérer d’autre ? J’ai la haine de m’être faite humilier de la sorte. Je tape dans tout ce qui me tombe sous la main pour évacuer ma colère. Une fois calmée, je me regarde dans la glace, et me repoudre le nez pour faire bonne figure. Je me réajuste et repart faire mon service.
La soirée se passe sans autre incident et Pablo me raccompagne après m’être changée. Pendant le trajet, nous en profitons pour papoter, il me raconte comment il a rencontré Monsieur Max et comment ils ont sympathisé, ces goûts pour les travestis et les femmes etc etc etc.je retire délicatement sa main qui s’égare sur ma cuisse.
Arrivés à bon port, Pablo m’accompagne, et nous entrons dans la maison. Gwen est habillée d’une jupe en cuir, d’un corsage en voile et dentelle noire, manifestement sans soutien gorge, le tout est complété par des chaussures à talons vertigineux. Elle est assise dans le canapé, un verre à la main.
La jalousie repointe le bout de son nez, et j’ai envie de lui arracher les yeux.
Allez Coline, va faire la bise à Gwen, me dit Monsieur Max sur un ton assez dur. Je m’exécute avec mauvaise grâce.
Je dis bonsoir à tout le monde, et monte dans ma chambre dans laquelle je vais passer ma première nuit complète. Je me déshabille et trouve une chemisette de nuit.J’ai du mal à m’endormir malgré la fatigue de la journée, la nuit est agitée.
La nuit a porté conseil, et j’ai bien envie de continuer l’aventure. Je descends préparer le petit déjeuner dans ma nuisette après avoir enfilé des mules.Je retrouve Gwen et Monsieur Max, dans le salon. J’essaye de faire bonne figure, mais je suis encore malgré tout encore un peu sous le choc de l’humiliation d’hier, j’ai du mal à pardonner.

Le matin se passe au bord de la piscine, j’ai passé un maillot a bretelles décolleté dans le dos, trouvé une paire de lunettes de soleil que je mets en guise de serre-tête. Gwen a la chance de pouvoir ne porter que le bas d’un monokini et se faire bronzer seins nus.Je fais quelques longueurs dans la piscine, vite rejoint par Monsieur Max. il m’embrasse et là je suis perdue, Gwen est une très belle femme et c’est moi qu’il embrasse, je ne comprends pas trop.
Tu vas aller avec Gwen, elle va te montrer quelques trucs de nanasbien Monsieur Max !
Nous partons avec Gwen, qui ne décroche pas un mot durant le voyage. Nous entrons chez un coiffeur, auquel elle lance :
Tiens Alexandre, voit ce que tu peux faire de cette tête à claques !Bien sur Gwen, je vais m’en occuper comme tu le souhaitesil me chuchote à l’oreille, t’inquiètes pas, elle à l’air de mordre, mais elle a le meilleur goût de toute la région, laisses toi aller, tu verras.
Alexandre me fait une coupe de cheveux, qui n’a rien d’androgyne, à chaque fois, que j’ai voulu intervenir, Gwen, m’a lancé des TSS TSS qui ne laissaient aucune place à la négociation. Je sors donc de chez Alexandre avec les cheveux teints en blond, avec un dégradé et le dos bien arrondi. Nous passons ensuite chez la maquilleuse, qui me fait un maquillage de soirée. Parfait, me dit Gwen tu es prêt pour la soirée de ce soir.Quelle soirée ? Max ne t’as rien dit ? Nonalors tu verras bien.
Nous continuons la tournée, esthéticienne etc.. tout y passe, et j’enregistre tout ce qui se passe.
La route du retour se passe comme à l’aller, en silence, du moins en apparence, car dans ma tête, il y a un drôle de brouhaha. Les questions se bousculent, les cheveux teints, la coupe, le maquillage, comment vais-je faire pour rester discret ? Si l’androgynie passait, maintenant, c’est plus que typé comme style. Bon, on avisera au moment venu. Au final, se faire coiffer, maquiller, etc , c’est plutôt agréable.
Une fois arrivés, Gwen, me fait monter, me choisit une tenue qui est plus que suggestive, elle est carrément provocante, culotte tanga en dentelle noire, mini robe moulante noire a large décolleté, un soutien gorge en dentelle adapté aux prothèses , et la touche finale, talons hauts.
je présume, que tu n’as jamais marché avec des talons hauts ?Non Madame,
nous passons du temps, à me faire marcher, en long en large, elle me corrige pour que je ne sois pas une caricature. Ça fait mal aux mollets et aux pieds, je ne sais pas comment les filles font pour porter ça toute la journée.
Je me regarde dans le psyché, et je réalise que je suis belle et sexy sans mauvais goût. Le maquillage, pourtant marqué est bien réalisé, et mets mes yeux bleus en valeur. Décidément, je suis en train de devenir une femme fatale.
Le soir arrive, et je suis prête. Monsieur Max, ne m’a pas encore dit de quoi était faite la soirée.
Pablo arrive pour le dîner que j’ai préparé en faisant attention à ne pas me faire de tâche et le dîner se passe tranquillement.
parfait, je t’avais demandé de faire tout ce que Pablo te demandait,Mais...il n’y a pas de mais, je te demande d’être gentille avec lui alors qu’il te fait travailler, et toi tu le lâche à la première occasion ? Tu vas te rattraper tout de suite.
Pablo, vient me prendre par les épaules avec un sourire carnassier que ne je lui connaissais pas et qui me fait peur, je me mets à quatre pattes docilement, il sort son sexe de son pantalon, il est bien droit et de belle taille, il me caresse le nez et la bouche avec avant de me l’enfoncer dans la bouche, en me tenant la tête fermement par les cheveux.Je commence mon mouvement de sucions en m’appliquant du mieux que je peux. Pendant ce temps, monsieur Max regarde, l’air satisfait, Gwen quand à elle me lance des regards méprisants.
Le sexe de Pablo est épais et m’étouffe quand il me fait des gorges profondes. Je suis trop occupée à le sucer et humiliée de le faire devant du monde pour voir ce qui se prépare.— lêche moi les couilles, me fait il en me dirigeant en me tenant par les cheveux.Je m’applique du mieux que je peux pour ne pas décevoir.
Monsieur Max est derrière moi, relève ma robe, baisse mon string en dentelle qui glisse le long de mes cuisses pour les entraver, puis me pénètre sans ménagement. Je sens ses coups de boutoirs qui explosent mon cul et le mettent en feu. 
Pablo m’inonde le visage de son jus chaud et gluant, j’essaye d’en boire un peu. Une fois fini, je récupère avec mon doigt ce qui reste et le lèche, j’aime son goût salé, pendant que monsieur Max fini de se vider dans moi. Une fois qu’il a fini, il se retire et m’empêche de me relever. Je vois Gwen ajuster un gant en latex et venir se placer derrière moi. Je sens sa main qui entre en moi sans ménagement, elle opère des rotations tout en donnant des impulsions vives, malgré la douleur, j’ai l’impression que je vais jouir, ma respiration est saccadée et haletante. Puis elle s’arrête et se retire de moi.
regarde ce que tu es, me dit Gwen, tu n’es qu’une sale pute de truie.
L’humiliation fait mouche, je ne me savais pas capable d’une telle débauche je suis dans un mélange de honte et d’excitation.Je me relève, ne sachant pas trop quelle attitude adopter.
Bien, maintenant, j’espère que tu as compris !Oui Monsieur Max, dis je le nez dans mes chaussures. Nous allons sortir, ce soir, tu vas faire le service pour une soirée spéciale chez Pablo, mais avant, tu vas te refaire une beauté et surtout tu vas mettre un porte jarretelles et des bas, Gwen, vas l’aider ma chérie s’il te plaît.
Gwen monte avec moi, et me montre comment faire pour ne pas abîmer les bas si fins à couture. Le porte jarretelle c’est pas évident pour attacher les bas, c’est tout une technique que Gwen me montre.Je me pomponne comme je l’ai observé ce matin.
Je redescends, Pablo, me faitmontre ?Je regarde Monsieur Max, ben qu’est ce que t’attends ? Montre lui ! T’es une vraie godiche !Je me tiens au milieu de la pièce, et je soulève petit à petit le bas de ma robe pour montrer le résultat sur mes cuisses et mes jambes. J’ai droit à un sifflement de Pablo et de Monsieur Max . Voilà une vraie salope qui va plaire !
La réflexion me fait plaisir. Je me sens de plus en plus à l’aise dans ces tenues, par contre la question qui me taraude c’est comment je vais faire avec les études, la famille etc... dur dur d’assumer tout ça.J’envoie un texto à ma sœur Abi ;je suis en train de devenir une salope et je crois que j’aime çaEnfin ! fais les tous craquer chérie, mais me pique pas mes mecs lolje bosse chez Pablo ce soir

je me prépare pour faire le service chez Pablo, mais je ne vois pas trop bien comment je vais faire avec les talons, c’est la première fois que je vais faire le service, et j’ai déjà mal aux mollets. Ceci dit, les bas, ça le fait bien, et c’est agréable à porter, c’est comme une deuxième peau, et du coup, je sens mes jambes, chose que je n’avais jamais senti avant, c’est sexy comme sensation, et du coup, j’ai les fesses qui se cambrent.
Je suis prête pour la soirée.
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