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Coline

Chapitre 10

SM / Fétichisme
Je profite pleinement de ce début de soirée. Etre en robe est agréable, je ne pensais pas pouvoir être aussi à l’aise en robe, bas et talons hauts. Je me sens bien, même mieux que dans les habits masculins.
Je me surprend à me regarder dans la glace, me réajuster pour être toujours tirée à 4 épingles.
la soirée est un événement mensuel, Pablo organise cette soirée débridée ou tout est permis.
D’habitude, tout se passe dans les petits salons, là c’est open bar partout. Je comprends mieux cette tenue hyper sexy, Pablo veille sur le confort de ses clients et les filles et moi sommes à son service. Au début, les filles et les gars me regardaient de travers, mais maintenant ils m’ignorent et ça me va bien. Je peux même me changer dans le vestiaire féminin sans que ça ne fasse scandale. Une fois de plus, je vérifie que tout est ok sur moi. Je blouse un peu ma robe sur ma ceinture pour laisser apercevoir un peu des jarretelles.
Je commence mon service, et comme d’habitude, des mains se perdent sous ma jupe, mais je n’y fais pas trop attention, après tout, ça fait parti du boulot, et je dois bien le reconnaître que ça me plaît, et mieux encore, je le provoque aussi par mes attitudes, je joue la mijaurée timide, ce qui me vaut quelques billets glissés dans mes bas. Faire le service avec des talons hauts est fatigant car je n’ai pas l’habitude.
Je me dirige vers un des petits salons, d’où sortent des bruits joyeux, manifestement une bande de jeunes fêtards. J’ouvre le rideau, et pose le plateau sur la petite table, comme d’habitude, je ne fais pas trop attention aux gens, mais là, la jeune personne blonde, aux petits seins ronds et fermes, je la connais. C’est.... c’est …
Abi ?Oui ma chériemais qu’est-ce que tu fous là ? Tu vois ma chérie, je m’éclate, c’est toi qui m’a donné l’adressemais eux qui c’est ? L’équipe de foot, je leur ai dit que tu travaillais ici, alors ils m’ont emmené.Le temps de ce bref échange, j’avais déjà des mains qui soulevaient ma jupe et caressaient mes fesses. Allez, détends toi, et vient nous rejoindre ou je fais un esclandre, les mecs, Coline est Shemale, profitez-en !
Tu nous l’avais bien cachée Abi, lance l’un d’eux. Allez Coline, j’aime pas sucer alors tu vas me remplacer pour ça ! Ok les gars ????oui tu as compris, allez au boulot salope !
Le mains se font plus pressantes, et je ne peux pas sortir, la sortie est barrée par un garçon plutôt format garde du corps.
Ça me gêne de voir Abi à poil au beau milieu de cette horde de mâles en chaleur, je la savais désinhibée, mais pas à ce point. Je me résigne donc à joindre la tribu dans son orgie. Je m’agenouille et commence à sucer tout sexe qui se présente sous mon nez, pendant qu’Abi s’occupe également avec quelques beaux gosses.
Ils déversent leur jus dans ma gorge que j’avale ou ils m’arrosent copieusement la figure, pendant qu’Abi elle se fait sauter allègrement.

Cette orgie avec la présence de ma sœur est surréaliste. Cette complicité involontaire avec Abi, n’est pas sans m’exciter.Les gars sont généreux en pourboires et mes bas sont pleins de billets de diverses coupures.
Je sors après un long moment, Et le service Coline ? Que faisais tu ?Je satisfaisais quelques clients, fais je en montrant mes bas pleins de billets.Ah bon, ça va alors, mais perds pas de temps, pendant ce temps, il y a d’autres clients qui attendent leur commande. Bien Pablo, je vais faire plus vitece qui m’arrange bien, car avec tout ce foutre dans ma gorge et dans mon ventre, ça fini par me donner la nausée.
Dans une autre loge, je suis littéralement plaquée sur la table par deux types du genre culturistes, ma petite culotte passée par dessus le porte jarretelle a vite glissée en bas de mes jambes et un sexe a vite pris possession de mon anus, après avoir été traitée de pute. Je suis ressortie humiliée une fois de plus, mais excitée par toute cette débauche.
La soirée continue à peu près sur le même rythme, et à la fin, je suis vidée si je puis dire, ou plutôt, je suis pleine comme une outre de foutre par tous les bouts.
La soirée se termine, Pablo a l’air content, la recette semble avoir été bonne.
tu as été la plus demandée, me dit-il en riant.Je vais me changer, mais je vois bien que les filles me toisent de haut, me traitant de sale pute, ou elle veut monter avec son cul, ce qui me touche et me donne envie de pleurer. Je comprends qu’elles n’ont pas le même traitement que moi, quelle Pablo arrête sa voiture dans un chemin de terre, il défait ma ceinture de sécurité, me tire les jambes, baisse ma petite culotte qui glisse par dessus les jarretelles et me prends. J’ai les jambes en l’air, et je sens son sexe aller et venir. Je sens la jouissance monter en moi. Je crie de jouissance, c’est bon, je me laisse aller.
Nous rentrons et vais me coucher sans demander mon reste. Je suis exténuée.
La matinée avance tranquillement,tu joues au tennis ?Oui avec plaisir, en fait je ne suis pas trop mauvaise, j’ai même remporté quelques tournois étudiants. Allez, va vite te préparer, on va voir un peu ça, et ne t’avise pas de me battre
Une fois de plus, dans la chambre, il y a toutes les tenues possibles et imaginables.Je choisi, un soutien gorge de sport genre brassière dans lequel j’y glisse les prothèses , je passe un tee shirt fait dans un produit technique, ainsi que la jupette assortie.J’ai passé une culotte boxer, pas question de mettre de la dentelle, ce ne serait pas assorti. Les mini chaussettes et tennis assorties complètent la tenue. Je choisis de me faire des couettes pour l’occasion.
Le jeu commence, et rapidement, je creuse un petit écart sur Monsieur Max. je note que son attitude devient agressive, aussi, je décide de le laisser prendre ma place,et de le laisser gagner. Aussitôt, son comportement change et il me regarde d’un air supérieur, me faisant remarquer que les jeunes n’avaient pas assez de résistance.
Je ne dis rien, et le jeu continue.
Je vois le gardien à l’autre bout du cours derrière le grillage, qui regarde l’air gourmand. Je me baisse ostensiblement pour ramasser les balles, ce qui je le vois bien, fait plaisir à Monsieur Max. je constate également, que le jardinier n’est pas en reste. Je le vois caresser son corps et sortir sa langue de façon suggestive. Je l’aguiche au passage, mais sans idée précise derrière la tête.Le set se termine après je dois le reconnaître quelques points arrachés avec difficulté.
A la fin de la partie, Monsieur Max, me demande de ramasser les balles autour du cours et de les emmener au jardinier pour qu’il les reconditionne. Je fais le tour du cours, nonchalante, je me baisse de sorte que ma petite culotte soit visible en ramassant les balles. J’aguiche le plus possible, le jardinier, que je fais semblant de ne pas voir. Cette situation m’excite au plus haut point.
Je ne l’ai pas entendu arriver derrière moi, et alors que je suis en train de ramasser une balle, je sens une main effleurer mes fesses. L’excitation monte en un clin d’œil. Je reste baissée, et je ferme les yeux, j’ai envie de me faire prendre là, tout de suite sur place, sans savoir qui s’occupe de moi. Je sens à nouveau la main s’aventurer de façon un peu plus précise sur mes fesses, ses mains puissantes m’agrippent les hanches très fermement. J’entends sa respiration haletante s’accélérer, je maintien ma position soumise à la volonté de ce que je sais être le jardinier. t’as beau être la pute du boss, je vais te bourrer le cul de grosse salope et tu vas rien dire, c’est compris ? Me bougonne t’il, sinon...oui, c’est promis , je ne dirai rien.tiens tu vas prendre ma grosse bite, tu vas voir comme c’est bonje le sens baisser ma petite culotte qui se retrouve au niveau de mes mollets, je m’agrippe à un arbre pour lui présenter mon cul du mieux que je peux sans tomber. D’une main, il me maintient le cou, de l’autre, il caresse mon anus avec son sexe durcit, puis il commence sa pénétration. Je n’avais pas prévu qu’il ait un si gros sexe et qui soit si long. Je gémis quand il commence à entrer en moi, et je pousse un vrai cri lorsqu’il me pistonne, la taille de son sexe est impressionnante et , j’ai l’impression de voir un allien bouger dans mon ventre a chaque coup de rein, ça me fait flipper. J’ai l’impression qu’il est en train d ’exploser mon arrière train. Sa jouissance arrive rapidement en jets puissants et en spasmes doublés de râles, je n’ai pas eu le temps de jouir, mais c’est pas grave. J’ai bien conscience que ces derniers jours, mon comportement a largement changé. J’adore porter des robes, j’adore séduire, j’adore me faire dominer et mes inhibitions sexuelles sont passées aux oubliettes. Aucun doute la dessus, j’aime le fait d’être devenu une grosse salope.Je me réajuste, ramasse les balles, les lui tends, il me fait signe de le suivre, nous continuons jusqu’à une petite maison que je ne connaissais pas, un petit garage y est attenant. Il me fait signe de déposer les balles dans un casier. C’est ici que tu les apporteras la prochaine fois.
Il me fait entrer chez lui, et me montre la salle de bains, la pièce est petite et à l’image du jardinier, j’en profites pour me faire un brin de toilette et nettoyer toutes les traces de cet épisode. Je rentre, en marchant doucement, la douleur est encore vive et mon attention est toute entière à ce niveau.
En rentrant, Monsieur Max, me prend et force ma bouche avec sa langue, je me laisse aller, tellement c’est bon d’être dans ses bras. Ses mains parcourent mes fesses, et me donne une bonne claque sur les fesses qui doit bien laisser une marque vu la puissance.Pablo, m’a dit que tu avais été à la hauteur, c’est bien.Il m’appuie sur la tête pour que je me mette à genoux, baisse son short, je regarde gourmande son sexe, et l’engloutit dans ma bouche, il sent bon. J’aime le sentir coulisser dans ma bouche, aller taper le fond de ma gorge même si ça provoque encore des réflexes de régurgitation.Je le mouille de ma bave pour que ce soit le mieux lubrifié possible. Je joue avec son gland, le mordille, le lèche, joue avec en l’aspirant. La jouissance arrive dans ma gorge, il se retire, me tient par le menton, je lui montre son jus entre mes dents, il me pince le nez pour me voir l’avaler. Une fois fait, je le regarde fièrement. Il me lâche, et je monte dans ma chambre pour me changer. Je dois me reposer un peu.
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