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Ma collègue Janice

Chapitre 1

Divers
Qui n’a jamais souhaité qu’une situation banale de votre quotidien prenne doucement une tournure coquine, voir plus… C’est un peu le fond de l’histoire que je vais vous conter maintenant. Je travaille dans un bureau pour une entreprise de service. Nous sommes 8 personnes dont 4 charmantes femmes de 22 à 35 ans : Maria, Janice, Ariane et Chloé.Elles sont ravissantes : toujours bien habillés avec parfois une petites pointes « sexy », beaucoup d’humour et de caractère…Elles sont toutes en couples sauf Janice.
Pour les décrire un peu mieux, Maria est une mère de famille avec du style, elle cherche toujours a s’habiller un peu rebelle pour rappeler au monde que, quoique trentenaire passé, elle reste une peu rebelle : cheveux décolorés, dock marteens, et tout le kit. Elle est très sympa, mais je ne m’attarderais pas trop sur elle.Janice est une jolie fille de 26 ans, petite, blonde, des yeux bleus envoûtant, toujours parfaitement habillée avec des vêtements qui mettent toujours en évidence ses jolies formes. Elles est très naturelle : pas de maquillage, fond de teint ou mascara, en revanche elle se vernis toujours les ongles des pied qui sont superbes, des pieds parfaits et pourtant, je ne focalise pas souvent sur ces parties du corps des femmes habituellement. Elle a de petits seins, mais ayant une jolie forme, légèrement en poire et avec des extrémités magnifiques : des petits tétons tout pointus. Comment ai-je pu les voir ? Par hasard en faite ! Un jour, lors d’une pose elle s’est penché pour ramasser quelque chose et ce spectacle de rêve s’est offert à moi : les deux petits seins remplissant à peine le soutien-gorge qui s’ouvrait légèrement me laissant découvrir ces petites pointes avec une aréole d’une parfaite circonférence et des petites extrémités, le tout devant mes yeux. Si j’avais pu, je les aurais photographiés pour en garder l’image, même si je l’ai toujours en tête… Je reviendrais sur Janice par la suite afin de finir de dresser le tableau de famille du bureau.Ariane a quant à elle 26 ans. Elle est relativement grande, bien foutu, une peau relativement blanche avec quelques tâches de rousseur. Sa silhouette est très agréable avec de jolies fesses et des seins de taille et de forme identique à ceux de Janice. La différence est qu’elle est plus grande et qu’une poitrine un peu plus volumineuse lui irait mieux. Mais, elle reste très agréable à regarder, enfin, je pense car je n’ai pas eu la chance de les voir directement comme ceux de Janice, Néanmoins, ce que l’on peut deviner à travers ses vêtements, moulant ses courbes, laisse imaginer que cette charmante demoiselle satisferait la vue de n’importe quel homme (et probablement de femmes également). Ariane est très drôle, beaucoup d’humour et un tempérament coquin clairement exprimé. Elle ne manque jamais une occasion de participer à une conversation sur la sexualité, la séduction ou plus si l’occasion se présente. Elle aime ce jeu qui consiste à ne pas laisser refroidir une conversation qui émoustille son entourage. En revanche, elle est très ouverte, sans tabou, mais ses limites restent toujours claires. J’ai eu beau la pousser parfois dans des sujets plus « osés ». Elle suit la conversation mais ne la laisse jamais glisser vers des sous-entendus dangereux… Comme vous l’imaginés, les pauses café peuvent être parfois palpitantes…Enfin, ma dernière collègue, Chloé est la benjamine de l’équipe, du haut de ses 21 ans, elle reste la plus intrigante. Physiquement, elle est petite avec un jolie visage relativement rond, un magnifique corps dont les courbes sont relativement prononcées : des fesses bien galbées, un jolie ventre qui comme l’ensemble de son corps est très musclé sans être complètement sèche. Et surtout, elle a une paire de seins incroyables, ils sont gros, fermes et relevés. On croirait qu’ils veulent faire exploser les hauts qu’elle porte, car bien sûr, elle en est fière et sait parfaitement les mettre en évidence. Il ne faudrait pas qu’ils soient plus gros, sinon, sa silhouette serait probablement moins gracieuse. Ce n’est pas leur grosseur qui impressionne, mais leur fermeté. Je ne les ai jamais vu, si ce n’est à travers les magnifiques décolletés que Chloé porte parfois, je veux dire… souvent. J’ai espoir de les voir un peu mieux un jour, ne serait que maintenus dans un charmant maillot de bain 2 pièces. Je profiterais de l’occasion pour admirer également ses fesses qui semblent être au moins aussi ferme… Paradoxalement, la jeune demoiselle est très pudique et à mon grand damne, elle fuit les conversations coquines que peuvent lancer ses acolytes. Quel dommage ! Pourtant, elle n’a pas l’air d’être coincé, mais je suppose qu’elle garde tous ses charmes pour son chéri qu’elle semble aimer follement. On ne peut malheureusement pas le lui reprocher ! Comme vous pouvez le constater, je suis bien entouré. Mes collègues sont sublimes et « qui plus est » très intéressantes : intelligentes, avec beaucoup d’humour, du caractère, un coté coquin, pour la plupart sans trop de pudeur, ouverte à toutes les discussions.J’ai plusieurs anecdotes à vous raconter ce qui me permettra d’ailleurs de vous parler un peu plus de Janice.
Janice est une éternelle célibataire. En fait, je pense que la pauvre a connu une relation passée difficile dont elle ne s’est jamais vraiment remise. Sans être trop lourd, on parle de temps en temps avec elle de son célibat, les autres l’encourage à se faire plaisir de temps en temps, de se lâcher. « Et si tu reste avec lui pour la nuit et que le lendemain tu as oublier son prénom, c’est pas grave si tu as pris ton pied » : dixit Ariane (je vous avais dis qu’elle était coquine). En même temps Janice voudrait, mais elle a perdu confiance en elle avec le temps, ce qui refrène parfois les potentiels prétendants.Un vendredi après midi, en arrivant au bureau, les filles semblaient n’avoir nullement l’intention de se plonger dans leurs dossiers et elles avaient d’ailleurs entamé une conversation assez intense. Janice me tombe directement dessus en me demander texto : « Comment il faut que je fasse pour devenir une salope ! » J’étais un peu abasourdi par la question, d’autant plus qu’elle m’a été posée à froid et je ne su quoi répondre. Et pourtant, mon imagination commença à bouillonner, mais je décidais de ne pas entrer dans la conversation. Je préférais continuer mon travail en laissant une oreille capter la conversation qui continua sans attendre une réponse de ma part. J’attendis le moment opportun et quelques minutes après avoir été sollicité pour savoir « Comment devenir une salope ? » je lançais un hameçon : « C’est pas compliqué en fait, tu va sur google, tu tapes «comment devenir une salope, et tu regardes ce que le moteur de recherche te propose ! Je suis sur que tu vas tomber sur des sites d’histoires érotiques où tu trouveras certainement la réponse à ta question ! » Et je retourna dans mon mutisme afin de masquer mon intérêt pour la conversation. Les filles interpelées par ma remarque, IPhone en main se mirent immédiatement à chercher. Ariane fut la première à trouver. Je la soupçonne d’avoir trouver la réponse à la question sur notre site favori et elle se mit à lire le texte coquin qui allait guider notre collègue sur la voie de la débauche, ou presque. J’écoutais le récit, ainsi que les suivants. Je fut pris d’une érection, non par le texte que tout le monde écoutait attentivement, mais en imaginant ce que ressentait ces petites dévergondées qui n’attendaient finalement que ça : se chauffer un peu ! Quoique qu’essayant de garder leur sérénité, elles devaient commencer à avoir des palpitations et des bouffées de chaleur à en croire le changement de couleurs de leur pommettes. J’imaginais leurs culottes qui devaient commencer à devenir humides au fur et à mesure de la narration. Plusieurs lectures suivirent, toutes aussi excitantes, mais, au risque de vous décevoir, l’histoire s’arrêtait là, malheureusement ! Rien ne vous empêche d’imagine, comme moi, la tournure que cela aurait pu prendre. Et je suis certain qu’en lisant ce récit, vous ne pouvez vous empêcher de faire le parallèle avec votre propre vie, avec vos collègues, vos ami(e)s, vos proches…
Rassurer vous, l’histoire ne s’arrête pas là, car un autre vendredi, après le boulot cette fois, nous sommes allés boire un verre pour l’happy hour. Après plusieurs semaines sans aborder le sujet, le célibat de Janice revint à l’ordre du jour. Cette fois, je participais plus activement à la conversation en prenant ponctuellement le relai sur Ariane qui y allait de bon cœur. Je lançais alors de nouveaux hameçon : « peut être que tu n’aimes pas les hommes et que tu ne veux pas nous l’avouer ? Peut être que tu préfères les femmes ? L’alcool aidant, la réponse fut immédiate : Janice lâcha : « J’ai déjà essayé, il ne faut pas mourir idiot, mais je préfère quand même les mecs ». J’eus du mal à la croire, j’eus le sentiment qu’elle avait pris plus de plaisir au cours de son aventure lesbienne qu’elle ne voulait le laisser paraître ! Et l’image de Janice dans les bras d’une autre fille dont je soupçonnais largement l’identité me durcit immédiatement le membre. Je dus me déhancher afin de le placer dans une position plus confortable : mon jean me serrais, ce qui n’était pas plus mal vu l’énorme effet que me procurait cette vision de ma collègue dans les bras d’une autre fille, Pauline pour ne pas la citer, s’embrassant, se léchant délicatement les seins et se plaçant en 69 pour se donner mutuellement du plaisir. J’aurais rêver pouvoir sortir mon sexe et me masturber afin de profiter pleinement de cette pensée, mais, au milieu d’un bar, ça ne se fait pas !!!Du coup, je renchérie : « alors peut être que tu es frigide, ça arrive, ce n’est pas grave tu sais ! » Non que je croyais ma collègue frigide, c’était surtout pour maintenir le fil de la discussion et une deuxième fois la réponse tomba immédiatement : « ah non, ça frigide, c’est pas mon cas, ce serait plutôt le contraire ». Une âme sensible ou inexpérimenté n’aurait pas résister : ma queue me faisait mal ! Je l’imaginais jouissant de plaisir intense sous mes coups de langue ou ceux de sa partenaire et sous les pénétrations lentes mais continue de mon sexe dans sa chatte humide. Un régal ! La savoir aussi sensible me laissa penser qu’elle devait régulièrement se masturber, seule chez elle, dans son lit ou sous la douche… Je garda cette pensée à l’esprit pour, quelques heures plus tard, évacuer la pression accumulée : la quantité de sperme générer par l’excitation de la soirée m’impressionna : des jets sortaient sans cesse de mon gland, j’eu presque mal au ventre ensuite tellement les spasmes subits avaient été violents !A partir de ce jour, je me suis lancer un défi : il fallait absolument que je fasse jouir Janice : je voulais impérativement la faire jouir sans la pénétrer. Si elle avait eu une mauvaise expérience avec un mec, je lui montrerais qu’il y a des hommes qui peuvent faire aussi bien qu’une femme, en ne s’intéressant qu’a son plaisir à elle ! Je voulais l’embrasser sur tout le corps, de la tête au pied. Lui embrasser le cou, les joues, le front, la bouche. Descendre à ses pieds, les embrassez en remontant le long de ses jambes, sortir ma langue pour la lécher en remontant au niveau de ses cuisses, éviter son sexe pour atterrir au niveau de son ventre. Baiser son ventre, remonter vers sa poitrine, embrasser ses seins à travers son soutien gorge et doucement, les revoir dans leur intégralité après avoir dégrafé son soutien gorges. Et un soir, après une énième soirée du vendredi soir, c’est ce que nous fîmes. Après l’happy hour et quelques verres, je la raccompagnai à sa voiture qui était garé près du bureau, à coté de la mienne. Avant de partir, elle voulait aller aux toilettes, au bureau, je lui dis que je ferais bien de boire un verre d’eau avant de rentrer chez moi. Alors que nous discutions tranquillement debout dans la salle de pause je me suis lancer : « Tu sais, j’aimerais beaucoup te faire plaisir ». Un peu enivré, elle me répondit avec un sourire : « Ah bon et qu’est ce que tu propose ? ». Je m’approcha d’elle, la prit dans mes bras, et sans l’embrasser, je commençais à lui caresser le corps comme je l’avais imaginé. Après de longues caresses, je me baissa légèrement, la souleva, elle croisa ses cuisses autour de mes hanches, je marcha un peu et la déposa délicatement sur la table de la salle de réunion. Je la fis basculer pour l’allonger. Je défis mon haut afin de lui placer derrière la tête. Je commençais alors mes caresses, mes baisers et je l’effeuillais petit à petits. Ses seins étaient superbes : petits mais ferme, agréables dans la main, et sous la langue… Janice gémissait sous mes caresses. Elle n’avait pas menti, sa sensibilité était avérée, j’entendais son souffle sous chacun de mes coups de langue. Après m’être délecté de ses seins, je glissais doucement vers son mont de Vénus. Je n’y tenais plus et elle non plus d’ailleurs, car en découvrant sa culotte, je vis une tâche brillante juste à l’endroit où ses lèvres devaient se rejoindre. Elle mouillait beaucoup, et en approchant mon visage de sa culotte, je pu reconnaître l’agréable odeur d’un sexe de femme en état d’excitation. Ma langue fit le tour de sa culotte et tirait sur l’élastique afin de montrer mon intension de libérer ce sexe de sa prison de tissu. Auparavant, je posais ma langue bien à plat sur la source de la mouille qui souillait sa culotte. Mmmmmmmh, un vrai régal, je passa immédiatement mes deux mains derrière ses fesses pour lui arracher sa culotte : je découvris alors dans la mi- obscurité de la salle de réunion, une magnifique chatte parfaitement épilé avec les deux grosses lèvres prenant en étau un petit clitoris déjà humide. En lui relevant les cuisse pour lui enlever sa culotte, j’avais pu voir que son fluide lui avait même couler légèrement entre les fesses, je ne voulais rien gaspiller et avais bien l’intension de récolter tout ce nectar. J’arrêtais de tourner autour du pot, je m’attaqua directement à sa chatte en partant du bas, entre son anus et le début du cratère en remontant jusque sur son mont de Vénus. Janice semblait défaillir. Je continuais de plus belle. Ce goût sublime, d’abord un parfum de lavande mélanger un goût caractéristique de femme… Ce liquide visqueux dans ma bouche. Ma queue était bandée à fond. Je suis certain que mon gland aussi devait laisser échapper une autre sorte de liquide visqueux. J’osais lui demander si ça lui plaisait. Un long ouiiiiii fut sa réponse. Je continuai de plus belle. Ma langue avait terriblement envie de continuer son exploration, aussi, je l’introduis alors le plus profondément possible dans sa chatte, presque à en avoir mal sur la face inférieure. Je simulais alors de va et viens en revenant régulièrement titiller son petit capuchon gonflé. Mon âme d’aventurier voulait continuer mais, je ne voulais pas la brusquer. Et je voulais la laisser un peu de choix dans la situation, je lui proposais alors en croisant les doigts pour qu’elle accepte : « tu veux que je descende plus bas». Par chance, rempli d’excitation, elle était d’accord. Alors, après une dernière lapée, je posais mes deux mains derrière ses cuisses, les souleva un peu et lécha directement son trou du cul. Le goût de la cyprine recouvrant son anus mélangé au parfum musqué de son orifice était délectable. Je le lécha en petits cercles pour bien délimiter la zone et posa ensuite la pointe de ma langue au milieu de la cible. Je le sentais se contracter et décontracter autour de ma langue, comme si ce petit cercle cherchait à masturber ma langue. Janice gémissait beaucoup. Pour lui donner le coup de grâce, je passa mon bras autour de sa cuisse et vint poser mo pouce sur son clitoris. Je forçais alors le passage, pas longtemps finalement, car je sentis l’orifice s’ouvrir et laisser entrer intégralement ma langue. Je continuais de faire un mouvement de lapage à l’intérieure de son anus ce qui déclencha immédiatement un orgasme intense, accompagner de couler de mouille sortant de sa chatte et coulant sur ma langue qui continuait ses mouvements. Mon autres main était posée sur mon jean la ou une belle bosse déformait toujours la partie ou la fermeture éclaire semblait vouloir exposer.
La suite et d’autres histoire très bientôt si cela vous a plu.
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