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Le combat de cocks

Chapitre 2

Trash
Le gros Litron Zéone, remontant ses lunettes, reprend la parole :
— Eh bien nous allons passer à la deuxième épreuve, qui se déroulera ici même à Jouis-en-Josette, ma chère Siconne ; je rappelle à nos téléspectateurs que nous sommes en duplex avec Siconne Carnier et Lee Gux qui se trouvent à Burnes-sur-Yvette, où les Burnés vont soutenir leur champion.
Une longue clameur se fait entendre. Il reprend :
— Je m’adresse maintenant à Josette Quibèze, maire de Jouis, qui va nous présenter le champion de sa commune.— Il s’agit de Monsieur Gauliatte.
Sous les vivats de la foule, un homme de haute stature – un quasi-géant de plus de deux mètres – revêtu d’un peignoir de satin bleu-nuit se dirige vers l’arène où le combat va avoir lieu. Savourant les encouragements de la foule, il s’arrête à hauteur du plateau, les poings sur les hanches, attendant de pied ferme l’autre concurrent. Le gros Litron le rejoint.
— Comment vous prénommez-vous, Monsieur Gauliatte ?— Yves.— Et quelle profession exercez-vous, Yves ?— Je suis dentellière-brodeuse.— Si vous remportez cette épreuve, vous assurez la victoire de votre ville sur celle de Burnes-sur-Yvette, Yvette… euh, pardon, Yves. Mais voici que l’autre candidat pénètre dans l’arène.
En effet, sans se presser, en traînant les pieds, les épaules voûtées, un petit bonhomme apparaît sous les huées des Jouisseurs qui le conspuent. La différence entre les concurrents est phénoménale : autant le premier est colossal, autant celui-ci est courtaud et maigrichon.Visiblement surpris par son apparence, Litron Zéone lui tend le micro.
— Vous avez le redoutable honneur de défendre les couleurs de votre commune qui, je vous le rappelle, vient de perdre la première manche de cet Invertilles ; les Burnés comptent sur vous pour obtenir un match nul ! Mais avant de débuter cette seconde épreuve, vous allez vous présenter à nos téléspectateurs.— Eh bien, je m’appelle Leroy ; Leroy David.— Et quelle est votre profession, Monsieur Leroy ?— Je suis inséminateur dans une coopérative agricole.— Alors, allez-y, les champions ; et que le meilleur gagne !

Le petit homme s’approche de son adversaire qui le toise de haut, affichant un sourire goguenard. Réalisant l’importance de leur différence de taille, le gros Litron propose une estrade pour amener les deux concurrents à la même hauteur, mais David Leroy refuse. Et pour cause…
Son adversaire vient de se dépouiller de son peignoir ; il est à présent totalement nu, et arbore un sexe en érection de taille respectable qu’il exhibe à l’assistance en le secouant dans tous les sens. Lorsque le petit homme laisse glisser au sol son vêtement, un « Oh !… » de stupeur s’élève des gradins. Des mâchoires s’abaissent, laissant apparaître des bouches béantes, tant la surprise est extraordinaire ; on voit même quelques dames de la bonne société, venues s’encanailler, se trémousser sur place, un filet de bave à la commissure des lèvres tandis qu’elles observent le phénomène à la dérobée avec des regards chargés de lubricité. Devant les supporters ébahis, un braquemart monstrueux se dresse ; une hampe d’une cinquantaine de centimètres, veinée et noueuse, supporte un gland disproportionné, déjà décalotté, de la taille d’un pamplemousse, qui arrive au niveau du front du petit homme.
Sur la face de son adversaire déstabilisé par ce mandrin qui va lui être opposé, le sourire condescendant qu’il arborait jusque là se fige instantanément, puis se transforme en rictus ; il recule d’un pas, hébété, comme hypnotisé par ce monstre dont il ne peut détacher son regard.
Deux mignonnes assistantes rapprochent les combattants l’un de l’autre et, après avoir fait glisser le prépuce d’Yves Gauliatte pour dégager son gland, entreprennent de relier les deux verges au moyen d’une ligature. Un gong résonne. Le combat de cocks commence !
Immédiatement, le géant tire avantage de sa taille pour tenter d’écraser le petit David, qui résiste pourtant vaillamment, arc-bouté derrière sa verge monstrueuse qui plie à peine sous les assauts.À Burnes-sur-Yvette, les spectateurs encouragent leur champion du mieux qu’ils peuvent ; la fanfare locale massacre une marche militaire tandis que de jeunes majorettes lèvent les jambes en cadence. Les hurlements de la foule redoublent d’intensité lorsque les jupettes qui arrivent tout juste en haut des cuisses juvéniles découvrent par moments la foufoune des adolescentes : elles ne portent pas de culotte ! Sur les gradins, quelques pervers extirpent discrètement leur verge de leur pantalon et se branlent furieusement.
Lorsque la musique prend fin sur un dernier « couac » discordant d’une trompette, la chef des majorettes se met à hurler :
— Qui est-ce qui a les plus grosses burnes ?
La foule scande en chœur :
— C’est les Bur-nés ! C’est les Bur-nés ! C’est les Bur-nés !
À Jouis-en-Josette, c’est l’enthousiasme : le colosse, pivotant sur lui-même, a fait décoller son adversaire du sol et le fait tournoyer autour de lui. Le public hurle sa joie : à présent, la victoire ne peut échapper aux Jouisseurs ! Tout le monde s’attend à voir céder le lien qui relie les deux concurrents et le petit homme s’envoler dans les airs ; mais ils sont rapidement déçus, car le lien tient bon : à peine s’est-il légèrement distendu sous l’effet de la force centrifuge.
Gauliatte adopte une autre tactique : contractant rythmiquement ses sphincters, il raidit encore plus sa verge tout en s’inclinant de gauche à droite pour faire fléchir celle de son adversaire ; les deux membres luttent dans un corps à corps acharné, mais l’énorme bite du Burné résiste. Par contre, les frottements des deux glands qui glissent l’un contre l’autre – les freins hypersensibles en contact – provoquent une excitation irrépressible chez le Jouisseur ; en effet, même s’il s’en était défendu jusque là, il doit bien admettre qu’il n’est pas insensible à cette queue monstrueuse et à l’énorme gland violacé qui semble le narguer : oui, il a des tendances homosexuelles qu’il n’avait jamais assumées, lui, ce grand gaillard d’apparence si virile…
Plus les frottements entre les deux glands se font fréquents, plus il sent le plaisir monter au creux de ses reins ; puis une vague impérieuse de jouissance l’emporte, et il déverse des flots de sperme sur son adversaire. Confus, il s’immobilise, stupéfait, tandis que son membre débande ; le Burné profite de l’occasion et, d’une secousse bien placée, son braquemart phénoménal fait ployer la bite du Jouisseur.
Les arbitres déclarent David vainqueur de Gauliatte sous les protestations de la foule qui crie à la trahison. Le gros Litron Zéone tente d’apaiser l’assistance avant que ça ne tourne à l’émeute :
— Mesdames et Messieurs, du calme, je vous en conjure ! Tout n’est pas perdu pour Jouis-en-Josette ; les deux communes sont actuellement à égalité : il reste une épreuve pour vous départager. Ma chère Siconne, quelle est-elle ?— Eh bien, mon cher Litron, il s’agit de la course d’escarbites.

[ à suivre ]
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