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Ca a commencé comme ça !

Chapitre 21

Zoophilie
LA VISITE DE CHANTIER.
Pour écrire ce récit, j’ai demandé à Lucie et Monique de rassembler nos souvenir de cette première visite de chantier, qui fut suivie, vous vous en doutez de nombreuses autres.C’est donc un texte écrit à 6 mains .
Nous avions, à cette époque, une sexualité débridée, un peu moins maintenant, l’âge venant !
Il faut dire que Dany avait initié la petite pucelle ignorante que j’étais lors de notre rencontre, à une sexualité intense, sans tabous ni limites.Son acceptation à ce que Lucie, puis Monique ensuite, viennent se joindre à moi pour former le trio de ses femelles, ses petites putes, comme il disait, a encore exacerbé notre penchant pour le plaisir des sens .Il connaissait notre bisexualité, tri sexualité devrais je dire, si on ajoute nos amants canins, et l’acceptait sans restrictions aucunes.De notre coté nous savions qu’une de ses secrétaires était sa maîtresse, et que, à ses dires, il arrivait fréquemment que certaines acheteuses reviennent le voir non accompagnées pour soit disant examiner en détail l’appartement qu’elles convoitaient et finissaient par tester pour de vrai leur future chambre à coucher.
Il avait des maîtresses, nous avions des amants et parfois des amantes.Pas par vengeance ou déception, non, juste pour le plaisir.Quand nous étions trop demandeuses, il nous disait que nous n’étions que des salopes qui avaient le feu au cul, et cela ne lui déplaisait pas, même s’il nous menaçait -entre guillemets -de nous trainer sur ces chantiers.Ca vous calmera peut être de vous faire sauter par des mecs en rut qui n’ont pas baisé depuis un moment, ajoutait il, sans toutefois passer à l’acte.
Aussi, quand une fin de semaine il a téléphoné pour nous dire qu’il ne rentrerait pas car il avait un gros problème à régler, nous avons décidé de lui rendre visite.
Notre préparation fut rapide : maquillage léger, queue de cheval qui dégageait bien notre nuque.Coté vestimentaire, chemisier en lin négligemment boutonné pour laisser apparaître la naissance de nos seins, noué à la taille pour mettre en valeur ventres plats et nombrils coquins.Mini jupes en stretch qui cachaient à peine nos culottes en dentelles, moulaient parfaitement nos formes et laissaient nos jambes découvertes à la limite de l’indécence.Enfin, petites ballerines, plus pratiques pour marcher sur un sol inégal. L’image que nous renvoyait le miroir nous amusait beaucoup : trois jeunes femmes au visage d’ange, au regard pur, presque virginal, dans une tenue à damner un saint !
En chemin, notre conversation portât essentiellement sur ce qui allait se passer, toutes les hypothèses furent envisagées.Comment allait il réagir ?Serait il heureux de nous voir ??Allait il se comporter en mâle orgueilleux, fier de parader devant ses employés entouré de trois jeunes femmes aguichantes ??Serait il en colère et irait il au bout de ses menaces en nous livrant à ses mecs en rut, comme il disait ??? Monique était très excitée : humm, ! un beau maçon aux épaules larges, aux bras muscles, aux abdos en tablette de chocolat, et tout le reste ....Ca ne vous tente pas ??Moi je veux bien visiter l’appartement témoin en sa compagnie, il paraît qu’ils sont meublés.Dans le rétro, je l’ai vue se tortiller un instant puis tendre sa petite culotte à Lucie.Tiens, met là dans la boite à gants , comme ça je suis prête !
L’instant d’après nous délirions sur toutes sortes de scénario :
Dans la cuisine, appuyée sur la table ou le plan de travail, en vraie petite ménagère !Une vraie ménagère est à genoux, en train de laver le sol, corrigea Monique.Pas très pratique quand même, répondis je.Ca dépend, si elle à un beau chien ?Ou une bouche pulpeuse, renchérit Lucie en se léchant les lèvres.Dans l’entrée, fit elle .J’imagine une étreinte furtive ... Plaquée contre le mur il te fouille d’une main nerveuse, te mords les lèvres pour t’empêcher de crier, te prend brutalement et gicle rapidement avant de te laisser dans le noir .Ou alors, on leur donne rendez vous dans l’appart, et on attends toutes les trois agenouillées au pied du lit.Eh, pas mal comme idée !Mais, laquelle choisiront ils ?Seront ils maladroits ou bien attentionnés ??Préféreront ils une chatte brûlante ou un petit cul serré ???Nous feront ils l’amour avec précaution ou seront ils pressés de se vider les couilles ????Mystère, fit elle !Moi, je me verrai bien en femme d’intérieur, allongée nue sur un tapis moelleux, ronronnant comme une chatte devant un feu de cheminée, pendant qu’un beau mec me fait l’amour avec douceur.Mais .... il n’y a pas de cheminée dans un appartement, firent elles en coeur.
Pas besoin de cheminée, fit Lucie en glissant une main entre ses cuisses. Je crois que je suis brûlante !!Elle à fermé les yeux, respiré plus fort .Je n’ai pas besoin de ça non plus, ajouta t’elle en faisant glisser sa culotte sur ses cuisses.
Le chantier était facile à trouver avec ses grands panneaux publicitaires.Je me suis garée au bout de la rue, et, avant de descendre, j’ai retiré à mon tour ma culotte en disant avec une moue boudeuse : je suis obligée, sinon vous allez me faire passer  pour une sainte nitouche ou une allumeuse !Oh la menteuse ! s’écrièrent elles .Vous savez bien que j’aime ça, fis je en souriant. j’adore les sensations que cela me procure et elles sont décuplées quand je suis cours vêtue. Je ne vais pas tarder à être dans le même état que vous .
Le chantier était entouré de grilles qui en interdisaient l’entrée.Il semblait désert quand, tout à coup, un homme a surgit de l’arrière d’une baraque de chantier.Costume sombre, grosses chaussures, il était accompagné d’un gros chien qui marchait à ses cotés.Vous cherchez quelque chose, les filles ?Oui, fis je, on cherche Dany.Je ne sais pas si il est là .Il restait là, nous détaillant tour à tour du regard de la tête aux pieds, s’attardant sur nos cuisses, nos seins à peine voilés, quand le chien s’est approché du grillage, comme attiré par un invisible signal.Assis !L’ordre avait claqué, indiscutable .Le chien à obéi, continuant de nous fixer , haletant, la langue pendante, humant l’air avec insistance.Entre ses cuisses, son fourreau velu tressautait nerveusement, laissant rapidement apparaitre une pointe rouge.Un vrai mâle, pensais je, qui a senti la bonne odeur de femelles.Il était là, juste devant moi, et sans ce grillage qui nous séparait, il lui aurai suffit de tendre le cou pour venir me gouter !Humm, rien qu’à cette idée j’ai senti mes cuisses s’imprégner de cyprine.D’un seul coup j’ai senti mes seins gonfler, mes tétons durcir, et dans mon ventre cette exquise sensation que je connaissais bien ;Voilà, je n’ étais plus qu’une femelle en chaleur qui avait besoin d’un mâle ou de sublimes caresses pour apaiser ses sens .

L’homme continuait de nous fixer du regard quand il s’est décidé : Venez, on va voir s’il est là.L’entrée est là bas.Il a déverrouillé un cadenas, entrouvrant la grille pour nous laisser passer avant de refermer derrière  lui, puis s’est dirigé vers la cabane d’ ou il avait surgi.La porte était ouverte.Il est entré et nous l’avons suivi.
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