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Comment, à 18 ans, j'ai été perverti

Chapitre 5

Gay
Ainsi, j’allais "poser" pour un photographe, moi le petit freluquet que les filles auraient tendance à snober, et cette perspective m’excitait au plus haut point !
J’allais découvrir un autre Roger, le photographe, soucieux de l’éclairage, de l’expression, des positions, de l’aspect aussi bien esthétique qu’érotique, pour ne pas dire pornographique, des clichés qu’il allait prendre. C’était très sérieux tout ça !
Nous étions dans une salle sous le toit de sa maison, avec poutres apparentes, moquette épaisse et de nombreux projecteurs à volets, comme sur les scènes de cinéma. Il n’y avait pas vraiment de meuble mais plutôt des accessoires, des trépieds, une espèce de croix et des sortes d’instruments de torture, tous en bois. J’étais impressionné...
Il alluma plusieurs projecteurs et me plaça au centre.
Il me fit d’abord mettre à genoux, les mains sur la tête. Il me prit sous tous les angles, mais surtout d’au-dessus, pour accentuer le caractère soumis de ma position. Je ne devais pas regarder l’objectif, mais avoir toujours le regard dirigé vers le bas.
Il me demanda de le sucer et me prit en gros plans, me demandant de l’avaler le plus profondément possible. Je fus surpris de constater qu’il ne bandait qu’à moitié au début, mais c’était parce qu’il était concentré sur son travail de photographe. Cependant, après quelques allers-retours en bouche, il prit une belle consistance et me bourra bien la bouche, tout en prenant des clichés avec ce bruit si particulier des appareils reflex. Je bavais et cela semblait le surexciter.Ne voulant pas perdre le contrôle de la séance photo, il stoppa net avant d’atteindre le point de non retour.
Il me demanda alors de me mettre à 4 pattes et de marcher à travers la pièce en me déhanchant et me cambrant au maximum. Je jouais le jeu, toujours en gardant le regard baissé. Le flash crépitait.
Lui : "Maintenant, reste à genoux, penche-toi en avant, met ta tête par terre et écarte-toi les fesses à 2 mains. Tire bien de chaque côté, écarte au maximum, je veux voir ton trou s’ouvrir""Oui, comme ça, il est beau ton trou, il me fait bien bander, il me fait bien envie, j’aimerais bien le défoncer à nouveau, te l’écarteler avec ma grosse queue que tu aimes tant"
Je fermais les yeux et le laissais me parler et me donner des ordres, docilement.
"On dirait que tu aimes bien ça, de t’exhiber devant mon appareil... Ça te plairait que je montre ces clichés à des amis et qu’ils se branlent en les regardant ? J’ai quelques amis qui seraient ravis de s’occuper de toi, de ta petite bouche et de ton cul qui va devenir si accueillant. Je sens que tu aimes et que tu es faite pour ça, petite salope."
Ses paroles me faisaient bander, avec un sentiment d’humiliation qui m’excitait.
Il installa l’appareil sur son trépied, déclencha le retardateur, vint placer son gland sur ma rosette. J’écartais mes fesses à 2 mains. Et il se planta d’un coup sec, sans même m’avoir lubrifié...

Il me défonça le cul, sans ménagement, me tenant par les hanches, à une vitesse soutenue, puis se retira.
Il pris son appareil.
"Écarte bien ton cul que je puisse le prendre en photo bien ouvert, petite salope. Oui, c’est bien, on voit bien à l’intérieur ! Hum, tu me donnes envie d’y retourner".
Cette fois-ci, avec l’appareil à la main, il me renfila et pris des clichés en gros plans de mon anus distendu par sa grosse queue.
"Continue d’écarter tes fesses, salopes !"
Il ressortait régulièrement pour prendre en photo mon trou béant juste après la sortie de son gland.
"Mes amis vont adorer ton cul distendu ! T’es vraiment bonne à enculer !"
Moi, je me branlais pendant qu’il me défonçait, j’aimais vraiment beaucoup cette nouvelle utilisation de mon corps par cet homme et sa grosse queue.
Je sentis qu’il allait aller jusqu’au bout, son allure accélérait et il allait de plus en plus profond comme s’il avait envie de me transpercer.
Il s’était arrêté de prendre des clichés, pour avoir les mains libres de me prendre les hanches pour m’attirer plus fort à lui.
Soudain, il sortit de mon cul qui était en feu.
"Retourne-toi et mets-toi à genoux devant moi, je veux t’asperger de mon foutre et prendre ça en gros plan, mes potes vont adorer !"
En effet, tout en se branlant d’une main, il prit l’appareil de l’autre. Je voyais bien qu’il était un peu mal habile puisqu’obligé de se branler de la main gauche, mais les conditions techniques l’imposaient.
Et arriva ce qui devait arriver : il me gicla en pleine figure, m’en mis dans les cheveux, dans les yeux, sur le front, le nez, la bouche, les joues, tout mon visage y passa ! Il y en avait une quantité phénoménale.
"Ouiiiiii, prends ça petite salope, prends ça sur ta petite face de pute ! Je te refais ton portrait, tu ne vas pas te reconnaître sur les photos !"
Dans sa fougue il avait pris tant de clichés qu’il arriva rapidement au bout de sa pellicule.
Lui : "Alors, ça te plait de te faire troncher comme ça devant un objectif ? Tu sais que ça laisse des traces et que quelqu’un pourrait tomber là-dessus ?"
Moi : "Ouais, j’m’en fous ! De toute façon, c’est fait et si quelqu’un tombe dessus, c’est qu’il l’aura cherché et que ce genre de truc lui plaît non ?"
Lui : "C’est pas faux, en effet ! T’es vraiment plus salope que je ne pensais ! Tu vas m’étonner jusqu’où, hein ?!"
Moi : "J’sais pas, je découvre, mais ça me plaît d’être votre "salope", comme vous dites"
Lui : "Ben tant mieux alors ! Ce sera du gagnant / gagnant !"
Il rechargea son appareil avec une nouvelle pellicule, la séance n’était donc pas finie...
Lui : "Tu vois le tabouret à 3 pieds dans le coin ? En fait, il est un peu spécial..."
Que voulait-il dire par là ? En quoi pouvait-il être spécial ?
Devant mon air interrogatif, Roger me dit : "Ça t’intrigue, pas vrai ? Allez, viens voir ça de plus près !"
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