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Comment avoir son permis quand on est bien foutue mais fauchée

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire reste une pure invention, l’illustration d’un fantasme populaire.
chapitre 1 : le moniteur.
Quand je pense à ce que j’ai du faire pour avoir mon permis de conduire, j’ai du mal à y croire. Moi c’est Daphnée, 19 ans élève de terminale, blonde, 1m65, 54Kg, et pourvu d’un beau 95D. Après mon échec au BAC, l’année dernière mon père m’a coupé les vivres. Du coup il faut que je me débrouille pour payer mon loyer et subvenir à mes besoins. Je bosse au Fastfood du coin pour gagner ma vie mais j’ai parfois, souvent même, du mal à joindre les 2 bouts. Du coup les sorties avec les copines bah c’est tout les 36 du mois.
En ce moment je prends des cours de conduite pour passer mon permis et ainsi trouver un meilleur boulot ailleurs. Mais ça coute cher et je suis en retard pour les paiements heureusement mon moniteur est sympas, la quarantaine passée, plutôt mignon, malgré son physique de petit gros. Toutefois je doute qu’il me laisse prendre mes leçons sans que je ne les paie.
— Bonjour Daphnée, assied toi, met ta ceinture et on démarre.— Bonjour Philippe, tu vas bien ?— Oui parfaitement, tiens prend à droite.— Je voulais savoir, compte tenu de mon niveau, quand pourrais-je espérer passer l’examen ?— Ce n’est pas pour tout de suite. T’en est a presque 15h de leçon et tu fais encore des erreurs de débutante. D’ailleurs à ce propos, maintenant que j’y pense, J’ai consulté ton carnet. Tu me dois 11 leçons qui n’ont pas été payées. Tu comptes le faire quand ? Non parce que moi je ne fais pas ça gratuitement.— J’ai un peu de mal à joindre les 2 bouts en ce moment.— Je dirais que ça c’est ton problème. Moi si je ne suis pas payé je ne vais pas te remettre d’autre leçon. Il va de soit qu’à ce train là tu ne passeras pas ton permis. Et tu auras toujours une dette à payer.— Je sais mais là je ne vois pas quoi faire en ce moment. Je ne vais pas te payer mes leçons en nature quand même ?— Personnellement ça ne me dérangerait pas. Ça pourrait être une solution.— Pardon ?— On est tous les 2 majeurs, responsables et célibataires. Ça serait comme un échange de bons procédés.— Mais tu parle sérieusement là ?— Bah t’es une belle fille. Moi je ne serais pas contre. Après c’est toi qui décide. Evidement il faudra se décider sur un tarif.— Et tu proposes quoi ?— Je ne sais pas moi. Une fellation pour une heure, on rajoute un rapport classique pour une heure supplémentaire et la sodomie aussi.— Ça veut dire qu’à ce tarif là ça peut aller vite. Si on fait la totale, je baisse ma dette de 3 heures à chaque rendez vous alors ?— Ah non 2h.
— Pourquoi ça ?— Bah 3 heures oui dans l’absolu mais à cela il faut soustraire l’heure de rendez vous durant laquelle nous ferions nos galipettes.— Oui c’est logique. Et on commence quand ?— Tu veux dire que tu acceptes ses conditions ? Qu’on soit d’accord je ne t’y oblige pas. C’est ta décision.— On est d’accord.— Bon bah dans ce cas prend à gauche y a un petit chemin. On sera tranquille.
On s’arrête dans un chemin en pleine campagne. Une fois arrêté, on se regarde l’un l’autre en insistant sur les attributs de chacun et alors je lui dis.
— Donc … Philippe … qu’est ce qu’on fait ?— Bah compte tenu que l’heure est déjà bien avancée, tu vas me sucer. Comme ça tu paie cette heure. Et on s’arrangera entre nous pour la suite.— Ok on fait comme ça.— Bon bah à ce moment là, à toi de jouer. Dit-il en desserrant les cuisses.
Je me saisi alors de sa ceinture pour lui défaire et déboutonner son pantalon. Puis j’abaissais délicatement la fermeture éclaire de sa braguette avec les dents en le regardant dans les yeux, laissant apparaitre devant moi un caleçon qui prenait de plus en plus d’ampleur. Je sorti alors sa verge et ses bourses par l’ouverture de son caleçon et me baissa dessus pour le sucer.
— Eh bien ! y a pas à dire tu es nettement plus performante dans ce domaine que dans la conduite.— Je ne sais pas. Je ne me rends pas compte.— On sent que tu … ahhhh …. As plus d’expérience euhh….— Ravi que ça te plaise. Veux tu que j’avale ?— C’est comme tu veux. Du …. Mmm moment que tu ne tache pas ahhh mes vêtements.— Ok alors je vais m’offrir un petit gouter.
Après un long soupir de satisfaction lors de son éjaculation, J’avalai devant lui la sauce que j’avais récoltée.
— Je ne t’en avais pas demandé autant. Mais merci c’était divin.— Il faut que tu en ais pour ton argent.— Oh mais j’en ai eu pour mon argent. Bon il est temps qu’on reparte direction le lycée. J’ai une autre leçon à donner ce soir. Je t’appellerai demain pour se mettre d’accord sur ta dette.— OK.— Allez go.
Après m’avoir déposé au lycée on s’est séparé. Le lendemain il m’appela dans la soirée afin qu’on se mette d’accord.
— Allo Daphnée ? ici c’est Philippe.— Salut, tu vas bien ?— Oui et toi ?— Moi ça va. Donc pour mon histoire de dette on fait comment ?— Etant donné que c’est toi qui as lancé le truc je pensais que c’était plus à toi de me dire ce que tu aurais voulu.— Je n’y ai pas réfléchis. Mais je voudrais quand même l’épongé le plus vite possible.— Déjà pour ta leçon d’une heure de jeudi prochain tu pourrais, après tes cours, me conduire chez toi ou chez moi et on se fait la totale. Comme ça en une heure tu en aura viré 2, les 3 heures moins celle encours.— Ok mais je viens de penser à un truc qui devrait te plaire pour régler ce problème rapidement.— Va z y dis moi tout.— Tu fais quoi ce weekend ? — Rien de spécial. Je vais surement buller chez moi.— J’en doute. Je te propose de passer le weekend chez toi. Du vendredi soir au lundi matin.— Et ?— Et je serai ta poupée gonflable. Je te laisserai me faire tout ce que tu veux, quand tu le veux et ou tu le veux. Tu pourras me prendre autant de fois que tu le veux et par tous les trous.— Une petite pipe le matin pour me réveiller ? une sodomie sous la douche ?— J’ai dit tout. Par contre en échange de ce weekend, je ne ferai que te sucer jeudi.— Ok mais tu es consciente que si je perds le contrôle, je peux faire plus que ta dette ? — Bah si ça peut la liquider rapidement, je veux bien ne pas être trop regardante là-dessus.— Ok ça marche. Et pour les leçons suivantes ? Celle que tu prendras après avoir épongé ta dette ? — Et bien je te sucerai.— Bon on fait comme ça alors. Tu m’excuseras mais j’ai enregistré notre conversation. Ça prouvera que je ne te force en rien.— Oh mais je ne vais pas te flouer. Tu as déjà été sympas de me laisser une « facilité de paiement ». Tu seras payé ne t’inquiètes pas.— OK donc on fait comme ça à plus.
Après s’être mis d’accord et une leçon du jeudi en guise d’amuse-gueule, arriva le weekend. Il passa me prendre … en voiture je parle. puis chez lui, après un bon repas préparé par ses soins, au moment du désert il mit de la chantilly sur son gland afin d’en faire un délicieux dessert sucré. Après s’être regardé plusieurs films X, afin de se donner des idées pour la suite, il m’ordonna de me déshabiller complètement et de ne me rhabiller que le lundi matin. Ainsi il m’aurait nue, pour lui seul, tout le weekend. J’étais son esclave du weekend. Il a adoré ça …. Et moi aussi. A chaque fois que j’allais me doucher, 2 fois par jour à cause de la sueur de nos ébats, il venait me rejoindre pour remettre le couvert. La sensation de nos 2 corps s’entremêlant sous l’eau chaude était grisante. Chaque matin je lui faisais sa petite fellation pour le réveiller comme il me l’avait demandé. Ça finissait en 69 à chaque fois. Il n’hésitait pas à me prendre par derrière quand je faisais la vaisselle ou le ménage vêtue d’un tablier de soubrette (fantasme du mâle dominateur) et parfois me badigeonnait le corps de miel, chantilly ou chocolat pour mieux me lécher. J’ai été l’objet de ses fantasmes du weekend et j’ai adoré cette sensation de femme objet.
A la suite de ça il a tenu parole. Ma dette était effacée et chaque heure de leçon que je prenais se finissait en fellation dans un petit coin tranquille. Mais restait un souci, je ne passais pas mon permis. Pas qu’il ne voulait pas voire partir sa suceuse préférée, Je faisais souvent des petites fautes d’inattention qui selon lui me recalerai à coup sûr. Pourtant je devais l’avoir. Je venais de recevoir une réponse d’un boulot qui nécessitait l’obtention du permis. Il fallait absolument que je l’ai dans le mois qui vient sinon je perdais le job.
— Philippe, il faut que je te parle.— Si tu veux arrêter de me sucer y a pas de soucis. Mais faut me payer à la place.— Ce n’est pas ça. J’ai vraiment besoin de passer mon permis … et de l’avoir. J’ai trouvé un boulot qui nécessite le permis et dans un mois si je ne l’ai pas, je le pers.— Ecoute si je t’inscris pour la prochaine session tu risque de le rater.— Laisse-moi tenter ma chance. S’il te plait.— Ok mais tu vas droit dans le mur. Et puis je connais bien l’examinateur, il va ne pas te louper. Si ça ne tenait qu’à moi je te le donnerais. Tu n’es pas dangereuse au volant mais il suffit d’un détail. Ce genre de détail que tu as tendance à oublier .— C’est rageant de paumer un emploi à cause de ça.— Il y a peut-être un moyen mais va vraiment falloir être discret.— Ah oui ?— Comme je te disais, je connais bien l’examinateur qui fera passer le permis dans 15 jours. Il est sévère mais juste. Il tient sa parole si elle est respectée.— Et ?— C’est également un amateur de jolies jeunes femmes.— Je vois où tu veux en venir.— Si j’arrive à négocier avec lui ça peut marcher mais il te faudra le … « convaincre ».— Ok je tente le coup.— Bon bah j’essayerai de voire avec lui. Mais si on se fait choper ça peut être risqué pour lui et pour nous. — J’en suis consciente.— OK je t’inscrits, je vois avec lui et si il est d’accord on avisera.— Ok j’attends de tes nouvelles.
Une semaine avant l’examen, Philippe m’appela pour me dire qu’après d’âpres négociations, il avait fini par accepter. Il m’informa que pour le convaincre je devrais m’habiller de manière suffisamment sexy pour lui plaire mais aussi discrète pour ne pas trop attirer l’attention. Il m’a également prévenu que contrairement à lui qui me plaisait, lui était très loin d’être une gravure de mode et qu’il n’était plus tout jeune. Au moins j’étais au parfum. Il me rassura tout de même aussi en m’indiquant qu’il ‘était pas du genre pervers violent (sauf si on lui demande) mais plutôt doux, romantique et attentionné.
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