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Comment j’ai couché avec ma secrétaire

Chapitre 5

Hétéro
Angélique et moi sommes maintenant debout l’un contre l’autre, entièrement nus, enlacés, ses seins écrasés contre ma poitrine, ma queue dressée contre son ventre. Nous nous regardons. Sans parler, nous savons que ca y est, c’est le moment, nos sexes vont se rencontrer, se toucher, s’emboiter. Délicatement, je soulève ma secrétaire par les fesses et je l’assieds sur la table de réunion. Elle écarte alors largement les cuisses, révélant ainsi sa chatte épilée qui continue de briller d’humidité. Appuyée sur ses mains, Angélique garde le torse droit et refuse pour le moment de s’allonger. « - Je veux la voir rentrer en moi pour la première fois, je veux me rendre compte de mes yeux de ce que ca va avoir l’air, un si gros pieu dans ma chatte.— Je te comprends, moi aussi je veux voir ça, j’en rêve depuis si longtemps de ma bite enfoncée au plus profond de ton sexe, t’ouvrant les lèvres en grand. »Alors doucement, délicatement, je pose le sommet de mon gland sur sa vulve mouillée. Ce contact seul me fait presque défaillir. La douceur de sa peau est encore plus étonnante perçue par les terminaisons nerveuses de mon sexe. Je commence alors à caresser ce trésor jusqu’alors interdit avec le bout de ma queue, faisant glisser ma queue chaque fois un peu plus haut le long de la fente humide, frottant à chaque passage contre son bouton rose qui prend du volume et rosit à chaque coup. Les yeux d’Angélique sont rivés sur nos deux sexes, le spectacle de leurs caresses semble la fasciner, Sur son visage se lisent à la fois curiosité, désir et excitation, des sentiments qu’à vrai dire je ressens moi même. Après quelques dizaines de secondes de ce petit teasing, je me sens chauffé comme jamais : ma queue est dure comme de l’acier, et je la sens plus longue et épaisse que je ne l’ai jamais vu.Je place alors ma queue devant l’entrée de son vagin et sans que nous nous quittions du regard, je fais rentrer ma b ite dans la chatte d’Angélique. Au moment ou le gland disparaît entre ses petites lèvres brillantes, ma secrétaire laisse échapper un long gémissement de plaisir. Moi-même je ne retiens pas un grand « ooohh » de bonheur et de satisfaction. Ca y est, après toutes ces années de désirs masqués, de fantasmes inassouvis, l’incroyable se produit : nos deux sexes sont l’un dans l’autre, nos intimités les plus profondes sont liées par l’acte le plus beau et le plus parfait qui soit. Je suis en Angélique, et Angélique me reçoit. Je pousse plus loin ma colonne de chair, et ma secrétaire ne parvient pas a réprimer un petit cri de douleur. Ma bite enfoncée à moitié dans son con lui fait déjà mal. Je rectifie alors la position du bassin de ma belle blonde sur la table, et lui saisit une jambe pour la poser sur mon épaule, afin d’ouvrir davantage ses cuisses et l’entrée de son vagin. Tout de suite, je la sens plus à son aise, et je ré-enfourne ma verge dans son sexe. Prenant sa cuisse levée entre mes mains, je m’en sers comme point d’appui et je commence à faire bouger mon bassin d’avant en arrière, mon pieu planté dans sa chair. Angélique me regarde, entre deux basculements de têtes en arrière, les paupières closes. « - Ooohh, Ooohhhh oui, c’est bon, qu’est-ce que c’est bon. Tu me remplis tellement. Tu es tellement gros dans ma chatte. Ta bite en moi, c’est si bon.» Elle se lèche les doigts et entreprends de masturber son clitoris pendant que je commence à la limer, toujours en ne la pénétrant pas plus que de la moitié de ma queue. Ses petites lèvres, à chaque allers et retour, entre et sortent de son vagin, accompagnant en rythme les exploits de mon chibre. Ce spectacle est si beau, je ne me lasse pas de le contempler. Angélique aussi d’ailleurs, que je vois dévorer ce spectacle du regard.« - Oh mon dieu, t’as vu, t’as vu ce que ta queue fait subir à ma chatte ? Elle est complètement dilatée, et elle mouille comme jamais. Continues, t’arêtes pas, c’est trop bon, j’étais faite pour recevoir ton engin. »Je profite de cette remarque pour titiller ma secrétaire, dont les paroles très crues ne m’excitent que davantage. Je sors alors ma queue de son vagin et procède alors à des entrées/sorties répétées, laissant à chaque fois à son orifice le temps de se refermer un peu avant de le remplir de nouveau, chaque fois un peu plus. Ce traitement rend folle ma partenaire. A chaque fois je sors, elle lâche un soupir de dépit, et dès que je rentre, j’ai droit à un cri de plaisir et d’impatience.« - Arrêtes c’est pas humain, je te veux en moi et tu n’arrêtes pas de sortir, continues à me prendre, je t’en supplie, je veux que tu me baises.— T’en fais pas, je vais reprendre, mais regarde juste un peu ou je suis en toi en ce moment. »Angélique baisse le regard vers nos sexes : ma bite est enfoncée dans sa chatte presque entièrement, il ne reste plus qu’une demi-douzaine de centimètres à faire entrer jusqu’à la garde. «  - Oh putain, c’est pas vrai, j’aurais jamais cru que je pourrais me prendre tout ça. C’est trop bon, vas-y continues rentre moi tout, prend moi entièrement. »Je recule alors de quelques centimètres avant de plonger au plus profond de son être, son vagin enserrant mon pénis de tout son long. Je sens le bout de mon gland taper fortement contre le fond de son puits. Ce mouvement nous arrache un cri de plaisir intense. Je reste ainsi sans bouger quelques secondes et je fais ensuite gonfler mon sexe en bougeant mes muscles pelviens. Cette action seule, rien d‘autre qu’une petite variation de volume de ma verge dans son orifice provoque en Angélique un énorme tressautement. Je sens son corps se raidir, je vois une chair de poule apparaître sur sa peau. Elle jouit. Être prise ainsi, entièrement, totalement, la fait jouir.Je reprends alors mes mouvements de va et vient, faisant glisser ma queue de plus en plus vite. Angélique ne se retient plus, elle est en furie.«  - Vas- y, vas-y, c’est bon. Encore, donne m’en encore, plus fort. Refais moi jouir au plus profond, ca m’était jamais arrivé avant, pas aussi fort, pas autant. »Ses encouragements me pousse à redoubler d’ardeur, je vais de plus en plus vite, de plus en plus fort, ne ralentissant que quand je sens la sève monter. Je ne veux pas jouir trop vite, je veux que ca dure des heures. Sa façon de parler crument me donne aussi envie de lui dire tout ce que je ressens. Je veux lui faire savoir le bien qu’elle me procure« - Moi aussi j’aime ça, c’est bon, je suis si bien dans ta chatte. Elle est si douce, si serrée, si humide, elle est faite pour ma queue. — Je suis d’accord, ta queue me remplit tellement bien, c’est le paradis. Tu me baises bien, et je veux te baiser à mon tour, laisse moi venir sur toi».A ces mots, j’attrape Angélique sous les fesses et en la portant, je prend sa place, le dos allongé sur la table de laquelle elle a si souvent desservi les cafés, et je la place à califourchon sur moi. Pendant ce changement de position, ma bite n’a pas quitté son vagin. Appuyée sur ses genoux, Angélique se met alors à monter et descendre sur mon chibre. Son mouvement est surtout un mouvement du bassin, ce qui a pour effet de faire fortement remuer ses fesses qui s’agitent à chaque aller-retour. Ce spectacle doit être merveilleux, mais je suis mal placé pour le voir. Je décide donc de le sentir en plaçant mes mains sur ses fesses. Son cul qui gigote ainsi autour de ma queue, je crois que j’en tombe amoureux. Il est si large, si doux, si ferme et moelleux en même temps. Je le saisis à pleines mains, enfonçant mes doigts dans les muscles et la graisse. Je le malaxerai ainsi pendant des heures, aidant Angélique dans son mouvement autour de ma bite.« - Claques-moi le cul ! »Je reste interloqué par cette demande. C’est bien ma secrétaire qui me demande de la fessée.« -T’es sûre ?Oui. J’ai jamais eu envie avant, mais là, je sens que ca monte. Claques moi le cul je te dis. »J’administre alors une petite claque sur sa fesse gauche. Angélique laisse pousser un petit cri d’extase.« - Encore, et plus fort je suis pas en sucre » dit-elle, semblant galvanisé par son audace et le plaisir certain qu’elle en retire.Je lui claque donc plus fort une fesse puis l’autre. Au fur et à mesures de mes gifles, Angélique augmente le rythme de son bassin. Elle me baise de plus en plus vite, de plus en plus fort, s’empalant toujours un peu plus sur mon chibre, tellement fort qu’il me fait presque mal. Tout en baisant, elle attrape ses seins à pleines mains, les malaxes, triture ses tétons. Puis elle appuie ses mains contre ma poitrine et plante son regard dans le mieux, en continuant ses mouvements. Ses yeux bleus semblent exprimer mille choses : l’envie, le bonheur, la plénitude, la volonté. Je sens qu’elle s’est fixé un but celui que nous jouissions ensemble, les yeux dans les yeux, l’un contre l’autre, l’un dans l’autre. Alors je me laisse aller complètement entre ses hanches expertes qui terminent de faire monter mon foutre dans ma bite toujours enserrée dans son vagin. Nous écarquillons les yeux au même moment, de même que nos bouches s’entrouvrent. Au moment où nous explosons, Angélique se précipite pour m’embrasser, sa langue fondant sur la mienne, ses mains s’agrippant à mes épaules. Mes bras enserrent sa taille et j’enfonce au plus profond mon sexe dans le sien au moment ou je sens mon sperme être expulsé de ma queue avec une force prodigieuse pour venir remplir son vagin et finir par ruisseler d’entre ses cuisses jusque sur mes couilles.Nous restons ainsi quelques minutes sans échanger aucune parole. Il y a des instants out le vocabulaire du monde ne saurait retranscrire la vérité d’un regard.
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