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Comment j’ai couché avec ma secrétaire

Chapitre 6

Hétéro
Ca y est, nous avons franchi le pas, Angélique et moi venons de faire l’amour, complètement, jusqu’au bout, pour la première fois. Mon pénis est toujours en elle, et malgré notre orgasme récent, il ne semble pas vouloir revenir au repos. Il va pourtant falloir que l’on se sépare, que mon sexe quitte ce nouveau refuge où il a trouvé sa place. « - Faut qu’on se rhabille et que j’ouvre la porte, le type du courrier va pas tarder à passer ». Avec regret, ma secrétaire recule son bassin, laisse échapper de sa chatte ma queue gluante de sperme et de cyprine. Une flaque de ce mélange s’est formée sur la table de réunion. Je commence alors à me rhabiller, remets mon pantalon et reboutonne ma chemise, pendant qu’Angélique replace sa jupe sur ses hanches. Puis, avant même de remettre son soutien-gorge, je la vois attraper quelques serviettes en papier posées sur un des meubles du bureau et commencer à nettoyer la table, couverte des traces de notre adultère. Je ne peux m’empêcher de la regarder, le buste penché sur la table, ses seins encore libres oscillant sous les mouvements de son bras, ses fesses laissant deviner leur galbe sous la jupe noire. Qu’elle est belle, que sa poitrine est magnifique, que son cul est excitant. Je sens le sang affluer de plus belle dans mon sexe. Pourtant, je sais que je ne dois rien faire, que je ne peux pas recommencer, la porte verrouillée ne sera pas un obstacle pour le type du courrier, car avec son passe, un jour comme aujourd’hui où il n’y a quasi personne dans les locaux, il pourrait avoir l’idée d’ouvrir la porte pour poser le courrier sur mon bureau et risquerait de nous surprendre.Alors qu’Angélique finit de nettoyer la table, la poitrine toujours entièrement nue, j’entrouvre alors la porte et voit le préposé au courrier pénétrer dans un des bureaux de l’étage. Ce n’est qu’une question de seconde avant qu’il soit ici. J’avertis ma secrétaire, qui ramasse alors en vitesse son pull, son soutien gorge et son string. Elle n’a pas le temps de se rhabiller, et file donc se cacher sous mon bureau. Celui-ci ayant une paroi sur le devant, elle sera invisible de tout visiteur. Je suis à peine installé sur mon siège, que je sens la main d’Angélique se poser sur ma braguette. Et quand on entre dans le bureau, ma bite est déjà à l’air libre, la main de ma secrétaire en enserrant la base. Pendant que notre collègue s’approche du bureau, je tente de maintenir une contenance : difficile quand je sens la seconde main d’Angélique se positionner sur la première. Désormais, presque l’intégralité de ma queue est recouverte par ses deux mains, seul le gland dépasse. Il ne reste pas longtemps à découvert. Je sens des lèvres se refermer rapidement sur lui. La dépose du courrier ne dure pas longtemps, à peine quelques banalités sont échangées, mais pour moi le temps dure des heures : pendant que je discute du temps qu’il fait, je suis en train de me faire sucer le gland. Angélique prend même un malin plaisir à le mordiller, histoire de me faire sursauter. Quand nous nous retrouvons enfin seuls dans le bureau, je recule ma chaise, prêt à passer un savon à ma secrétaire pour ce comportement qui aurait pu nous faire prendre. Mais je n’arrive pas à lâcher un mot. Angélique a toujours ma queue dans une main. Un filet de salive relie encore sa bouche à ma bite. Elle me regarde avec cette expression incroyable, mélange d’innocence et de perversité. Je craque complètement. Faisant fi du risque potentiel de nous faire surprendre, la porte étant toujours ouverte, j’attrape sa nuque et tire son visage vers moi. Je l’embrasse goulûment et la laisse reprendre sa fellation. Elle laisse courir sa langue le long de ma hampe, remontant de la base jusqu’au gland, avant de prendre celui-ci entre ses lèvres et continuer à le mordiller. Chacune des pressions de ses dents contre le bout ultra-sensible me procure comme un électrochoc. De temps en temps, elle prend le corps de mon sexe entre ses mâchoires, comme si elle croquait un épi de mais, et entreprend de faire glisser ses lèvres le long de ma colonne de chair. Pendant qu’elle me suce, je profite du spectacle de son visage si pur, je passe mes doigts dans ses cheveux, je caresse ses joues. Quand elle me laisse un instant de répit, je prends ma queue et la passe sur son visage, frôlant son nez, glissant sur ses pommettes. Elle me regarde avec amour, semblant apprécier le contact de mon gland contre sa peau de satin. Elle ouvre la bouche, comme pour quémander que je lui fasse offrande de ma bite. Doucement, je m’amuse alors à faire claquer ma queue contre ses joues, la retirant toujours au moment ou les lèvres d’Angélique sont prêtes à se refermer sur elle. « - Allez, j’arrête, ouvre grand et sors la langue » dis-je. Elle sourit et s’exécute. Je tape alors mon gland à plusieurs reprises contre sa langue tirée, suscitant de sa part un gémissement plaintif, de frustration et de plaisir mêlé. Ne voulant pas la faire souffrir trop longtemps, je lui laisse reprendre la main. Comme pour se venger, elle saisit ma queue à deux mains et commence à me sucer profondément, ses joues se creusant sous l’effet de l’aspiration. Rapidement, ma queue est trempée de salive. Elle profite de cette humidité pour mettre ses doigts en action, et commence à me branler des deux mains tout en continuant à me pomper. Cette masturbation est experte : ses mains branlent ma bite de bas en haut tout en tournant. De temps en temps, elle arrête de sucer mais laisse ses mains continuer le travail.« - Elle est bonne ta queue, si grosse que je ne parviens pas à faire le tour avec mes doigts. Et mes deux mains bout à bout ne la recouvre même pas totalement. Elle est si dure, si belle dans mes mains, si parfaite dans ma bouche, je pourrais te sucer des heures. Et s’étouffer dessus c’est si bon » dit-elle avant d’enfoncer les ¾ de ma hampe dans sa bouche. « Tu aimes ça ?, reprend-elle, essoufflée par cette pipe intense, j’espère parce que moi, j’adore, ça m’excite trop ». Et de recracher un filet de salive sur ma queue, de le faire courir entre ses doigts avant de le réaspirer et de reprendre sa fellation.« - Oh putain, je suis dans un autre monde, c’est trop bon, tu vas me faire jouir. Tu suces si bien, tu es si belle avec une bite dans la bouche. Je suis si bien entre tes lèvres ». Ces compliments la font redoubler d’ardeur. Ma bite déforme maintenant son visage, mon gland venant s’appuyer à l’intérieur de sa joue. J’en profite pour le stimuler davantage en donnant des petites claques sur cette bosse qui corrompt son visage innocent tout en révélant sa vraie nature perverse.« - T’as vu comment je l’ai mouillé ta bite, t’as vu ce que je fais pour toi ? Je peux sucer tes couilles aussi ? » ET tout en gardant ma bite dans la main, elle descend vers mon scrotum qu’elle avale goulûment. Oublié les réticences de tout à l’heure, mes testicules sont devenus les jouets de ses lèvres et de sa langue.« - Mmmm, j’aime ça aussi, sucer tes grosses couilles, je savais pas que c’était si excitant d’avoir des couilles dans la bouche. Et ta bite entre mes seins ça donne quoi.»Angélique se redresse alors, place ma queue entre ses deux globes mammaires, lâche un filet de salive sur le sommet de ma bite et commence à me branler entre ses seins.« - Oh oui, juste comme ça, c’est bon. Ta queue est bien grosse entre mes seins. Tu les aimes mes seins, ils ont la taille parfaite pour servir d’écrin à ton sexe. Vas-y, branle-toi dans mes seins, tu peux faire ce que tu veux de moi. »Ce va et vient de mon chibre entre ses nichons me fait un bien fou, et tout en me gardant excité, il me permet aussi de reprendre le contrôle et de faire retomber le foutre qui était prêt à exploser. Je prends un plaisir inouï à cette branlette espagnol, à ce spectacle de voir ma secrétaire à genoux devant moi, ses seins entourant ma queue et prenant du plaisir à voir mon gland aller et venir entre ses loches, ses tétons durcis par le contact répété avec mon chibre. Pour qu’elle ait encore plus de plaisir, je prends le relais de ses mains pour serrer ses seins contre ma queue, libérant les siennes. Immédiatement, celles-ci trouvent le chemin de sa chatte, l’une allant et venant dans son vagin, l’autre tournoyant sur son clitoris.C’est au moment où je suis prêt à jouir qu’Angélique s’interrompt et se redresse. Elle saisit alors ma bite dressée, et la tire, me forçant à me lever. « - Tu vas jouir, je te promets, mais pas tout de suite. Je veux que tu me prennes d’abord. »Et me traînant toujours par la queue, elle s’approche du comptoir devançant la baie vitrée de mon bureau, et penchant son buste par-dessus, me tournant le dos, elle me dit : « Je veux que tu me prennes comme ça, par derrière. »Elle remonte alors sa jupe au dessus de ses fesses. Je peux admirer son splendide fessier, surmontant ses jambes tendues. Le galbe de ses mollets, la ligne parfaite de ses cuisses conduisent mon regard à ce cul fabuleux, fendu d’une raie profonde qui aboutit sur une moule gonflée par le désir, suintant la cyprine. Les petites lèvres sont cachées par le bourrelet des grandes, et c’est à peine si je peux apercevoir l’œillet de son anus. Bien qu’elle soit déjà bien humide, je ne peux résister à l’appel de sa chatte humide, et ma langue trouve vite le chemin de son berlingot. Je glisse sur son clitoris, écarte ses lèvres délicatement, caresse l’entrée de son vagin, remonte jusqu’à l’extrémité postérieure de son sexe, et arrive naturellement jusqu’à son trou du cul. Pour y parvenir, j’ai commencé par m’aider de mes mains pour écarter ses fesses, mais Angélique m’a rapidement suppléé, écartant ses deux globes au maximum pour m’offrir le plus beau des spectacles. L’ensemble de son intimité la plus secrète se révèle à moi, sa délicieuse chatte épilée, son anus à peine plus brun que le reste de sa peau. Lui aussi semble luire de désir. J’ai envie de photographier cet instant, de garder toujours en mémoire ce con et ce cul ouverts à tous mes désirs, à tous mes vices. Mais ma secrétaire me tire rapidement de ma torpeur.« - Viens, dévores-moi, Je veux sentir ton visage entre mes cuisses, entre mes fesses. » Je replonge alors au cœur de son intimité. D’abord doucement, puis furieusement, je fouraille dans ses entrailles, envoyant ma langues dans sa cavité vaginale, suçant son bouton rose, me désaltérant à sa mouille sucrée-salée, léchant tout son périnée imberbe d’une douceur d’ange. Je remonte jusqu’à son œillet, et commence à le lécher copieusement. Angélique tressaute.« - Ah oui, là, comme ça, c’est si bon. Ta langue, ta langue ! » Je continue plus avant, et m’enfonce doucement à l’intérieur de son anus. Les odeurs qui s’en dégagent, ce parfum de savon mêlé à sa propre odeur m’enivre. Sous l’action de ma bouche et de ma langue, ma secrétaire tressaille. Se faire bouffer le cul, elle aime ça. C’est semble-t-il une nouvelle révélation. Après un ultime sursaut, elle attrape mes cheveux sans même changer de position.« - Je te veux en moi, prends moi, dépêche toi, je peux plus attendre. »
Je me relève, et prend position derrière son cul. Lentement, je fais glisser ma queue dans sa raie, prenant soin d’attarder quelques instants mon gland sur son petit trou. Angélique sursaute. Je sens l’appréhension mêlée à l’excitation l’envahir. « Pas encore » je pense. Remontant sa jupe plus avant, je découvre ce fameux tatouage au creux de ses reins, ce tatouage qui plus que tout autre chose, m’a fait fantasmer pendant des années. Je prends le temps de repasser par dessus le dessin avec l’extrémité de mon chibre. « - Il te plaît, hein ? Je t’ai vu si souvent le mater, quand je me baissais devant ton bureau. Je faisais parfois exprès de mettre un pantalon taille basse avec un chemisier court, pour t’offrir ce spectacle. » Je ne reviens pas de cet aveu de perversité. Cela décuple mon envie de la prendre, de la baiser, là tout de suite comme ça, comme mon amour, mais aussi comme une chienne. Ma chienne.Je laisse couler un filet de salive dans sa raie. Le liquide glisse entre ses deux fesses, et semble faire une pause dans le trou de son oignon. Je joue alors à lui faire peur en plaçant mon gland dessus, juste le temps de récupérer le liquide, et je descends vers son vagin, dont je force l’entrée sans ménagement. Angélique se cambre, appuyé sur ses mains, et bascule la tête en arrière. Je peux voir dans le reflet de la vitre ses tétons qui dardent sur sa poitrine gonflée entre ses bras. Dans cette position, ma queue trouve plus vite encore son espace pour évoluer. Le puits d’Angelique me serre le chibre encore plus fort que par devant. Je commence à la limer, enfonçant chaque fois plus profond dans son intimité mon sexe turgescent. A mes coups de boutoir, ma secrétaire répond par des mouvements du bassin, d’abord parallèles à mes mouvements, comme pour m’empêcher d’aller trop loin. Je lui dilate la chatte, peut être un peu trop. J’attrape alors sa gorge, tirant son visage vers le mien, et je plaque sa bouche contre la mienne. Pendant que nos langues tournoient l’une contre l’autre, je saisis de ma main libre une de ses hanches et je force son rythme à s’inverser. Angélique raidit tous ses muscles, tente de résister. Mais l’orgasme que lui procure alors ma queue au fond de son vagin, la stimulation de ma colonne de chair contre ses parois intimes a tôt fait d’annihiler toute résistance, et c’est bientôt de concert que nous nous mettons à baiser, furieusement, intensément. Débarrassé de cette résistance, je me concentre sur mon ouvrage, j’augmente les mouvements de mes hanches pendant qu’Angélique se repenche vers l’avant, creusant davantage ses reins, s’empalant sur mon chibre à chaque impulsion. Nous sommes chanceux que le parking en bas de mes fenêtres soit désert : quiconque passerait par là en ce moment verrait une blonde magnifique, les cheveux défaits, le torse entièrement nu, en train de bouger d’avant en arrière dans un mouvement sans équivoque, ses seins se balançant et s’entrechoquant en cadence. C’est en tout cas ce que je peux voir dans le reflet de la vitre. Ce spectacle me rend fou, encore plus quand je lui rajoute la vision de son cul venant s’écraser contre mon pelvis à chaque coup de boutoir, la graisse et les muscles secoués au rythme de ma queue limant sa chatte trempée. Une main agrippant le tissu de sa jupe remontée en ceinture au creux de ses reins, je me mets à claquer ses fesses au rythme de mes coups de bite. Chaque gifle tire d’Angélique un cri de douleur et de plaisir mêlés. Bientôt, l’empreinte de ma main apparaît en rouge sur sa peau délicate. Quel bonheur de marquer mon empreinte sur l’objet de mes désirs les plus fous. Une fois qu’elle a le cul bien rouge, sans arrêter de baiser, je dis à Angélique : « - T’inquiète pas, je m’agrippe juste à quelque chose pour bien te prendre ». Et sans attendre sa réaction, j’enfonce mon pouce humide dans son anus. En un éclair, je sens son vagin se resserrer sur ma queue. Ses fesses se contractent, et mon doigt se retrouve prisonnier de son sphincter. Angélique tourne ses yeux vers moi, d’un air suppliant. « - Avec un tatouage pareil, me dis pas que tu t’es jamais fait prendre par là.— J’ai essayé avec mon mari une ou deux fois, mais ça m’a pas plu. D’abord, il a jamais vraiment réussi à bien rentrer, c’est trop serré et il bandait pas assez fort.— Avec moi ça va passer, tu verras. Ton petit trou est déjà trempé, tu l’as lubrifié sans même t’en rendre compte. Ca veut dire que tu es excitée à mort, tu pourras m’accueillir, j’en fais mon affaire. Et sans attendre sa réponse, j’introduis l’index de mon autre main en plus de mon pouce resté à l’intérieur. Tout en restant dans son vagin, je commence à remuer mes doigts à l’intérieur de son cul, qui est effectivement bien humide. Tout en reprenant mes allers et retours dans son con, j’entreprends de dilater son deuxième orifice. Rapidement, ce sont quatre doigts qui sont insérés dans son intimité anale, tirant d’Angélique des soupirs de plaisir. Je la sens anxieuse, concentrée sur ce qui est en train d’arriver à son fondement. Pour abréger son anxiété, je décide que le moment est venu.« - Deux choses sont importantes, tu dois être relâchée, et nous devons être lubrifiés. Ton cul est bien humide, mais il faut s’assurer que ma queue le soit aussi. » Je quitte alors son vagin et lui donne alors ma bite à observer.« - Je crois que c’est bon dit-elle, elle est couverte de ma mouille. — Deux précautions valent mieux qu’une, je réponds, en plantant mon regard dans le sien. Elle se retourne alors et sans rien dire d’autre, elle avale ma queue presque jusqu’à la garde. Je la sens saliver autour de mon chibre.« - Parfait, être bien lubrifié c’est la clé, il faudra recommencer plusieurs fois pour éviter des frottements trop douloureux.Je redresse Angélique, la remet en position de levrette, relève sa jambe droite pour la poser sur le comptoir et après un dernier crachat de salive contre sa rondelle, je pose mon gland à l’entrée de son anus. Puis lentement, tout doucement, je pousse jusqu’à ce que mon gland ait entièrement passé son barrage.Dans le reflet de la vitre, je vois Angélique grimacer. « - Relâches –toi, j’y vais doucement, je te jure, fais moi confiance ». Je sens ses muscles se relâcher un peu. J’enfonce mon sexe de quelques centimètres supplémentaires et je reste ainsi, sans bouger, juste en bandant plus ou moins ma queue. Angélique se tourne vers moi, me regardant par dessus son épaule. Elle a la bouche grande ouverte, et laisse échapper un gémissement à chaque fois qu’elle sent mon sexe gonfler dans ses entrailles.« - Tu vois ça se passe bien, tu te débrouille bien.C’est incroyable, ça fait mal et ça fait du bien en même temps. Continues, mais doucement, et arrêtes toi dès que je le dis. Ta bite me fait du bien à l’intérieur, mais je pourrais jamais tout prendre.»Je commence à lui limer le fion, doucement, sans forcer, ma queue même pas à moitié enfoncée dans son anus. Peu à peu, la douleur cède la place au plaisir pour Angélique. Pour moi, tout n’est que volupté et plaisir des sens. Son anus serré stimule ma bite et mon gland de façon continue, et son étroitesse semble peu à peu se transformer en écrin pour mon chibre. Comme si son trou du cul se mettait à prendre la forme parfaite pour ma queue, comme si je façonnais l’intérieur de son corps avec mon sexe. De temps en temps, je me permets de faire une pause dans mon entreprise en sortant ma verge entièrement de son anus et en l’y remettant quelques secondes plus tard. A chaque sortie, je vois son anus se refermer un peu moins vite, un peu moins complètement. A chaque rentrée, je pénètre un peu plus loin dans son ventre. Peu à peu, les hanches d’Angélique réponde à mon bassin : son cul s’ouvre, comme une fleur au printemps, ma queue glisse plus profondément, plus facilement. Bientôt, nos mouvements sont presque aussi amples que tout à l’heure dans sa chatte.« - Oh oui, c’est bon, mais que c’est bon, dit Angélique. J’en peux plus, tu vas me tuer, c’est si bon.— Tu réalises ce qu’il se passe ? Dis le, dis le moi !— Je suis en train de me faire enculer, j’ai ton énorme bite dans le cul et j’adore ça ! Encore, plus fort ! »Je bascule Angélique sur le coté ses deux cuisses serrées l’une contre l’autre, et je reprends mes quartiers dans son anus. Dans cette position, son cul parait plus rond et plus gros, son conduit est encore plus serré, je voir ses seins bouger à chaque fois que ma bite pénètre entre ses fesses. Angélique à peine à ne pas hurler, elle est obligé de plaquer sa main sur sa bouche. J’attrape son autre main et je la colle sur sa fesse.« - Vas-y, écartes bien, c’est si beau, je veux voir ma queue te pénétrer le cul. »Prenant appuie sur ses hanches, j’augmente la puissance de mes allers-retours. Voir son beau cul si rond avaler ainsi mon chibre me procure une sensation électrisante de plénitude. Angélique semble sur une autre planète. Lorsqu’elle sent monter l’orgasme, je plaque ma bouche contre la sienne pour en étouffer le son. Je la laisse reprendre son souffle quelques instants mais je ne compte pas en rester là. « - Viens, empale ton cul sur moi, je veux que tu me fasses jouir avec ton anus. Je m’allonge sur la moquette et ma secrétaire vient vite me rejoindre.« - Tu devrais lubrifier ma queue un peu plus, sinon ça va te brûler. Angélique approche sa bouche de ma bite et laisse tomber un filet de salive dessus, tout en me branlant.« - Ca risque de pas suffire. Moi je dis ça pour ton bien ! » Je sens qu’Angélique hésite à sucer ce sexe qui vient de ramoner son trou du cul. Mais cette hésitation ne dure pas, et comme si elle prenait son courage à deux mains, elle engloutit ma queue. Je sens qu’elle ne tarde pas à retrouver rapidement sa dextérité buccale. Au bout de quelques instants de fellation bien bruyante et baveuse, elle me regarde et dit de sa bouche couverte de salive : « - Putain c’est excitant de goûter mon cul, j’aurais jamais cru. J’ai honte, je sens que je deviens une vraie salope.— Une salope, non ! Mais ma salope oui ! Allez viens, je t’attends. Angélique s’accroupit face à moi en posant son œillet contre mon gland. Elle descend alors doucement, contrôlant totalement l’entrée de ma queue dans son fondement. Ce contrôle lui plait. Elle commence à monter et descendre son anus autour de mon chibre, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Je bascule son torse vers l’arrière, me dégageant ainsi une vue parfaite sur son anus dilaté par mon pieu, surmonté par sa chatte rose qui perle de cyprine. Son clitoris n’a jamais été si gros. J’entreprends alors de lui masturber la moule pendant qu’elle me baise avec son cul. En a peine quelques secondes, je la fais jouir sans difficulté. Cela a pour effet de liquéfier ses membres. La gravité faisant son effet, elle descend alors sur mon chibre jusqu’à la garde. Tout entier, je suis dans l’anus d’Angélique, ma queue perforant ses intestins. Ma secrétaire n’est plus qu’une poupée désarticulée dans mes bras.Tout en restant en elle, je la tourne pour placer ses fesses face à moi. Maintenant entièrement allongé sur moi, Angélique me laisse reprendre la main. Appuyé sur mes jambes, je recommence à limer son cul, je suis maintenant à fond, sans me soucier de lui faire mal. Elle est au royaume de l’extase, au-delà de toute douleur. Je la baise à un rythme infernal, mon bassin claquant sur ses fesses à chaque coup. D’abord bringuebalé sous mes assauts, ma partenaire reprend peu à peu ses esprits, et commence même à se masturber en rythme. Elle jouit une nouvelle fois, et je sens sa chatte dégouliner encore plus fort. Moi-même je ne suis pas loin de l’extase, mais je ne veux pas jouir dans cette position. Je place ma poupée blonde en position de levrette, la tête sur la moquette, le cul relevé telle une offrande à ma bite. Je reprends alors ma place dans son anus, la queue raide et tendue comme jamais, non sans avoir remarqué que son œillet et maintenant bien dilaté. Dès que je remets en route la machine, J’arrache à Angélique un cri : jamais je n’avais été si loin en elle, si profondément. Elle est désormais totalement livrée à mes assauts. Il ne me faut d’ailleurs pas beaucoup de temps pour sentir monter la sève. Rien que la vision de ma secrétaire à quatre patte, le visage sur le sol, ma queue plantée dans son cul aurait pu me faire jouir. Au moment où je suis sur le point d’exploser, je retire ma queue tout en gardant le gland collé à son anus. J’envoie les deux premières giclées de mon sperme dans son trou encore dilaté, réservant la troisième pour en asperger sa vulve humide. Puis je me place au dessus de sa tête encore collée au sol et je termine de vider mes couilles sur son visage, arrosant abondamment ses cheveux, son nez, sa bouche et même ses yeux. Je m’écroule ensuite à côté d’elle. Angélique n’a pas bougé, son cul toujours dressé vers le plafond, le visage recouvert de foutre tourné vers moi. Lentement, je la vois placer sa main sous son entrejambe. Elle y récupère ma semence qui dégouline de son anus et de sa chatte. Et porte alors sa main recouverte de sperme au bord de ses lèvres, et commence à la lécher consciencieusement. Une fois qu’elle a terminé, je lui prends la main tendrement. Je ne veux pas qu’elle se nettoie le visage, pas tout de suite. Je veux profiter encore longtemps de son visage d’ange qui vient de découvrir sa perversité. Du visage d’Angélique recouvert de mon sperme.
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