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Comment elle devint une chienne

Chapitre 1

Divers
Ils sont sur la route depuis vingt minutes, et traversent une forêt. Charles et Anne. Elle conduit. Trésorière de l’association t lui le secrétaire, ils vont à un rendez-vous. Femme de médecin, presque grande bourgeoise de naissance, belle, élancée, on murmure entre les réunions qu’elle a été mannequin un temps alors qu’elle était étudiante. Il n’est pas du même monde même si sa situation professionnelle n’est pas mauvaise, bien payée en tout cas. Un temps assez bon sportif il n’a plus l’âge, mais continue d’avoir assez d’activité pour être en forme. Le jour se lève, un matin de printemps particulièrement doux et sec. Ils parlent de leur rendez-vous, ils se vouvoient, sorte de vouvoiement amical de gens bien élevés qui ne sont pas du même monde.
Ce vouvoiement le surprend toujours un peu, il joue le jeu cependant. Pourtant… ces derniers temps elle a eu des initiatives qui l’ont "ébloui". Comme c’est souvent le cas lors de réunions, les adhérents de l’association on prit des habitudes et se mettent souvent aux même places, de réunion en réunion. Elle est souvent en face de lui. Il y a quelques temps alors qu’il laissait son regard errer plein d’ennui il s’attarde un peu sur les genoux d’Anne qui porte souvent des jupes un peu courtes et à sa grande surprise c’est le moment qu’elle choisit pour écarter les cuisses, dévoilant un aperçu sur un tissu blanc entre ses cuisses. Il a détourné les yeux, plus troublé que gêné. Il avait oublié lorsque pendant la réunion du bureau la semaine dernière la même scène s’est reproduite, à deux reprises… et la deuxième fois, alors qu’elle s’était absentée quelques minutes, il avait porté ses yeux sur ces genoux intentionnellement… "pour voir"… elle a de nouveau écarté les jambes, lentement.., et elle ne portait plus de culotte, elle a ainsi offert une vue, dans l’ombre, sur une fente à peine masquée par une légère toison dorée. Il a lentement levé les yeux vers elle, croisant son regard qui semblait absolument indifférent….
Elle a mis le clignotant et se prépare à entrer sur un de ces parkings pour ramasseurs de champignons, randonneurs, et accessoirement camionnettes blanches aux bougies. « Je dois m’arrêter, excusez-moi ». Tandis qu’elle s’éloigne vers la forêt et disparait dans le chemin qui commence derrière les panneaux destinés aux touristes, il sort respirer l’air du matin. Elle revient lentement, le regarde… « Vous m’avez suivie ? Je vous soupçonne d’être un peu voyeur…. ». Silence abasourdi… « Comme vous le savez je suis un peu exhibitionniste… ». Elle le regarde dans les yeux, un peu provocante… « Je trouve ça excitant…. Je crois… Ça m’aurait plus de savoir que vous m’observiez… pendant que j’urinais… le ventre à l’air… ». Malgré lui, il imagine, excité, vaguement agressé…. Il la regarde : « Next time » l’anglais lui a échappé, un petit manque d’audace. « Yes ! On the way back… ». Elle l’a tenté et l’a ferré. Propre et net.
Et plus tard en fin de matinée, alors qu’il bande depuis qu’ils sont remontés dans la voiture, au premier parking de la forêt au retour, elle met le clignotant : « Il faut que je m’arrête, excusez-moi ». Il descend, elle ferme la voiture qui cligne des phares. Il la suit à distance, comme un peu intimidé à l’idée de ce qui va arriver, excité. Elle quitte le sentier pour s’engager entre deux buissons de houx épais et s’arrête, se tourne vers lui, remonte sa jupe assez haut pour dégager complètement son ventre, elle ne porte plus de culotte… doucement elle s’accroupit en écartant les cuisses… il cherche une position pour voir… s’accroupit aussi, les yeux rivés sur la fente qui s’entrouvre révélant des liserés roses… le jet jaillit, elle le regarde espérant croiser son regard, il lève les yeux à ce moment là…. Elle s’offre c’est du moins ainsi qu’il interprète l’échange de regards… il bande comme rarement, percevant dans la racine de son membre une force qu’il n’imagine pas pouvoir laisser sans usage…. Il regarde entre les cuisses, le clitoris apparait nettement, la fente semble ouverte…. Elle se relève, hésite, un peu d’urine est tombée sur ses cuisses comme elle se relevait…. Il ouvre son pantalon, sort son membre, l’exhibe : »regarde aussi toi ! regarde comme tu me fais bander… elle reste, interdite, et comme elle semble attendre il l’attrape, la retourne et la pousse contre un arbre, elle proteste… « Non, non, pas ça ! » il lui écarte les jambes, se colle contre elle le sexe raide glisse entre les lèvres, elle est trempée, il la prend… brutal, la pénètre, pilonne son con, cogne ses fesses bruyamment, grogne…, il sent son gland cogner au fond, elle jette sa croup vers lui quand il jette ses reins vers elle, ils grognent tous les deux, elle crie, ils explose d’un coup et la giclée interminable qui l’inonde déclenche un orgasme incontrôlable, elle crie son plaisir, il essaie de la bâillonner de la main pour qu’elle n’alerte personne sur ce qui est en train de se passer derrière le houx…. Il vide ses couilles, elle se cambre pour mieux le garder… le retient…. Il se retire, remet son pantalon, la queue couverte d’un mélange visqueux…. Elle reste, la jupe remontée sur les hanches, de son sexe béant coule le même mélange….Il lui tend un kleenex, elle s’essuie de la façon la plus impudique qui soit…. « wooow… tu es une bête… c’est exactement ce dont j’avais besoin… brutal et animal… J’en reprendrai bien une deuxième ration… un peu plus loin »
C’est ainsi que tout a commencé. Un quart d’heure plus tard, juste avant de sortir de la forêt elle mit à nouveau le clignotant. « Excusez-moi, mais je dois m’arrêter de nouveau ».
Comme elle remontait sa jupe pour découvrir son ventre, et ses cuisses sur lesquelles il pouvait voir quelques taches de son sperme, elle commence à se baisser pour uriner… il sort son sexe pas encore raide et commence à uriner devant elle… pas trop près pour qu’elle ne risque pas d’en recevoir… et il a la surprise de la voir tendre la main puis lécher ses doigts…. Quand il a fini d’uriner il avance, lui propose sa queue qu’elle prend sans hésiter, elle pompe, comme pour boire ce qui restait d’urine, puis pour le rendre aussi dur qu’elle le souhaite…. Elle se redresse alors, se retourne se cambre… écarte ses cuisses avec ses mains pour qu’il voie la fente béante… « ENCORE ! ENCORE ! » Et la même scène se reproduit, d’une baise bestiale, brutale, presque violente, elle est pilonnée comme elle ne l’avait jamais été, son corps est violemment secoué à chaque contact, les peux claquent bruyamment, elle entend ses seins qui ballottent sous elle… « PLUS FORT ! COGNE ! BAISE-MOI … MMMMMMMMMMMMMMM elle explose, elle crie, irrépressible orgasme qu’il n’a pas le temps d’étouffer avec sa main, ou trop tard, surement on les entend…. Il vide ses couilles à nouveau… elle le retient à nouveau, et quand il se retire elle tombe à genoux pour prendre sa queue dans la bouche encore, elle tête sa queue ultra sensible, elle avale ce qui restait, et lèche, nettoie…quand il remet sa queue dans son caleçon il est presque propre…. Elle se lève et dépose un léger baiser sur ses lèvres, baiser collant qu’il n’apprécie qu’à moitié….
Lorsqu’ils rejoignent la voiture, ils tombent sur un petit groupe de randonneurs qui les regarde avec attention et en souriant…. En riant même… qu’importe…. La voiture repart….
S’arrêt dans le village suivant. Anne entre dans les toilettes publiques….
Revenue dans la voiture, elle attend un moment…. « j’espère que nous recommencerons, … mais j’ai un mari et un amant… tu me donnes un plaisir inouï, dont je rêve depuis des années… bestial… mon côté animal… je suis … comme une femelle … soumise … au mâle… pour une saillie… et je m’abandonne, … je renonce à tout contrôle… je crie… ». …. Silence… Charles n’a pas moins envie qu’elle de reproduire ces moments… il veut tout… « Oui je comprends, c’est un peu pareil pour moi… je veux tout… je prendrai tout… tu comprends ? Je veux tout ton corps, tu ne me refuses rien… la prochaine fois je veux tout … ta bouche… ton con… ton cul… à partir de maintenant je te prendrai comme une chienne ». Elle l’embrasse légèrement, elle s’est rincé la bouche… ses lèvres sont fraiches…. Il réalise qu’elle s’est donnée, qu’elle l’a sucé, léché, nettoyé, pompé… ils n’avaient pas échangé le moindre baiser… « C’est exactement ça, je suis ta chienne, tu siffles et je viens pour la saillie…. ». Elle réfléchit : « mais je te siffle et tu viens me couvrir, comme une bête… ». « Parfait, on a de bons moments devant nous….
La voiture repart. Charles continue sans avoir l’air… « Vous n’avez pas trouvé que notre interlocuteur nous a quelque peu mené en bateau ? »
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