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Comment elle devint une chienne

Chapitre 7

Zoophilie
Charles ne rentre pas directement chez lui, tant de choses se sont passées, ont été dites... il a besoin de digérer un peu tout ça. Il s’en va au bord de mer, il fait très sombre, le soleil est couché, il longe la mer qui se retire indifférent au fait que ses chaussures prennent l’eau…. C’est que Anne a raconté tellement de choses…. Que Marie est si tentante et si bonne amante…. Elles acceptent tout, demandent tout, donnent tout….
Fatigué par ses excès, et ceux de ses partenaires…. Anne l’a troublé par ses récits… un moment où ils étaient partis à rappeler les moments du début, la forêt… il a évoqué le chien, ce coup de langue, ou plutôt ces coups de langue, qu’elle a accueilli… comme si elle n’attendait que cela… le bruit du chien qui lape, le long de sa vulve béante, le sperme qui coule, et elle qui se prête au jeu….
« C’est un de mes fantasmes… » A-t-elle avoué, légèrement embarrassée, mais sans honte…. Elle s’est ensuite lancée dans une histoire, une rencontre, quelques années plus tôt, en bord de mer, un soir d’été… un bureau de poste, une jeune femme et un chien… Charles se remémore leur conversation, tout excité, échafaudant un projet de voyeur….
« Ça a commencé dans un bureau de poste… », Anne s’était serrée contre lui, ils sentaient l’amour, ils avaient laissé Marie dormir… ils venaient de jouir tous les deux, et elle continua : « elle était belle, brune, mince, sportive, et elle avait un chien, beau chien, grand ! Berger quelque chose me suis-je dit, je n’y connais rien. Nous attendions dans une file d’attente, elle devant mois, son chien… je trouvais qu’elle avait une façon de chercher son chien avec ses jambes, comme pour s’appuyer sur lui…ne jamais perdre le contact… comme quand je suis avec un homme qui vient de me faire l’amour… besoin de ce contact prolongé…. Chaque fois que la file avançait elle le retrouvait ainsi… et le chien répondait en quelque sorte, sagement appuyé sur les jambes ou la jambe de sa maitresse… c’est en me disant ça… les jambes de sa maîtresse que je me suis demandé…. Un peu honteuse de me poser une telle question… mais je les regardais et je n’arrivais pas à écarter mon impression…. »Charles l’embrasse, caresse ses seins, mort son épaule, il écoute distraitement… mais il n’a pas récupéré loin s’en faut… il écoute….« Et…. ? »« Elle est sortie avant moi, mais j’étais juste derrière elle, et je l’ai arrêtée pour l’interroger sur la race de son chien, un Landseer … magnifique et grand…. Nous parlons, des chiens, de l’été, de la douceur du soir, on arrive à la plage, on marche vers la mer… »
Charles réalise qu’il fait la même chose… mais seul…
Anne a continué… racontant comment elle avait dit à son inconnue combien elle avait trouvé le chien et sa maîtresse complices…. L’inconnue avait souri…. Puis comme le chien commençait à renifler de façon embarrassante le bas ventre d’Anne… « Argos non, pas avec Madame… » Et tout à coup la belle inconnue était devenue toute rouge, immobile… gênée…. Elle s’était arrêtée, elles étaient seules dans le coin de plage où elles marchaient…. La jeune femme avait souri de nouveau : « Je vais vous montrer quelque chose… ».
Anne n’a plus cessé de raconter :« Elle s’est accroupie devant moi, laissant sa jupe remonter, puis a écarté les cuisses, la jupe est remontée encore un peu, dévoilant une jolie fourrure noire, et Argos avait enfoui son museau entre les cuisses de sa maîtresse, et l’avait léchée…, la jeune femme laissait faire, me regardait dans les yeux, les fermait de temps en temps… elle repoussa son chien, l’embrassa, ouvrant légèrement la bouche pour saisir un bout de langue du chien… Voilà, vous savez ce que vous vouliez savoir, non ? Et Argos lui sait ce qui va se passer ce soir…. Il va me couvrir….
« Ensuite nous sommes remontées en silence, vers la digue… nous avons marché sur la digue, nous nous sommes assises sur un banc… elle m’a raconté… son chien… son amant… régulièrement le soir elle se dévêt, circule nue dans son appartement, et le chien sait ce qu’il peut avoir…. Elle le laisse la renifler, elle s’arrête quand le museau se colle contre sa toison, sa vulve, et laisse le chien la lécher entre les cuisses… quand il insiste elle se met sur les genoux, dans sa chambre, appuyée sur le lit… elle écarte les jambes… attend…. Argos se pose sur elle, la saisit entre ses pattes antérieures… il commence à pilonner plus ou moins frénétiquement, ne trouve pas toujours la fente du premier coup… il perd une sorte de liquide un peu gras, il lui en met plein les fesses, les cuisses… son membre ne sort pas beaucoup jusqu’à ce qu’il trouve, il pénètre sa maîtresse, qui tout d’un coup sent le membre grossir en elle, il la pilonne tout au fond… elle attend avec impatience le moment où il va la forcer à recevoir son nœud… à la coller à lui… il semble se calmer mais il éjacule, des quantités impressionnantes de sperme… chaud, il la remplit, elle sent son ventre gonfler… elle jouit comme aucun homme ne l’avait jamais fait jouir… parfois elle crie, des cris aigus… de plaisir, incontrôlables…. Une queue pareille vous fait sentir femelle finit-elle, je me sens femelle, comblée, remplie, soudée au mâle qui me fait jouir, Argos me garde longtemps soudée à lui… et il éjacule pendant tout ce temps… sa tête contre mon cou, il bave parfois… et j’aime sentir son souffle et sa bave… je suis une femelle qu’il rassasie en une ou deux saillies…. Et il est infatigable…. Quand êtes-vous rassasiée par votre amant ? »
Anne avait pris la bite de Charles dans sa main « Allez-vous me rassasier ce soir ? »
Puis elle avait continué, racontant la fin de la promenade, l’arrêt à la terrasse d’un restaurant où une table un peu à l’écart était vide… elles mangèrent… L’inconnue racontait, racontait… sans doute parce que c’était la première fois qu’elle pouvait parler de son amant, Argos tranquillement allongé à côté de la table, aux pieds de sa maîtresse. Elle finit par raconter son fantasme… son rêve obscène, pornographique….
« je suis dans un lieu fermé, comme une salle de boxe… il y a un ring, légèrement surélevé, fermé par une sorte de grillage tout autour, assez léger… c’est un chenil, il y a six ou sept chiens, assez gros… grands… des spectateurs, hommes, femmes, mangent à des tables comme nous le faisons… autour du ring… ils ont payé pour voir, et on m’amène, tenue en laisse, un collier de chienne, nue, sans aucune chance d’échapper aux regards, sans aucune intention de cacher la moindre partie de mon corps… je viens pour être saillie… tous les chiens, autant qu’ils le voudront, ou les spectateurs qui devront payer pour me baiser devant les autres… ou les femmes, qui ne pourront pas être saillies cependant, les chiens sont pour moi….« Chaque fois qu’un chien s’intéresse à moi me renifle je lui donne sa chance, les uns après les autres ils la prennent, me pénètrent, me laissent leur semence, me lèchent, puis un autre, puis un autre, un homme qui veut mélanger son sperme avec celui des chiens, ou se faire sucer par une salope comme moi, ou m’enculer (c’est plus cher…), ou une femme qui vient goûter dans mon con la saveur de la semence d’un chien… je gagne de l’argent, je reste collée aux chiens, le sperme coule à flot de ma vulve…, ma bouche colle de sperme des hommes et d’un chien que j’aurai sucé… mon corps entier en est couvert… mes cheveux eux-mêmes… et un chien vient encore me couvrir… je suis une chienne…. Argos vient de temps en temps me couvrir comme seul il sait le faire…. Cela durerait toue une nuit…. Je rêve de cela quand Argos me monte, quand je dors, quand je me masturbe… un jour j’espère…. »
Anne s’était tue un moment, le temps de s’occuper de Charles que ce récit avait beaucoup excité… « Laisse-moi te branler… » lui murmura-telle… en commençant doucement, de longs mouvements avec la peau de sa bite… elle mettait un peu de salive, s’allongeait à côté de lui le visage à hauteur de son membre, de ses couilles… elle le branle, et le suce, le lèche, laissant sa langue glisser sous les couilles, vers… Charles se prête au jeu, offre son cul… se laisse lécher le cul… elle écarte les fesses, lèche, et le reprend dans la bouche, dans la main, mais la main… le doigt… elle le suce et son doigt explore… doucement presse là où il pourrait pénétrer… et où il s’enfonce pendant qu’elle tête, pompe… Charles se laisse aller, tout au plaisir de la fellation de la caresse profonde… deux doigts… il est raide à en avoir mal dans la bouche d’Anne, qui l’avale presque entièrement…. Jusqu’à ce que finalement n’y tenant plus il vide ses couilles…. Pendant qu’il marche il repense à tous ces moments, récits, baises, la caresse profonde… comme il aimé ces doigts qui le caressaient dans le cul…et la bouche qui a reçu son sperme…. Presque directement dans la gorge….
Anne avait continué le récit de sa soirée, après le repas elles étaient reparties toutes les deux, la belle inconnue (et Argos) et Anne marcher le long de la plage, dans la nuit… elle avait raconté comment l’inconnue soudain lui avait dit « J’aimerais t’offrir à Argos… viens, tu saurais ce qu’est une saillie, ce qu’est être une femelle couverte par un mâle, soudée au mâle qui remplit ton ventre, tu le sentirais gonfler…. », Anne avait été tentée, et avait refusé… mais elle avait accepté de laisser Argos la renifler entre les cuisses, renifler sa vulve à travers son pantalon…. « Laisse le te renifler, tu dois être trempée, comme moi… le laisserais-tu te lécher… ? Tu verrais, c’est si bon… tu le tentes, je le sens bien…. ». Et Anne avait ouvert son pantalon dans le noir, laissé Argos poser sa truffe sur sa petite culotte trempée, et écarté sa culotte quand elle avait senti la langue… debout… sur la plage déserte, n’y tenant plus elle avait retiré son pantalon s’était accroupie, les cuisses ouvertes, et s’était offerte à la langue d’Argos jusqu’à ce qu’elle sente un orgasme monter, éclater… elle avait uriné dans la langue d’Argos…. Comme Anne refusait encore de la suivre pour s’offrir à son chien l’inconnue avait attaché Argos et était partie sans rien dire… déçue sans doute… contrariée, laissant Anne au milieu de la plage dans le noir, remettre son pantalon, rentrer vers sa voiture….
Charles repensait à ce récit entrecoupé de caresses, de baisers, de gémissements de plaisir… Jamais il n’aurait pensé qu’Anne pouvait être ainsi tentée par l’idée d’une saillie…. Elle lui avait avoué que dans ses masturbations… elle rêvait d’Argos… de sa langue, de se sentir femelle… soudée, remplie…. Que la langue de ce chien, sur la table du parking dans la forêt… avait relancé ses fantasmes…
Charles sait où trouver des chiens…. Deux chiens, par ce cousin dont il pensait qu’il s’était vanté, qui lui avait raconté un week-end, une femme…. La tentation enfle… surtout que…. Marie et Anne plus tard lui ont proposé un marché…. Anne encore avait parlé, Marie était venue, réveillée, se coller contre lui, la vulve écrasée sur sa cuisse… se frottant contre lui, qui était épuisé, vidé… quand elles furent toutes les deux contre lui Anne avait commencé à faire leur proposition.
« Marie et moi allons vivre ensemble… comme un couple… et nous aimerions avoir un enfant…. Mais nous ne voulons pas de procréation artificielle… une procréation naturelle. C’est Marie, la plus jeune, qui le portera, il nous faut un géniteur…. Si tu veux bien tu seras notre étalon, tu lui donneras ta semence… le plus naturellement du monde… elle sera à toi quand tu le voudras… disponible quand tu auras envie, quand tu te sentiras prêt à la saillir… disons que tu as deux mois pour la féconder… ou trois…. C’est peut-être un peu particulier pour un homme d’être ainsi choisi pour être un étalon reproducteur…. Alors en échange… je me soumets à ton bon plaisir, le temps de ton activité d’étalon…. Entièrement soumise, tu seras mon maître, je t’obéis, tu dispose de moi comme tu l’entends… tout est à toi, tu peux louer l’usage de mon corps, de mes orifices, de mes talents… si tu restes à côté de moi pour assurer ma sécurité, je suis prête à accepter tes caprices et ceux des hommes ou des femmes à qui tu me louerais…. »
Il a accepté, comment résister à une telle proposition… face je gagne Marie, pile je gagne Anne…. Anne a commencé à le vouvoyer… « Vous êtes mon maître alors, pour trois mois jusqu’à ce que Marie soit grosse… disposez de moi absolument comme vous le souhaitez, je me soumets à vous ». Peut-il la conduire chez lui, recevoir les deux chiens… regarder les saillies… c’est si tentant… est-ce pour cela qu’Anne lui a raconté ces moments tenus secrets jusqu’à présent, pour lui suggérer qu’il peut jouer avec elle, et en même temps, lui apporter les plaisirs qu’elle n’a pas été chercher elle-même quand l’inconnue le lui a proposé… ? Soumise et manipulatrice…. Instiller l’idée de la saillie pour ne pas avoir à chercher les chiens qui la combleront….
Alors il va chercher les chiens…. Lui aussi il rêve de voir ça….
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