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Comment elle devint une chienne

Chapitre 8

Zoophilie
Charles passait de temps en temps chez Anne et Marie pour accomplir son devoir d’étalon. Marie s’abandonnait, dès le premier baiser elle se laissait glisser en arrière sur la couche et fermait délicatement les yeux, les ouvrant de temps en temps pour regarder son amant, l’homme qui devait la féconder, elle ouvrait les yeux pour lui, s’offrant à lui, dans son regard, sans limite, et Charles la prenait sans douceur. Il tirait d’elle tout le plaisir que pouvait lui donner sa bouche, ses seins, sa vulve, son con, sa chatte…. Il léchait, mangeait, suçait mordillait, … elle se laissait aller à la jouissance, enchainait les orgasmes dans la bouche du mâle, qui recevait des vagues de liqueur qu’il lapait goulument…. Il pénétrait sa bouche, elle avalait son membre à s’en étouffer, hoqueter… et elle pompait jusqu’à ce qu’il retire sa queue car il ne voulait pas décharger dans sa bouche…. Puis il lui écartait les cuisses avec ses cuisses, poussait sa bite jusqu’à sentir son gland rouler tout au fond, et il semblait se déchainer, il lançait ses reins de toutes ses forces, de grands coups de boutoirs, elle levait ses cuisses pour sentir la bite cogner de plus en plus loin, secouait sa tête d’un côté à l’autre, abandonnée, perdue dans son orgasme, criant jusqu’à ce qu’il décharge, qu’il vide ses couilles, à grands jets chauds, qui se répandaient dans la matrice de la femelle. Il se retirait, se laissait retomber lourdement sur le lit. Parfois Anne se lançait avec sa langue et sa bouche dans un doux nettoyage du membre et des couilles, léchant, suçant ce qui restait sur lui du mélange qui s’était formé dans le con de sa maitresse, du sperme et de sa cyprine…. Parfois il prenait Marie par derrière, cambrée, comme une femelle offrant sa croupe, il agrippait ses seins pour la tenir pendant qu’il donnait ses violents coups de reins, ou les mains cramponnées aux seins de la femelle, aux épaules, crispés dans les cheveux…. Charles se révélait un étalon brutal, Marie se laissait prendre ainsi, soumise, surprise de se prendre au jeu et d’encourager ce mâle à s’abandonner à sa brutalité. Elle restait ensuite étendue, comme sans force, et quand elle s’en allait dans la salle de bain regardait avec un certain plaisir les marques qui témoignaient de l’intensité avec laquelle elle avait été couverte. Une saillie brutale, animale.
Mais Charles n’en oubliait pas l’idée qui avait germé peu à peu dans son esprit sur les désirs secrets d’Anne… il travaillait secrètement à tout mettre en place pour qu’Anne connaisse la satisfaction de ce qu’elle avait laissé deviner de ses fantasmes, de ses désirs de soumission à un chien. Sa longue promenade sur la plage normande un soir avait fait tomber, par une rencontre inattendue, ses dernières hésitations. Il choisit un long week-end, pour lequel un de ses cousins lui prêta deux chiens qui avaient une certaine expérience des femelles humaines. Il aménagea une pièce du sous-sol pour la rendre à peu près adaptée à ce qui devait se passer : un peu de confort, beaucoup de protection pour pouvoir la nettoyer facilement et proposa à Anne et Marie de venir le passer chez lui. Anne comprit de suite…. Marie qui avait été couverte comme il convenait pendant la semaine l’accompagna par curiosité….
Le moment venu Charles conforta Anne dans l’idée… « Oui c’est bien de cela qu’il s’agit », d’ailleurs elle entendait des chiens, DES chiens, dont elle ne devinait pas bien le nombre, elle était fébrile, hésitante, trempée, la culotte mouillée comme rarement, le ventre en feu….« Quand tu seras prête, je te banderai les yeux, nous descendrons, si Marie veut regarder elle peut venir, mais doit se taire, tu seras déshabillée et livrée à un premier chien, ensuite, si tu le souhaite nous continuerons, tu pourras avoir autant de saillies que tu le souhaiteras… les chiens sont inépuisables, ou presque »
Charles la laissa réfléchir, se préparer mentalement, et s’occupa dans la cuisine de préparer la nourriture, les vins…. Il n’eut pas longtemps à attendre.
Elle annonça un peu plus tard qu’elle était prête, il lui banda les yeux et la conduisit dans la pièce du sous-sol. Il murmura à son oreille :« Assieds-toi ici un moment, je vais chercher… une surprise ».
Assise, les yeux bandés, elle écoutait, la respiration de Marie, et puis quelqu’un, deux personnes qui descendaient l’escalier… un chien, sa respiration, les griffes sur les marches… le chien qui s’approche, renifle… il renifle entre ses cuisses, la truffe tout près de son jean…. Et des mains de femme qui entreprennent de défaire les boutons de son corsage, les boutons de son jean, non sans la caresse au passage, elle est là, maintenant, en culotte, les doigts de la femme dégrafent son soutien gorge…. Pincent ses tétons…. Une douleur, une pince… cette femme lui pose une pince que chaque téton… tire sur la petite chaîne qui doit les relier… Anne laisse échapper un cri… Charles qui tient le chien en laisse l’informe que c’est pour la guider vers le lieu de la saillie au fond de la pièce…. Tout devient subitement réel, elle va être saillie…. Le chien est là… renifle sa culotte, et lèche… la femme glisse ses doigts dans la ceinture de la petite culotte, ses ongles effleure la peau, elle descend la culotte, s’agenouille pour la lui retirer, Anne sent la respiration de cette femme sur son ventre : « elle me renifle comme son chien…. » Et même elle lèche la fente d’Anne toute trempée…. « Qui est cette femme ? Ce n’est pas Marie… et je jurerais qu’elle est nue… » La femme se relève, tire délicatement sur la chainette, Charles regarde, et bande maintenant presque douloureusement…. Sa main caresse la croupe de la femme qui écarte les jambes pour le laisser glisser ses doigts entre ses fesses…. Et elle parle doucement à son chien : « Lèche-là Argos, elle est à toi ce soir… », elle s’écarte, Charles approche le chien de nouveau… Anne sent la langue qui glisse sur ses lèvres, la gueule du chien, son museau, sa truffe fraiche, il renifle, lèche, mange ….
Argos... lui qui est la cause de tout cela.... Anne écarte les cuisses… donne sa chatte au chien… elle est trempée, comme jamais, sa cyprine coulerait le long des cuisses si le chien ne la léchait pas…. Oh que ce chien qu’elle a souhaité si souvent la prenne, la monte, elle veut sentir ce mâle la pénétrer, couvrir, avant même de sentir le chien sur son dos elle sent presque un membre mâle la pénétrer…. Charles regarde, quelle chance il a eu l’autre soir sur la plage….
Il marchait lentement le soir tombait, il faisait doux… marée basse, les habitués des promenades en bord de mer étaient nombreux, quelques uns s’étaient avancé sur le sable humide jusqu’au bord de l’eau, Charles était resté à mi-chemin, il y avait peu de monde, sauf une femme qui promenait son chien, et dont le pantalon blanc attirait le regard. Charles s’approcha, pour tenter sa chance, si elle voulait attirer le regard il y avait peut-être une chance qu’elle cherche un compagnon pour la nuit…. Le chien lui rappela quelque chose…. Il avait rattrapé la femme, qui réagit comme si elle acceptait de se laisser draguer… et fut surprise d’entendre Charles lui rappeler une rencontre avec une femme « ici sur cette plage, assez grande… vous aviez longtemps parlé de votre chien et de vous, et proposé à cette femme une expérience inhabituelle... » La belle inconnue ne chercha pas à éluder… « Bien sûr je me souviens… de tout… je suis certaine qu’Argos lui-même s’en souvient… ». Et Charles lui a proposé… « Elle vient chez moi ce week-end, ici, et… elle vient… parce qu’il y aura deux chiens… vous avez mis un désir au fond de son ventre, vous avez fait naître un fantasme brûlant, nous allons le satisfaire… et si vous voulez donner une chance à Argos… il peut en profiter ».
La belle inconnue ne dit rien, réfléchit, en tout cas elle ne s’est pas montrée réticente, finalement elle a déclaré : « Je crois que ça fera plaisir à Argos, et que ça lui fera du bien… une autre femelle… ça m’excite… vous savez… il y aura d’autres chiens ?... ». La voix de la belle inconnue traduit son excitation, tremble légèrement, Charles en profite pour poser sa main au creux de son dos… et elle semble pousser son corps vers la main, qui du coup glisse un peu plus bas…. « Oui, il y aura deux chiens… des bergers… si vous voulez en profiter…. Mais je profiterai de vous … vous êtes si tentante…. » et la main de Charles était descendue sur les fesses et elle l’avait laissé faire…. « Tout ce que vous voulez, pour être saillie par plusieurs chiens… je serai votre putain… dès maintenant si vous voulez… » et elle s’était tournée vers lui, offrant sa chatte à la main qui pelotait ses fesses…. « C’est comme cela que j’aime les hommes, comme putain ». Elle l’avait emmené chez lui, dans le jardin il l’avait tournée vers lui, avait mis sa main sur la chatte… serré les lèvres à travers le pantalon « Pisse dans ma main, là, dans ton pantalon… ». Elle avait reculé un peu son visage, l’avait regardé, il avait vu à ses yeux qu’elle se détendait, puis il avait senti la chaleur douce de l’urine, le pantalon qui se mouillait, il regardait comme il pouvait les traces de l’humidité courir sur le tissu…. « Ce n’est souvent que l’on me demande cela…. Vous voulez que je me mette à genoux ? ». Elle n’attendit pas la réponse, un instant plus tard elle était devant lui, agenouillée, genoux écartés, elle ouvrait la bouche… il arrosa les cheveux, les seins, le ventre puis finalement lui donna à boire…. Il préféra en rester là, la laisser à Argos : « Montrez-moi comment vous faites » lui avait-il murmuré à l’oreille, et elle s’était exécutée, dans le jardin, elle avait retiré son pantalon, sa culotte, et à quatre pattes, la croupe en l’air, son corsage trempé de l’urine de Charles, elle s’était offerte à Argos. Charles pour la première fois put voir la scène dont l’idée l’excitait tellement…. Quand ce fut fini elle vint vers lui, encore dans les échos du plaisir que le chien lui avait donné : « Laissez-moi vous branler, ça doit être bien raide dans votre pantalon… ». Il l’avait laissée faire.
Et maintenant elle est là.
Elle tire sur la chainette qui relie les pinces sur les tétons d’Anne…. Elle la conduit vers le canapé, la pousse sur les genoux…. Anne suit, s’agenouille, pose ses bras sur le canapé, la tête entre ses bras, se cambre…. Écarte doucement les cuisses, laisse voir sa vulve. « Quelle croupe ! » Charles découvre une nouvelle façon de regarder celle dont il connait tous les replis du corps le plus intime…. C’est une femelle animale, les lèvres de la vulve légèrement ouvertes trahissent l’excitation…. Il avance avec le chien…. Argos…. Renifle, excité, le museau s’en va parfois vers la belle inconnue, sa maitresse, mais elle le repousse…. Charles lui donne la laisse pour qu’elle contrôle la suite…. Il regarde…. Le chien renifle la vulve offerte, la lèche, et sa maitresse le freine pour qu’il ne saute pas sur Anne immédiatement : « Lèche-là cette femme qui t’a refusé… lèche là, fouille -là… elle est à toi… » et un temps elle laisse le chien fouiller la vulve d’Anne avec sa langue, la lécher, la goûter. Puis elle tire sur la laisse vers l’avant, le chien bondit, enserre le corps d’Anne entre ses pattes antérieures…. Il avance, Anne gémit, il est lourd, il commence à remuer les reins de façon obscène… frénétique, Anne dit quelque chose, la voix hachée par les assauts du chien « Il ne me trouve pas… » Ne me trouve pas… elle n’est plus qu’une chienne, une vulve… un con trempé, en feu… « Il ne me trouve pas, il m’en met partout ». La belle inconnue lui dit de patienter : "Il va trouver ta chatte ma belle…". Et soudain un cri, Anne bouche entrouverte, tétanisée… « Ça y est…. » Elle gémit en même temps… le chien la secoue… un chien si lourd…. Ses seins remuent, on entend sa voix qui laisse échapper des bruits quand la bite du chien s’enfonce… comme si elle frappait le diaphragme…. La belle inconnue la conseille : « ouvre toi, ouvre tes cuisses, pousse vers lui…, il va te coller, il veut te la mettre toute entière… ». C’est un cri qui répond… « Il va me déchirer… c’est trop gros…. ». Mais il n’en sera rien ; Argos pilonne encore un peu puis semble se calmer… Charles sait depuis peu que le chien éjacule. Il remplit le con de la femelle, Anne le crie : « Il n’arrête pas, … il me remplit… ». Elle jouit, crie… Argos n’en finit pas… La belle inconnue tire sur la laisse pour que le chien descende… et voilà Anne collée au chien comme n’importe qu’elle femelle dans la rue… cul à cul... elle suit le chien, entre le plaisir de se sentir femelle à ce point là et la crainte d’être déchirée…. Puis le membre d’Argos sort, libérant un flot de sperme… il lèche la vulve qu’il vient de libérer, et s’en va, sans montrer plus d’intérêt que ça pour la femelle qu’il vient de saillir…. Anne reste à genoux, appuyée sur le canapé, et récupère.
Charles s’approche de la belle inconnue, la pousse à genoux vers le canapé… il sort sa queue… et baise la belle qui se laisse faire docilement, passivement, puis joue le jeu, lance sa croupe en arrière quand il donne les coups de reins qui propulsent sa bite au fond de la vulve, et il ne faut pas longtemps avant qu’il ne décharge…. Lui qui d’habitude aime bien prendre son temps a possédé la belle inconnue le temps de se vider les couilles…. Comme elle cherchait quelque chose pour s’essuyer et aider Anne à s’essuyer, Charles le leur interdit : « Vous êtes des femelles animales, vous vous léchez si vous voulez…. Mais c’est tout ».
Charles s’en va chercher les autres chien, Argos s’approche de sa maitresse, lèche la vulve maculée du sperme de Charles… et la couvre, Anne regarde, découvre le visage de la belle inconnue bouche ouverte, yeux hagards, Argos la pilonne, si nerveux qu’Anne craint un moment qu’Argos ne morde l’épaule de sa maitresse… La belle inconnue crie, de plaisir, encourage Argos, cambrée, la croupe soulevée vers le chien qui continue de pilonner frénétiquement jusqu’à ce que son nœud traverse la vulve… et au silence du chien répond le gémissement continu de la femelle qu’il remplit…. Gémissement aigu, cris aigus… Argos tombe des reins de sa maitresse, elle attrape ses pattes antérieures pour le garder près d’elle…. Jusqu’à ce que la bite du chien sorte de sa femelle, le chien laisse encore derrière lui une belle quantité de sperme….
C’est le moment où Charles revient avec Daemon et Dagan…. Anne se repositionne, elle veut être saillie autant de fois que ce sera possible…. Elle est un peu contrariée de devoir partager les trois chiens avec cette femme qui a le sien en permanence… mais elle lui doit cette rencontre avec la langue d’un chien qui dès le premier soir avait mis son imagination en chaleur… c’était si bon….
C’est Daemon qui saute sur ses reins, si grand si lourd… elle sent le bout du membre qui cherche sa voie, elle sait maintenant qu’il la trouvera…. Elle n’en crie pas moins de surprise quand elle sent le membre du chien la pénétrer, la traverser, cogner au fond, grossir et …. Le nœud qui force le passage, la dilate… elle crie… le nœud passe et continue de grossir, comme Argos Daemon l’a collée à lui, elle sait maintenant ce que c’est qu’être possédée… Après la saturation de ses sens avec Argos et les surprises de la brutale découverte, elle perçoit davantage de sensations, même si Daemon n’est pas moins brutal, pas moins lourd… un mâle puissant… Daemon la possède… elle est remplie, collée, dilatée, son con moulé sur la bite du chien, qui éjacule à jets continus, dans le ventre qui gonfle, soumise, elle subit… elle aime sentir tout ça…. Sentir ses seins qui ballottent sous les coups de reins frénétiques du chien, sentir ensuite son ventre grossir… sentir la fourrure du chien sur ses fesses, ses reins, les pattes croisées sous son ventre… il la tient fermement…. Pour un peu elle voudrait sentir ses dents sur ses épaules… elle sent la bave qui vient de couler sur son épaule… le chien halète dans ses oreilles, elle veut le garder… pousse ses reins vers le chien autant qu’elle le peut, la vulve autour du nœud… elle attrape les pattes postérieures, le garde contre elle, sur elle… il continue de la remplir, son con continue de se dilater en recevant le sperme… elle fait tout pour que ça dure… pour que cet orgasme continue, elle sent son con battre, frémir, comme si pas ses contractions il massait le membre du chien pour prolonger l’éjaculation... finalement Daemon se retire…. Dagan est déjà sorti du con de la belle inconnue, le sperme de chien coule à flot… Les deux femelles se regardent, regardent leurs corps, leurs croupes, leurs vulves béantes, et le sperme qui coule… Anne la première attrape l’autre femelle, la renverse et enfonce sa tête entre ses cuisses, pour gouter le sperme du chien… la belle inconnue s’offre et fait de même, et les voilà toutes deux qui se fouillent avec leurs langues…
Marie qui voit tout cela est complètement excitée… elle se rapproche de Charles, qui s’est complètement dénudé pour le cas où il profiterait de l’une des deux femelles…. Mais Marie, qui se dénude devant lui… qui ostensiblement libère ses jolis seins… elle est si provocante.... Elle s’enroule devant lui en contemplant sa bite dressée au-dessus de ses couilles… elle s’approche de lui, présente ses hanches et son ventre, les cuisses légèrement entrouvertes pour laisser entrevoir sa fente à travers sa légère toison…. Quand la main de Charles glisse vers le haut de ses cuisses elle les écarte un peu plus : « Baisez-moi, mettez-la moi partout…. Elles me rendent folle… on n’est pas obligés d’être sages aujourd’hui, j’ai envie de sentir le sperme partout…. ». Les doigts de Charles écartent les lèvres… un doigt glisse vers le petit orifice que Marie laisse volontiers utiliser…. Il bande… elle commence à jouer avec sa queue… dégage le gland, abaisse la peau autant qu’elle le peu…. Elle approche sa langue pour lécher la bite de bas en haut, il s’allonge en poussant sa tête vers le ventre et a toison offerte, la fente. Elle n’en peut plus : « Lèche moi pendant que je te suce… je veux gouter ton sperme… donne moi à boire… mange moi…. ».
Quand il ne peut plus se retenir Charles éjacule dans la gorge de Marie qui l’avait entièrement englouti… elle aussi jouit dans la bouche de Charles, qui lèche parfois le petit trou si facile d’accès dans cette position…. Quand ils reviennent un peu à eux ils regardent les deux femelles qui poursuivent leurs caresses, elles ont déjà joui, plusieurs fois…. Et Charles regarde à nouveau Anne qui est sur le dessus pour l’instant commencer à uriner sur le visage de sa partenaire, qui ouvre la bouche…. Elle boit…. Fatigué il se laisse aller contre Marie qui attrape une des couvertures qu’ils partagent… collée contre elle… « Tu dois me féconder, tu t’en rappelleras ? Il faut que tu me donnes ton sperme dans mon ventre une fois pendant ce week-end… ». Il n’a sans doute pas tout entendu… il dort.
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