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Comment ma mère a " sauvé " ma partie de poker !

Chapitre 2

Faire participer sa mère à une partie de poker est toujours dangereux !

Voyeur / Exhibition
(Antonin a le langage d’un adolescent de 19 ans, de ce fait son français est loin d’être parfait)
J’ouvre la porte, j’ai la boule au ventre !En allant sur des sites web à la con (porno je veux dire…) j’ai pu me rendre compte que des femmes « bien » pouvaient se livrer à des activités «  échappant aux bonnes mœurs ».
Alors c’est vrai que pour se rassurer, on se dit que les filles qui se font baiser par plusieurs mecs sont des professionnelles, des hardeuses…Ok, mais les gonzesses de Jacquie Et Michel, elles n’ont pas toutes le profil de Mélanie Coste ou de Clara Morgane…A bien  y regarder, c’est madame tout le monde qui veut s’encanailler, à visage découvert en plus !
Oui…mais… 
On a tous entendu des récits de femmes qui avaient eu des accès de nymphomanie…
Un exemple tout con ?
A la fac de droit de ma ville, vous ne saurez pas laquelle…j’ai vu une charmante blonde de 19 ans comme moi, passer sur les tables pour rejoindre une place au milieu de l’amphi I. Je la connaissais de vue, et je vous assure qu’elle n’avait pas une réputation de … enfin, vous me comprenez.On lui aurait donné le Bon dieu sans confession. Elle était mignonne comme un cœur.
Elle portait une jupe tout ce qu’il y a de convenable, un chemisier classique…mais pas de culotte ! (Anecdote véridique de mes jeunes années)Je vous dis pas le nombre de mecs qui ont pu se régaler de son anatomie, entre feuilles de papier et stylos plumes… (C’était en 1991)A l’époque, très rares étaient les filles qui s’épilaient le pubis, aussi tous ceux qui ont eu la chance d’apercevoir son entre-jambes, ont pu se rendre compte que c’était une vraie blonde !
Ce matin-là, le cours de droit constitutionnel ne fut pas tellement suivi par les rangs du milieu…Des mecs avaient le regard lointain, des étoiles plein les yeux ; elle en avait fait des heureux ce matin-là !

Et pourtant la fille ne faisait pas parler d’elle et n’avait pas une réputation de S……Là, vous êtes en train de vous dire «  mais qu’est-ce qu’il est coincé ce mec avec ses «  bonnes mœurs ! »
Peut-être ! N’empêche que j’aimerais vous y voir…là il s’agit de ma mère !Et j’ai pas trop envie de la voir couchée sur la table de poker, la robe tire bouchonnée autour de la taille, en train de se faire besogner par une des racailles, l’autre avec sa bite dans la bouche, et les deux suivants en train de se faire branler par les douces mains de ma génitrice !
Bon je dois être trop émotif, ça se passera pas comme ça !Ma mère n’est pas une S…… quand même !Nous entrons…il y a un blanc… très long….

«  Bon allez les gars, arrêtez de faire cette tête, c’est gênant à la fin ! Je sais que ma mère est bandante dans cette robe, mais quand même ; maîtrisez-vous ! » me dis-je excédé !

Kevin se lève tout sourire :
«  Madame Cousinet ? On m’avait dit que vous étiez une beauté, mais je ne pouvais l’imaginer à ce point !
— Mon Dieu, jeune homme vous êtes un gentleman. (en me regardant) je ne suis pas habituée à ce que des jeunes gens se conduisent avec une telle distinction avec moi… (très flattée par l’entrée en matière)
— Pour vous servir madame, venez donc vous assoir à coté de nous, on vous fait une place… »

  « Arrête ton char Ben-hur, je sais que tu veux lui défoncer la chatte ! » me dis-je «  in petto »

Je l’aurais tué ce Kevin et ma mère avec, je n’ai pas digéré la façon qu’elle a eu de comparer mes manières avec celles de cet imbécile !Kevin fait les présentations, tire une chaise pour que ma mère s’y installe, au passage il mate bien la splendide chute de reins de ma génitrice et à son coup d’œil appréciateur, j’ai compris qu’il a vu que Caroline, ma mère, ne portait pas de culotte.Mais il garde son self contrôle se contentant de regarder Rudolph dans les yeux et de lui faire un clin d’œil.
Aie ! Très mauvais ça, me mère se retrouve assise entre deux racailles, professionnels de la drague, prédateurs, qui chassent en duo…Avec leurs 22 ou 24 ans ce sont loin d’être des puceaux !
Mais bon sang, pourquoi j’ai organisé ce poker de merde ! J’ai le pressentiment que tous mes pires cauchemars vont se réaliser !

Ma mère plutôt très à l’aise au milieu de ces bêtes en rut, les toisent du regard et dit :
«  Bon alors les petits jeunes, il faut qu’on parle boutique.Le petit a merdé, j’ai très bien compris, mais avouez que vous l’avez un peu michetonné, non ?  »

Je suis sidéré, caroline parlant l’argot des quartiers parisiens populaires des années 1980 ! Et à voir la tête des autres, je ne suis pas le seul !Je me rends compte que Kevin regarde ma mère avec beaucoup plus de respect que quand elle est arrivée, et beaucoup plus d’intensité aussi…pas de doute, s’il avait eu envie de vaguement se la taper, au début, maintenant il n’y avait plus de doutes du tout dans son esprit !Il voulait ma mère, tout son langage corporel le montrait.

«  Madame, au fait, je pourrais peut-être connaitre votre prénom et ou pourrait se tutoyer… si tu veux parler boutique…
— Caroline! Et oui on peut se tutoyer. Bon je te mets au parfum tout de suite, toi et ton pote, j’ai eu un passé, dans ma jeunesse je n’étais pas la femme, mère de famille rangée que tu as en face de toi. »

Kevin s’éloigne un peu sur sa chaise, pose un coude sur la table, sa main sous sa joue, pour embrasser du regard celle-ci dans sa totalité, et ce qu’il voit lui plait beaucoup; ma mère tournée vers de lui de ¾, a les jambes croisées serrées, ce qui remonte un peu plus le bas de la robe.Kevin peut voir la lisière du porte-jarretelle…en fin connaisseur des femmes, il garde son calme et n’en laisse rien paraître.Tout au plus se passe-t-il la main dans les cheveux et puis deux doigts sur l’arête du nez, il lui fait son plus beau sourire avec une lueur très intense dans le regard…Il n’est pas lubrique seulement érotique et je vois, car je suis en face d’eux, que ma mère n’est pas insensible à ce type brutal, avec une tête de tueur mais qui peut se montrer doux et courtois…

«  Putain maman il est en train de t’embobiner »  pensais-je excédé !
«  Peut-être plus si rangée que cela, si tu vois ce que je veux dire… »   Et il jette directement un regard sur l’entrejambe de ma mère, regard rapide et furtif, ma mère en tant que femme qui se respecte enregistre tout, elle a compris qu’il a compris, elle s’empourpre.
«  Merde ! se dit-elle, ce petit con fait monter les enchères, il lit en moi comme dans un livre, il a saisi que j’étais a poil sous ma robe et que je tente de l’avoir avec mes appâts féminins.Mais il garde la tête froide. C’est pas le gros abruti de banlieue que je pensais voir, si je veux récupérer la dette de mon fils il va falloir que je donne de ma personne…huumm ! Peut-être pas pour me déplaire »,  pensa-t-elle.

«  Bon Kevin, je n’ai pas que ça a faire, on ne va pas jouer au chat et à la souris toute la soirée… Je vais être cash, je veux récupérer cette dette débile que vous avez imposée à mon fils par sa naïveté et sa bêtise…tu veux quoi en échange ?
— Voilà un langage que j’aime entendre, j’ai envie de dire «  toi » mais cela ne va pas te faire rire…. Ecoute tu trinques avec nous, « on délire » un peu et on se fait un poker…
— Non attends tu te fous de moi, là, tu veux encore plumer tout le monde ?
— Un STRIP POKER ! Ça te branche ça, Mme cousinet ? » 

Ma mère a un haut-le-cœur, ses yeux s’exorbitent, en regardant Kevin, elle s’empourpre de nouveau et elle sent une délicieuse humidité sourdre entre ses cuisse de même qu’une chaleur érotique s’empare de son ventre, son estomac se serre…Dans leur échange de regards , les deux ont eu la même vision, la même image mentale qui s’est dessinée dans leur tête :Caroline nue en bas et porte-jarretelles, couchée sur la table avec Kevin qui la besogne, tandis que les autres soit matent, soit participent comme ils peuvent…
«  Maman tu vas pas accepter ça quand même ! » me dis-je, j’ai failli tomber de ma chaise… je regarde les autres, tous ont des yeux gourmands, pas besoin de savoir ce qu’ils pensent..Oh putain je la sens mal cette soirée, j’ai envie de fuir et de me réfugier sous mon édredon. J’ai voulu provoque ma mère, je crois que je vais le payer très cher !

«  D’accord, mais à une condition, vous me respectez, personne ne me baise… 
— Vendu. (s’écrie Kevin, qui a le sourire du vainqueur.)
—  Bon alors mon chéri (en me regardant) notre accord te convient ? Je crois que je «  viens de sauver ta partie de poker !  »  me dit ma mère toute décontractée et souriante comme s’ils allaient faire une belote !
Je me renfrogne et ne dis rien.Kevin verse un peu de punch à ma mère, les verres se lèvent, ils trinquent tous les deux. Ce dernier, en bon manipulateur veut d’abord préparer ma mère pour la conduire à l’état psychologique qui conviendra, lorsque sera venu le moment «  des hostilités » !Ils se mettent à badiner… et ma mère commence à ressentir l’effet de l’alcool
«  Dis donc ,c’est pas aphrodisiaque ton truc, parce que ça me fait un drôle d’effet, mais n’en tire pas de conclusions hâtives !
— Attends, viens donc voir la composition, je l’ai écrite sur l’étiquette »
Ma mère se rapproche dangereusement de Kevin, elle se penche en avant pour lire l’étiquette. Elle présente son buste juste sous le grand plafonnier au-dessus de la table, le tissu de la robe se tend, ses seins sont tellement mis en valeur, qu’on les croirait nus !Les tétons sont tendus par l’excitation que ma génitrice ressent à s’exhiber devant ces jeunes gens et à la présence si proche de Kevin ; présence ensorcelante et virile en diable !

D’ailleurs ils sont tellement proches que je vois les narines de Kevin palpiter sous l’effet du parfum de ma mère…Elle le regarde goguenarde :
«  Je l’avais dit qu’il était aphrodisiaque ton truc, c’est bourré de gingembre et de bois bandé…c’est toi qui le fait ?
— Oui, j’ai des origines métisses, un grand père guyanais… (en la regardant droit dans les yeux )
— Mmmmhhhummm ! Guyanais… comme c’est intéressant ! Et follement exotique ! »

Je bous littéralement sur ma chaise, si on était dans un dessin animé de Tex Avery, j’aurais de la fumée, qui me sortirait des oreilles et les yeux montés sur des ressorts !L’enfoiré, la salope !
Tout le monde autour de la table a compris que Kévin se vantait d’avoir une grosse bite ! Et ma mère, cette pétasse, de minauder, de se régaler à l’avance de la taille de l’engin de son voisin !
Les deux se sont tellement rapprochés que leurs visages ne sont plus qu’à 30 centimètres, attirés comme des aimants.Je sais, je sens que leurs cuisses sont soudées l’une à l’autre…A un moment , ma mère a une petite vibration et elle se mord la lèvre inférieure..
Putain de merde, je suis sûr qu’il lui fout la main à la chatte !
Merde faut que j’en ai le cœur net ! Une idée, une idée… Je fais tomber mon paquet de cartes par terre, me baise pour le ramasser et …
Je bande instantanément, même si ce n’est absolument pas mon désir, mais c’est mon cerveau reptilien qui dirige et lui l’inceste, il connait pas…
Ma mère a les cuisses écartées, la robe relevée jusqu’au ventre, sa vulve est entrouverte par le désir, elle est brillante…putain mais qu’elle est bonne, même si c’est ma mère…j’ai honte mais…ça m’excite trop !
Ce petit salopard a sa main droite posée sur la face interne de la cuisse maternelle , il la caresse doucement et son pouce vient agacer le clitoris, et jouer à l’orée du vagin, s’enfonçant légèrement dedans.
Je reprends ma position sur ma chaise, j’ai les yeux vitreux d’un drogué en manque de came…je ne pense plus, la vision paradisiaque s’impose à mon esprit, je suis déconnecté.
Ma mère devant moi, sa respiration qui devient plus rapide, me dit avec un soupir :
«  Mmon Dieu, hhhe, ce que tuu peux etre maladroit , mon fils ! »
Je la regarde comme un zombie, j’ai même pas compris ce qu’elle m’a dit !Tous les autres sont scotchés, on entendrait voler une mouche…A un moment , Caroline sent qu’elle va partir et elle se dit qu’il est encore peut-être trop tôt, pour avoir un orgasme et jouir à gorge déployée devant son fils et ses copains…
Alors elle retire la main de Kevin, se recule légèrement de lui, et dit :
«  Bon alors jeunes gens , on le fait ce strip poker, je sais pas vous, mais moi je trouve que la température de la pièce a monté d’au moins 10 degrés , ce doit être un problème de thermostat !C’est bien simple, je transpire comme une pute à l’église !
ça a beau être ma mère, c’est quand même une sacrée salope !!-
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