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« Comment un rêve peut-il me mettre dans un état pareil ? »

Chapitre 1

Erotique
Samedi 25 Août, 3h50 je me réveille presque en sursaut, avec une chaleur humide au niveau de mon bas ventre. Je suis encore en état de demi-sommeil lorsque je m’installe au bord de mon lit. En passant ma main dans mes cheveux trempés, je constate également que ma nuisette est complètement trempée de sueur, malgré le ventilateur qui tourne à plein régime. Je mets quelques instants à reprendre mes esprits. J’aventure ma main gauche vers mon intimité que je découvre brûlante et humide, le contact de mes doigts sur mon petit bouton me remémore le plaisir que j’ai pris dans mon sommeil. En marchant en direction de ma salle de bain, je me rends compte j’ai un léger tournis, et mes jambes flagelles doucement. Je tente de me rendormir, très difficilement, j’essaye de comprendre, « Comment un rêve peut-il me mettre dans un état pareil ? » Malgré ma concentration je n’arrive pas à me souvenir.
Plus tard dans la matinée, au moment de choisir mes habits dans ma garde-robe, presque machinalement je caresse le tissu d’une de mes robes. « Comme du velours, le canapé était en velours» Je retombe dans cet état vaseux, des flashes confus de ce rêve remontent à la surface. Ce rêve dont je n’ai pratiquement aucun souvenir à réussi à me perturber toute la journée.
Je rentre le soir, assez tard, et surtout assez ivre d’une soirée passée avec des amis, autour d’une bonne bouteille de vin blanc.Titubant dans mon appartement, j’arrive à la hauteur de mon lit, où je prends soin de me déshabiller en laissant mes affaires sur le sol «je laisserais ça pour demain ! »Je m’étale nue sur mon lit, l’effet de l’alcool sans doute à mis mes sens en éveil. Je sens le vent du ventilateur parcourir mon corps, au contact de cet air frais, mes mamelons se durcissent, je commence doucement à jouer avec mes tétons en faisant des mouvements circulaires, me les pinçant de temps à autre, les humidifiant avec mes doigts que j’avais passé sur ma langue. Puis je caresse mon ventre doucement, et je descends doucement vers mon intimité. Mon clitoris, sous l’effet de mes caresses, devient de plus en plus gonflé. Trop ivre pour continuer, je m’endors dans cette position, la main sur mon sexe.
« Une musique, on dirait des violons, qu’elles sont ces voix ? » J’ai une impression de déjà-vu... J’ouvre les yeux, je me retrouve dans cette pièce, qui me semble vraiment familière. Je regarde les alentours, des grands rideaux en velours rouges, un chandelier style baroques noir, posé sur une immense table, je suis assise sur un canapé en velours rouge assorti au rideau, le plus troublant c’est la manière dont je suis habillée, une grande robe style médiévale, un corset violet, qui me donne un décolleté avec la poitrine bombée, brodé de perles noire et de dentelle noire également, une longue robe en violet très foncé, qui recouvre une quantité impressionnant de jupons blancs« Le canapé… »
Brusquement, un bruit de pas qui se rapproche interrompt mes pensées, la porte s’ouvre, et je découvre Julio, mon compagnon, habillé d’un costume ressemblant au mien, avec un masque noir sur le visage.
— Mon amour ? que fais-tu là ? où sommes-nous ? Que faisons-nous habillés de la sorte ?
Comme seule réponse, Julio s’avance vers moi et m’embrasse goulûment. Il commence par m’embrasser dans le cou, descend une main sur mes fesses. Je tente de le stopper, il m’attrape par le coup, me penche en arrière sur le canapé qui est derrière moi. « Tu es magnifique mon amour, maintenant pressons nous ils vont arriver »A l’aide de sa main droit qui est libre, il remonte ma cuisse en soulevant mes jupons, et accède ainsi à mon sexe qui est très moite « humm ma chérie, je vois que la situation t’excites » Il caresse mon entrejambes, et décide d’y introduire ses doigts. Humm que j’aime avoir ses doigts bien au fond de mon intimité, il me doigte avec une cadence infernale, je tente de ne pas faire trop de bruit, par peur d’être entendue.
D’un coup il se met entre mes jambes, sort son sexe complètement tendu, et me l’enfonce au plus profond. « J’en pouvais plus, habillée comme ça avec tes gros seins qui sortent.. »Julio me fait l’amour très fort, je l’ai rarement vu aussi excités, je me laisse aller à mon plaisir, quand d’un coup j’entends une poignée qui tourne, la porte s’ouvre. Je tente alors de me dérober, mais Julio appuis sur mon visage, et continu de me baiser.— Julio ! Arrête que fais-tu ?
— Tais-toi ! m’ordonna-t-il en m’appuyant fort sur la bouche. Et là je vis entrer au moins une dizaine d’homme, portant également des masques sur le visage. Très rapidement nous sommes encerclés, par ces hommes qui commencent à sortir leur sexe et à se caresser. Julio me retourne, et commence à enlever cette longue robe qui le gêne. Il me regarde d’un air complice. « Tu m’as toujours dit que tu adorerais être prise par des inconnus sous mes yeux, c’est l’occasion mon amour, montres leur maintenant comment tu sais bien bouger, montre lui ton gros cul onduler sur ma bite, donne leur faim de toi. » Il est vrai que cette situation m’a toujours fait rêver… j’aime plaire, alors sentir autant d’homme me désirer, m’excitais fortement. Je m’empalai donc sur lui, j’avais à présent les fesses à l’air. Les hommes autour de moi commençaient à me toucher les fesses, ils introduisaient leurs doigts dans ma bouche. Un homme s’avança vers moi « Suces le », me dit Julio. J’ouvris la bouche, et l’homme s’enfonça au fond de ma gorge, son sexe était plus petit que celui de mon homme, mais il restait délicieux. Tant bien que mal j’entamai des mouvements de va et viens sur son sexe.
Sentant qu’il allait arriver au bout, Julio s’arrêta. Il me porta jusqu’à la grand table en m’embrassa pour me féliciter et m’installa sur le dos, les fesses au bord de la table et se mis à la hauteur de mes bras en les tirant en arrière. « Très bien mon amour, maintenant laissons ses messieurs de baiser. Messieurs, vous connaissez mon désir, baiser là sans ménagement, et souillez la de votre foutre, cette petit cochonne m’avez confessé qu’elle adorait l’idée d’être rempli de sperme. »
Je regardais Julio avec passion, le remerciant d’un sourire de ce qu’il était en train de m’offrir.Et là commençait ma divine expérience. L’homme que j’avais sucé précédemment, me remercia de mon cadeau en me léchant vigoureusement la chatte, il récoltait avec sa langue la mouille qui s’écoulait abondamment. Quand il eut finis de s’amuser, il enfonça doucement son gland violacé. Humm que c’était bon, être pénétrée sous les yeux de mon compagnon qui me regardait, il me fixait, ne me lâchait pas du regard. Il guettait la moindre expression de plaisir sur mon visage. Au bout d’un moment l’homme excité par la situation, lâcha tout son foutre à l’intérieur de mon intimité, presque aussitôt un homme m’enfila juste derrière. On pouvait entendre le bruit de va et viens de ma chatte dégoulinante de ma mouille et de sperme. L’homme se déchargea lui aussi dans un râle bruyant. Julio ordonna à ses disciples de me retourner à quatre pattes sur la table.
« Baisez-la comme ça, et occupez-vous bien de son petit trou, madame adore être enculée. »Il se mis en face de moi, me pinça le nez et m’ouvris bien grand la bouche en enfonçant son sexe dans ma gorge, humm son sexe avait un goût que j’adorais, il était gros et large, il me remplissait entièrement la bouche. Ne pouvant plus voir ce qu’il se passait dans mon dos, je laissais éclater mes sens. Je sentis une langue chaude lécher mon anus, c’était divin, l’homme donnait des petits coup de langues, aspirait mon petit trou. J’adorais ça ! Il entreprit un mouvement de va et viens, mes jambes commençait trembler. Mon compagnon étouffait mes cris de plaisir avec sa bite bien au fond. L’homme mis un doigt, puis deux, en fait je ne savais pas exactement combien il en mettait, mais je sentais mon anus s’écarter de plus en plus, pour enfin sentir ce que j’attendais, un sexe commencer à me pénétrer. L’homme me prenait doucement, en écartant mes fesses avec ses mains, il se retira et je sentis un liquide chaud me couler dessus.
Enfin tout s’accéléra d’un coup, grâce à un homme qui ne prit même pas la peine de me préparer, pensant que j’étais assez dilatée, il entra avec force son sexe, j’ai cru que mon anus allait se déchirer tellement il était gros. Je me mis à crier, les larmes commencèrent à monter, je regardai mon compagnon d’un œil inquiet, et lui comme seule réponse, invita les autres hommes a venir baiser ma bouche. Je fût surprise par sa réaction, la douleur que je ressentais car ce gros sexe dans les fesses, commença à s’estomper et je ressentis un grand plaisir. J’avais l’anus en feu, l’homme me baisait avec passion, il me tapait les fesses, me griffait, deux hommes se battaient pour être dans ma bouche, ils m’attrapaient chacun leur tours la tête en me tirant les cheveux pour que je les suce. J’étais en soumission totale, j’étais dans un état d’excitation total. Le temps était comme arrêté, je suçais, avalais, sans plus savoir ce que je faisais, j’étais ivre de plaisir.
Julio fit signe aux hommes de reculer, il m’embrassa avec fougue, me redressa, et se plaça en dessous de moi, il m’allongea sur lui, dos face à lui. Il me chuchotait dans l’oreille que j’étais bonne, qu’il m’aimait, il m’embrassa dans le cou, et enfonça son sexe dans mon petit trou qui était maintenant béant. Un homme s’avance et monta sur moi sexe à la hauteur de ma bouche pour que je le suce, un autre présenta son sexe dans ma chatte, il entra doucement à l’intérieur, la je poussais un cri de plaisir. Sentir ces deux bites s’activer, était indescriptible, mon compagnon s’activait rapidement, il me pilonnait les fesses, tandis que l’autre faisait des mouvements plus lents, c’était génial, me sentir remplie par tous les trous, c’était jouissif, des jets de cyprine inondaient mes deux amants en transe.
L’homme qui était dans ma bouche bloqua ma tête de sorte que sa bite était au fond de ma gorge, j’avais le réflexe d’avalement, c’est là qu’il déchargea tout ton sperme chaud. L’homme qui était dans chatte se déchargea lui aussi.Mon homme m’aida à me relever, et me transporta à nouveau sur le petit canapé, il se mit sur moi, et commença à me faire l’amour avec passion. Nous étions entouré, mais c’est comme si nous étions seuls. Il m’embrassait, me regardait avec insistance, en me répétant sans cesse qu’il m’aimait. Moi toute retournée, je n’avais plus à parler, je lui rendais son amour par des baisers passionnés. Je sentais une chaleur monter, j’étais complètement déconnectée de la réalité, je fis comprendre à Julio que j’allais jouir, il accélérait, me serrait fort dans ses bras, ma jouissance m’envahis, je hurlais comme jamais, mon compagnon éculais presque au même moment. Nous restions en fusion pendant de longue minutes, à nous embrasser, à nous sourire. J’étais heureuse, j’étais bien. Amoureuse comme jamais.
Julio se relevait, et raccompagnait mes amants jusqu’à la porte, je restais quelques minutes là, le corps tremblant, souillée, dégoulinante de sueur, de sperme, de sécrétions. Je fermais les yeux, je sentais une brise fraîche me caresser le corps. Je me relevais presque en sursaut, avec une chaleur humide au niveau de mon bas ventre. Je suis encore en état de demi-sommeil lorsque je m’installe au bord de mon lit. En passant ma main dans mes cheveux trempés, je constate également que ma nuisette est complètement trempée de sueur, malgré le ventilateur qui tourne à plein régime. Je mets quelques instants à reprendre mes esprits. J’aventure ma main gauche vers mon intimité que je découvre brûlante et humide, le contact de mes doigts sur mon petit bouton me remémore le plaisir que j’ai pris dans mon sommeil.
« Comment un rêve peut-il me mettre dans un état pareil ? »
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