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Comment je suis devenu(e) moi

Chapitre 3

Travesti / Trans
Ce soir là, j’ai dormi au pied de leur lit, sur un petit matelas. Je me suis réveillée tôt et je les ai regardés dormir. Ils étaient magnifiques. J’ai eu envie de me glisser entre eux. Puis Virginie a ouvert un œil. Elle a murmuré:"-Bonjour ma chérie. Ne faisons pas de bruit, Marc aime dormir le matin. Viens."Elle s’est levée, a enfilé un peignoir sur sa nuisette et nous sommes descendues. Autour d’un café, Virginie a commencé à m’expliquer comment se passeraient les prochains jours."-Il faudra que ton premier réflexe chaque matin soit de te préparer. Douche, crème, épilation si besoin et maquillage. Puis tu t’habilleras. Si Marc a laissé une consigne à ce sujet, tu la suivras bien sûr. Sinon, je te dirais. Viens, je vais commencer à te montrer comment prendre soin de toi et te maquiller. Mais d’abord, tu dois apprendre à être propre partout... ce qui veux dire aussi à l’intérieur..."Et elle m’expliqua l’utilisation d’une poire à lavement... Beurk pensais je. Mais je m’exécutais pourtant... Puis elle revint vers moi après ma première douche rapide. Durant une heure très douce et tendre, je fus lavée, toilettée presque, et maquillée. C’était étrange, une partie de moi se rebellait, me disait que j’étais quand même un homme. J’essayais de me convaincre que je m’amusais juste, que cela s’arrêterait comme ça avait commencé, quand je le déciderais. Puis ces pensées s’évanouirent (temporairement) quand je me vis dans le miroir puis en sentant glisser sur mes jambes les magnifiques bas noir que Virginie m’avait donnés. Si vous saviez la douceur et la sensualité de la lingerie féminine sur votre peau préparée! Elle me prêta aussi une jupe et un haut assez chics. La jupe m’allait sûrement moins bien qu’à Virginie, mes hanches à cette époque n’ayant pas encore la rondeur qu’elles ont aujourd’hui. Dans mon magnifique soutien-gorge, elle glissa une paire de faux seins. Perruque ajustée, j’étais prête. "-Dis, vous m’avez parlé de féminisation, de changement de corps, vous vouliez dire quoi?-Nous n’en sommes pas là Chérie. -Oui mais...-Perds l’habitude de répondre! Quand nous te disons stop, c’est stop!"C’était la première fois que je la voyais sévère et cela m’impressionna. Même si une partie de moi avait envie de se rebeller et de dire "je fais ce que je veux!". Mais je ne dis rien et baissais les yeux.Nous descendîmes à la cuisine où Marc nous rejoignit. Il embrassa tendrement sa femme et à ma grande surprise vint m’embrasser aussi."-Bonjour les filles. Ma petite Emmanuelle, tu es très jolie ce matin! Virginie est une magicienne, non?" Puis se tournant vers Virginie "Ma douce, je serai là vers 19h ce soir. C’est quoi votre programme aujourd’hui? Tu n’oublies pas ma petite surprise, hein?-Ne t’inquiète pas Amour, tout est prévu pour ce soir. Quant à nous, aujourd’hui, c’est shopping, il faut habiller la petite. Puis Emmanuelle va commencer à découvrir ce qu’est la vie d’une catin à domicile. Les vidéos, les cours de maquillage, l’apprentissage de l’obéissance, l’abdication de sa prétendue masculinité, la découverte du corps féminin...-Hé, regarde, ça lui fait de l’effet à la gamine!"Je baissais les yeux et constatais avec un mélange de honte et de plaisir de cette honte qu’une bosse déformait ma jupe. Cela les fit rire. Au bout d’un moment, Marc partit travailler. Virginie monta s’habiller en m’ordonnant de rester là, assise, sans un mot. Elle redescendit, sublime. "-En voiture chérie!-Je vais m’habiller Madame.-Comment ça t’habiller? Tu es habillée!-Je vais pas sortir comme ça, en fille?!-En femme. Tu es une femme Emma, alors tu vas sortir en femme.-Non, je ne...-Non?! Tu as dit non? Tu ne peux pas dire non. Souviens toi des termes de notre proposition.
-Oui mais...-Pas de mais! Choisis, maintenant! Ou tu disparais et tu retournes à ta petite vie de branleuse de sauna ou tu continues avec nous. Mais dans la plus stricte obéissance."Mon premier réflexe fut de fuir. Puis je me dis que je pouvais toujours voir jusqu’où ça allait et partir plus tard. J’étais troublée... Par le souvenir de la nuit précédente, la beauté de ce que j’avais ressenti, la perspective d’obtenir cet orgasme inconnu que Marc avait failli me donner. Et, même si je ne me l’avouais pas vraiment, par le bonheur absolu et le sentiment d’être enfin à ma place que j’avais ressenti en étant prise par Marc tandis que je léchais Virginie. Comme une femme bisexuelle. Et nous partîmes donc. A mon grand soulagement, Virginie entra sur l’autoroute et prit la direction de Lyon. Une heure plus tard, nous déambulions dans des rues chics. Les regards des hommes s’attardaient sur nous, certains tentaient d’engager la conversation. Virginie les écartait gentiment, visiblement habituée à être l’objet du désir des hommes. Personne ne me traita de travelo. "-Tu vois mon cœur, tu es une femme. Même eux le sentent. Et ils te voient ainsi."Durant deux heures nous fîmes le tour de plusieurs boutiques où Virginie acheta pour moi de la lingerie, des chaussures, des vêtements, des accessoires. Tout était très classe. Et les prix me parurent hallucinants alors même que Virginie ne semblait pas y faire attention. Puis nous conclûmes notre tournée par un sex shop. Là elle acheta de la lingerie particulièrement vulgaire, sans rapport avec les articles délicats et fins que nous avions achetés plus tôt et quelques accessoires qu’elle refusa de me montrer. Puis nous rentrâmes. A peine arrivées, elle me dit:"-Enlève ta jupe et ta culotte."Je m’exécutais immédiatement, ravie à l’idée d’un nouveau rapprochement physique avec elle. Elle dut s’en rendre compte..."-Tu réagis encore en presque mâle ma douce. Mais j’ai là de quoi te rappeler ce que tu es. Viens ici!"Je m’approchais et elle exhiba une boîte dont elle sortit un objet bizarre. Une cage courbe avec un petit cadenas. "-Ceci va te maintenir femelle et asservie."Elle installa la cage autour de mon pénis. Celui ci se retrouva donc emprisonné tandis qu’elle glissait la clef sur une chaîne qu’elle portait au cou. Puis elle m’embrassa passionnément, se frottant contre moi, posant mes mains sur ses seins. Mon sexe commença à durcir pour se retrouver vite contraint, bloqué. C’était frustrant et un peu douloureux. Elle s’écarta de moi, reculant en dansant doucement. Ses vêtements glissèrent au sol lentement, un par un. En porte-jarretelles vert émeraude, soutenant des bas noirs eux mêmes disparaissant dans des escarpins noir satinés, elle dansait langoureusement, ses yeux vrillés dans les miens. Elle jouait avec ses longs cheveux ondulés roux, s’en servant pour cacher puis découvrir ses lourds seins laiteux... Une de ses mains s’égara dans sa culotte, je pouvais deviner ses doigts à travers le tissu arachnéen jouer avec sa toison vénitienne. Il devint vide évident qu’elle avait commencé à se masturber, son souffle changeait. Jamais ses yeux ne me quittèrent. J’étais dans un état d’excitation inconnu. Je voulus la rejoindre et elle m’intima sèchement de rester à ma place. Elle se caressa longtemps, me mettant au comble de l’excitation! Elle jouit enfin et se moqua de ma visible frustration. Me conseillant de m’y habituer, me disant que je n’étais là que pour son plaisir, que le mien serait une récompense dont elle déciderait ou non de l’attribution. Puis elle fit glisser sa culotte sur ses longues jambes. Quand elle fut autour de ses chevilles, elle murmura:"-Viens ma chose, mon jouet d’amour. Viens et lèche mon sexe. Je ne veux que ta bouche et tes lèvres. "Je tombais à genoux à ses pieds et enfoui mon visage dans ses odeurs. Son sexe trempé me rendait folle. Je la léchais goulûment, avec bonheur. Mon visage était recouvert de sa liqueur intime, j’en voulais encore plus. Elle jouit brutalement, attrapant ma tête pour la coller contre ses chairs. Quel bonheur parfait! Elle prit ensuite ma main et nous emmena vers les canapés. Là nous nous embrassâmes comme des folles, parcourant nos corps, nous frottant l’une à l’autre. Ses mains glissaient sur moi, m’arrachant de longs et délicieux frisson. L’une d’elle s’attarda sur mes petites fesses, glissa entre elles, caressant mon petit trou. Sa voix, rauque et troublée, résonna à mon oreille:"-Je veux lècher ta chatte ma puce."Et elle glissa à coup de petits bisous le long de ma colonne vertébrale. Puis je sentis la pointe de sa langue titiller mon anus. Cette sensation était incroyable. Tellement plus fine et efficace que les hommes. Elle me lécha longtemps, je gémissais malgré moi, croisant parfois son regard souriant et chaviré. Je sentis enfin un doigt s’insinuer en moi. Et je le voulais. J’en voulus rapidement plus. Et il y en eut plus...Trois doigts allaient et venaient en moi, tandis qu’elle couvrait mon corps de baisers chauds. Elle se retira brutalement. "Ne bouge pas!"Je l’entendis disparaître dans le couloir puis l’entendît revenir quelques minutes plus tard."-Cambre toi ma douce, offre moi ta chatte."Surexcitée, je m’exécutais. La position, un peu humiliante, m’excitait terriblement. Je sentis quelque chose de ferme mais souple, doux appuyer sur ma chatte. Mes hanches roulèrent pour accentuer la pression. Elle se déroba. "Non! Si tu veux quelque chose tu le demandes! Et peut être, si c’est aussi mon désir, que tu l’auras.-S’il vous plaît Madame...— S’il vous plaît quoi? Que veux tu, dis le moi."Ma fierté renâclait à l’idée de demander à être prise. Mais j’en avais besoin, il fallait qu’elle me pistonne et me défonce. Il le fallait! "-Madame, s’il vous plaît prenez moi...-Non, tu n’as pas compris...-Madame, si tel est votre désir, ma chatte vous est offerte.-Ça mon cœur, c’est une évidence.-Je suis à vous, usez de moi selon votre désir."Et le substitut de queue fit pression sur mon anus à nouveau... Elle poussa, le gland lubrifié se fraya un chemin en moi et, conquérante, elle me cloua au canapé. Souffle coupé, tremblante, je la sentis démarrer ses va et vient en moi. Ses longs doigts agrippèrent mes hanches et elle intensifia ses mouvements. Trés vite elle s’est mise à me défoncer. Elle allait très vite, me traitant de catin, de sex toy, ridiculisant ma prétendue masculinité. Elle me lima ainsi longtemps. J’en conçus du plaisir, quelques douleurs et surtout, je dois l’admettre, une intense excitation d’être traitée en objet sexuel, en défouloir à pulsions. Je ne voulais être plus que ça, un adorable jouet salope. De ce moment là et durant les deux semaines qui suivirent, je commençais à ressentir de la tristesse devant mon corps nu, désespérément plat. Habillée, préparée, j’étais bien, nue j’étais triste. Ce sentiment ne fit qu’augmenter durant ce premier séjour. Si vous le souhaitez, je vous raconterai la suite. Et notamment la surprise faite à Marc.
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