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Comment je suis devenu(e) moi

Chapitre 4

Travesti / Trans
Après un moment de récupération, Virginie me dit qu’il fallait me préparer pour la surprise promise à Marc. J’évitais de la questionner, commençant à intégrer quel était mon rôle, ma place.Direction la salle de bain pour tout le rituel de nettoyage qui devait me rendre disponible. Puis elle me maquilla. Je fus surprise en me voyant dans la glace affublée d’un maquillage vulgaire, outrancier, ressemblant plus aux peintures de guerre d’une pute bas de gamme qu’à la subtile mise en valeur à laquelle Virginie m’avait habituée. Quant elle me tendit les vêtements dont je devais me parer, je pus constater qu’ils allaient à merveille avec le maquillage... Body fendu en mauvaise dentelle fuchsia et bas résilles assortis. Par dessus j’enfilais une jupe ultra courte en simili cuir. Elle s’arrêtait plusieurs centimètres au dessus de la jarretière des bas. Je dus aussi chausser des talons ultra hauts noirs en mauvaise imitation de cuir. Une perruque blonde invraisemblable acheva de faire de moi une pute de bord de nationale. Quand je fus prête, Virginie recula pour contempler son œuvre. Elle éclata de rire, un peu méprisante. J’en fus choquée."- Tu ressembles à une prostituée, petite pute! Et pas à une belle escort! Non, à une pute de parking, vulgaire, sans grâce. Un trou pour se vider. Marc va adorer. Et en parlant de Marc, je te conseille de ne pas rater ta prestation. Il en attend beaucoup. Viens, maintenant, on y va!-Je dois sortir comme ça?-Ben oui, faut aller bosser morue.-J’ai honte... -Tant mieux."Nous montâmes dans sa voiture et tout en roulant elle me livra leur scénario. je devais me poster au bord de la route que prend Marc pour rentrer du travail où Virginie me déposerait une demi heure avant son passage. Une demi heure à ressembler à une pute au bord de la route. J’en fus effrayée et lui demandais comment je devrais gérer les éventuelles demandes d’automobilistes. Elle me répondit de me débrouiller mais qu’en cas de souci, il y avait ce qu’il fallait dans mon sac pour régler les problèmes. Savoir que j’avais de quoi me défendre me rassura à peine. Nous arrivâmes à l’endroit convenu avec Marc. Tandis que je descendais malgré moi de voiture, Virginie me dit:"-Rappelle toi Emma, tu es une pute, tu dois gagner ta vie en te servant de tes seules compétences réelles, ta bouche et ton cul. C’est ton rôle pour ce soir, Marc ne doit pas être déçu...".Elle démarra et la voiture disparut. Je me retrouvais seule, au bord de cette route en cette fin de journée qui s’assombrissait déjà. Derrière moi un chemin s’enfonçait dans les bois. Je décidais de regarder dans le sac moche dont elle m’avait affublée ce que Virginie m’avait laissé pour me défendre. Une feuille de papier avec les mots suivants "pipe 30 euros, baise 50 euros."... Et sous le papier, une boîte de capotes, des lingettes et un tube de gel lubrifiant. Rien d’autre... Je paniquais. Je fus tentée de me cacher dans le bois mais avec l’obscurité il devenait effrayant. Quelques voitures passèrent, ralentissant devant moi, leurs conducteurs me dévisageant sans vergogne. J’étais une marchandise. Quelqu’uns m’insultèrent, d’autres me "complimentèrent". L’un d’eux passa devant moi à vitesse très réduite, me détaillant du regard. Puis il accéléra et disparut. Je consultais ma montre. Encore 20 minutes avant l’arrivée de Marc... Quelques voitures passèrent... Ces regards, la fonction de pute à laquelle ils me limitaient commençaient à m’exciter un peu. Je me mis à jouer un peu les allumeuses, prenant du plaisir à aguicher les conducteurs. Une voiture finit par s’arrêter devant moi. Je reconnus le conducteur qui était passé quelques minutes plus tôt trés lentement. La vitre passager descendit. "-C’est combien?-Euh, non... En fait je ne suis pas là pour ça...-Tu rigoles?! Allez c’est combien?"Je percutais soudain que ce devait être un complice de Marc et Virginie. Ils me testaient. Très bien, ils allaient voir! je m’accoudais à la portière."-30 la pipe, 50 la baise.-Ok... Attends... t’es un travelo! Merde! Putain, j’aurais pas cru. Je sais pas trop du coup... Bon allez, faut que je me vide, tu feras l’affaire"Il se gara. Je n’avais pas prévu ça. Je pensais qu’il vérifiait juste que je jouais bien mon rôle. Il descendit de sa voiture. Costaud, grand, une petite bedaine, la quarantaine sans grand charme. "-C’est où ton coin?-Pardon..? répondis je en panique-Bon j’ai pas que ça à faire! Viens!Il me prit le bras et m’entraîna dans les bois. Quelques mètres plus loin il s’arrêta et ouvrit sa braguette, en sortant un sexe déjà en semi érection. "Suce moi seulement, je baise pas les travelos."Je ne savais pas quoi faire. J’avais aussi un peu peur de cet homme déjà énervé par ma qualité de travesti. je décidais sans joie de m’exécuter. "J’aurais préféré une vraie femme. J’espère au moins que tu sais sucer."Sa remarque me vexa et me décida à lui montrer que j’étais femelle sinon femme. Je pris son sexe dans ma bouche, chatouillant son gland du bout de la langue. Durant quelques minutes je m’appliquais sur sa queue, suçais avec avidité et un féroce désir de lui donner une pipe qu’aucune femme ne lui donnerait jamais. Je le méprisais et cherchais à le punir en lui donnant le maximum de plaisir!
"P’tain t’es bonne la pute. Ca m’excite merde! J’vais te baiser, t’as des capotes?"J’en sortis une de mon sac et la lui enfilais. "Tourne toi salope, penche toi et tiens toi à l’arbre.Je mis un peu de gel sur ma chatte et m’exécutais. Il agrippa mes hanches, présenta son gland et commença à forcer. Je détendis mon anus, poussais un peu et il entra. Assez vite il se mit à me défoncer tout en m’insultant."Grosse pute, salope, t’aimes te faire tringler par un vrai mec hein lopette? Connasse, je vais te casser le cul comme tu aimes. Tu fais la pute parce que t’es bonne qu’à ça. Je vais jouir dans ton cul de chienne. T’as pas honte d’être une pute?"Il me secouait dans tous les sens, persuadé sans doute d’être un amant fabuleux. Il me faisait un peu mal mais il était hors de question que je le laisse le voir. Il finit par éjaculer en miaulant un cri ridicule. Il me claqua les fesses en se retirant. Deux secondes plus tard il était rhabillé et se dirigeait vers sa voiture. Je passais une lingette entre mes fesses et rajustais ma jupe. Quand je rejoignis la route, je vis une voiture arrêtée derrière celle de mon "client" qui d’ailleurs ne m’avait pas payée. La voiture de Marc... Celui ci en sortait tandis que l’autre montait dans la sienne. Avant de démarrer il apostropha Marc."Fais gaffe, c’est un trav! Il aime le cul ce dégénéré. Je l’ai pas payé, c’est lui qu’aurait du me payer pour le plaisir que je lui ai donné à ce dégueulasse!" Il démarra là dessus, nous laissant seuls."Bonsoir mademoiselle... Quels sont vos tarifs?"Je réintégrais mon rôle tant bien que mal. "-30 la pipe et 50 l’amour chéri.-c’est cher...-Mais non mon chéri, je les vaux largement... Viens tu vas voir...Marc me suivit jusqu’à mon "coin". Par terre traînait la capote de mon premier client.-Mon petit cadeau d’abord et après je vais bien m’occuper de toi.Marc me tendit 50 euros. Je m’agenouillais devant lui et commençais à dégrafer son pantalon pour exhiber son beau sexe.-T’es bien monté Minou... Je vais aimer m’occuper de toi.Je le pris dans ma bouche et commençais à le sucer. Je m’appliquais amoureusement sur ce sexe qui m’avait déjà tellement donné. J’étais tellement concentrée sur ma tâche que je mis du temps à percevoir les bruits autour de nous. Une ou plusieurs personnes se cachaient pas loin, nous épiant. Cela m’excita très fort à mon grand étonnement. Quand Marc fut bien dur, tout vibrant, je me relevais et m’appuyant à l’arbre je lui dis, faisant en sorte d’être entendue par les voyeurs:-Allez baise moi chéri, fais du bien à la pute du bois...Il rugit et vint se placer derrière moi. Son sexe glissa dans ma raie, me faisant frissonner chaque fois qu’il passait sur ma chatte. Je finis par le supplier de me prendre. Et il le fit. Il entra lentement en moi, me pelotant les fesses, le ventre, les seins. Quand il fut entièrement entré, il commença de délicieux aller-retours, bien plus subtils que les gesticulations de mon premier client. J’apercevais dans la pénombre les deux hommes se branler en nous regardant. J’entendais leurs commentaires sur la chienne, la salope que j’étais. C’était très excitant de me faire baiser sous l’œil de voyeurs, d’être perçue comme une insatiable salope. Je prenais beaucoup de plaisir à cette situation... Mais Marc s’emballa soudain, et éjacula très vite, me laissant frustrée. -Merci mademoiselle, c’était très bon. Tandis qu’il se rajustait, je vis les voyeurs guettant son départ...-Tu me ramènes chez moi Minou?-Ok, 50 euros la course... Dit il en souriant.Je lui rendis donc ses 50 euros. -Assieds toi sur ta veste, je ne veux pas que tu évacues mon foutre sur mes sièges en cuir. Durant tout le trajet, il ne dit pas un mot. En arrivant, il me fit signe de rester à la cuisine puis il rejoignit Virginie. Quelques minutes plus tard, celle ci apparut, magnifique dans une jolie petite robe verte. Elle m’enlaça."-Bravo Emma chérie! Marc est très satisfait. Et même impressionné! Tu as mérité que je m’occupe de toi!"Elle me fit couler un bain très moussant dans lequel je me coulais, heureuse. Je fus heureuse aussi de voir mon corps trop plat disparaître sous la mousse. J’étais bien, Virginie me caressait le visage avec tendresse. J’eus conscience à ce moment là que je venais franchir une marche de plus vers une nouvelle vie. C’était effrayant. Mais je devais me rendre à l’évidence. Jamais je ne m’étais sentie aussi bien, aussi comblée, aussi satisfaite. Mon ancienne vie me faisait horreur et je fus saisi d’une énorme angoisse à l’idée d’y être à nouveau abandonnée. Je décidais de faire tout ce qu’il faudrait pour les satisfaire, pour rester dans leur chaleur, pour faire sortir au grand jour la femelle en moi beaucoup plus apte au bonheur que le pseudo mâle dans lequel j’étais né.
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