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Comment je suis devenue la putain de mon amie.

Chapitre 1

Trash
Chapitre I :

Une fois de plus, mon mari était en déplacement. Un de plus, une séparation supplémentaire. Huit jours. Huit jours, qui font suite à six auparavant, juste séparés par une dizaine de jours de présence. Toutes ces absences me pesaient, mais je n’osais en parler à Paul. Il me semblait épanoui dans ce job qui demandait beaucoup. Nous habitions un grand appartement, dans une résidence de luxe, au quatrième et dernier étage. Chaque étage comportait deux appartements. Nous étions mariés depuis cinq ans et je n’avais pas dû voir mon mari plus d’une année, peut-être moins. Lorsqu’il était présent, nous ne faisions pas beaucoup l’amour. Il pensait surtout à ‘recharger les batteries’, comme il disait. Ce qui faisait de moi, une femme frustrée. Je ne suis pas à proprement dire un canon. Non, je peux dire que je suis jolie, sans plus. Un mètre soixante-dix, cinquante-trois kilos, quatre-vingt-dix, bonnet D, soixante, quatre-vingt-dix, voilà pour mes mensurations. J’ai les cheveux châtain clair, mi long, les yeux noisette et je porte des lunettes. J’ai tout juste trente ans.Pour combler le vide de l’absence, je travaillais dans un cabinet d’expert-comptable, où je gagnais bien ma vie.J’avais lié connaissance avec une jeune femme, de cinq ans ma cadette, au cours d’un repas, que je prenais habituellement dans une cafétéria proche de mon bureau. Depuis trois mois, Nous nous retrouvions, tous les midis, pour déjeuner ensemble. Je lui confiais tous mes soucis, et elle était devenue ma confidente exclusive. Je lui racontais plus de choses qu’à mon mari.Ce vendredi, j’avais pris ma journée, afin de faire les magasins, en compagnie de Claudine. J’arrivai devant le café où nous avons rendez-vous, mon amie et moi. Je la vis, sur la terrasse, me faire un petit signe. Je garai la voiture et la rejoignis. Après l’avoir embrassée, je m’assis en face d’elle et commandai un expresso. Elle remarqua tout de suite mon air tracassé et me demanda ce qui se passait :
 C’est Paul. Il est encore en déplacement ! Encore ? Oui. Cela fait déjà vingt jours en un seul mois.
Elle eut une moue indéchiffrable et nous nous tûmes un moment. Claudine me regardait d’un air coquin. Au bout d’un temps qui me parut bien long, elle me lança :
 Bon, si nous allions flâner dans les magasins.
C’est lorsqu’elle se leva que je constatai la quasi transparence de son chemisier, qu’elle portait sans soutien-gorge et la taille ridiculement courte de sa jupe. On devinait ses minuscules seins et ses aréoles roses, aux tétons légèrement plus foncés. Le chemisier s’arrêtait au-dessus de la taille et laissait voir son nombril percé. Je restai un moment interloquée, avant de ressentir une bouffée de désir pour elle. Il faut dire sur Claudine est très belle. Malgré un corps plutôt androgyne, elle est très féminine, avec ses petites fesses rondes, ses longues jambes, ses yeux d’un bleu très pur, ses cheveux longs, couleur des blés. Elle est plus jeune que moi de dix ans et je ne lui connais pas de petit ami. J’avais déjà, à de nombreuses reprises, ressentit ce que je savais être du désir pour elle. Mais jamais comme aujourd’hui.De la voir ainsi, je sentis de nouveau mon ventre se crisper. Cette fois-ci, je sus ce que cela voulait dire. Claudine m’attirait. Et pourtant, je ne me sentais pas lesbienne. Je n’avais jamais eue de relations homosexuelles.
 On prend ta voiture, me dit-elle, en me prenant la main, la mienne est en révision.
Je tressaillis au contact de la main de mon amie. Le sentit-elle ? Elle força mes doigts à s’écarter et emmêla les siens avec. Je me sentais toute chose et je sentis ma culotte s’humidifier. Que se passait-il en moi ? Lorsqu’elle me lâcha pour passer de l’autre côté, je ressentis une frustration comme je n’en avais jamais connue. Je regardai mon amie entrer dans ma voiture. Lorsqu’elle s’assit, elle me dévoila tout son entrejambe, recouvert d’un string, du moins, c’est ce que je pensai, en voyant l’étroitesse de la bande de tissu cachant son intimité. Je restai bouche bée, pendant qu’elle fixait sa ceinture. Je repris conscience lorsque j’entendis sa voix goguenarde :
 Tu as vu le diable ? Non… non, excuse-moi ! Je démarre. Tu n’as jamais vu un string ? Si, si. Allons-y !
Je démarrai, pour couper court à toute autre question, mais Claudine ne semblait pas décidée à me lâcher :
 Ça t’a plu ? Claudine, arrête ! Quoi ? tu vois ma culotte et tu restes bouche bée, comme si tu n’en avais jamais vu ! Non, je n’en ai jamais vu, et encore moins mis ! Tu veux voir encore ? Tu es folle, lui dis-je d’une voix mal assurée, la rougeur de mon visage s’accentuant plus encore, si cela était possible. Tu veux voir ? Dis-moi que tu veux. Arrête ! Allez, n’aie pas honte, dis-le moi ! D’accord, montre … Montre-la moi encore, fis-je, d’une voix déformée par le désir.
Claudine décolla ses fesses du siège et retroussa sa jupe sur les hanches. Je fis une embardée et rattrapai de justesse la voiture. Elle me montrait tout son ventre, à peine voilé par l’étroitesse du sous-vêtement. Le rouge aux joues, je ne pouvais détacher les yeux du pubis de mon amie. Je sentais, entre mes cuisses, ma chatte palpiter, trempée de mouille.
 Je crois qu’il vaut mieux arrêter là, rit-elle, en se rajustant, sinon, tu vas avoir la mâchoire bloquée et tu vas nous faire avoir un accident.
Pendant quelques instants, je conduisis en silence. Je n’osais plus regarder Claudine, ne pouvant accepter le fait que j’avais osé lui demander une telle chose. Elle finit par rompre le silence :
 Finalement, je n’ai plus envie de faire du shopping. Si nous allions plutôt en forêt ? En… en forêt ? Balbutiai-je, troublée ! Oui, au bois Marchal, tu veux ? répondit-elle en me caressant la main. D’acc… D’accord, m’étranglais-je en répondant.
Nous roulâmes pendant un bon quart d’heure dans le silence le plus complet. Je n’osais pas regarder mon amie, et, pourtant, je sentais souvent son regard sur moi. Enfin, nous arrivâmes au bois.
 Où veux-tu que je me gare ? Lui demandai-je, avec une assurance que j’étais loin de ressentir. Au fond, près de la maison forestière.
Je gagnai donc le parking du fond et me garai près de la maison. Claudine descendit et attendit que j’aie fermé les portières pour s’engager dans un petit chemin, que je n’avais pas remarqué. Je la suivis rapidement. Elle marchait devant moi. Ses fesse ondulaient langoureusement et je ne pouvais en détacher mon regard. Pourvu qu’elle ne s’en rende pas compte. Je sus que mon espoir était vain lorsqu’elle me lança :
 Tu regardes mon cul ? Il te plait ?
Je restai interloquée. Cette fille avait des yeux derrière la tête, ou quoi ?
 Alors, répond ! Il te plait, mon petit cul ? Oui … finis-je par répondre, au comble de la gêne. Tant mieux, car bientôt … Bien … bientôt quoi ? Tu vas voir. Ça y est, on arrive.
Nous venions de quitter les grands arbres, pour déboucher dans une clairière. Claudine s’arrêta net au milieu et je faillis la percuter. Elle se retourna soudain, me prit la main et posa ses lèvres sur ma bouche. Je sentis sa langue tenter de forcer la barrière de mes dents. Subjuguée, je cessai de résister, ouvrit la bouche. Sa langue se mit à jouer avec la mienne et je fondis contre elle. Je sentais ma culotte se tremper comme jamais. Ma chatte dégoulinait. Mon dieu, quel effet me faisait cette fille ! Elle s’en rendit compte rapidement. Elle me lâcha la main, prit les côtés de ma robe et la remonta jusqu’au hanches. Sans cesser de m’embrasser, elle me pelota les fesses, à travers la culotte, puis passa une main sur mon pubis, la faisant glisser entre mes cuisses. Ses doigts rencontrèrent mon entrejambe trempé et elle gloussa dans ma bouche. Elle se dégagea de ma bouche et me regarda, sans cesser de passer ses doigts sur ma chatte toujours voilée.
 Tu es trempée, Céline.  Oui. Je suis toute excitée. Par moi ? Oui, chérie, oui. C’est toi qui m’excites. Depuis si longtemps !
Aussi soudainement qu’elle m’avait embrassée, elle s’écarta de moi, me laissant un goût d’inachevé dans la bouche. Je restai là, les bras ballants, la robe retroussée sur les hanches, la culotte trempée à l’entrejambe, nettement visible. Elle alla se placer contre un arbre tout proche et me regarda. J’attendais un signe d’elle. Je savais déjà que j’étais tombée sous sa coupe et qu’elle me ferait faire tout ce qui lui plairait.
 Retire ta culotte, me lança-t-elle soudainement.
Je m’exécutai, en la regardant dans les yeux. Je fis glisser le sous-vêtement le long de mes cuisses, puis, levant les pieds l’un après l’autre, je retirai ma lingerie. Cela fait, je me redressai et remis les bras le long du corps, gardant ma culotte poisseuse à la main, la chatte et le cul à l’air. Claudine fixa ma toison, quelque peu négligée, fit la moue mais ne dit rien.
 Approche, fit-elle d’une voix rauque, chargée de désir.
Lorsque je fus à un mètre environ d’elle, elle me fit signe de m’arrêter. Ce fut à son tour de s’avancer. Elle me contourna et je sentis une main se poser sur mes fesses. Elle caressa un moment les globes, puis un de ses doigts s’introduisit dans la raie, cherchant l’anus. Je ne cherchai même pas à serrer les fesses pour résister à cette caresse indécente. Au contraire, je me décontractai, la laissant jouer avec mon œillet. Lorsqu’elle cessa, je ne pus retenir un soupir de dépit.Je sentis Claudine se coller contre moi, la bouche contre mon oreille.
 Tu aimes cela ? Oui, j’aime. Qu’est-ce-que tu aimes ? J’aime que tu me caresses les fesses. Tu crois que ce sont tes fesses que je caresse ? Non, c’est… c’est mon… mon anus ! Exprime cela différemment ! Différemment ? Plus cru, si tu préfères. Allez, dis-le. J’aime… j’aime que tu caresses mon… mon trou… mon trou du cul. Eh bien, voilà, c’est si difficile que cela ? Non, ma chérie.
Elle me claqua violemment la fesse, et me lança :
 A partir de maintenant, tu me diras mademoiselle et tu me vouvoieras, d’accord ? Mais… mais, je…
Elle agrippa de nouveau ma fesse et y enfonça ses ongles, me griffant durement :
 D’accord ? Oui ! Oui, quoi ? Je vous vouvoierai et vous appellerai mademoiselle. Bien, tu as compris. Suis-moi.
Claudine repartit vers l’arbre et s’y adossa. Elle me regarda et me dit :
 A genoux, et lèche-moi ! Pardon ?
Elle m’agrippa les cheveux, plaqua mon visage sur sa jupe et me lança durement :
 Tu es conne ou quoi ? Je t’ai dit de me lécher. Bouffe-moi la chatte ? Fais-moi jouir.
Vaincue, je laissai tomber ma culotte, remontai sa jupe sur ses hanches, et contemplai de près le sous-vêtement, humide à l’entrejambe, qui voilait toujours son intimité. Sans le retirer, je le fis glisser de côté et j’eus enfin son sexe devant mes yeux. Elle écarta plus encore les cuisses pour me faciliter l’accès à sa chatte. Je sentais son odeur, une odeur douce, chaude, légèrement poivrée, et je m’en enivrai. Une main impérieuse plaqua ma bouche sur le sexe glabre de la jeune femme. Je sortis la langue et commençai à la lécher. Son goût valait son odeur et je plongeai avec délectation entre les lèvres de sa chatte, me repaissant de sa mouille. Elle ne tarda pas à réagir et des petits coups de reins accompagnèrent bien vite mes coups de langue. Je m’emparai de son clitoris et le fit rouler entre mes lèvres. Elle ne tarda pas à jouir, en me plaquant le visage contre son pubis, me retenant par les cheveux.Enfin calmée, elle me repoussa. D’une façon obscène, je me léchai les lèvres, afin de ne rien perdre de son nectar. Elle me fixa et, rabaissant sa jupe, me lança :
 Tu es une belle salope. Tu lèches comme une reine. Merci mademoiselle. Ça t’a plu ? Oui mademoiselle. J’ai beaucoup aimé ! Qu’est-ce que tu as aimé ? Vous … vous bouffer … la … chatte, mademoiselle. Ça y est, tu te décoinces ? Oui mademoiselle. Mademoiselle ? Oui ? Je … je voudrais … Je voudrais être votre salope ! Ma salope ? Oui, mademoiselle. Je voudrais que vous fassiez de moi ce qu’il vous plaira. Je désire vous être soumise, être votre esclave, votre objet sexuel. Vous obéir en tout et ne rien vous refuser. Tu es folle ? Oui mademoiselle, de vous! Tu es prête à tout pour moi ? Pourquoi ? Je vous aime, mademoiselle. Houlà, en voilà une déclaration. Es-tu sûre de bien vouloir cela ? Oui mademoiselle. Mettez-moi à l’épreuve, vous verrez ! Retire ta robe !
Je fis glisser la fermeture éclair de mon vêtement et j’enjambai ma robe. J’étais nue devant Claudine, pour la première fois. Je savais toutefois que ce ne serait pas la dernière, si elle m’acceptait comme esclave. Elle s’approcha de moi, passa la main sur un de mes seins, en saisit le téton et le pinça fortement. Je gémis de douleur et me courbai pour échapper à la torture.
 Redresse-toi, me lança Claudine, sans cesser de maltraiter mon téton.
Je me redressai et elle s’empara de l’autre, tenant à présent mes deux tétons dans ses mains. Ses ongles remplacèrent très vite ses doigts et je poussai un cri de douleur lorsqu’ils s’enfoncèrent dans la chair tendre.
 Alors, tu as toujours envie d’être ma chose, ma salope ? Oui, mademoiselle, haletai-je, la voix cassée par la douleur. Je veux toujours être votre salope, votre chose, votre pute. Tu feras tout ce que je t’impose, sans discuter ? Oui mademoiselle !
Elle relâcha mes seins. J’eus le réflexe de frotter les bouts pour faire disparaître la douleur, mais je me retins. Elle me fixa un moment, puis reprit :
 Et ton mari ? Mon mari ? Oui, ton mari ! Il est absent pour huit jours. Il peut s’en passer des choses, en huit jours, mademoiselle. Tu sais que je peux être extrêmement sévère ? Oui mademoiselle, je le sais. Comme tu veux. Relève-toi ! Nous retournons à la voiture. Non ! Laisse ta culotte ici. Ta robe, reprends-la à la main.
J’hésitai un instant, puis, je repris le chemin du retour, la robe froissée à la main, suivie par Claudine. Elle me fit monter, nue, dans la voiture, côté passager. En s’installant au volant, elle me dit :
 Boucle ta ceinture, mets les mains dans le dos et écarte les cuisses. Voilà, comme cela.
Je fis tout le trajet retour ainsi. Claudine prit un malin plaisir à ralentir chaque fois qu’elle voyait quelqu’un au bord de la route, ou qu’elle doublait un cycliste. Il y en eu même un qui faillit tomber, en me voyant, nue, dans cette voiture. J’avais honte de cette situation, et, en même temps, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Hélas, tout a une fin et nous entrâmes bientôt dans mon parking. Ma maîtresse me fit sortir et boucla les portières. J’appréhendais la montée, que ce soit par les escaliers ou l’ascenseur. Claudine me fit entrer dans la cabine et me fit mettre contre la paroi, les mains dans le dos. Heureusement, personne ne monta dans l’ascenseur et nous parvînmes au cinquième étage sans encombre. Je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’œil vers la porte de mon voisin. Je crus apercevoir un éclair de lumière dans l’œilleton. Avais-je rêvé ?J’entrai à la suite de Claudine. Elle se rendit dans le salon et s’assit dans un fauteuil. Ne sachant quelle attitude adopter devant elle, je restai debout, les mains dans le dos.
 Tu es bien sûre de ce que tu veux ? Oui mademoiselle. Je pense vous avoir prouvé ma volonté. Ça ? Ce n’était rien ! Si tu décides de t’en remettre à moi, ce sera bien pire. Je suis prête, mademoiselle. Tu es folle, Céline ! tu ne sais pas de quoi je suis capable. Montrez-le-moi, mademoiselle. Je vous suivrai. Pourquoi ? Parce que … Parce que je … vous aime, mademoiselle ! Tu m’aimes ? Oui, mademoiselle. Quand as-tu découvert cela ? Ce matin, mademoiselle, en vous voyant, si belle, si désirable. Mais cela vient de plus loin. Seulement, je ne voulais pas l’admettre ! Ecoute, je vais m’en aller. Tu vas réfléchir jusqu’à demain matin. Si tu es toujours décidée, retrouve-moi, au café de Flore, à dix heures. Sache qu’à ce moment, tu n’auras plus d’échappatoire. Tu seras entièrement à moi et je ferai de toi ce qui me plaira, compris ? Compris mademoiselle. Mais pourquoi attendre demain ? Parce que je te le demande ! Bien, mademoiselle. J’attendrai, mais je ne changerai pas d’idée. Au revoir, Céline.
Claudine s’approcha de moi et déposa un doux baiser sur mes lèvres. Je me sentis fondre. Je n’eus pas le temps de répondre. Le temps que je reprenne mes esprits, elle était partie.Nue, je m’agenouillai devant le fauteuil où elle était assise, quelques instants plus tôt, et je frottai mon visage, cherchant la chaleur, l’odeur que son corps avait pu y laisser. Je restai ainsi une bonne demi-heure, puis je me levai, me rendit dans la salle de bain. Je faillis prendre une douche, mais j’eus une réminiscence de son odeur sur mon visage et j’y renonçai.Tout le reste de la journée, je retournai mon aventure dans ma tête. J’étais passée de bourgeoise sérieuse à salope dépravée, enfin, un peu dépravée, en quelques heures. Pendant ce laps de temps, je suis tombée amoureuse de ma seule amie, une gamine de dix ans ma cadette. Pourquoi ? Comment ? J’étais bien incapable de me l’expliquer, mais c’était ainsi. J’avais aimé ce baiser, cette douleur lorsqu’elle avait torturé mes tétons, l’odeur et le goût suave de sa mouille. J’avais aimé qu’elle me force, qu’elle m’oblige, bref, qu’elle me domine. J’allais abandonner mon corps et mon âme à Claudine. Elle allait devenir ma maîtresse, et moi, son esclave docile.Lorsque je me couchai, ma décision était prise et je m’endormis comme un bébé.
a suivre
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