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Comment je suis devenue la putain de mon amie.

Chapitre 6

Trash
Nous prîmes la voiture et rentrâmes à l’appartement. Là, ma maîtresse me demanda de préparer le repas, ce que je fis rapidement. Après avoir mis le couvert, nous nous mîmes à table et nous mangeâmes en silence. Ce ne fut que lorsque j’eus débarrassé la table, qu’elle alla s’installer dans le salon. Je revins quelques instants plus tard, et prit ma place, à ses pieds.
 Assied-toi là, me dit-elle, en me désignant la place à côté d’elle, sur le canapé. Nous avons à parler !
Quelque peu interloquée, je pris place à côté d’elle. Elle se tourna vers moi, pinça ses lèvres et me dit :
 Ce n’est pas trop dur, de te soumettre à mes caprices ? Non, mademoiselle ! Je vous suis toute entière dévouée. Vous pouvez me demander n’importe quoi ! Tu es sûre de toi ? Je ne voudrais pas aller trop loin ! Mademoiselle, fis-je en lui prenant la main et en l’embrassant, je me suis donnée entièrement à vous et je ne le regrette pas. Vous m’avez poussée à faire beaucoup de choses que je n’aurais jamais osées faire, si je n’avais pas été votre soumise. Et je vous en remercie. Vous m’avez ouvert des horizons nouveaux et j’y ai plongé, avec délice. J’aurais pu, dès le début, dans le bois, refuser de faire ce que j’ai fait. Je m’y suis prêtée, avec volupté et personne d’autre que moi, ne peut être tenue responsable. Vous avez proposé, j’ai choisi, en mon âme et conscience. Maintenant, je peux vous l’affirmer, j’aime ce que vous me faites faire. Je vous suis entièrement dévouée et j’attends, avec impatience vos prochains ordres. Vous pouvez tout me demander, je ne rechignerai pas. Je suis à vous, corps et âme, n’en doutez pas. Si vous désirez faire de moi une pute, n’hésitez pas, faites-le. Si votre désir est de me transformer, me faire piercer, me faire ressembler à Estelle, aucun problème, au contraire !
Sans répondre, Claudine se pencha vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. J’ouvris la bouche, afin que nos langues se nouent. Je sentis sa main empaumer mon sein, chercher le téton et commencer à l’agacer. Je gémis dans sa bouche, et ma cambrai sous la caresse. Pour ne pas être en reste, je caressai, moi aussi, sa poitrine. Ses minuscules seins ne remplissaient pas ma main, mais ses tétons, qui pointaient, semblaient particulièrement longs. Après nous être caressées pendant un long moment, Claudine se leva et, me prenant par la main, m’entraîna dans la chambre. Nous nous étendîmes sur le lit et les caresses, les baisers reprirent. Il ne fallut pas longtemps avant que nous ne soyons nues, toutes les deux. Sans se concerter, nous prîmes la position tête bêche et nous nous léchâmes la chatte jusqu’à la jouissance.Repues, nous allâmes prendre une douche et revînmes nous étendre sur les draps, toujours nues. Claudine m’attira à elle et murmura :
 Oh, ma chérie, ma tendre salope ! Je vais faire de toi une belle pute ! Tu veux ? Oh oui, mademoiselle ! Tu accepteras tout ce que je te demanderai ? Oui mademoiselle, tout ! Je vais t’avilir, te louer, louer ta bouche, ta chatte, ton cul. Te faire baiser, par des blancs, des noirs, des jaunes ! Des femmes, des hommes ! Oui mademoiselle, tout ce qu’il vous plaira ! Je te ferai piercer, les nichons, la chatte, le clito … Oui ! Oui ! Oui, mademoiselle ! Tu veux, chérie, tu veux ? Oui, mademoiselle, je le veux !
 Je vais te fister, la chatte et le cul ! Oui mademoiselle, faites-le ! Tu seras ma soumise, ma salope, ma pute ! Oui mademoiselle, je serai votre soumise, votre salope, votre pute, et plus encore, si vous le voulez ! Plus ? Oui, mademoiselle ! faites-moi écarteler le cul et la chatte, que je puisse accepter d’énormes diamètres, même si mes orifices ont du mal à se refermer, ou ne le peuvent plus. Faites-moi saillir par des chiens, des chevaux, si tel est votre bon plaisir ! Faites-moi servir de vide-couilles ! Que mon ventre serve de réceptacle à tout le sperme des hommes, choisis par vous ! Faites-moi baiser, sans capote et que tous me remplissent le cul et le con ! Et si l’envie vous en prend, faites-moi engrosser, par qui vous voudrez, afin de faire de moi une femelle porteuse et vendez le fruit de mes entrailles, parce que je ne serai qu’un réceptacle à bébé. Faites-moi tatouer, marquer au fer rouge. Humiliez-moi, attachez-moi, fouettez-moi ! Je suis votre chose, votre esclave ! Oui, ma belle salope, oui, tu auras tout cela ! Dès lundi, tu donneras ton préavis, afin d’être toujours disponible pour te faire baiser ! Oui, mademoiselle ! Tu es excitée, salope ? Oh oui, mademoiselle, je suis trempée ! Alors, étends-toi sur le dos et écarte les cuisses !
J’obéis immédiatement. Je me doutais de ce que manigançait Claudine. Je l’appréhendais et le désirais en même temps. Doucement, elle commença à me caresser le clitoris, afin de me faire mouiller au maximum. Au bout de deux minutes de caresses, elle commença à introduire un doigt dans mon vagin, bientôt suivi d’un autre, puis d’un troisième. Alors, elle amorça des va et viens dans ma chatte. Je ne tardai pas à haleter. A chaque entrée, ses doigts buttaient contre ma vulve, déclenchant des râles de plaisir. Le traitement dura quelques minutes, le temps que je me fasse à cette pénétration, puis je sentis un nouveau doigt s’ajouter aux autres. Quatre doigts, maintenant, forçaient ma chatte à s’écarteler. Je lui parlai de mes sensations :
 Oh, mademoiselle, que c’est bon ! Continuez, j’ai la chatte éclatée, je suis ouverte ! Oh ! Non, salope ! Pas encore. tu verras tout à l’heure, quand toute ma main sera entrée, jusqu’au poignet. Là, tu pourras dire que tu seras ouverte ! Encore un peu de patience ! Oui mademoiselle ! Continuez ! Ecartelez-moi la chatte ! Explosez-moi le vagin ! Je ne suis qu’une salope, une truie !
Ma maîtresse ne répondit pas, reprenant ses mouvements de piston. Bientôt, je sentis le pouce se joindre aux autres doigts. A chaque mouvement, je sentais la main de Claudine cogner contre l’entrée de mon vagin. J’écartai plus encore les cuisses. Soudain, sans que rien ne le laisse deviner, mon vagin avala la main tout entière, jusqu’au poignet. J’étais fistée. Ma maîtresse cessa tout mouvement, pour me laisser le temps de m’habituer à la nouvelle possession.
 Tu sens, ma salope, ta chatte a avalé mon poignet ! Oh ! Oh oui, mademoiselle ! je me sens ouverte, béante comme jamais. Je suis remplie de votre main ! Oh, que c’est bon, j’aime ! Baisez-moi, mademoiselle, bourrez-moi la chatte, avec votre main ! Allez-y, baiser votre salope ! Tu veux ? Tu veux vraiment ? Oui mademoiselle ! Défoncer votre truie ! Allez-y à fond !
Claudine commença à me pistonner la chatte. Je sentais sa main entrer et sortir dans mon vagin. Moi, de mon côté, je l’encourageais, en lançant des obscénités
 Argh ! Je suis pleine. Votre truie est pleine mademoiselle ! Baisez-moi ! Plus fort ! Encore ! Je vais jouir, mademoiselle ! Votre salope va jouir sur votre main ! Ohhhhh ! Je … Ça vient ! Je jouiiiiiisssssssss !
En hurlant ma jouissance, je donnai de violents coups de reins, à la rencontre de la main de ma maîtresse, si bien qu’à plusieurs reprises, celle-ci vint heurter le col de l’utérus.Enfin, je m’écroulai sur le lit, abrutie de jouissance, trempée de sueur. Lentement, je sentis que Claudine retirait sa main. Celle-ci sortit avec un gros ‘Plop’ obscène, me laissant une impression immense de vide dans le vagin. Claudine sauta du lit et revint quelques instants plus tard, avec un appareil photo. Elle prit des clichés de ma chatte béante entre mes cuisses écartées.
 Si tu voyais ta chatte, salope, c’est obscène. Elle est complètement ouverte, béante. Je sais mademoiselle. Je sens un vide extrême en moi. Que c’était bon ! merci mademoiselle, merci !
Je m’emparai de la main fisteuse, toujours trempée de mon plaisir et commençai à la lécher, afin de la nettoyer. Je sentais le goût de ma mouille sur ma langue et son odeur par mes narines. Pendant les cinq minutes qui suivirent, je léchai la main qui m’avait fistée.
 Oh là, fit ma maîtresse, tu vas me l’user, si tu continues. Rends-moi ma main ! Oh mademoiselle, je la vénère, elle m’a donnée tant de plaisir. Tu es folle, ma pauvre salope ! Oui mademoiselle, folle de vous ! Tu sais que tu es toujours béante ! Cela fait déjà près de cinq minutes que je suis sortie !
Je passai ma main sur ma vulve et tâtai les lèvres. En effet, celles-ci restaient espacées d’au moins quatre centimètres, et lorsque j’introduisis un doigt dans mon vagin, je n’en sentis pas les bords. J’étais vraiment restée ouverte. J’en concevais une excitation folle. Soudain, je vis Claudine se lever, aller dans la salle de bains et en ressortir avec le grand miroir en pied. Elle le plaça au bord du lit et je compris aussitôt ce qu’elle voulait. Je me mis en face du miroir pour avoir la vue sur ma chatte. Elle était quasiment refermée, à présent. Ma maîtresse vint à côté de moi, après avoir placé la caméra sur un pied et l’avoir cadrée sur moi :
 Je vais de nouveau te fister, salope ! Mais cette fois, tu seras filmée. J’ai tout cadré, de ton visage à tes genoux.  Oh, oui mademoiselle, encore !
Et elle recommença la pénétration, facilitée par la première fois et une lubrification accentuée par la vue de la caméra, filmant ma dégradation. Je couinai comme une truie, lorsqu’elle enfonça sa main au plus profond de mon vagin, venant en butée contre l’utérus. Pendant un petit moment, que j’aurais été bien en peine de déterminer, tant je prenais mon pied, je sentis une modification de la pénétration. En effet, Claudine avait ouvert la main et un de ses doigts cherchait le col de mon utérus. Une fois celui-ci trouvé, elle commença un massage circulaire pour l’assouplir. Je commençai à trembler de désir et à délirer :
 Oh ! Non, nonnnn ! Siiiiii ! Dilatez mon utérus, baisez-le, mademoiselle. Je sens votre doigt me pénétrer ! Oh ! Quelle salope je suis ! Encore, plus gros, mademoiselle, plus gros ! oh, que c’est bon ! Je … Je vais jouirrrrrrrrr ! Arghhhhhh ! Je jouissssss !
Ma maîtresse dû me plaquer sur le lit de toutes ses forces, pour que je ne l’expulse pas et que je ne sorte pas du champ de la caméra. Lorsque je me fus calmée, elle recommença à pénétrer mon col. Elle réussit à y enfoncer trois doigts, à les écarter pour le dilater. J’avais l’impression d’accoucher à l’envers, encore que je ne sache pas ce qu’était accoucher. Une nouvelle fois, je sentis la jouissance m’emporter, comme une vague.
 Oh, mademoiselle, baisez bien votre salope. Mon utérus est ouvert, béant, pour vous recevoir, enfoncer votre poing, écartelez-moi ! Ohhhhhh ! Je jouisssss ! Encorrrrre ! C’est énorme ! Je vais mouriiiiiirrrrrr ! oh, putain, que c’est bonnnn ! Encorrrrre !
A bout de force et de souffle, je m’écroulai sur le lit. Claudine attendit que je me calme pour retirer sa main. La sensation de vide me parut plus intense encore, et j’avais l’impression d’être ouverte, béante, de la chatte au nombril.Ma maîtresse se leva et, s’emparant de la caméra, commença à faire des gros plans sur la chatte, puis sur mon visage.
 Tu vas pouvoir te voir, petite salope, en train de te faire fister et aussi de jouir, me dit-elle, en souriant. Maintenant, je filme ta chatte béante. Attends, je vais allumer une lampe et la diriger sur ta chatte ! oh, c’est pas vrai, on voit l’intérieur, on voit ton vagin !
Assommée par la dernière jouissance, je restai là, pantelante, cuisses écartées, yeux fermés, goûtant les commentaires de ma maîtresse. Cinq minutes plus tard, je dormais profondément.
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