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Comment je suis devenue une sodomite

Chapitre 2

Erotique
Une semaine après ma première relation anale, je revis mon jeune policier, Carl. J’avais opté pour une jupe mi-cuisse et d’un chandail bleu bien ajusté et assez décolleté pour bien mettre ma poitrine en valeur. Mes cheveux blonds étaient remontés en chignon sur le dessus de ma tête. Je le rejoins chez lui vers 19:00. — Que tu es belle, jolie Anna-Belle! dit-il en me voyant.Il m’embrassa fougueusement, sa langue cherchant la mienne. Je répondis à son baiser avec passion, nos langues s’entremêlant. Ses baisers descendirent le long de mon cou jusqu’au galbe de mes seins. Ses mains caressèrent mes bras des épaule au bout des doigts. Mon corps était parsemé de gros frissons. Je tremblais d’envie qu’il me touche partout, surtout ma chatte qui était toute chaude et humide. Les pointes de mes seins étaient érigées à un tel point qu’elles me faisaient mal. Carl retira mon chandail, puis mon soutien-gorge. L’air frais sur ma peau fragile fit gonfler mes seins de désir. Mon amant s’aperçut de l’effet qu’il me faisait. Il joua avec mes mamelons de ses doigts habiles puis les aspira dans sa bouche. Il les titilla avec sa langue. C’était délicieux.— Viens, suis moi, dit-il au bout d’un momentJe le suivis au salon. Il m’installa sur le dos sur le divan. Il remonta ma jupe sur mon ventre. Je mourrais d’envie qu’il me prenne, mais il prit tout son temps. Il retira lentement ma culotte en me complimentant sur ma beauté. Il écarta ensuite mes jambes blanches et contempla ma chatte que j’avais pris soins d’épiler le matin même. Il écarta les grandes lèvres et y approchai son visage. Il me renifla. — Tu sens bon Anna-Belle chérie. J’ai envie de te manger la chatte. A ce moment, il passa sa langue baveuse sur mon clitoris sensible et prêt à exploser. Il me lécha longtemps, sa langue passant dans ma fente. Je mouillais maintenant abondamment. Il suça mon bouton avec vigueur et chercha d’un doigt l’entrée de mon vagin. Doucement, l’inséra. Je ronronnai de plaisir. Son doigt fit quelques va-et-viens puis je sentis un deuxième le rejoindre pour me pénétrer avec vigueur. Je ne tardai pas à jouir. Je laissai échapper un cri. — Bien, ma jolie. Maintenant tu es bien prête pour m’accueillir en toi. — Oh ouiiii je la veux toute! Il me pris par la taille et me retourna à quatre pattes, le cul en l’air. Il se déshabilla et vint poser son membre à l’entrée de mon vagin. Il s’y enfonça jusqu’aux couilles. Il me pénétra quelques minutes, le temps que j’atteigne un deuxième orgasme. Il s’arrêta ensuite, mouilla un doigt et vint le poser sur mon anus.— Tu es bonne Anna-Belle. Tu es ma petite chienne. Maintenant que tu as jouis, c’est à mon tour. Et je jouirai dans ton beau petit cul. Sur ces mots, il vrilla son index dans mon anus. Il me ramona le derrière et je sentais sa queue, encore dans mon vagin, devenir de plus en plus dure. — J’adore ton petit cul ma belle. Je vais te le défoncer. Il sortit de mon vagin pour venir s’enfoncer dans mon rectum. Une douleur vive fut vite remplacée par une sensation que je n’avais jamais connue. Je sentais son membre dilater mon anus au maximum. Je n’avais pas mal. Je me sentais remplie, étirée. Comme une chienne. Ce n’était pas désagréable. Il me pénétra avec force comme il l’avait dit. Toujours à quatre pattes, il était debout derrière moi et me retenait pas les hanches pour me défoncer plus fort. Je criais à la fois de douleur et de plaisir. Ces deux sensations s’entremêlaient. Je me mis à pleurer sans trop savoir pourquoi. Cela ne freina pas les ardeurs de mon policier, au contraire, il me pénétra de plus en plus vite en poussant des soupirs bruyants puis laissa échapper tout son foutre au fond de mon cul. Les chauds jets de sperme me firent atteindre un dernier orgasme. Je frissonnai de tout mon corps et me mis à trembler. Je pleurais toujours. J’étais épuisée. Carl s’effondra sur moi. Il se retira. Je mis quelques minutes à me ressaisir. J’avais eu les sensations les plus fortes de toute ma vie. Je me sentais mal, mais bien à la fois. J’étais soumise à Carl et il allait m’instruire, profiter de ma jeunesse, de mon innocence. Il allait faire de moi une vraie sodomite...
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