Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 145 J'aime
  • 9 Commentaires

Un conducteur attentionné

Chapitre 1

Hétéro
Alors que l’été approchait à grand pas, il se préparait à occuper ses vacances en faisant un petit tour de l’Europe, sans autre but que de passer du bon temps et s’amuser.
Comme il partait en voiture, pratique pour la mobilité mais pas forcément économique, il avait décidé de faire du covoiturage pour partager les frais du premier voyage. Avec tous ses bagages et sa petite Clio, il ne pouvait prendre qu’une seule personne. Il posta donc une annonce et eut plusieurs réponses positives de filles et de gars qui avaient tous l’air cool. Il m’avait choisie, se disant que quitte à passer du temps avec quelqu’un autant que ce soit une fille…
Après plusieurs échanges, nous nous sommes mis d’accord pour partir en début de soirée et louer une petite chambre d’hôtel pour passer la nuit avant de repartir le lendemain matin.L’itinéraire était tracé, l’hôtel loué et les affaires prêtes.
Il est donc parti de chez lui, et il devait me récupérer sur la route. Il ne savait pas à quoi s’attendre. Il est arrivé au point de rendez-vous et a attendu en regardant toutes les filles passer en se demandant si c’était moi. Et puis je suis arrivée et j’ai frappé à la vitre. En tailleur, bas et talons, j’étais plutôt sexy ; il n’attendait pas à une femme comme ça… mais tant mieux, le temps allait passer plus vite.Nous avons fait connaissance sur la route, parlant de tout : de lui, de moi, de nos professions, de nos hobbies, de nos relations… Je n’étais pas farouche et la discussion aborda même un peu le sexe, se demandant l’un à l’autre si nous avions des relations récentes, des sexfriends ou nos positions favorites.
Trois heures passèrent avant que l’on décide enfin de s’arrêter pour manger un bout dans un petit restaurant de village. L’ambiance était posée : peu de clients et petit espace, mais la nourriture était bonne. Nous étions installés face à face, sur une petite table carrée en bois. Il pouvait enfin me regarder de face, et l’une des premières choses qu’il regarda fut mon décolleté. Il ne s’en cachait pas, mais visiblement ça ne me dérangeait pas non plus.
Nous avons commandé, pris le temps de manger et de savourer un bon dessert. Nous avons continué de parler de tout et de rien, abordant principalement nos dernières relations, depuis combien de temps nous étions célibataires… et plus la discussion suivait son cours, plus il sentait quelque chose sur sa jambe avant de comprendre que je commençais à lui faire du pied...
Il avait peur que quelqu’un le remarque mais il n’osait pas me dire d’arrêter, de peur que je le prenne mal et que le reste du voyage se passe mal. Il me laissa donc continuer tout en tentant de poursuivre la conversation tant bien que mal. Pendant tout le temps où nous savourions ce délicieux dessert, je n’ai pas arrêté de faire remonter mon pied jusqu’à sa cuisse sans que le reste de mon corps ou mes paroles ne montrent un signe de dérangement ou d’excitation. Il était perdu, mais ceci avait tout de même commencé à l’exciter légèrement...
Nous avons repris la route silencieusement pour encore deux bonnes heures qui lui parurent durer des jours entiers avant d’arriver enfin à notre hôtel. La réceptionniste parlant français, il fut donc facile de récupérer notre code de chambre.Il était deux heures du matin : nous devions faire attention à ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller les autres occupants.
Voici notre chambre, standard, avec deux lits séparés, une salle de bain, télévision et tout le confort nécessaire pour une nuit. Nous nous sommes posés sur les lits, encore habillés, juste pour souffler du voyage fatiguant qu’on venait de faire et en pensant à la suite du lendemain. Nous étions allongés, chacun sur son lit. On ne parlait pas, et c’est alors qu’on commença à entendre des bruits bizarres venant de la chambre voisine. Des claquements ou quelque chose qui tape, on n’arrivait pas à savoir. Lorsque nous avons entendu quelques petits cris étouffés, nous avons vite compris que nos voisins étaient en train de baiser, à quelques centimètres de nous. Nous nous sommes regardés et avons rompu le silence :
— Au moins, eux ils n’ont pas l’air fatigué !— Oui, c’est clair ; j’aurai du mal à faire comme eux, ce soir… dit-il.— C’est dommage, les entendre m’a donné envie de tester nos lits.
Sans prévenir je me relevai, vins comme une flèche sur son lit et le chevauchai. Il restait immobile, comme au restaurant. Il ne savait pas si c’était parce qu’il ne savait pas quoi faire, ou si parce que la situation ne lui plaisait guère…
Il était habillé en jean avec ceinture, chaussures de ville et chemise.Je commençai à déboutonner lentement sa chemise, bouton par bouton en le fixant droit dans les yeux comme pour l’envoûter.Les gémissements de nos voisins devenaient de moins en moins discrets : ils devaient passer à la vitesse supérieure, et on entendait parfaitement les cris de notre voisine très démonstrative.Cela ajouté au fait que je venais de me déshabiller à moitié, il ne put s’empêcher de commencer à bander. Ma position était parfaite pour le sentir, et il le voyait dans mon regard lorsque j’ai commencé à descendre ma bouche pour lui embrasser le torse alors que mes mains venaient desserrer puis enlever sa ceinture. Ma bouche descendit, partant de ses pectoraux pour arriver à la limite de son pantalon qui devenait trop serré. Elle était à quelques centimètres de sa bite, et ça ne faisait que l’exciter encore plus.Je descendis la fermeture Éclair de son pantalon, l’enlevai, et il se retrouva en boxer. Je commençai à mordiller sa bite à travers le boxer et à la caresser de mes deux mains.
Tout ce que je faisais était en rythme avec les gémissements de notre voisine de chambre ; et lorsqu’un gémissement plus intense se fit entendre, j’enlevai son boxer et engouffrai sa bite dans ma bouche d’un seul trait. Il ne put s’empêcher d’émettre un cri de surprise. Pas de préliminaires : j’avais sa bite dans ma bouche et j’avais déjà commencé à la sucer en jouant de ma langue pour la faire durcir plus qu’elle ne l’était déjà. Je le suçai comme ça pendant plusieurs minutes en lui léchant les couilles de temps en temps. Il avait l’impression que je prenais à peine le temps de respirer. J’avais l’air d’adorer ça et, en tout cas, c’était son cas...
Nos voisins passèrent à la levrette. On pouvait maintenant entendre les deux corps claquer l’un contre l’autre, et on imaginait l’homme fourrant sa copine qui ne gémissait plus, mais qui criait sans se soucier de ses voisins. Je m’arrêtai alors de le pomper et lui dis :
— Prends-moi, qu’on leur montre ce que c’est vraiment que de baiser !
D’un seul geste il me retourna dos sur le lit, souleva ma jupe et enleva mon string. J’étais déjà bien mouillée mais il se sentit obligé de stimuler tout ça en me caressant le clito en même temps qu’il faisait pénétrer deux doigts simultanément dans ma chatte brûlante. Moins d’une minute après, je l’interrompis :
- Défonce-moi ; pas de préliminaires ! Tout de suite !
Il n’était pas habitué à y aller aussi vite, mais si tel était mon souhait…Sa bite encore bien dure s’enfila aisément dans ma chatte humide et il commença des va-et-vient rapides en tapant directement au fond. Je commençai à gémir, et nul doute que nos voisins m’entendirent car ils se mirent à accélérer la cadence, lui donnant envie d’en faire autant.
En l’espace de quelques minutes nous nous sommes retrouvés en levrette, de façon à pouvoir bien me défoncer la chatte en faisant claquer ses couilles contre celle-ci. Il me prit les hanches dans les mains, s’agrippant à moi et me plaquant contre lui chaque fois que sa bite rentrait dans ma chatte pour être sûr que je n’en manquerais pas une miette. 20 centimètres en moi, juste pour moi, faisant l’aller-retour mais restant au chaud dans l’unique but de me faire jouir !
— J’ai envie de te bourrer le cul…— Alors tais-toi et fais-le. Baise-moi plus fort !
Il s’exécuta et se retira de ma chatte pour me fourrer le cul. C’était plus difficile, et il sentit que j’avais un peu mal au début ; mais mes cris par la suite lui firent comprendre que j’adorais que sa bite fasse des allers et venues dans tout mon être.Il enchaînait de cette manière devant et derrière, suivant mes cris et ceux de nos voisins.
Lorsqu’en fin le dernier cri de jouissance de notre voisine se fit entendre, il était à deux doigts d’exploser, mais il ne voulait pas s’avouer vaincu si facilement. Il me retourna sur le dos, leva mes jambes et me défonça comme il ne l’avait encore jamais fait. Le lit tremblait et grinçait sous nos mouvements, et mes cris dépassaient de loin ceux de nos voisins.Il s’apprêtait à jouir…
— Gicle-moi sur le visage !
Nous nous sommes levés d’un coup, moi à genoux devant sa bite pleine de mouille, et j’ai recommencé à la prendre dans ma bouche comme une sucette, ma langue jouant avec son gland jusqu’à ce qu’une première giclée m’arrive dans la bouche. Je retirai sa bite de ma bouche juste à temps pour recevoir la deuxième et la troisième giclée sur mon visage angélique. Une quatrième vint quelques secondes plus tard, encore une fois sur mon visage.Je lui avais littéralement vidé les couilles, et leur contenu se trouvait sur mon visage ; je ramassai son sperme avec mes doigts et les léchai pour enfin avaler toute sa semence.
Nous étions vraiment épuisés et avons tenté de nous endormir lorsque nos voisins, à quatre heures, se sont mis à recommencer…
Diffuse en direct !
Regarder son live