— Pardonnez moi mon père, car j’ai péché.— Qu’as-tu fait, ma fille?— J’ai commis le péché de la chair.— Avec qui as-tu commis le péché de la chair?— Avec mon beau-père, mon père.— Est-ce qu’il t’a violé, ma fille?— Non, mon père. J’ai aimé ce qu’il m’a fait, et c’est pour ça que je me sens si coupable.— Comment cela s’est-il passé?— Tout est ma faute, mon père. Je regardais une vidéo porno dans ma chambre et...— Qu’y avait-il dans la vidéo?— Euh... Mon père, vous voulez vraiment le savoir? C’est assez indécent...— Tu dois tout me raconter si tu veux l’absolution.— D’accord, si vous voulez. Eh bien, dans la vidéo, il y avait une femme qui suçait la bite d’un homme, pendant qu’un autre la baisait.— Je vois... Continues.— Je regardais la vidéo et comme j’étais excitée, j’ai commencé à me masturber.— Tu te masturbais comment?— Je ... je caressais mon clitoris avec une main, tandis que trois doigts de mon autre main fouillaient ma chatte.— ça te faisait du bien?— Oui, mon père. J’ai joui une première fois et je m’apprétais à jouir une nouvelle fois lorsque mon beau-père est entré dans ma chambre. Je le croyais endormi avec ma mère.— Il a vu tes doigts dans ta chatte?— Oui. J’étais très géné et j’ai tout de suite ôté mes doigts de ma chatte et j’ai rabattu ma jupe sur mes cuisses. Je m’agitai sur le siège du confessional, tout en repensant à ce qui s’était passé. — Il m’a dit qu’il avait entendu du bruit et qu’il était venu voir ce qui se passait. Je crois bien qu’il m’avait entendu jouir, même comme j’avais fait tout mon possible pour étouffer mes cris. Lorsqu’il a vu la vidéo sur mon ordinateur, il m’a dit: < Tiens, tiens! Comme ça tu te branles en mattant des films pornos! Je serais très curieux de savoir ce que ta mère dirait de ça. < Je t’en prie, Julien. Ne lui dit rien. < Je veux bien me taire, mais mon silence a un prix. < Je ferai tout ce que tu voudras.
J’étais dans une situation délicate parce que ma mère et moi on ne s’entendait plus très bien depuis qu’elle avait épousé Julien et elle avait ménacé plusieurs fois de m’envoyer en pension si je ne me calmais pas, ce qui pour moi représentait la pire des prisons. Donc si elle apprenait que je mattais des films de cul sous son toit, elle n’hésiterait pas à me mettre à la porte. < Tu es vraiment prète à tout? avait demandé Julien qui sautait sur l’occasion pour me faire chanter. < Oui. < Bon, pour commencer, tu vas faire comme la fille sur la vidéo. Tu vas me sucer.Comme je n’avais pas le choix, j’ouvris sa braguette et commençai à sucer. Ce n’était pas la première fois que je suçais une bite. J’avais déjà sucé un garçon du lycée, mais sa bite à lui état plutôt fine et courte, tandis que celle que je tenais en main étais énorme comme celles des types dans les films porno. Je pensai à ce moment là que ma mère devait avoir de la chance d’avoir un tel engin à sa disposition. Tandis que je m’appliquais à bien lécher ses couilles et sa tige et à aspirer son gland, je sentis que je mouillais. J’étais très excitée de sucer une bite de ce calibre et j’avais très envie de l’avoir en moi.Quand je sentis qu’il allait venir, je l’enfonçai encore plus loin dans ma gorge comme j’avais vu la fille le faire dans la vidéo et il se vida en plusieurs jets. J’eus un haut-le-coeur, mais j’appréciais le goût de son sperme et j’ai tout avalé, puis j’ai nettoyé sa queue sur toute sa longueur. < Tu es une sacrée suceuse, toi.Il tendit la main sous ma jupe et trouva ma chatte toute trempée. < Et en plus ça te plait de sucer!Il caressa rapidement mon bouton, puis il me mit trois doigts directs dans la fente qui rentrèrent assez facilement, vu que je m’étais déjà bien préparé. Tout ce que je voulais c’est qu’il me mette sa tige bien au fond. Il comprit ma prière muette et me souleva pour m’emmener sur le lit. J’écartais aussitôt les cuisses pour l’accueillir et il plongea en moi sans attendre. Je criai sous l’effet de la surprise et du plaisir et il mit sa main sur ma bouche pour étouffer mon cri, de peur de reveiller ma mère qui dormait dans la chambre à côté. Il ne chercha pas à m’embrasser, ni à caresser mes seins, mais je m’en fichais. Sa queue en moi me comblait entièrement, complètement. ça me changeait des bites minuscules de mes ex. Tout ce qui comptait pour moi sur l’instant, c’est cette énorme queue allant et venant dans ma chatte. N’y tenant plus il déchargea son foutre en moi, ce qui déclencha aussitôt mon orgasme, une extase haute en couleur comme je n’en avais jamais connu auparavant. Je me mordis les lèvres pour ne pas faire trop de bruits.Il se retira de moi et se mit debout. Je bondis aussitôt sur sa bite pour la nettoyer. < Tu es une vraie pute, me dit-il. Une salope qui aime sucer et se faire baiser à la demande.Ses mots me faisaient mal. Après ce que nous venions de faire, je m’attendais à un peu de tendresse. Au contraire, il attrapa violemment mes cheveux et m’enfonça sa tige plus loin dans ma gorge. Il commença à faire des va-et vient, il me baisait littéralement la bouche. J’avais du mal à respirer correctement et je sentis des larmes couler sur mes joues. Puis, sans prévenir, il sortit de ma bouche et explosa sur mon visage. J’avais du sperme partout, dans les cheveux, sur le visage, sur la poitrine. Sans compter ce qui coulait de fente et le long de mes cuisses.Il me regarda avec mépris tout en rangeant son engin dans son pantalon de pyjama et me dit: < C’est tout ce que tu mérites, recevoir du foutre en plein visage, espèce de sale pute!Il sortit de la chambre. J’étais tellement secouée que j’avais du mal à réaliser que tout ça s’était réellement passé. Le lendemain matin au petit-déjeuner, il m’ignora complètement, ainsi que tous les jours qui suivirent. Je fais tout pour attirer son attention, je m’habille de plus en plus légèrement, je me frotte "accidentellement" contre lui, je l’aguiche au maximum, mais il ne réagit pas. C’est à croire qu’il ne s’est jamais rien passé entre nous. Tous les soirs en me couchant, je pense à ce soir là, je rêve de sa grosse bite dans ma chatte. Parfois je me reveille en nage après un rêve, la chatte complètement trempée et pour apaiser ma frustration, je me branle en imaginant que sur mon clito c’est sa langue et que mes doigts dans ma chatte c’est sa queue.Je sais que c’est mal, mon père, mais je n’y peux rien. Je suis complètement perdue. Aidez-moi, mon père. Je bougeai encore sur l’étroit siège du confessional et je me rendis compte que je mouillais. Rien que de raconter cette histoire m’excitait au plus haut point. Mon premier reflexe était de passer une main entre mes cuisses pour me soulager, mais vu l’endroit où je me trouvais, je n’osais pas. J’entendis un gémissement de l’autre côté de la paroi.... La suite bientôt...
