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Confessions de ma femme, coquine, salope...

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Ensemble depuis près d’un an, nous avons auparavant passés quelques mois séparés où l’on se découvrait chaque jour un peu plus, allant se livrer (entre autres) nos fantasmes les plus profonds. L’un d’entre eux étant qu’il me domine entièrement, et que je lui sois soumise lorsqu’il s’en sentait l’envie. Ce fut l’origine du tatouage que j’ai au poignet droit, symbole de ma soumission, de mon amour et de ma confiance. Petit à petit est née une complicité rare et précieuse, nous permettant de nous épanouir sexuellement, me révélant à moi-même petit à petit, repoussant mes limites, assumant mes envies, et me permettant de vous livrer aujourd’hui un peu de tout ça.
Vous allez lire tant de vrais moments que de fantasmes, plutôt comme un partage et non pas comme une histoire, le temps de me faire la main…
Afin de ne pas me répéter totalement par rapport à l’histoire précédente, je vais vous raconter une petite variante qui était notre réveil ce matin. Vous l’aurez compris on aime agrémenter nos moments de quelques jouets, ou quelques pratiques disons différentes… C’est le cas ici.
Après l’avoir réveillé en le branlant dans ma main et entre mes seins, après lui avoir bien sucé la queue comme une petite chienne a son maître, après être venue le chevaucher pour me frotter contre son gland, ma petite chatte déjà trempée d’excitation était prête à l’accueillir, et c’est sans ménagement qu’il me retourna sur le dos et m’empala sans attendre sur sa queue bien raide.
Très vite il ramena mes jambes sur ses épaules, il en profita pour plonger au plus profond de moi pendant quelques instants m’arrachant un soupir de plaisir, tout en venant m’embrasser tendrement. Puis déjà bien excité par nos jeux, il se retira pour se calmer. Se relevant un peu, m’observant de haut avec un doux sourire sur les lèvres, il m’écarta grand les cuisses et commença à se branler entre les lèvres de ma petite chatte, que j’écartais bien pour l’exciter encore plus de me voir ainsi offerte sans pudeur. Regarder ce qu’il faisait l’excitait encore plus aussi peu à peu je le sentis glisser vers mon petit cul pour y lubrifier le chemin et en faciliter l’entrée.
Il se frottait sur mon cul se faisant de plus en plus insistant, et commençait à m’ouvrir. Impatiente, je tentais de l’accompagner en bougeant légèrement le bassin. Pour ma plus grande joie je le sentis commencer à entrer en moi, puis à bouger, souhaitant faire durer le plaisir et n’enfonçant qu’une partie de son gland dans mon cul encore serré. C’est à ce moment-là que je lui ai demandé de sortir une bougie et d’en faire couler sur mon corps pendant qu’il me prenait. J’avais envie de le sentir passer comme une petite vierge, d’être encore serrée et donc pas totalement préparée…
Pendant qu’il la cherchait, j’étais toujours sur le dos profitant de la brève attente pour me caresser. Il la trouva et vint me présenter sa queue, réclamant que je m’occupe de lui. Et puis après tout, il fallait bien l’entretenir pendant qu’il commençait à sensibiliser mon corps à la chaleur de la cire.
Pour mon plus grand plaisir, il en fit couler sur mon ventre, mes seins, mes cuisses et mon bas-ventre. Les premières secondes je me fis surprendre par la chaleur des gouttes qui tombaient sur moi, puis je m’habituais à cette sensation très vite, en réclamant toujours plus. Il évitait soigneusement mes lèvres et mon clito pour le moment, sachant le plaisir que me procurait la légère brûlure de la cire sur ma chatte. Il avait d’ailleurs les photos pour s’en souvenir…Décidant qu’il avait assez profité de ma bouche, il revint entre mes cuisses et s’enfonça dans ma petite chatte trempée en me recouvrant les tétons de cire brûlante.
Se redressant et repliant mes jambes sur moi, il en fit couler le long de mes cuisses pour ensuite se diriger vers mes lèvres gonflées de plaisir, s’arrêtant à leur base, en faisant le tour à gauche, puis à droite. Il était là à me contempler de haut, et décidant que sa queue était suffisamment lubrifiée pour pouvoir bien « refaire sa place », il représenta sa queue à mon cul. J’écartais alors sous ses yeux les lèvres de ma petite chatte pour l’encourager à continuer, impatiente… C’est en s’enfonçant fermement dans mon cul qu’il versa quelques gouttes de cire sur ma chatte dégoulinante. La douleur mordante de la chaleur associée à celle de sentir sa queue me rouvrir complètement et s’enfoncer en moi m’amena rapidement à un niveau de plaisir incontrôlable. Lui-même accélérait et avait du mal à se contrôler, et après quelques minutes nous avons jouis tous deux…
Bougie éteinte, c’est plongés dans apaisement total que chacun laissait vagabonder son esprit, somnolant légèrement.Mes pensées me ramenaient à deux de ses envies auxquelles je m’étais d’abord opposée mais qui aujourd’hui me paraissaient alléchantes.
La première étant qu’il puisse jouer avec une cravache, tant sur mon cul que sur ma chatte. D’autant plus pleine de cire. Ma fierté d’ancienne cavalière m’avait fait dire non, mais à présent je trouvais l’idée séduisante. J’aime l’odeur du cuir et je suis curieuse de savoir quelles sensations j’aurai à la sentir sur mon clito et quelles seraient mes limites…
La deuxième était la moins évidente et pourtant : un piercing. Sur le capuchon de mon petit clito, un joli bijou pour l’habiller, l’exciter, lui montrer à quel point je lui suis soumise, à quel point je veux lui faire plaisir et accepter petit à petit le terrain sur lequel il m’emmène… Il a raison, elle serait belle ma chatte, aussi finement décorée. Sans compter que dans certaines positions, cela risque d’être fort intéressant et de me procurer un plaisir inattendu mais certain. J’appréhende mais finalement j’ai hâte, et j’espère qu’il ne va pas attendre pour me suggérer qu’on y aille vraiment.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
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