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Conte de la Chasseresse

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Dans les vallées rurales et forestières du Tourain se trouve le village de Heorald. Un petit village assez isolé, prospérant dans la paix et dans la vie simple. On aurait presque pu qualifier ce village de hameau, du fait de son isolement, néanmoins, les gens qui y vivent sont heureux, et loin des problèmes complexes de leur pays et de leur monde. Un peu plus éloigné, dans les plaines luxuriantes de verdures, de forêts de chêne et d’être, se trouvait la maison de Laure Noblevoix, une femme dont le nom évoque divers plaisirs de l’esprit et l’exquis, et à la fois une personne qu’on ne voit que peu souvent en ville. Elle vivait seule une vie de paysanne et de chasseresse, restant extérieur au monde des autres gens. C’était pourtant une femme très pensante, intelligente et avec du caractère qu’elle forgea grâce au passé, qu’il est dit héroïque, qu’elle a eut. Elle vivait avec son chien, Fel’De, un magnifique labrador-husky au pelage long et lisse. Un jour comme les autres, alors qu’elle chassait dans les forêts embrumées des terres du Sud du Tourain, le bruit d’un galop proche retentit, faisant écho sur les racines de la montagne que les vallées forestières longeaient. Et dans la brume apparut à Laure un magnifique cheval brun, monté par un homme dans la fleur de l’âge à la vêture raffinée, sans aucun doute un aristocrate de Üden Bark. Il s’arrêta devant elle, comme si une aura l’avait freiné, pour une raison que seuls les passionnés connaissent. Laure, vêtue d’un haut en fin tissu blanc prônant une poitrine généreuse lança un regard au cavalier, toujours avec son arc en main. Finalement, le cavalier s’adressa à elle d’une voix presque timide :-Que fais donc une jeune femme seule en forêt ?-Je ne suis pas perdue, je chasse, et vous avez fait fuir ma proie.-Vous chassez ? Mais enfin, laissez moi vous offrir le dîner pour me faire pardonner !Laure regarda aux alentours, toujours avec son arc en main avec une coiffe sublime, mais elle lança un regard comme «dominateur» sur le cavalier, comme pour dire simplement «non... mais...»-C’est bien dommage que vous renonciez à un tel présent !-En effet, répondit-elle laconiquement en posant son pied à hauteur du genou sur un arbre déchu, sans chercher à cache ses jambes dans de belles bottes en cuir,laissant entrevoir ses genoux et le bas de ses cuisses partiellement caché par son haut en lambeaux. Le cavalier sortit alors de son fourreau une rose, qu’il lui lança, puis il s’adresse à elle à nouveau en la regardant droit dans ses yeux bleus et gris.-Un jour vous connaîtrez mon nom, et vous ne serrez point déçue. Laure riant, répondit alors en souriant-Je l’espère bien, puis ils se quittèrent. Laure rentra alors chez elle, sans dîner, elle traversa l’allée boueuse de sa propriété, sous la péninsule de terre, dans la vallée qui descend de la montagne. Sa maison ressemblait plus à un camp de chasse qu’à une vraie maison. Son foyer était fait en planches de chênes noires, avec de simples vitres, laissant à quiconque le veut regarder. Elle fit en rentrant une énorme caresse à Fel’De, puis commença à se déshabiller, enlevant lentement son haut, faisant rebondir ses seins, puis elle enleva ses élégantes bottes de chasseresse, et mis les pieds dans son bain. Elle commença à se laver en passant son savon sur tout son corps, passant sur son ventre et entre sa poitrine magnifique. Son chien, quelque peu excité par les belles fesses nues et rebondissantes de sa maîtresse, aboya plusieurs fois, s’approchant d’elle en essayant de mettre quelque coups de langue discrets d’abord sur une jambe, puis il glissa sa langue entre les fesses de sa maîtresse qui l’arrêta immédiatement en rigolant, voyant son chien parti bouder sur son duvet. Soudain, quelqu’un toqua à la porte, la dépêchant. Elle se rhabilla avec une tunique comme éthérée, presque transparente en tissu brodé noir. Elle s’empressa alors d’aller à la porte, dague serrée dans la main. Elle ouvrit la porte d’un coups laissant à ses yeux de se mouvoir dans ceux du cavalier qui était manifestement venu avec le «dîner». Une succulente cuisse de bœuf accompagné d’une très bonne bouteille de vin. Le cavalier, surpris de la voir aussi peu vêtue lui adressa :-Je ne m’attendais pas à vous voir, autant.-Je ne m’attendais pas à vous voir, répondit-elle froidement avec un sourire laissant tout de même ses seins presque nus à sa vue, mais elle n’était pas gêné. Fel’De, non plus ne disait rien, entrez donc et asseyez vous, je vais m’habiller.-Je vais allumer le feu, dit-il en mettant quelques bûches dans la cheminée traditionnelle au centre de la pièce. Laure revint, vêtue d’une chemise blanche très ouverte avec un pantalon brun et de belles bottes légères.-Nous n’allons pas au bal madame, dit le cavalier, flatteur.-Vous êtes d’un humour si unique. Mais ce n’est pas une raison pour mal recevoir ses «invités»-Hmm... barba-t-il, l’a voyant s’asseoir en face de lui, devant une table en vois, alors elle le regarda suspicieusement en lui lançant :-Alors qu’est ce qui vous amène dans le coin ?-Et bien je... Je... bégaya-t-il en s’arrêtant à la sensation très étrange qu’il eut à l’entre-jambe, et il sût, quand son regard croisa celui de Laure qui le dévorait sans trop de faiblesse, ses pieds, dévêtues, étaient en train de jouer avec le glaive du chevalier sous la table encore dans son fourreau, abasourdi, il répondit-Je... Je ne pensais pas que...-Vous êtes venu pour ça, répondit Laure tout en continuant de faire des va-et-vient avec l’espadon droit du cavalier. Vous plaignez-vous ? Car je n’en ai pas la sensation. Le cavalier laissa paraître un rictus de plaisir et tenta de répondre, mais avant qu’il le puisse, Laure retira ses pieds, car ses vomis de plaisir s’étaient déjà répandu dans ses sous-vêtements, paralysant le cavalier pendant quelques secondes d’incompréhension et de béatitude. Laure posa fermement ses deux mains sur la table en lançant un sourire malicieux à son invité qu’elle venait de branler différemment.-Il est temps que vous partiez. Dit Laure alors qu’ils n’avaient même pas dîné, rentrez chez vous, nous nous reverrons.-Mais... Mais nous allions...-Chut, lui murmura-t-elle en posant son doigt délicat sur ses lèvres tremblantes. Mais alors que le cavalier s’apprêtait à partir. Laure glissa sa langue au fond de sa gorge, dans un baiser sensuel et romantique. Pendant cet instant magique qui n’en finissait plus et qui allait beaucoup trop vite, Laure pris la main de son invité et la posa sur sa poitrine que le cavalier semblait depuis leur rencontre ardemment convoiter. Mais avant de se dire au revoir, Laure glissa quelques mots en murmure dans l’oreille du cavalier.-Tu n’en as pas fini avec moi, dit-elle en collant cette fois son genoux sur son entrejambe. Tu les auras dans ma bouche, et ta langue en fera le tour... Elle ferma alors la porte sans même attendre une réponse du cavalier qui n’avait que partiellement compris de quoi elle parlait. Quand à Laure, elle festoya avec les bonnes choses qu’avaient ramené le cavalier. Buvant allégrement un vin de cent ans d’âge. Elle finit la bouteille de vin, et la viande, et partit se coucher ensuite, pour partir vers de rouges rêves.
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