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Contrat d'Emploi Solidarité

Chapitre 1

Hétéro
En ce qui me concerne, une épilepsie que je subi depuis 26 ans, m’apporte de réelles difficultés dans beaucoup de domaines. Déjà, je me reporte sur le bonheur familial des autres personnes, pour partager ce moulin de la vie, qui tourne de façon très légitime. Beaucoup de cahiers, d’agenda de mon coeur, de mon esprit, contiennent de pages complètement blanches. Durant mon parcours de la scolarité, j’avais connu mon premier grand malheur amoureux. La raison pour laquelle un château de cartes qui était construit avec une fille s’était écroulé, côté amoureux, c’était faute que celle qui m’accompagnais dans le déroulement de ma présence comme interne dans un Lycée d’Enseignement Professionnel Agroalimentaire, m’avais reproché, de n’avoir connu tous les deux, aucun moment sexuel. Pour le petit détail, lors de cette période, je n’étais pas encore victime de l’épilepsie. En 1990, je ne cessais de penser à la catastrophe professionnelle qu’avait créée cette épilepsie toujours présente bien sur. J’avais démarré une carrière de gendarme, me permettant de transformer en réalité, le rêve d’un,e enfance. Pour éviter une forte tristesse, j’étais entré dans une école d’apprentissage commerciale. Effectivement, j’avais décidé de devenir magasinier. puis, lors des vacances d’été, je recherchais un petit job, ne sait on jamais ce dernier devenant un CDI, ma manière d’agir satisfaisant un directeur. Je suis devenu alors surveillant des vestiaires et nettoyeur des locaux au sein du Sporting Club de Vichy. Tout se passait très bien. De plus, chaque matin, lors de mon arrivée, je bénéficiais de la rencontre, dans le bureau, d’une secrétaire gentille. Un sourire si joyeux couvrait son magnifique visage de soleil. De semaine en semaine, je sentais en moi, beaucoup de choses au fond de moi, à chaque croisement. Puis, lors de sa présence au bord de la piscine de l’établissement, je l’apercevait alors, vêtue d’un maillot de bain deux pièces. Un fantastique frisson s’installa en moi. Nous entamâmes alors, une discussion. Il fut l’heure de quitter le sporting. Je proposais de se rencontrer hors de l’emploi. Nous avons créé une connaissance commune. Je vivais dans un village représentant le fabuleux endroit de ma jeunesse. Un rendez vous près de chez moi, au stade de ce village s’était établi. Un après midi elle se rendit à cet endroit où je l’attendait. Je me suis installé dans sa voiture. Nous avons discuté. Elle était mariée et me fis part de l’alcoolisme que démontrait son mari. Il devenait alors, lorsqu’il était saoul, d’une réelle incohérence. Cette narration de sa condition de vie, lui déposa alors, des larmes sur le visage. Je m’empare de ce fait, de sa main et lui fit savoir que je serais là pour elle. Nous finîmes par faire l’amour. Quelque jour plus tard, suite à son invitation, je me trouvais en son logement. Elle était habillée uniquement d’un peignoir. Elle m’offrit un café. Elle me remerciais de s’intéresser à elle. Elle craignait de ne pas plaire, faute de l’apparition de sa légère rondeur. Justement, la présence de formes fantastiques, me rendais un souffle du début d’un plaisir en l’admirant. Elle quitta la table près de laquelle nous avions consommé notre café. Je réalisais le même acte. Elle rejoignit mon corps. Un tendre baiser fut partagé. Elle commença à me déshabiller. J’eu tombé son peignoir en même temps. Je découvris un corps de rêve. Des formes fantastiques. Des seins superbes. Ils contenaient des bonnets de 100B. Mes lèvres descendaient jusqu’à son cou. Elle, elle caressaient ma poitrine assez poilue. Elle aimait ça. Je ne cessais de caresser ses seins. Elle présentait à mes mains, une peau tellement douce. Je me rendis avec mes mains, à un cul si bien formé. Je caressais alors ses cuisses magiques. On passa à sa chambre. On s’allongèrent sur le lit. Elle me caressais le cul. Mon souffle de plaisir débutait. Elle entamait la prise de ma queue. Elle avait atteint une raideur et une dureté de bâton de fer. Elle était heureuse. Je caressais une fente épilée, qui présentait un débarrassement complet de l’équivalent d’une forêt. L’abricot se démontrait mouillé autant que les chutes du Niagara. Ma langue pénétrait cette fente. De légers gémissements se laissaient percevoir. Ils me motivais pour faire atteindre le clitoris que je léchais continuellement. Des mots apportés de la part de ma Sandrine adorée, me rendais fou! Deux doigts entraient au fond de sa douce fente. Un son plus certain me fis entendre "Vas y chéri" "Vas y" "Ouuuiiii" "Encore" Comptant lui faire plaisir, mes doigts lui attrapait le clito, de la façon de ciseaux. Elle ne cessait de remuer follement, gémissant en même temps. Elle attrapait ma queue, me branlais fortement, sa langue réalisant des mouvements autour de mon gland, tout comme des tours de manège. Je gémissais tant, Ma queue se retrouva dans la fabuleuse bouche de Sandy. Elle la tenait jusqu’à sa gorge. Je me sentais planer. Je pinçais ses seins pointant si fort! Je ne cessais de les malaxer. Elle se tournait alors. Ma queue durcissait encore plus, sachant ce qu’il me faudra accomplir. Ma bite, doucement, pénétra le cul de ma poupée. De forts va et vient se mirent en route. Elle criait de plaisir. Elle y allait de ses mouvements, ça durait pas mal de temps. Je terminais en m’allongeant, elle décidait de me monter. Ce moment dura aussi très longtemps. "Ouiiii bb, ça vient, encore chérie" elle sortit ma queue de sa fente et me branla à nouveau elle la plaça entre ses sein et fit tout gicler dessus. Elle suçait les endroits de son torse contenant le sperme, équivalant pour elle, à un lait chaud encore plus somptueux de goût! Je la léchait à nouveau et avalais tout ... Ce fabuleux moment fit démarrer l’éventualité de vie commune. Je parle d’éventualité, car deux mois plus tard, je fus obligé de déménager et plus jamais je ne l’ai rencontrée.
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