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Contrôle de français

Chapitre 1

Erotique
À 21 ans, j’ai enfin décidé d’aller terminer mon DEC. Je ne me sens pas vraiment à ma place dans mes cours, entouré de garçons plus jeunes que moi, que je ne regarde même pas. Ils n’ont aucun intérêt à mes yeux. Sauf un. Mais ce n’est pas un élève. Il s’agit de mon prof de français. Il vient clairement de terminer ses études, il est encore jeune, je lui donne entre 25 et 30 ans. Il est beau, grand, élancé, clairement mon genre. Je pourrais passer mes cours à le fixer et à imaginer sa bouche courir le long de mon corps. Je me fais discrète, assise au milieu de la classe, je ne pose pas plus de questions que les autres, n’attire pas l’attention sur moi. Je peux ainsi laisser vagabonder mon esprit comme je le souhaite. Une seule fois, en novembre, alors que la température chute rapidement, que les grands chandails couvrent les atouts féminins, nos regards, nos regards se sont croisé pendant un cours. J’ai ressenti une onde de plaisir me parcourir quand ses grands yeux sombres ont plongés dans les miens. À ce moment précis, nous savions tous les deux que nous allions, à un moment où un autre, baiser ensemble. Je suis consciente des regards que j’attire et de mes formes voluptueuses. Malgré le froid tenace qui tombe sur la ville, je porte une jupe courte et un haut qui met en valeur ma poitrine généreuse. Malgré mon talent en français, je me suis préparé une série de questions idiotes qui sont mon passeport pour passer à ton bureau à une heure tardive, un soir où je sais que tu restes après la fin des cours pour corriger nos travaux. En approchant du département, je vois que la porte du bureau que tu occupes avec 2 autres enseignants est ouverte. J’approche doucement et voyant que tu es très concentré, je me positionne dans le cadre de porte et t’observe travailler un peu. Je ne sais pas si un mouvement trop brusque a trahi ma présence, mais sans aucune raison apparente, tu te retournes vers moi et plante ton regard dans le mien. Sans un mot, tu te lèves de ta chaise, t’approches de moi, me saisis par les hanches et m’attire dans l’endroit plutôt exiguë et referme la porte d’un coup de pied. Sans me lâcher, tu entreprends de m’embrasser, toujours en me fixant dans le blanc des yeux. Tu me soulèves et m’installe sur ton espace de travail sans prendre la peine de déplacer les copies sur lesquelles tu travaillais. Par réflexe, j’appose mes pieds sur la surface et me retrouve écarté devant toi. Tu vois que je ne porte qu’un mini string sous ma jupe et je vois un renflement se former dans ton pantalon. Tu insères un doigt, puis deux entre ma culotte et ma peau, me fais frétiller au point et fais monter mon excitation au point où ma mouille coule le long de mes cuisses, jusqu’à souiller les feuilles sous moi. Tu choisis cet instant pour les insérer dans mon vagin abondamment lubrifié. Je vois ton pénis gonflé à bloc et décide de lui donner un peu de place en défaisant ta braguette. Se dresse alors devant moi un beau gros membre dont la couleur ne laisse aucun doute sur l’énorme quantité de sang qui s’y trouve actuellement. J’ai envie de lui toucher, de le sentir dans ma main, de te voir gémir. Je commence à te branler doucement, mais tes coups de bassin me font comprendre que je dois accélérer. Le manège continue jusqu’à ce qu’entre 2 mouvements de hanches tu parviennes à te glisser en moi. La vague de plaisir qui me submerge est immédiate. Je sais que je ne dois pas faire de bruit, j’ai envie d’hurler et de te faire savoir à quel point je te désirais en moi depuis longtemps. Je parviens à te le faire comprendre en plantant mes ongles dans ton dos que je sens juste assez musclé sous mes ongles. Je resserre notre étreinte en contractant les muscles de mes cuisses. Tes va-et-vient s’accélèrent, tu vas jouir sous peu. Je t’encourage en plongeant une fois de plus dans tes yeux. J’ai besoin de voir ton regard à cet instant. Voilà, tu jouis, en moi, de long jet, puissant. Tu te retires, replace mon string et ma jupe d’un mouvement distrait, remonte ton propre pantalon. Je descends du bureau et avise une chaise tout près. Je la pousse et m’y assois. Sagement. Décontenancé, tu me regardes avec des points d’interrogations dans les yeux. «Bonsoir Monsieur. J’avais seulement quelques questions à vous poser en vue du contrôle de demain ? Avez-vous le temps d’y répondre où je vous dérange en pleine correction ?»
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