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La conversion de Marie à la luxure

Chapitre 8

Erotique
Marie et l’antiquité égyptienneIsis initiateur de Marie-Madeleine

    Le dimanche et toute la semaine qui suivit, je m’attachai à faire parler Marie de ses divers exploits des dernières semaines, chez nous comme en club.
    Je décidai de la provoquer, pour voir, si, après ce qu’on peut appeler une révélation sexuelle, elle était vraiment libérée. Le jeudi suivant, je téléphonai à Albert, lui donnai son numéro de portable et lui dit de l’appeler pour lui proposer une soirée pluralité.
-D’accord, mais qu’est-ce qu’on peut envisager? Il y a bien des soirées chez des couples échangistes, mais souvent, il y a beaucoup de monde, et je suis pas sûr que ça plaise à ta femme. Je vais regarder sur "netechangisme" les prochaines soirées proposées par des gens que je connais.-Réfléchis de ton côté, moi, je vois du mien.
    Je me mis aussi sur le site et décidai d’ouvrir une fiche couple, avec un descriptif de souhait candauliste et de parties plurielles avec Marie.    Une heure après l’avoir mise, quand j’ouvris la boîte à lettre créée pour l’occasion, j’avais déjà 8 messages.Il faut dire que j’avais joint des photos de Marie plus qu’alléchantes, qui, même si sa figure était floutée, pouvaient donner envie de la connaître. Et pas que bibliquement.    L’un de ces messages, émanant d’un black d’une cinquantaine d’années, me proposait une après-midi avec massage sensuel effectué par un type qu’il connaissait bien, suivi d’une prolongation plurielle avec 2 de ses copains. Comme il me donnait le pseudo du masseur, je regardai sa fiche. Les témoignages étaient nombreux et dithyrambiques.
    J’appelai Albert, et lui demandai s’il connaissait le masseur en question. Il me répondit qu’il ne le connaissait pas personnellement, mais qu’il en avait entendu parler. Qu’on lui en avait dit le plus grand bien. Que toutes les femmes qu’il connaissait qui étaient passées entre ses mains avaient pris des pieds mémorables. -Mais. Ajouta-t-il. Je veux en être, d’autant plus s’il y a une prolongation post-massage-Ok, j’y serai aussi. J’aimerais qu’il y ait aussi un black. Marie en rêve. Tu connais Christian, pseudo "blackbobo", il m’a envoyé un message pour candidater?-Oui, mais peut être qu’un plus jeune, serait plus performant? Sers-toi de la fonction annonce, recherche sur le site, tu verras t’as plein de jeunes qui ont des témoignages très valorisants.
    Je lui proposai de contacter Marie pour lui proposer cet après-midi massage et coquinerie, en lui disant que c’était lui qui avait eu l’idée et qu’il m’en avait parlé et que je trouvais ça très bien. Je lui suggérai aussi d’enregistrer sa conversation avec elle et de m’en envoyer une copie.
    Le soir même, alors que je travaillais à la maison. Marie n’était pas encore rentrée. Je reçus l’enregistrement suivant:-Allô, Marie, c’est Albert.
-Mais comment tu as eu mon numéro? -C’est René qui me l’a donné. J’avais envie de te revoir. Je n’arrête pas de penser à notre soirée et notre nuit. J’ai beaucoup aimé. Tu es une femme super et en plus une amante hors pair. J’ai très envie de te revoir, je l’ai dit à René....-S’il est d’accord pourquoi pas, moi aussi j’ai beaucoup aimé nos folies. Quand a-t-il prévu de t’inviter?-Non, cette fois, c’est moi qui vous invite. Mais pas chez moi, dans une suite d’un grand hôtel, et j’inviterai aussi un ami masseur.-Un masseur? Qu’est-ce que c’est que ce nouveau truc ?-C’est un type bien que je connais, il pratique les massages sensuels issus des pratiques indiennes et thaï. Avec des huiles aphrodisiaques. Toi qui es une fana des cultures extrêmes-orientales j’ai pensé que ça pourrait te plaire. -Et René, tu lui en as parlé, il sera là aussi?-Je lui en ai parlé, il est d’accord et m’a seulement dit que c’était toi qui décidais.-Pourquoi pas! Mais, toi, tu y seras pour quoi? Pour mâter?-Non, quand il aura fini, j’aurai le plaisir de m’offrir une nouvelle fois ton petit cul; ou si tu préfères d’offrir mon gentil joujou à ta minette et à ton trou noir.-......!!! Bon, après tout si René est d’accord, on peut essayer. Mais rien de sado-maso!-Bien sûr! Je ne fais pas non plus dans ce genre. Je suis plutôt pour qu’on se fasse du bien.Sachant que j’allais écouter leur échange, Albert commença à provoquer Marie.-Tu as bien dû te rendre compte que je te faisais du bien? N’est-ce pas? Tu as aimé? -Oui, c’était très bon. -Et ma queue, tu la trouves comment?-Non, Albert, arrête! Je peux pas parler comme ça! -Ah bon! Tu peux te comporter comme une coquine, sous ton toit, avec ton mari dans la chambre à côté. Mais tu ne veux pas parler de sexe? Donc les paroles sont plus graves que les actes! -Non, c’est pas ça, mais ça me gêne! -Et alors la Pomponnette! On veut bien faire cocu le pauvre pompon, avec plein d’hommes, mais on fait sa mijaurée pour appeler un chat un chat. Et bien, moi, j’aime ta moule, et j’ai rarement vu une salope aussi bonne que toi! Alors, tu la trouves comment ma bite?-J’aime bien!-Tu aimes bien quoi, LA bite, ou MA bite?-Ta bite?-Celles de René et de Pierre tu n’aimes pas?-C’est pas ce que j’ai dit!    Albert, insistait pour la faire encore plus parler. Il voulait lever d’autres barrières. -Alors, ça veut dire quoi?-J’aime bien faire l’amour avec vous tous! Mais toi, tu es celui qui m’a donné le plus de plaisir.-Donc, si je comprends bien, tu aimes la bite, mais c’est la mienne qui te fait le plus jouir?    Il attendit qu’elle réponde. ...-Oui, je préfère la tienne! Ça va t’es content! C’est ça que tu as envie que je te dise?-Oui, alors tu aimes quand je te baise par tous les trous?-Oui, oui, oui, voilà, je te l’ai dit!-Et tu y penses des fois, depuis l’autre jour, à ma bite?-Oui, mais bon, maintenant ça suffit!-Ok. Donc je comprends que tu as hâte de retrouver mon sexe venir faire risette à ton sexe? Je le note, et je vais m’en occuper au plus vite pour te satisfaire....Au revoir, ma chérie.
    Cette fois, je décidai de ne pas attendre qu’elle me parle de son échange téléphonique, mais de prendre les devants.Quand elle rentra, après l’avoir longuement embrassée et lui avoir caressé un peu l’entrejambe, je lui demandai:-Tu as eu Albert? Il t’a parlé de sa proposition? T’es d’accord?-Oui, il m’a dit que vous m’invitiez à une séance de massages coquins.-C’est tout, il t’a rien dit d’autre?-Si, que vous seriez là et qu’on ferait l’amour après. -Et, rien d’autre? Il t’a pas dit qu’il y aurait aussi un beau, jeune assistant black du masseur qui, si tu es gentille te fera les honneurs de ses attributs.-Où ça va s’arrêter tous ces hommes auxquels tu m’offres?-Quand tu me diras que tu en as assez et que tu n’aimes pas qu’ils te fasse jouir!-......Bon, je dirai plus rien, puisque tu te fous de moi!-Et Albert, il a été sympa avec toi, au téléphone? -Oui, et même, si tu veux le savoir il m’a dit qu’il aimait bien me faire l’amour, que j’étais bonne. Et m’a demandé ce que je pensais de son sexe. Voilà, t’es content?-Et que lui as-tu répondu? -Que je l’aimais bien. Mais tu vas pas t’y mettre aussi.-Et pourquoi les autres auraient droit à ce que tu leur dises que t’es une gentille petite salope et, à moi, tu le dirais pas?-Bon! Je suis une grosse salope! Maintenant on passe à autre chose....
    Le soir même, je me mis sur le site et envoyai le message suivant à Franck le "masseurhot" de Paris.    "Marie.scarabee" (c’était le pseudo que j’avais choisi) et moi souhaitons que vous vous occupiez de lui faire découvrir vos compétences manuelles. Seriez-vous disponible un soir de la semaine prochaine ou samedi après-midi? Si oui, où cela pourrait-il se dérouler? Nous serions aussi 3 hommes pour prolonger avec vous ses plaisirs. Merci d’avance"    Le lendemain quand j’ouvris ma boite mail, je découvris la réponse:    "Avec plaisir, les photos et vidéos du beau "scarabée" me mettent l’eau à la bouche. D’autant plus que je suis très fervent de la mythologie égyptienne, et sensible au symbole que ce bel animal représente. Je préférerais un soir. Proposez-moi un jour, je m’adapterai. Pour le lieu, un hôtel serait le mieux, surtout si nous sommes plusieurs."Suivait le lien pour se rendre sur son site où je pourrais trouver une liste d’hôtels où il avait l’habitude d’aller exercer ses talents.
    Je demandai à Marie si elle avait un empêchement l’un des soirs de la semaine; surtout qu’on était à la dernière semaine de l’année scolaire, toujours très chargée pour elle avec le bac et les orientations des élèves.-Mercredi ou Jeudi ça m’irait bien, et un bon massage me détendrait pour affronter les 15 prochains jours.
    J’appelai Albert pour lui proposer. Il choisit le mercredi. En me disant qu’il se débrouillerait. Nous choisîmes ensemble un hôtel sympa près de la gare Saint-Lazare. Après lui avoir confié la mission de trouver un black bien et expérimenté, je téléphonai pour réserver. Puis, j’informai Franck du jour et du lieu. Nous convînmes de nous y retrouver vers 18h30, qu’il officie jusqu’à 20h, qu’ensuite nous allions tous dîner ensemble, puis que l’on retourne à l’hôtel pour la partie plurielle.
    J’informai Pierre de cette nouvelle découverte. Il était toujours encalminé dans ses problèmes professionnels à Marseille. Il me demanda si Marie, qui serait bientôt en congé (Elle avait prévu de s’arrêter le 12 Juillet) ne pourrait pas le rejoindre la semaine suivante. Je lui dis que je lui en parlerais. Que ça devrait pouvoir se faire puisque nous ne partions en vacances que le 21, mais que je pensais que ce serait mieux que ce soit lui qui lui fasse la proposition. Elle trouvait qu’il la délaissait un peu en ce moment.
    Le mercredi, Marie et moi arrivâmes vers 18 h. Dès que nous fûmes dans la chambre, j’informai nos trois autres protagonistes de son numéro et de l’étage.     Albert et notre nouveau copain guadeloupéen arrivèrent un quart d’heure plus tard. Christian avait une petite quarantaine et une certaine classe, comme savent en avoir les antillais. Grand et sportif. Il mesurait bien 1 mètre 90, des épaules de déménageur, une prestance raffinée. Je lui fis des compliments sur sa plastique. Il me répondit qu’il avait été 3ème ligne dans l’équipe de Cahors de rugby dans sa jeunesse, et travaillait aujourd’hui pour une entreprise d’événementiel. J’étais sûr qu’il s’agissait d’un bobard conçu par Albert suite aux révélations que Marie lui avait faites sur ses fantasmes. Cela dit, ça semblait fonctionner, il suffisait de voir comment elle le regardait...
    Franck arriva à l’heure prévue. Nous commençâmes par ouvrir une bouteille de Champagne que nous avions apportée. Marie et Franck se trouvèrent plein de points communs. Il avait une immense culture artistique et historique. Il lui parla du lien entre Marie-Madeleine, de l’alchimie d’Horus et de ce qu’Isis avait fait découvrir à celle-ci. De l’importance pour les égyptiens du Dieu Khepri à tête de scarabée. Que les grands prêtres, posaient des scarabées sur le corps des Pharaons avant la momification pour leur garantir l’éternité.Il lui dit:-Belle Marie comme Madeleine, la pécheresse, toi aussi tu vas connaître la magie sexuelle d’Isis. Laisse-toi aller, je vais te conduire vers des contrées que tu as en toi et que tu ignores.    Il installa des bougies parfumées, de l’encens, mis une musique très lascive et envoûtante, installa ses huiles sur la table de nuit.Quant à nous, nous nous installâmes sur les chaises et fauteuils autour du lit.    Il la déshabilla doucement, lui mit un bandeau autour des yeux et la fit allonger sur le ventre. Lui aussi se déshabilla, s’installa entre ses jambes. Pour le fun, il lui posa 3 scarabées le long de la colonne vertébrale.Toute cette ambiance ne pouvait que lui plaire.     Il lui enduisit lentement le corps avec un mélange de ses huiles essentielles aphrodisiaques. Puis entrepris doucement de la masser.
    Il commença par le dos, les reins, les jambes, stimula le cou , la main ou l’oreille. Zones érogènes non sexuelles peu connues comme telles. Au fur et à mesure de sa progression, il remonta par l’intérieur des jambes, jusqu’à frôler les lèvres et la rondelle. Cette première phase dura plus de cinq minutes. Marie commençait à avoir de petits tressaillements le long du corps. Le massage devint progressivement plus sexuel, soft d’abord, dans la périphérie du sexe, plus hot ensuite.Il lui remontait les cuisses lentement avec une main, puis l’autre et la pénétrait délicatement ou avec plus de force, en alternant les mains et les rythmes. Par moment il lui léchait le con ou le trou noir, puis reprenait ses massages du dos, du cou, des reins. Lui enfilait un doigt dans l’anus, puis lui massait les fesses doucement ou vigoureusement. Elle se mit vite à émettre de petits râles, puis des cris plus affirmés quand il la pénétrait et visiblement lui excitait le point G. Je décidai de faire une vidéo avec mon smartphone.
    En m’approchant, je m’aperçus qu’à certains moments il lui entrait trois puis quatre doigts sans qu’elle n’exprime aucun mouvement de retrait, au contraire. Ses cris devinrent vite plus sonores et plus prolongés.    Cela faisait bien un quart d’heure que le spectacle avait débuté. Tous les trois, en même temps que nous appréciions la sensualité qui envahissait tout le corps de Marie, nous prenions un cours de préliminaires.
    Il la retourna sur le dos, l’enduisit de nouveau de ses huiles puis s’installa, à genou entre ses jambes qu’il avait bien écartées et reprit les mêmes progressions que celles qu’il avait pratiquées sur le dos en y ajoutant un massage des seins.    Dans cette position, le massage devint plus sexuellement affirmé. Une main continuant à masser le corps pendant que l’autre s’occupait allègrement de son sexe en alternant le clitoris, le pubis, le haut des cuisses et l’excitation interne. Marie accompagnait les mouvements de Franck par des secousses qui prenaient tout le corps, tantôt en tressautements, tantôt en vibrations. Parallèlement elle lançait ses bras sur les côtés frappant le lit, ou tentant de trouver les mains que Christian ou Albert lui tendaient.
    Progressivement les pénétrations se firent plus profondes et plus affirmées. Franck commençait à entrer les cinq doigts. Les cris firent place à des "Oh Oui...C’est bon....Oh lala....C’est pas possible...Oh Non...Oui, oui oui...Continue!...."Cette pratique prolongée et soutenue finit par provoquer de longues et intenses vagues orgasmiques. Il ôta le bandeau. Contrairement à l’habitude quand elle jouissait, là, Marie ne fermait pas les yeux, son regard fixait le plafond ne semblant voir personne, les dents serrées, le visage rougi, la respiration haletante.    Franck accéléra ses pénétrations et pour la première fois il parla:— Oui, aller! Donne-moi. Donne, encore! Donne-moi tout! J’en veux encore!
    Marie coulait en fontaine ininterrompue. Je l’avais déjà vu fontaine, mais toujours des écoulements mesurés. Là, son liquide inondait la serviette et les draps que Franck avait placé sous elle. Elle ne semblait ne plus pouvoir s’arrêter. -Encore! J’en veux encore! Donne tout! Vas-y! Lâche! Aller!-Ahahah, Oui, ah ah ah ah! Son corps était parcouru de convulsions.     Il arrêta. Cela faisait une heure et demie qu’il s’occupait d’elle.     Elle resta un long moment assouvie, épuisée, inerte. Le silence avait de nouveau envahi la chambre.    Quand elle reprit ses esprits, je lui dis:-Je crois que le Monsieur a droit à un sérieux remerciement de la dame. Quelque chose qui peut lui faire du bien à lui aussi.
    J’avais à peine eu le temps de finir ma phrase que Marie avait déjà le sexe de Franck en bouche. Je la fis mettre à quatre pattes dans la zone du lit qu’elle n’avait pas inondée, tout en continuant sa fellation et fis signe à Christian. Il se déshabilla entièrement et s’installa derrière elle. Si j’avais trouvé le membre d’Albert intéressant, Christian n’avait pas de quoi être jaloux. Sans être hors norme, il était à la fois large, volumineux, assez long et bien raide. Malgré ces dimensions, il entra en Marie très facilement. Franck avait préparé son antre pour que n’importe quel membre y trouve sa place. Il n’eut pas à la besogner longtemps pour qu’elle redémarre. Prise par ses orgasmes en rafale, ses gémissements et ses soubresauts elle lâcha le sexe de Franck.    -Non, tu n’as pas le droit de l’abandonner parce que tu prends ton pied! Lui, il a cherché ton plaisir. Il a droit à sa turlutte.    -Oui, mais j’peux pas! C’est trop...Ahahah!!!    Elle se remit malgré tout à le lustrer mais encore plus goulûment, comme si son acharnement sur son chibre lui permettait d’extérioriser son propre plaisir. Et plus Christian la secouait, plus elle suçait Franck avidement. L’ami Albert, n’en ratait pas une miette.    -J’ai jamais vu une femme qui aime autant le sexe et qui jouit avec autant de conviction à n’en plus finir. Quand je la revois quelques mois en arrière, ça aurait été du gâchis de ne pas lui permettre de connaître sa vraie nature sexuelle, et de nous interdire d’en bénéficier aussi.
    Mais il n’avait pas l’intention de ne rester que spectateur. Tout en parlant il se déshabillait, lui aussi. Il se plaça à côté de Franck et prenant la tête de notre belle à deux mains, il la dirigea alternativement sur chacune des deux queues. Ils étaient tellement excités soit par ce qu’ils avaient vu, soit par l’action de Marie qu’ils lui éjaculèrent au visage assez vite l’un après l’autre...Christian ne voulut pas être en reste, il ôta sa capote, et, après s’être un peu masturbé, lui gicla son sperme sur le dos et entre les fesses. Épuisée et heureuse, elle s’écroula sur le lit et lança:    -Bon, pouce, on arrête! J’ai bien mérité ma coupe de Champagne. Et après on va manger, j’ai faim.
    Après s’être tous rhabillés et avoir bu notre coupe, en complétant grâce à Franck nos connaissances sur les différentes huiles aphrodisiaques et les différents types de massages orientaux, nous allâmes dîner dans un bar à huîtres voisin. Peu de choses à dire du repas, si ce n’est que Marie qui avait souhaité être assise sur la banquette entre Franck et Christian s’était un petit peu égarée dans la braguette de chacun à quelques reprises. Quand je lui en fis la remarque. Elle me répondit que c’était un juste retour des choses quand on milite pour l’égalité hommes-femmes, au regard des comportements d’Albert et de Pierre au Stade de France.    Le repas terminé nous retournâmes à l’hôtel. Franck avait une obligation, il nous laissa, non sans avoir dit à Marie qu’elle ne perdait rien pour attendre et qu’il viendrait un jour nous (ou du moins- lui) rendre visite.
    A peine étions nous de retour dans la chambre que Marie enleva la ceinture du pantalon de Christian, comme pour bien nous montrer, lequel de nous trois avait sa préférence. À ce jeu, et suivant les critères d’évaluation qu’elle semblait avoir choisis, je savais que des trois je serais obligatoirement le perdant.
    Cela dit notre nouveau compagnon comprit vite l’intérêt qu’il pouvait tirer de cette situation. Il finit ce qu’elle avait commencé, la souleva, la posa devant lui sur le lit et lui offrit son instrument comme sucre d’orge. Elle ne se posa aucune question et le prit avec la même ferveur que celle qu’on aurait pu en attendre d’une Escort-girl expérimentée avec un client célèbre et fortuné. Albert se déshabilla, puis doucement, tout en lui maintenant la tête sur le mandrin, la fit pivoter, lui enleva sa jupe et son string et la releva afin qu’elle resta debout, mais courbée sur le membre de Christian. Il lui écarta les fesses et lui fit goûter son propre argument. Le passage était encore bien ouvert et humide. Il y entra tout d’un seul coup.
Mes deux acolytes avaient l’air d’apprécier la chaleur de leur abri, et les compétences de la propriétaire.    Je regardai attentivement Marie, elle aussi se sentait bien. A chaque coup de rein de Christian dans sa gorge, je voyais les joues se gonfler et une protubérance bien arrondie apparaître. Puis, lors du recul, la langue sortir pour lécher le gland. Albert avait agrippé les fesses pour accompagner son action, il assénait des coups longs et prolongés qui permettaient eux aussi de voir son organe entrer et sortir et dans le même temps, rendaient encore plus affirmées les mises en bouche de Christian.
    Elle me vit l’observer et lâchant un moment la queue de son vis à vis, me fis signe de me déshabiller aussi et de venir participer à la fête. Je m’exécutai. Je me dis que le moment était peut-être venu de lui offrir une double, voire une triple pénétration. Je pensais qu’après avoir vécu une telle fin d’après-midi et avec le début de soirée qui s’annonçait elle devrait trouver son compte dans cette nouvelle découverte. Je voulais pourtant attendre que les jeux avec mes deux comparses l’aient mise dans de bonnes dispositions.
    Adoptant le point de vue du metteur en scène, je pris l’initiative de modifier provisoirement la disposition et les places des différents acteurs. J’avais aussi décidé de m’attribuer un rôle dans le scénario.     Je plaçai Albert à genoux au bout du lit, m’installait, allongé sur le dos, les jambes de chaque côté de son buste, demandai à Marie de se mettre à quatre pattes, en sens inverse, au-dessus de moi, le con au-dessus de mon visage, la bouche autour du dard d’Albert, et fis signe à Christian de s’installer derrière Marie et de la sodomiser pendant que moi je lui léchais le minou. La position n’était pas des plus confortables, mais avait l’avantage de préparer les 3 orifices à une future pénétration simultanée.
    Avec cette position, j’avais une vue très précise de l’état du con de Marie et du sexe de Christian, dont les testicules, venaient parfois chatouiller mon front.     Marie avait les lèvres en feu, l’entrée du vagin hyper-enflée et d’un rouge très vif, qui s’ouvrait quasiment seul dès la moindre sollicitation de ma langue ou de mes doigts, je parvenais à y entrer 4 doigts sans avoir à forcer. De plus, le plaisir que notre beau black lui donnait, lui agitait les cuisses de mouvements électriques et de tortillements du bassin. Ces vibrations et secousses étaient accompagnées de longs gémissements qui n’étaient interrompus ou assourdis que par la verge d’Albert.    Vu de mon poste d’observation, je pouvais me rendre compte que Christian et moi ne jouions vraiment pas dans la même catégorie. Son chibre était trapu. En érection, il avait bien un diamètre équivalent à une matraque dont un CRS se serait servi pour câliner une manifestante récalcitrante. Ce que je pouvais voir de la longueur, avec les entrées et sorties qui, elles aussi se faisaient visiblement sans douleur malgré la grosseur du mât, me laissait penser qu’on devait être au-dessus des 20 cm en action.
    Après une dizaine de minutes au cours desquelles Albert avait pris la tête de Marie à deux mains et lui baisait la bouche comme s’il avait affaire à son con, où Christian accroché aux deux jumelles était progressivement passé du besognage au pilonnage, et où Marie était passer des roucoulements aux plaintes, des plaintes aux gémissements, des gémissements aux cris, des cris langoureux aux appels sonores, stridents et rauques, je décidai de passer aux choses sérieuses.
    Je proposai à Albert de s’allonger sur le dos, les jambes retombant du lit, à Marie de s’asseoir sur lui, en lui tournant le dos et d’enfiler son sexe, dressé comme un monument aux victimes de la guerre de 14, dans son œil de bronze... Elle s’exécuta très docilement, et commença à secouer le sulky. Après quelques secondes, je fis signe à Christian d’investir l’autre trou délicatement. Marie laissait faire. Elle savait déjà qu’elle aurait droit à ce que tout ce qu’on lui promettait depuis deux mois. Elle s’attacha même à faciliter les choses en écartant les cuisses au maximum.     Quand Christian entra en elle, elle eut malgré tout un petit cri qui s’estompa très vite dans des Oh, des Aaaaah! Il y allait doucement. Je me mis au-dessus d’elle et l’embrassai avec ferveur. Je ne sais pas ce qui la rendait la plus heureuse. Le fait que ses deux chevaliers servants lui offrent un bon dessert, qu’elle éprouve du plaisir à cette nouvelle expérience, ou que je participe et l’embrasse pour la complimenter.Sûrement un peu tout cela, avec des différences de niveau et de sortes de plaisir.
    Dans l’opération, le plus actif était sans aucun doute Christian qui tenait son rôle avec application. Prise par la force des pénétrations Marie s’était penchée en arrière sur ses bras. Maintenant elle criait si fort que je lui mis la main sur la bouche en lui disant que si elle continuait tout l’hôtel allait rappliquer en demandant une part du gâteau. Son corps était pris de convulsions, de vagues orgasmiques sans fin.
  Dans un moment de baisse de tension elle réussit à dire:— Maintenant venez tous les trois, lâchez...    Et pendant que je la lutinais à mon tour, Albert et Christian se branlèrent au-dessus d’elle et lui éjaculèrent sur les seins et le visage. Pour ma part, il ne me fallut pas longtemps pour lâcher mon foutre en elle. Puis, elle s’assit au bord du lit et nous lécha les uns après les autres.  Je pris une photo, le spectacle en valait la peine, des coulures de sperme ornaient ses joues et son menton coulaient entre et le long de ses seins mais aussi entre ses cuisses.    Je lui montrai la photo, elle dit alors:-Alors, elle est pas bonne ta salope?    Personne ne releva. Nous la laissâmes prendre une douche, puis nous allâmes, tous les 4, boire un verre dans une brasserie proche de la gare, le bar de l’hôtel étant déjà fermé. Il faut dire qu’il était plus de minuit.
    Avant de partir et après avoir embrassé Marie, Christian lui dit:— J’ai beaucoup aimé. Vous êtes une petite salope de grande classe et quand vous voulez je suis prêt à recoquiner avec vous seul ou à plusieurs. Je peux même être accompagné de copains dans mon genre très recommandables.  À ma surprise, Marie lui donna son numéro de portable (Christian fit de même) et lui dit:  -Moi aussi j’ai bien apprécié votre bagage universitaire et vos facultés. Et je vous reverrai avec plaisir. Ajoutant:— On peut l’inviter un de ces jours à la maison, chéri!
    Albert prit aussi congé, non sans avoir roulé un patin à Marie tout en lui caressant l’entrecuisse, sous les yeux ébahis du garçon. Nous décidâmes, Marie et moi, de finir la nuit à l’hôtel, la chambre était payée et nous n’avions, ni l’un ni l’autre envie de faire de la route.Je pensais que le rythme qu’elle avait eu depuis 18h l’avait épuisée et que nous allions rapidement dormir, mais:— Mon grand chéri, il s’occupe de trouver des hommes et de monter des scénarios pour que sa salope de femme s’éclate mais lui, il est frustré, il n’en profite pas beaucoup. Elle me poussa en arrière sur le lit, me défit le pantalon et se mit à me pomper comme elle ne me l’avait jamais fait.-Je vais te prendre tout ton suc et quand je t’aurai vidé. Je te ferai remonter et te baiserai comme une chienne en t’offrant mes deux trous. Et si tu n’es pas encore transformé en carpette, je te resucerai jusqu’à ce que tu me pries, à genoux, de te laisser!  J’eus droit à tout ce qu’elle m’avait promis. Je me suis vidé dans chacun de ses orifices. J’ai mis les pouces après une dernière sodomie, alors qu’elle voulait encore me faire une petite pipe, comme elle disait.
    Je me couchai en me demandant où était passé la Marie auprès de laquelle j’avais vécu près de 26 années. Peut-être qu’au fond la femme stricte et sexuellement très conformiste n’avait jamais existé et n’était qu’une construction que j’aurais dû faire s’écrouler plus tôt....
Le lendemain soir, je lui rappelai l’engagement qu’elle avait prise avec Franck d’envoyer un témoignage sur son blog.Plus tard en regardant le site je découvris ce texte:
    "Il mît ses scarabées sur mon dos comme le faisait les grands prêtres de l’antiquité égyptienne pour l’entrée au paradis des pharaons et en un instant il me prit mon âme, mon cœur et mon corps. Ce mélange indicible de relâchement et d’excitation qu’on ne parvient plus à contenir et qui vous fait vibrer de tout votre être. Puis viennent doucement d’abord puis violemment les orgasmes à répétition. Et les scarabées se sont mués en pieuvre. (Il paraît que les surréalistes en faisaient l’un des plus beaux fantasmes féminins) en référence au célèbre Shunga d’Hokusaï     "Le rêve de la femme du pêcheur" (Oh oui, R. Quel pêcheur tu es de m’avoir entraîné là) Pierre était la pieuvre et je lui offrais mon corps et mes vagues de plaisirs que je ne cherchais plus à contenir jusqu’à leur paroxysme. J’étais Isabelle Adjani dans le film d’Andrzej Zulawski "Possession". Ma seule défense face à cet envahissement tentaculaire qui me mangeait de l’intérieur: l’abreuver de la nourriture aquatique qu’il faisait jaillir de cette source chaude au fond de moi. Pour terminer ce texte pour calmer les ardeurs qui irriguent encore mon corps et mon esprit et devenir, moi-même, le poulpe qui je l’espère dévorera bientôt Pierre dans une prochaine confrontation improbable entre un scarabée et une pieuvre.     "Vous soulevez vos cuisses.    Vous vous poussez à ma rencontre.    Vous vous ouvrez.    Vous prenez mon nez, ma bouche entre vos grandes lèvres.    Vous vous fixez à mon visage comme le poulpe au rocher."    Bernard Noël (Le Château de Cène) Gallimard
    Marie avait joint deux photos à son texte. L’une, la reproduction de l’estampe d’Hokusaï. L’autre d’un string scarabée comme pour provoquer Franck et les lecteurs de son blog.    Quant à Franck, voilà ce qu’il a écrit, accompagné d’une photo de Marie en extase, sur un site candauliste, à propos de cette journée:    "Autre photo en attendant le plaisir de les revoir pour la conduire encore plus loin. En tout cas, j’ai eu beaucoup de plaisir à stimuler sa fontaine qui nous a donné beaucoup d’eau de plaisirs à de multiples reprises. La femme de chambre a certainement dû demander un changement de literie après leur départ malgré les serviettes en protection bonnes à essorer".
    Pour le provoquer et l’amener à ne pas oublier qu’il était en "contrat" avec Marie, j’envoyai des photos, une vidéo, le récit de l’après-midi et la soirée à Pierre sur son mail.    Je reçus la réponse suivante:"Elle se lâche la coquine! Je suis jaloux de ne pas en avoir été. Immobilisé jusqu’au 20 Juillet à Marseille.Suite à ta suggestion je vais proposer à Marie de venir me rejoindre pour le Weekend prolongé du 14 Juillet. Il y a 3 jours...Est-ce que ça te pose problème? Parce que si je lui dis de venir en semaine, je ne pourrai pas m’occuper d’elle la journée, je suis surbooké. Et je n’ai pas envie de remonter à Paris, j’aimerais bien découvrir tous les attraits du coin avec elle..."  Je lui répondis que ce n’était pas à moi, mais à elle de lui donner la réponse. Qu’en ce qui me concernait je n’y voyais aucun inconvénient, à condition que Marie s’éclate.    Quelques jours plus tard, Marie m’annonça qu’elle lui avait donné son accord, qu’elle partirait le jeudi 13 en fin d’après-midi en TGV et reviendrait le dimanche soir.-D’accord, mais en compensation je te donnerai une mission à accomplir.-.....C’est quoi?-Je te le dirai plus tard.
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