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La copine de mon beau-frère

Chapitre 4

Première sodomie

Inceste
.....Je me couche à côté d’elle afin de lui laisser reprendre un peu ses esprits. Elle se tourne alors sur le côté me tournant le dos. Je me mets également sur le côté et je commence doucement à lui caresser le flanc en allant de son sein jusqu’à ses fesses et des fois je descends jusqu’à sa cuisse puis je remonte doucement laissant juste trainer le bout de mes doigts sur sa peau. Par moments je sens des frissons parcourir son corps et je vois de la chair de poule apparaitre sur sa peau douce.J’approche doucement mon bassin vers ses fesses et au bout d’un moment mon sexe est collé contre ses fesses. Je décide alors d’écarter ses fesses et je coince mon sexe dur dans sa raie entre ses deux globes. Tout en la caressant comme avant, je coulisse doucement mon sexe entre ses fesses. Je glisse ainsi depuis le début de son minou jusqu’au-dessus de son anus. Mon sexe commence à couler, mouillant de plus en plus cet endroit. Mon liquide permet ainsi de bien lubrifier cet endroit ce qui facilite le coulissage de mon sexe. Je sens la respiration d’Estelle qui commence à s’accélérer. Par moment lorsque mon sexe passe sur son anus, je sens comme une petite pression de son bassin en arrière. Veut-elle me faire comprendre quelque chose ?Je continue donc ainsi à faire mon petit mouvement du bassin pour faire coulisser mon sexe entre ses fesses maintenant à chaque fois que le bout de mon gland rencontre son petit trou, Estelle pousse ses fesses de plus en plus fort en arrière. Parfois, mon gland accroche un peu l’œillet puis s’échappe. Je sens que son anus se dilate à chaque passage. A un certain moment, sans le vouloir lors d’une poussée un peu plus prononcée d’Estelle sur son bassin, mon gland entre dans son petit trou. Je ne bouge plus et j’attends sa réaction. Je vois sa peau recouverte de chair de poule. Doucement elle pousse en arrière et mon sexe rentre de plus en plus dans son fondement. Son anus avale mon sexe. Je n’ose bouger et je lui laisse l’initiative de s’enculer toute seule avec mon sexe. A force de pousser, mon sexe est entièrement en elle et mon pubis est maintenant contre ses fesses.Je lui demande :
— Tu as mal ?— Non— Tu aimes ?— Je ne sais pas, cela fait bizarre— Tu veux que l’on continue ?— Oui je veux bien. Je veux savoir ce que cela fait d’être enculée.
Nous sommes toujours dans la même position mon sexe toujours en elle. Je lui dis alors de commencer à onduler son bassin et de faire des petits va-et-vient à son rythme. Elle s’exécute et pousse d’abord ses fesses en arrière doucement et avance à nouveau son bassin. Mon sexe coulisse alors dans son cul. Prenant de l’assurance, je sens qu’elle accélère le rythme prenant de l’assurance. De mon côté je bouge aussi mon bassin d’avant en arrière. Pendant ce temps Estelle respire de plus en plus vite. Je lui demande :
— tu aimes ?— oui cela fait bizarre mais c’est pas mal— tu veux que je te prenne en levrette ?— oui vas y
Je retire mon sexe de son trou et je la laisse se mettre en position. Une fois les fesses bien l’air, je lui demande d’écarter ses fesses. Elle s’exécute et je peux admirer son petit trou brun avec quelques poils autour. Je prends un peu de salive et je lui humidifie son anus. J’approche ensuite mon gland de son petit trou. Je pousse doucement en avant. Je lui demande de se détendre et d’un coup mon gland entre en elle. Elle est très étroite et je sens son anneau qui serre mon gland. J’attends un peu et tout doucement je pousse mon sexe en avant. Il entre millimètre par millimètre. Au bout d’une bonne minute, mon sexe est entièrement dans son cul et mon pubis est contre ses fesses. Je retire en arrière mon sexe aussi doucement que je l’ai entré. Mais arrivé au bout, je laisse mon gland dans sa rondelle. Puis je recommence mais en allant un peu plus vite jusqu’à ce qu’Estelle soit complètement détendue et que je puisse l’enculer comme on « baisse » une chatte. Je la tiens maintenant par les hanches et à ce moment mon sexe fait des allers et des retours dans son cul.
Il est vraiment étroit et mon sexe est bien serré par son boyau. J’adore regarder mon sexe entrer et sortir de son cul. Je lui dis qu’elle doit se caresser son minou ce qu’elle fait en passant une main entre ses cuisses. Elle gémit et je sais qu’elle commence à prendre du plaisir. J’ai alors une idée. Je me retire de son cul et je lui demande de se coucher sur le dos. Elle s’exécute et elle écarte ses cuisses. Je vois son minou tout mouillé. Je lui relève les jambes et j’aperçois son petit trou. J’approche ma bite de son anus. Elle rentre quasiment toute seule dans son petit trou. Je l’encule ainsi par devant. Cela me permet d’avoir accès à son minou et à son clitoris. Je lui caresse alors sa fente qui dégouline. Puis j’enfonce mon pouce. Elle pousse en râle. Je sens à travers sa paroi mon sexe dans son boyau. Je continue à l’enculer et à lui masturber son sexe. Estelle n’en peut plus. Elle pousse des cris et jouit. Moi non plus je ne peux plus tenir. J’ai envie de jouir. Je le dis à Estelle qui me dit que je dois jouir dans son cul. Elle veut sentir mon sperme se répandre en elle. Alors je pousse d’un coup sec et je lâche plusieurs jets. Elle pousse encore un cri et je sens mon pouce qui se trouve encore dans son minou devenir complètement mouillé.Je me retire de son corps. Elle reste couchée sur le dos et je m’allonge à côté d’elle. Elle me sourit. Un très joli sourire de la femme comblée.Elle me dit alors qu’elle n’a jamais pris autant de plaisir et qu’elle ne savait pas que l’on pouvait autant jouir en faisant l’amour.
Je l’embrasse sur le front et je lui dis qu’elle m’a aussi donné beaucoup de plaisir et que j’ai apprécié d’avoir pu l’initier à toutes ces bonnes choses et surtout je la remercie de m’avoir offert son petit cul. Elle se lève et me dit qu’elle va prendre une douche car mon beau-frère et ma compagnie peuvent revenir à tout. J’acquiesce et je lui dis de se dépêcher car moi aussi je dois prendre une douche. Une odeur de baise se fait sentir dans la chambre. J’ouvre la fenêtre pour aérer.Le soir, lors du repas de famille, j’avais du mal à regarder Estelle dans les yeux et elle aussi. Nous avions peur qu’un sourire ou un regard puisse nous trahir. Estelle, j’espère un jour pouvoir à nouveau te faire l’amour.
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