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Coquillages et doigts de pieds

Chapitre 2

Inceste
Toujours nues, maman et moi entrâmes dans la maison et gravîmes les escaliers qui menaient à sa chambre. J’étais juste derrière elle et mes regards étaient rivés sur son cul. Les globes charnus, joliment dessinés et d’un blanc laiteux tressautaient entre chaque marche. Un fin duvet brun tapissait le haut de sa raie des fesses et j’imaginais que la vallée qui se cachait encore à mes regards devait être aussi poilue que son pubis. Lorsque nous franchîmes la porte de sa chambre, ma mère se tourna vers moi et me prit par la main pour m’attirer à elle. Contre moi, son corps était brûlant tant sous l’effet des rayons du soleil auxquels nous nous étions abandonnées que de l’excitation qui nous enflammait. Elle plaqua ses mains sur mes fesses pour me coller encore plus à elle et posa sa bouche sur la mienne. Nos lèvres s’entrouvrirent et nos langues entamèrent un ballet subtil. J’avais saisi ses seins à pleines mains et je soupesais les deux outres qui m’avaient nourri durant les premiers mois de mon existence. Elles étaient encore incroyablement fermes et les tétons qui pointaient aux extrémités témoignaient de l’excitation de ma mère.Cette dernière m’entraîna d’ailleurs vers le lit où elle m’allongea, cuisses largement écartées. Tout en parcourant mon corps de ses doigts, elle contemplait ma fente imberbe et je voyais sa bouche frémir. Elle se pencha au-dessus de moi et ses lèvres se posèrent dans mon cou, sur mes seins, sur mon ventre. Une mouille abondante s’écoulait de ma chatte délaissée depuis trop longtemps et inconsciemment, j’arquais mes hanches impatientes en direction de sa bouche. Mais ma mère avait visiblement décidé de prendre son temps et ses lèvres remontèrent sur mes hanches. Ses mains les agrippèrent pour me forcer à mes retourner et lui présenter la partie postérieure de mon anatomie. Sa bouche et sa langue entamèrent un nouveau ballet entre mes omoplates puis entre mes reins avant de descendre encore un peu. Se redressant légèrement, elle saisit mes fesses à pleines mains et les écarta. Une délicieuse chair de poule me parcourut le corps. Ma mère devait avoir une vue imprenable sur l’étoile mauve de mon anus et l’idée qu’elle contemplait la partie la plus intime de mon corps provoqua un nouveau flot de mouille qui macula l’intérieur de mes cuisses. Je crois que si j’avais posé le doigt sur mon clitoris à cet instant précis, l’orgasme m’aurait cloué sur place en quelques secondes.Mais la vicieuse me remit sur le dos et cette fois-ci, s’installa à califourchon et tête-bêche au-dessus de moi. De ses coudes, elle fit remonter mes cuisses très haut et sa bouche se trouva à quelques centimètres de ma chatte et de mon trou du cul. En même temps, elle approcha ses hanches de ma tête et j’eus sous les yeux un fascinant spectacle. Son vagin était encore béant du traitement que je lui avais fait subir au bord de la piscine. Son sexe ressemblait à un coquillage obscène qui dégageait un lourd parfum d’iode. Je me remémorais ce qu’elle m’avait dit à propos de ses poils et je confirmais en silence l’appréciation de mon père. Les lèvres étaient épaisses et charnues ; elles se rejoignaient autour du clitoris gonflé. A l’arrière, sa raie du cul était telle que je l’avais imaginée. Des poils en tapissaient les bords, jusqu’au pourtour de l’anus étrangement boursouflé. Ce spectacle me donnait une irrésistible faim et sans plus attendre, je collai ma bouche à ce fruit défendu.Ma langue s’enfouit dans les replis juteux de sa chatte et se régala de la mouille épaisse que ma mère sécrétait en abondance. J’allais du clitoris au vagin dans lequel j’enfonçais ma langue le plus profondément possible. Mon nez vrillé sur la pastille sombre de son anus s’étourdissait des arômes lourds du cul maternel. Lorsque ma mère à son tour aspira mon clitoris entre ses lèvres, j’eus un hoquet et je poussai un long cri pour libérer l’orgasme qui me tenaillait le ventre. Encouragée par ce premier succès, ma mère lapa ma chatte sur toute sa longueur tandis que ses mains malaxaient mes fesses. Sa langue me fouillait en même temps que je m’ouvrais et j’avançais mes hanches vers sa bouche vorace pour l’encourager. Plongeant la tête encore plus avant, elle alla recueillir les sucs qui avaient barbouillé mon anus. J’étais aux anges et une seconde vague de jouissance creusa mes reins au moment où sa langue franchit la barrière serrée de mes sphincters. Elle dansait littéralement à l’intérieur de mon cul et je dois le reconnaître, avec beaucoup plus de talent que tous mes précédents partenaires. Je décidais d’appliquer à l’égard de ma mère, les leçons qu’elle m’inculquait et ma bouche se colla comme une petite ventouse à son anneau culier. Ma langue darda et se fraya sans problème un chemin à l’intérieur du rectum de ma mère. Une telle facilité m’indiqua qu’elle n’était pas étrangère aux plaisirs de Sodome, ce qu’elle me confirma en couinant de plaisir et en écrasant ses fesses sur mon visage. L’orgasme ne tarda pas à nous atteindre et nos cris se mélangèrent dans une cacophonie de « oh » et de « ah »…Les sens apaisés et dans les bras l’une de l’autre, nous prîmes enfin le temps de nous parler :— « Qu’est-ce qui nous est arrivé maman ?— Je ne sais pas… La chaleur sans doute… Tu n’as pas aimé ?— Au contraire ! C’était bien meilleur qu’avec les copines du lycée !— Ah ! C’est vrai que dans les dortoirs… Moi-même quand j’étais en pension… Mais dis-moi, tu vas aussi avec des garçons ?— Bien sûr maman ! D’ailleurs, il va falloir que je me trouve un petit copain pour les vacances.— Mais tu vas me rendre jalouse ! rétorqua ma mère en riant. Attends, tu veux du mâle ? Et bien tu vas en avoir ! »Se penchant vers la table de nuit, elle ouvrit le tiroir et en sortit un godemiché de belles dimensions. Il faisait presque 25 centimètres et sous le gland du diamètre d’une prune, la hampe était striée de veines très réalistes.— « Je te présente Raoul ! Toujours présent pour s’occuper d’une chatte ou d’un cul ! »Ma mère se positionna entre mes jambes et caressa mon ventre de l’extrémité en latex. Elle dessinait de douces arabesques qui glissaient progressivement vers ma fente baveuse. Lorsque que la bite factice atteint mon clitoris, je poussai un soupir rauque et je saisis mes chevilles pour offrir à ma mère un meilleur accès à ma vulve.— « Raoul, je te présente la chatte de ma fille. Ah ? Tu veux l’embrasser ? »Et elle enfonça doucement le gode dans mon vagin en le faisant tourner. Le boudin de latex m’emplit d’une chaleur intense tandis qu’il dilatait les parois de mon con. Tout en le faisant aller et venir dans un doux clapotis, ma mère posa à nouveau sa bouche sur le bouton hypersensible de mon clitoris et se mit à l’aspirer. Sous l’effet de ses caresses, je me déhanchais de plus en plus bruyamment et une irrésistible envie de pisser me tordit le ventre. J’eus toutes les peines à contenir ma vessie mais quelques jets dorés s’échappèrent au moment où j’atteignais l’orgasme dans un cri strident.Dégoulinante et les jambes en coton je repris doucement mes esprits sous le regard narquois de ma mère.— « Alors, il te plait Raoul ? Tu vois que tu n’as plus besoin d’aller chercher un garçon !— Peut-être… En attendant, on ferait mieux d’aller prendre une douche avant le retour de papa !— Tu as raison ma chérie. Emmène aussi Raoul, on lui fera sa petite toilette ! »Ma mère se leva et se dirigea vers la salle de bains. Le Godemiché en main, je la suivis en lorgnant sur ses fesses et en imaginant le boudin de latex se frayer un chemin entre les deux globes de chair et s’enfoncer au fond de son cul…
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