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Ce coquin de propriétaire !

Chapitre 5

Erotique
18h00, je suis en train de ranger les cartons lorsque Loic rentre du travail. -    Hello chérie, tu as passé une bonne journée ?Me dit-il en venant déposé un baiser sur mes lèvres.-    Oui, oui et toi ?-    Pas trop mal, mais content que ce soit terminé. J’ai croisé le proprio dans le jardin, il m’a dit que tu l’as invité à prendre l’apéro ce soir.Surprise par ce qu’il vient de me dire, je deviens toute rouge.-    Euh, oui, enfin…Je bafouille, ne sachant trop ce que je devais répondre.-    T’as bien fait ! il a été sympa avec nous hier soir, normal qu’on lui rende la pareille.Me dit-il en souriant.-    Il m’a dit qu’il viendrait vers 19h30, tu as préparé quelques amuses bouches ?-    Euh, non…-    Bon arrête ton rangement, on va préparer un petit truc sympa.Après avoir regardé dans le frigo, il proposa d’aller faire quelques courses rapidement pour bien le recevoir. Je ne savais ce que je devais faire et j’étais un peu honteuse vis-à-vis de lui.Vers 19h00, les achats terminés, nous sommes revenus à la maison.-    Va prendre une douche et met un truc un peu plus sympa pendant que je prépare l’apéro.Je ne lui ai bien entendu pas dis que cela ferait la troisième douche que j’allais prendre, mais l’interrogeais sur ce qu’il entendait par un truc sympa. -    Prend ta douche, je vais mettre tes affaires sur le lit, ce sera plus simple.Dit-il en souriant.Loïc sait que j’aime plaire et il adore cela. Il aime, lui aussi, voir les autres hommes me regarder avec envie, une manière pour lui de se dire « elle te plait et bien elle est à moi »… un péché d’orgueil bien masculin. Je ne fus donc pas surprise quand en arrivant dans la chambre j’ai découvert une petite robe raisonnablement courte qui savait mettre en valeur autant mes jambes que ma poitrine et cela sans sombrer dans la vulgarité. Il avait même prévu la plus belle lingerie que je possédais. Loïc n’avait pas l’intention de faire en sorte que notre invité puisse la voir, mais savoir que je la portais, suffisait à son plaisir. Ouf, il n’avait pas prévu de bas, la robe ne s’y prêtant pas. Je commençais à m’habiller et j’étais en train de chercher une paire de collant quand il pointa son nez.-    Que fais-tu ?-    Je cherche des collants.-    Nous ne bougeons pas et il fait chaud dans la maison, tu peux rester les jambes nues.-    Mais je suis toute blanche…
-    Et alors, j’adore.Je n’insistais pas et me chausser d’une paire d’escarpins d’été. Le talon n’était ni trop haut, ni trop petit, cela me permettait d’être à l’aise tout en affinant mes jambes. Je ne le faisais pas pour Marc, mais pour Loïc car je sais qu’il aime que je sois en talon.Marc arriva un peu avant 19h30 avec un immense bouquet. C’est Loïc qui a été lui ouvrir.-    Il ne fallait pas, regardes Chloé…Il se tourna vers le propriétaire.-    Marc !Lui dit-il pour lui rappeler son prénom ?Marc m’offrit les fleurs.-    Merci, effectivement, il ne fallait pas.Quand mes mains furent encombrées par le bouquet, Marc s’approcha de moi pour m’embrasser sur les joues.-    Vous permettez que je vous fasse la bise.Sans rien dire, j’ai commencé à chercher un vase.Loïc invita Marc à s’asseoir et lui demanda ce qu’il désirait boire.Marc discuta surtout avec Loïc, il commença par s’intéresser à son travail, la conversation était mondaine et même si de temps en temps l’œil de Marc se posait sur mes jambes ou ma poitrine, cela restait discret. J’étais plutôt rassurée sur la tournure que prenait cette soirée.Marc se montrait amical et jovial, il savait aussi flatter Loïc et ce dernier en était ravi. Au deuxième apéro, ils discutaient comme deux copains qui se connaissaient depuis longtemps. Marc commença à lui parler de moi comme si je n’étais pas là et Loïc entrait sans s’en rendre compte dans son jeu. Je ne savais pas trop comment je devais réagir. Marc avait un discours dithyrambique vis-à-vis de Loïc qui pavoisait sans se rendre contre que l’exagération n’avait que pour objectif de le mettre dans sa poche et le guider sur le chemin que Marc voulait lui faire prendre.Quand il commença à parler de moi et à vanter ma beauté, il le fit, là encore en complimentant Loïc pour ses choix.-    J’ai bien vu que vous étiez un homme de goût, Même votre compagne en est le symbole.Il ne voyait pas le chemin que prenait la conversation.-    Chloé est une très belle femme.-    Oui, c’est pour cela que je l’ai choisi.Il cherchait à faire un peu d’humour tout en étant flatté que je sois avec lui.-    Elle semble sensuelle et je peux voir que sa tenue, très classe et sexy sait très bien la mettre en valeur… je trouve que ce soir elle a choisi une très belle tenue.J’étais à côté de lui dans le canapé et Loïc était sur le fauteuil qui nous faisait face et ils parlaient de moi comme si je n’étais pas là.-    Il me faut vous dire que c’est moi qui lui ai dit de s’habiller ainsi.Loïc était sous le charme de Marc et voulait lui apparaitre sous son meilleur jour. Il voulait offrir à son interlocuteur une nouvelle preuve de son « bon goût ». -    Eh bien je vous félicite Loïc et en plus elle a suivi votre conseil.-    Oui, elle sait qui porte le pantalon.Dit-il autant par humour que pour frimer aux yeux de Marc.-    Vous l’avez bien dressé.Répondit Marc sur un ton amusé et intéressé. Il l’amenait en fait doucement là où il voulait aller. Je voyais son manège, mais je ne savais pas comment le dérouté de son chemin. Je ne savais pas… enfin, « je ne voulais pas » serait peut-être meilleure formulation.-    Vous la connaissez depuis quand ?Il commença à lui poser quelques questions intimes. D’abord comment nous nous étions rencontré, ensuite au bout de combien de temps nous avions fait l’amour…-    Et elle était encore vierge ?Je n’osais intervenir, j’avais voulu le faire quand il avait commencé à parler de moi avec Loïc, mais le regard de Marc m’a fait changer d’avis. Quant à Loïc, il était tout fier d’exhiber notre vie à Marc. il faut dire qu’à chaque fois ce dernier l’encourageait et le flattait.Mais il n’allait quand même pas lui répondre à cette dernière question.-    Oui, j’ai été le premier.-    Bravo, comment cela est-il arrivé ?-    Un soir, ses parents étaient sortis et je suis venu la rejoindre chez elle. Nous avions l’habitude, les rares fois où ses parents la laissaient seule de regarder un film chez elle et je partais peu avant que ses parents reviennent. J’apportais le DVD, mais j’avais à chaque fois l’ambition de faire autre chose que nous allonger dans le divan pour regarder le film.Il était en train de tout raconter en détail à Marc…-    Malheureusement, elle ne voulait jamais plus que de simples caresses et baisers. Elle prétextait que ses parents pouvaient revenir sans prévenir. Ce soir-là, ils sortaient chez des amis qui habitaient assez loin et avaient donc prévu de ne rentrer que le lendemain. -    Enfin, cela vous offrait l’occasion de le faire. Vous saviez qu’elle était vierge ?-    Non, pas vraiment, mais je m’en doutais fortement.-    Et vous ?-    Moi, non, je ne l’étais plus.-    Quoi ? Tu ne me l’as jamais dit !Je n’ai pas pu rester muette en apprenant que je n’étais pas la première.-    Tu ne me l’as jamais demandé.Répondit-il sans se démonter. Puis il reprit son récit.-    Donc je suis arrivé chez elle dès que ses parents furent partis. Je les ai même croisés sur la route, mais ils ne m’ont pas vu. Enfin, je crois.-    Tu ne m’avais pas dit que tu avais croisé mes parents.Marc me jeta un œil froid qui m’ordonnait de me taire. Je baissais les yeux sans protester davantage et Loïc repris son récit.-    Elle avait une petite jupe en jean et un teeshirt jaune.  Nous nous sommes glissés sous le plaid du canapé pour regarder le film. A peine avait-il commencé que ma main s’était déjà glissé sous son teeshirt et nous nous embrassions avec gourmandise.Il détailla nos caresses, même les plus intimes et Marc ne se privait pas pour poser quelques questions.-    Elle mouillait ?-    Oui sa culotte était trempée.Je reconnais bien les mecs là, tout dans l’exagération.-    Je n’ai eu aucun mal à enlever son teeshirt. Un peu plus son soutien-gorge. Je dois avouer que le canapé est confortable pour regarder un film, mais on y est un peu à l’étroit pour se caresser.-    Surtout qu’à l’époque vous deviez être un peu gauche, surtout elle qui n’avait encore jamais fait cela.J’avais envie de protester, mais je n’osais pas.-    En fait, je lui ai proposé d’aller dans sa chambre, mais elle a dans un premier temps refusé.-    Elle voulait se faire désirer, je présume, mais elle a fini par accepter ?-    Oui, c’est assez cocasse d’ailleurs.-    Cocasse ?-    En fait, nous sommes tombés du divan et cela nous a fait rire enfin la première fois.-    Vous êtes tombés plusieurs fois ?-    Oui, deux, la deuxième, j’ai fait semblant d’avoir mal et je lui ai dit que ce serait moins dangereux dans son lit.Quoi, il a fait semblant ! J’avais envie de hurler en entendant cela, mais je me suis reprise à temps en repensant au regard de Marc.-    Dans la chambre, je me suis déshabillé, elle m’a demandé ce que je faisais, mais sans lui répondre Je me suis dirigé vers le lit et je lui ai dit de venir me rejoindre.-    Elle est venue ?-    Pas tout de suite, elle m’a dit qu’elle avait peur de ce qu’on allait faire et quand je lui ai demandé si elle n’avait pas envie de moi, elle m’a répondu que si  bien sûr, mais que ce n’était pas rien.-    Oui c’est vrai que ce n’est pas rien, mais c’est quelque chose d’agréable.-    Oui, elle est finalement venue se glisser sous les couvertures et nous nous sommes caressés, puis doucement je l’ai prise.-    Elle a eu mal, elle a aimé ?-    Non, elle n’a pas eu mal et elle a adoré.Je n’en ai pas tout à fait le même souvenir de cette première fois. D’abord, j’ai eu mal et il n’a pas été aussi délicat qu’il semble le dire et ensuite, je ne peux pas dire que j’ai beaucoup aimé, en tout cas je n’ai pas joui.-    Elle a eu un orgasme ?-    Pour qui vous me prenez, bien entendu qu’elle a jouit, j’ai fait tout ce qu’il fallait pour.Un petit sourire moqueur se dessina sur mon visage qui semblait dire : « Vantard ! »Mais après tout, ce n’est qu’un homme !
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