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Ce coquin de propriétaire !

Chapitre 18

Erotique
Marc prit son portable et commença à pianoter un texto.
-    Tu réponds à Loïc ?
Lui demandais-je.
-    Oui.-    Et que lui dis-tu ?
Il continua à écrire son message sans me répondre, puis remis son téléphone dans sa poche et redémarra la voiture.Peu après, il s’engagea sur une petite départementale pour rejoindre presqu’aussitôt un chemin rural à peine bitumé.
-    Mais où m’emmènes-tu ?
Ma voix jouait l’inquiétude, mais je n’avais aucune crainte. Je me sentais en confiance avec lui et ne voyais aucune raison d’avoir une quelconque appréhension. Mais je voulais le taquiner un peu.
-    Là où j’ai décidé d’aller.
Dit-il sans même amorcer les prémices d’un sourire.
-    T’es mignon quand tu fais le dur…
Il ne me laissa pas terminer ma phrase. Son regard me glaça et mes lèvres s’arrêtèrent net. J’ai alors baissé les yeux sans savoir s’il avait voulu m’intimider ou simplement plaisanter.Nous avons continué sur le chemin sans dire un seul mot, puis, il tourna à droite pour prendre le chemin de terre qui s’enfonçait dans les bois.Marc s’arrêta devant une grande grille. Il sortit du véhicule pour enlever la chaine qui verrouillait le portail. Revenu à la voiture, il avança jusqu’à l’autre côté de la grille puis alla refermer et remettre la chaine.
Un petit kilomètre plus loin, nous sommes avons enfin aperçu une habitation. C’était une grande maison en pierre. Il courrait sur les murs du lierre et l’aspect était un peu froid, pour ne pas dire sinistre.
-    Elle est à toi ?-    Non, à un ami, mais il me la prête de temps en temps.
La porte d’entrée donnait sur un petit vestibule, à l’intérieur, deux grandes portes se présentaient, l’une sur notre droite, l’autre sur notre gauche. Face à nous, il y avait un grand escalier. Le tout était un peu poussiéreux, l’impression était pesante et même angoissante. Nous nous serions cru dans le décor d’un film d’horreur.
-    Un peu lugubre…-    Ne t’inquiète pas, je suis là.
Il s’approcha de moi et m’enlaça dans ses bras. Ses lèvres s’approchèrent des miennes et il m’embrassa.
-    Allons déposer nos bagages dans notre chambre.
Dit-il ensuite.  A l’étage, il y avait 5 grandes portes, il avança jusqu’à la dernière et ouvrait les immenses battants. A l’intérieur, on pouvait y découvrir un plancher en chêne habillés de grands tapis qui bordaient un lit à baldaquin. Un guéridon, deux voltaires, une commode et une grande armoire du même style. Sur le lit, trois robes y étaient déposées.La première, une robe moulante noire. Elle est sans manches avec un décolleté plongeant. Un dos nu très sensuel et pour ajouter une pointe sexy à ce modèle, il est fendu jusqu’au-dessus du genou. A côté de cette robe, une jolie paire de chaussure à talon aiguilleLa seconde est une robe évasée avec un contraste de coloris noir et blanc et une finition dans le dos en forme de corset. Une paire de bottine à talon haut assortie à cette tenue était mise en évidence au pied du lit.Et enfin une magnifique robe courte noire imprimée.
-    Elles sont pour toi… et la lingerie est dans la commode.-    Merci, elles sont magnifiques.-    Je n’y suis pour rien, je n’ai fait que donner tes mensurations.-    Ah ? Et qui me les offres ?-    Le propriétaire de ce lieu.-    Et pourquoi, me fait-il ces cadeaux ?
Je commençais à m’inquiéter un peu.
-    Pour te faire plaisir.-    Seulement ?-    Tu le sauras le moment venu, ne t’inquiète pas.-    Et si c’était Loïc qui avait été le gagnant ?-    Il me faut t’avouer que le concours était un peu truqué, mais je ne voulais pas froisser notre complice.-    Mais…-    Ne t’inquiète pas, t’ai-je dit, lui aussi va avoir une très belle surprise.
Ce que j’ignorais c’est que Marc avait dit à Loïc qu’il allait recevoir un de ses amis et qu’il fallait qu’il lui offre le meilleur accueil. Marc lui a précisé que son ami lui ferait un compte rendu de son séjour et que s’il voulait qu’il soit positif, il fallait qu’il se rende disponible et obéissant. Il avait conclu en lui disant que si son ami était satisfait, il le récompenserait à son retour, mais sinon, il le punirait.Un sourire se dessina sur le visage de Loïc quand il vit le nom de Marc s’affichait sur l’écran de son portable pour lui indiquer qu’il lui avait envoyé un message.
-    Loïc, ne t’inquiète pas de mon absence, ni de celle de Chloé, elle est en de bonnes mains. Quant à toi, un ami passera ce soir pour me remplacer dans tous les sens du terme. Je veux que tu lui sois dévoué et que tu te comportes avec lui comme si c’était moi. Attention, je lui demanderai comment tu t’es comporté avec lui et tu sais combien je peux être « généreux » dans mes câlins quand tu es « gentil », mais aussi combien je peux être sévère quand tu n’es pas à la hauteur. Je lui laisse le soin de t’embrasser de ma part… ton maitre et amant.
Loïc n’avait pas trop de doute sur ce que lui demandait Marc, mais il ne savait pas trop comment il devait réagir. Certes, il s’était abandonné dans les bras de celui qui est maintenant son amant, il devait s’avouer qu’il y avait pris beaucoup de plaisir et qu’il était prêt à beaucoup de choses pour être serviable à son « maitre », mais ne lui demandait-il pas trop ?Même s’il  aimait embrasser Marc, même s’il aimait le savoir en lui,  sentir son sperme inonder son anus, il ne se considérait pas vraiment comme « homosexuel ». Il aimait les femmes et surtout la sienne. Alors pourrait-il s’offrir à un autre homme que Marc ?
-    Certainement pas !
Se dit-il à haute voix, comme pour mieux affirmer sa volonté.Sa journée passa trop vite à son goût. Il avait peur de ce qui l’attendait à son retour, mais il devait rentrer chez lui… et recevoir poliment l’ami de Marc. il avait pris la décision de lui expliquer qu’il n’était pas celui qu’il pensait, qu’il n’aimait pas les hommes et que seul Marc avait eu droit et aurait droit à pénétrer son intimité.Il était décidé, mais que dira cet ami ? Et surtout comment Marc le prendra-t-il ?Il était maintenant dans le jardin et se dirigeait vers sa maison.
-    Eh l’ami !
Loïc se retourna et vit sur le pas de la porte-fenêtre un gros et grand barbu qui lui faisait signe de venir.
-    Merde, il est déjà là !
Il fit demi-tour et se dirigea vers l’homme.
-    Marc m’avait dit que tu étais un petit freluquet chétif mais mignon, il ne s’est pas trompé.
L’homme avait une carrure de joueur de rugby qui aurait avalé une barrique de bière, non seulement le contenu, mais le baril avec.Gros, grand, costaud, barbu et vieux. Il devait avoir bien plus de 70 ans.
-    Bonjour Monsieur.
Dit timidement Loïc en prenant la main que son interlocuteur tendait.
-    Hector, l’ami, Hector celui qu’y jamais tort.
Dit-il-en éructant un rire gargantuesque.
-    Allez, rentre, qu’on fasse connaissance.
Il proposa le canapé à Loïc et sans lui demander ce qu’il voulait boire, lui servit une bière.
-    Alors comme ça t’es la petite dernière de Marc ?-    Euh, pas tout à fait…-    Quoi, il m’a menti, il ne te baise pas ?-    Euh, c’est pas si simple…-    Il te baise ou il te baise pas ?-    Eh bien…-    Merde, c’est oui ou c’est non ?
Devant le ton d’Hector, Loïc prit peur.
-    Oui, oui il ne vous a pas menti !-    Il m’a dit que t’était une bonne petite chienne…-    Euh…-    Son vide couille,
Loïc ne savait plus quoi dire.
-    Va nous chercher une autre bière, j’les ai mises dans le frigo de la cuisine.
Loïc ne chercha pas à se rebeller il se leva et se dirigea vers la cuisine.
-    C’est vrai qu’t’as un joli cul.
Loïc regretta d’avoir choisi ce « slim » qui lui moulait les fesses. Un cadeau de Chloé qui aimait beaucoup ses petites fesses. Loïc ouvrit la porte du frigo, prit deux bières et resta immobile quelques instants.
-    Merde, comment je vais faire ?
Il avait prévu d’envoyer paitre le coquin, mais maintenant qu’il devait mettre sa décision à exécution, il perdit son courage.Il ne le voulait pas, mais il savait qu’il n’aurait pas la force et pas uniquement physique, de résister à cet « amant imposé ».
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