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Corps d'ange, Cœur de démon

Chapitre 1

Inceste
Corps d’ange, Cœur de démon
Au moment des faits, je n’étais qu’un jeune homme d’une vingtaine d’année. Venant tout juste de finir mes études, je commençais ma longue et laborieuse recherche d’emploi. Par conséquent je passais la plus grande partie de mon temps chez mes parents à répondre aux diverses offres. Mais histoire de garder la forme, j’effectuais plusieurs heures de sport dans la semaine que ce soit du jogging, de la randonnée ou du tennis que je pratiquais le plus souvent avec ma sœur.
Ma sœur, de deux ans mon ainé, est probablement une des plus belles femmes que j’ai eu l’occasion de rencontrer au cours de mon existence. Brune, 1m65 pour une cinquantaine de kilos, elle possède de telles formes que toutes les femmes les envient. Avec son visage angélique, son seul sourire est capable de raviver une journée entière. N’étant pas très prude de nature il m’est arrivé plus d’une fois de l’apercevoir en petite tenue ou plus dénudé lorsque malencontreusement la porte de la salle de bain n’était pas verrouillé. Vous l’avez compris, je me délectais de ces petits moments et de nombreuses fois il m’arrivait d’y repenser plus tard dans la journée.
Tout commença lorsque ma sœur quitta son premier emploi du à un patron plus radin et exigeant que ce que je pourrais décrire. Dès lors nous étions deux à moisir à la maison et tout comme moi, elle déteste lambiner c’est pourquoi il nous a fallu très peu de temps pour nous décider à partir faire un jogging. A ce moment-là de l’année, les températures atteignaient facilement les 30 degrés au soleil du coup nous sommes tous deux partis relativement dénudé, moi torse nu tandis que ma sœur préféra un minishort (très moulant) et un débardeur pour lequel elle remonta le bas. C’est avec joie que je vis sa tenue et pendant toute la course, je ne me fis pas prier pour apprécier son corps se mouvoir au rythme de nos pas.
Au prix d’un certain effort, nous sommes arrivés à une sorte de fête foraine présente dans un autre village. L’un des stands ressemblait fortement à une tente de voyante, ma sœur croyant dure comme fer à toutes les choses se rapprochant au mysticisme voulu arrêter notre course pour y faire un tour. En considérant que je commençais vraiment à fatiguer j’accepta avec joie cet arrêt. Il s’est avéré que c’était bel et bien stand de voyance mais un peu particulier, en effet il fallait être deux, l’un (ma sœur) écoutait les dires de la voyante l’autre (moi) était le sujet de cet art. Je suis par conséquent sortie de ce chapiteau sans connaitre un mot des propos de la diseuse de bonne aventure, j’ai en revanche remarqué que ma frangine était pour le moins perturbé et ne voulait pas en parler. C’est d’un commun accord que nous avons pris le chemin le plus court pour rentrer se reposer et prendre une douche.
Arrivé à la maison le chien de mon oncle (que l’on gardait une semaine) me sauta dessus. Je passai deux trois minutes à jouer avec lui avant de partir en direction de ma chambre, où j’y récupérai des habits propres pour aller prendre ma douche. Par négligence ou par habitude d’être seul à la maison l’idée que ma sœur puisse y être ne m’a même pas traversé l’esprit. Je rentrai donc pour apercevoir ma sœur nue en face de moi. Après un bref étonnement et avant même que je puisse m’excuser ou me retirer, ma frangine passa d’une attitude calme à déchaînée, je me retirai prestement au moment où elle commençait à me hurler dessus.
J’étais très étonné de cette réaction jamais auparavant cette situation l’avait mis dans cette état, cela avait plus tendance à l’amuser. J’ai très rapidement fait le lien entre cette histoire et la voyante, je voulais absolument savoir ce qu’elle avait pu lui raconter pour avoir un tel changement d’attitude. Vu que ma frangine refusait tout dialogue à ce sujet, il ne me restait qu’un seul moyen d’obtenir cette confidence : sa meilleure amie (Camille). Elles se racontaient toujours tout et par chance elles étaient actuellement à l’opposé de la France l’une de l’autre. Il me suffisait donc de lire leur conversation SMS.
Chance ou destin je n’en sais rien mais ma sœur décida qu’elle devait courir tous les matins, elle laissait toujours son portable dans sa chambre lorsqu’elle partait bruler des calories. Dès le lendemain, allongé dans mon lit, j’attendais patiemment que la porte d’entrée s’ouvre et se referme sur ma sœur. Une fois que ce fut le cas, je me suis précipité dans sa chambre pour chercher son portable et trouver la réponse à ce changement d’humeur. Lorsque je trouvais le Saint Graal, il pouvait se résumer à : « Un incident entre vous deux changera irrémédiablement votre relation en un lien indéfectible ou en mépris ». La suite de la conversation tournait principalement sur le fait que me frangine ne voulait pas que l’on se haïsse et que Camille tentait de la persuader du côté aléatoire du mysticisme.
J’étais très absorbé par la lecture de leur conversation, j’en suis même venu à remonter plus loin que le sujet de la voyante. Où je remarque plusieurs fois l’apparition (d’un côté comme de l’autre) de mon nom lors de leur échange. J’étais si accaparé par la lecture que je ne pressentis pas le retour du propriétaire de la chambre. Celle-ci sauta sur moi pour essayer d’attraper son téléphone, moi digne de n’importe quel frère j’essayais au maximum d’éloigner le portable d’elle. S’en suivie un long jeu entre frère et sœur où il m’arrive plus d’une fois d’effleurer sa sublime poitrine. A cause de toutes ces caresses, je commençai inconsciemment à avoir une érection. Arriva un moment où nous nous trouvions sur son lit, moi allongé tandis qu’elle était debout. Ce fut à ce moment-là qu’elle remarqua mon érection. C’est avec un regard pervers qu’elle posa son pied sur mon pénis et me dit :
-Alors frérot tu bandes sur ta sœur, t’as pas honte ?
Voyant que je ne répondais pas, elle augmenta la pression de son pied sur ma verge. Je découvris à mon plus grand étonnement que ma sœur n’est peut-être pas la femme que son corps angélique amène à penser. Cette situation de même que cette pensée m’excitaient d’un degré que je n’avais jamais atteint.
-Répond moi, fit-elle.-Tu es la femme la plus belle que je n’ai jamais vue, ne pas bander dans cette situation serait une insulte à ton image.-Je suis t’as sœur tu penses vraiment que je me contenterais de si peu ? Et si je disais au parent que je t’ai surpris dans mon lit en train de te masturber ?
-Mais…-Qui crois-tu qu’ils croiraient ?
« Sans aucun doute elle » fut ma pensée. Elle n’a jamais amené à penser qu’elle pouvait mentir et avec cet air presque pur qu’elle a habituellement, je ne peux pas les en blâmer. Bref il valait mieux qu’elle ne dise rien et à n’importe quel prix.
-Je ferais tes tâches ménagères : vaisselle, lessive et nettoyage on ira courir lorsque tu le désir. Please ne leur dit rien.-C’est un bon début mais c’est encore loin d’être parfait.
Devant mon air incrédule, elle sourira perversement. Relâchant légèrement la pression de son pied, elle se mit à le mouvoir de façon à ce qu’il me branle.
-Lorsque nous serons que deux à la maison je veux que ton corps m’appartienne entièrement. Et tu vas commencer par te mettre nu.
Subjugué par la tournure des évènements et désirant ardemment prolonger cet épisode je me déshabillai précipitamment. Pendant ce temps ma sœur s’assit sur sa chaise et eu l’air d’apprécier l’état dans lequel je me trouvais. Elle reprit très vite les caresses sur ma verge, à cause de l’excitation si intense du moment je ne tardai pas à jouir. Une partie de ma semence alla se poser sur la jambe de ma frangine qu’elle récupéra avec son index pour l’amener à sa bouche.
-Maintenant que tu as joui, me dit-elle, à moi de prendre du plaisir.
D’un seul mouvement, elle se leva et enleva son short ainsi que sa culotte. Avec le même sourire pervers qu’auparavant elle se mit à genou au-dessus de moi et colla sa vulve sur ma bouche. Etant bon au cunni et ne voulant surtout pas que ce moment s’arrête, je m’activai directement à chercher ce qui lui plaisait le plus. Des baisés sur le clitoris au mordillement de la vulve en passant par des caresses avec la langue. Tout ce que mon esprit pouvait imaginer et tout ce à quoi son corps répondait on fait de cet instant une explosion de sensation. Mes mains quant à elle loin de rester inactif se délectaient des superbes formes de ma sœur et aidaient de temps à autre pimenter une hausse de plaisir. Plusieurs minutes d’effort vinrent à bout de la résistance de ma partenaire mais une fois l’orgasme atteint il fut si monstrueux qu’elle s’écroula à mes côté. Par mesure de précaution je tournai la tête en direction du réveil.
-Merde, c’est midi. Les parents vont pas tarder
En effet, mon père (suivi de peu par ma mère) rentra à la maison quelques minutes après cet avertissement. Ma sœur, malgré cet événement, se comporta si naturellement qu’il aurait très bien pu ne rien se passer. Moi en revanche, je ne décrochais pas un mot du repas de peur de nous compromettre. A la fin du repas, ma frangine pris la parole.
-Alors frérot tu as oublié la vaisselle ?
« Zut » pensais-je. Avec cette histoire j’avais totalement oublié ma promesse, pas elle apparemment… Ma mère regarda d’un œil circonspect son enfant mais avant même qu’elle prenne la parole, sa fille la devança:-On a fait un pari, celui qui tenait le plus longtemps à la course donnait ses tâches ménagères à l’autre.
J’étais estomaqué du mensonge, en plus d’avoir un côté perverse je découvris qu’elle mentait à la perfection. Depuis quand maîtrise-t-elle si bien cet art ? L’idée même qu’elle puisse mentir si aisément dépassait mon entendement. Mais bon ce qui est dit est dit, je m’attelai donc à la vaisselle. Je n’avais toujours pas terminé ma tâche lorsque mes parents repartir au travail.Furtivement ma frangine vint se coller à moi, son souffle chaud sur ma nuque ainsi que la pression de ses seins sur mon dos m’ont provoqué une érection digne de ce matin. Délicatement, une de ses mains descendit de mon torse jusqu’à mon caleçon et c’est avec douceur qu’elle attrapa ma verge pour commencer de lent et agréable mouvement. Après quelque moment de plaisir, je bloquais sa main entre deux mouvements, fis volte-face et regarda ma partenaire de luxure droit dans les yeux. J’y vis un mixte de plaisir et de perversité. Exalté par cet échange silencieux, j’embrassai fougueusement ses douces lèvres. Ce simple baisé, tel un combat entre deux armées, fut un torrent de sensation nouvelle pour moi. Jamais auparavant un baisé ne m’avait transporté si loin de la réalité. Entre caresses, embrassades et dénudement nous nous sommes dirigés en direction de ma chambre.
Lorsque nous y sommes arrivés, nous étions tous deux en sous-vêtement. Ma sœur profita d’un moment d’inattention pour me pousser sur mon lit d’où je pouvais l’admirer. Son sourire pervers revenue, je découvris un regard avide de luxure qui lui allait parfaitement. Je descendis ensuite mes yeux pour contempler son corps aux formes parfaites embellit par ses sous-vêtements blancs.
Gracieusement elle se plaça à califourchon sur moi et colla ses lèvres sur les miennes dans l’attention de reprendre le baisé qui nous avait tant fait chavirer. Avec assurance, mes mains se délectaient du merveilleux corps de ma partenaire. Peu de temps après, elle se redressa pour enlever son soutien-gorge. Surprenant la fixation de mes yeux sur sa poitrine, elle se déplaça de manière à ce que je puisse me redresser pour en profiter. D’une main je caressai son dos, de l’autre ses seins. Loin de rester inactif, ma bouche se plaisait à titiller ses tétons. Sentant qu’elle appréciait ce moment j’abandonnai son dos pour venir effleurer son vagin imbibé de cyprine.
Reprenant ses propres mots je lui dis :— Alors sœurette tu mouilles pour ton frère, t’as pas honte ?
M’ayant totalement ignoré, j’ai écartant sa culotte et j’ai transformé mes attouchements en une pénétration. Mes deux doigts n’eurent aucun mal à s’introduire dans sa grotte en raison de tout son foutre. Commençant de rapide va et vient, j’attendis que l’excitation soit telle qu’elle ne puisse plus retenir ses gémissement et je poursuivis mon jeu :
-Répond moi, lui dis-je.-Non, non je n’ai pas honte. Oui frérot ! Encore, continue, mmmmh….
Et je fis ce qu’elle me dit, j’ai persisté jusqu’à transformer ses gémissements en un formidable orgasme. Épuisée par sa jouissance, elle se laissa retomber sur moi, une position qui dura plusieurs minutes. Sans se redresser, elle me chuchota à l’oreille :-Si on continue rien ne pourra l’effacer. Notre relation changera irrémédiablement, nous dépasserons la morale et les lois.
« Doutait-elle, pensais-je, voulait-elle se rassurer ou éclaircir la situation». Je ne l’ai jamais su et je n’ai jamais réellement voulu le savoir car il m’a fallu d’une phrase pour se débarrasser de toute morale :-Je t’aime et je n’ai jamais voulu passer des moments semblables avec une autre que toi.
A la fin de ma phrase, elle se redressa puis enleva ce qu’il nous restait de vêtements. D’une main experte, elle attrapa ma verge et commença de rapide va et viens mais impatiente elle ne tarda pas à la mettre en bouche. Voir ma sœur, avec son visage angélique, introduire mon pénis entre ses lèvres et s’adonner à cet acte sexuelle en on fit un moment inoubliable. Sa langue pouvait tout aussi bien lécher et s’enrouler autour de mon phallus que titiller mon gland, ses mains quant à elles permutaient entre caresses, jonglage avec mes testicules ou branlette. Elle gérait parfaitement la cadence de la pipe, chaque mouvement chaque action ne contribuait qu’à amplifier mon plaisir. Sa fellation était si bien réaliser que malgré tous mes efforts pour la faire durer, il arriva un moment où sans la prévenir je jouis dans sa bouche. En dépit de son étonnement et de quelques pertes elle accueillit mon sperme avec délectation. Sans me laisser de répit, elle se réinstalla en califourchon sur moi et colla ma verge à l’entrée de sa grotte. Avec ce regard pervers, qu’à présent je connais si bien, elle s’empala entièrement sur moi et gémit de plaisir. Elle resta comme ça quelques instants le temps de s’habituer à m’avoir en elle. Puis, ses mains sur mon torse, elle débuta de lents haut-bas qu’elle accéléra au fur et à mesure que le plaisir montait. Agrémenter de ses cris de plaisir, j’aidais ses mouvements grâce à mes deux mains présentes sur ses fesses. Sans s’arrêter, ma sœur s’allongea sur moi et elle se mit à embrasser et à lécher chaque partie de mon torse. Ses baisers loin d’être inutile ajoutaient un délicieux parfum à cette position. Lorsqu’elle sentie notre plaisir atteindre le paroxysme, elle se redressa et se mit à mouvoir son bassin à un rythme effréné. Nous hurlâmes tous deux plaisir et elle s’écroula une seconde fois sur moi, haletante, ma verge toujours en elle.

Note auteur :Voili voilou. J’espère que cette histoire vous aura plus si c’est le cas j’en ferais certainement une suite j’ai encore deux trois idées derrières la tête mais vu la longueur de l’histoire j’ai préféré m’arrêter là.C’est ma première histoire sur le site donc n’hésitez pas à critiquer
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