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Le correspondant allemand

Chapitre 1

Gay
Lucas vient d’avoir 17 ans. Il est en classe de 1ère. C’est un beau jeune homme, grand, large d’épaules, sportif, finement musclé ; ses cheveux châtain clair sont savamment sculptés, au-dessus d’un visage d’ange. Ses yeux verts et son sourire quasi-permanent lui donnent un je-ne-sais-quoi très attirant. D’ailleurs, de nombreuses filles de sa classe sont amoureuses de lui. Mais elles ne l’intéressent pas : lui, il préfère les garçons. Mais même au début des années 2010, cette préférence n’est pas facile à vivre dans son lycée : il a peur des moqueries, même s’il n’est pas efféminé. Légèrement timide, il n’ose pas se révéler aux mecs qui le font craquer. Son expérience est donc encore assez limitée : quelques branlettes mutuelles, quelques pipes données et reçues. Une fois, il a eu un copain régulier, mais cela n’a pas duré. Il lui tarde d’avoir son bac, de quitter son lycée et de faire ses études dans une grande ville, où la vie gay lui semble plus facile.
En attendant, il se prépare à partir une semaine en Allemagne dans le cadre d’un échange scolaire, et ça ne l’enchante pas du tout : il faudra être en permanence avec les autres, avec les professeurs, et vivre dans la famille de son correspondant, lui qui ne parle pas très bien allemand – ce n’est pas, et de loi, sa discipline préférée !
Lucas sait que son correspondant s’appelle Markus, qu’il a 17 ans lui aussi. Il a reçu quelques photos par e-mail, échangé quelques informations banales sur facebook sur leurs goûts en matière de musique, de jeux vidéo. Ce Markus est sans doute un mec sympa, mais il va falloir encore jouer les hétéros pour ne pas avoir à subir une semaine galère.
Après une longue nuit dans le car, Lucas fait la connaissance de Markus : il est mieux que sur les photos, grand, mince, des cheveux blonds bouclés, des yeux d’un bleu intense ; il porte un tee-shirt moulant qui laisse deviner de fins pectoraux et des abdominaux bien dessinés. Ce gars est plutôt beau gosse, pense Lucas. L’après-midi est consacrée à l’installation dans la famille d’accueil, au repos bien mérité après une nuit blanche dans le car et aux premières conversations, difficiles à cause du faible niveau d’allemand de Lucas, mais en mélangeant français, allemand et anglais, les deux garçons y arrivent.
Le lendemain matin est consacré aux cours, tout en allemand, un calvaire pour Lucas. L’après-midi, les deux garçons vont faire du jogging autour du lac près de la maison de Markus, la conversation se fait plus facile, la confiance s’installe entre les deux adolescents. Après le repas du soir, ils sont tous les deux dans la chambre de Markus, ils échangent sur leurs passions, ils se ont rapprochés pour mieux voir l’écran de l’ordinateur portable sur lequel passent leurs clips et vidéos préférés. Inévitablement, leurs jambes se frôlent, et ni l’un ni l’autre ne fait rien pour s’écarter.
La conversation devient plus intime ; c’est Markus qui lance les hostilités, en demandant à Lucas s’il a une « girlfriend » ; Lucas bredouille que non. Un « boyfriend » alors ? Lucas sent le rouge envahir ses joues, son trouble est en train de le trahir… Avant même qu’il ait pu répondre, Markus a déjà posé ses lèvres sur celles de son correspondant, furtivement. Lucas n’a pas reculé, Markus recommence, le baiser est plus long. Puis une troisième fois, et leurs langues se rencontrent, tournent l’une autour de l’autre. Lucas se sent défaillir de bonheur ; sa queue a tellement grossi que son boxer peut à peine la contenir. Ses mains se placent sur la nuque de Markus, descendent le long du dos, passent sous le tee-shirt. Les mains de Markus suivent sensiblement le même chemin. Les tee-shirts sont rapidement enlevés ; les deux torses se touchent, les deux jeunes gens en frissonnent de plaisir. Markus abandonne la bouche de Lucas pour embrasser toute cette peau, il s’attarde sur les tétons ; Lucas gémit sous cette caresse, ses tétons ont durci. Puis Markus reprend sa descente, il défait les boutons du jeans, qui se retrouve bientôt à terre. Avec sa langue, il lèche la colonne de chair de Lucas à travers le tissu du boxer, et glisse un doigt pour caresser les couilles du jeune Français.
Celui-ci, n’y tenant plus, inverse les rôles, et c’est Markus qui se retrouve en boxer ; ils rient en découvrant qu’ils ont presque le même, et que les deux semblent trop petits pour contenir leur sexe respectif. C’est Lucas qui finit de déshabiller son correspondant : que cette queue est belle, plus longue que la sienne, mais moins large, Markus a taillé ses poils blonds, ses couilles sont imberbes, une odeur enivrante se dégage de son entre-jambes, Lucas lèche ce sexe de bas en haut, il l’humidifie de sa salive, puis il pose ses lèvres sur le gland et goûte le plaisir de chaque centimètre supplémentaire enfourné. Sa langue tournoie autour de la tige, s’arrête à la base du gland, recommence, monte, descend. Markus respire de plus en plus fort, il guide Lucas, puis décide d’inverser les rôles – il ne veut pas jouir tout de suite…
C’est maintenant Markus qui suce la bite de Lucas, mais sa langue se hasarde vers les couilles du Français, elles aussi imberbes. Puis il le fait basculer et la langue poursuit son expédition vers la rosette de Lucas : — Wie süss ist dein Arschloch !Lucas découvre qu’il comprend l’allemand, mieux qu’il ne le pensait, et surtout il découvre des plaisirs insoupçonnés : la langue de Markus titille son anus, elle lèche, elle tourne, elle semble vouloir le pénétrer. Jamais Lucas n’avait ressenti de telles sensations, il se met à gémir de plus en plus fort, tout son corps ondule sous l’effet de cette langue, chacune des terminaisons nerveuses de son anus lui fait voir des étoiles. Son trou se desserre sous l’effet de cette caresse, Markus en profite pour insérer un doigt, puis deux, tout en masturbant son camarade. Il lance d’un regard interrogateur : « Ich will dich ficken. » Ça aussi, Lucas le comprend, il baisse les yeux en signe d’approbation.
Markus sort un préservatif de la table de nuit, il le déroule sur sa queue, l’enduit de gel, et présente son gland à l’entrée du trou encore vierge de Lucas. C’est chaud et serré, mais la préparation de Markus permet à son gland de se frayer un chemin dans la chair. Lucas pousse un petit cri, mais la douleur se transforme en plaisir ; Markus avance très lentement en Lucas. Bientôt, son pubis touche les fesses de son amant. Quelques petits mouvements pour que Lucas s’habitue, puis les va-et-vient commencent. Markus sait varier les rythmes. Il plante son regard dans celui de Lucas. De sa main droite, il commence à branler Lucas. Celui-ci ne sait plus où il est, son anus et sa queue envoient des messages de plaisir, sa bouche pousse des cris et des gémissements désordonnés. La chaleur envahit sa queue, il projette de longues giclées de sperme sur son torse et jusque sur sa bouche. Markus ne résiste pas à une telle vision, il sort de l’anus de Lucas, jette le préservatif et vient ajouter sa semence à celle du Français. Les deux garçons s’embrassent tendrement, épuisés, côte à côte.
La salle d’eau est commune à la chambre de Markus et à la chambre d’amis, occupée par Lucas : il est facile aux deux garçons d’aller à la douche en toute discrétion, et d’aller dormir ensuite dans le grand lit de Lucas. Ce dernier est heureux de vivre ainsi une nuit complète dans les bras de son amant – jusque là, ça ne lui était jamais arrivé. Les deux garçons sont blottis l’un contre l’autre, la queue en érection une bonne partie de la nuit. Leurs corps s’emboitent. Inutile de préciser qu’ils n’ont pas beaucoup dormi : cela n’a été qu’une succession de caresses, de petits bisous, de doigts passant sous les testicules, dans la raie des fesses. Pour les deux garçons, une nuit peuplée de rêves. Au petit matin, Markus dort, allongé sur le dos, Lucas vient se poser sur son ventre, queue contre queue ; le poids réveille Markus. Celui-ci sourit ; sous ses boucles blondes, ses yeux bleus mi-clos envoient des messages de félicité. Lucas s’entend dire : « Je t’aime ». Il sent contre son ventre la réponse de Markus, dont la queue vient de répandre du sperme. « Ich auch. » Cette fois, c’est Lucas qui éjacule. Leurs deux spermes se mélangent encore une fois. Lucas se retourne et commence à lécher le ventre de Markus, qui fait de même ; puis leurs langues s’échangent le goût de cette semence commune.
Quand les deux garçons descendent pour prendre le petit déjeuner, la mère de Markus sait qu’il s’est passé quelque chose. Hier encore, ils étaient réservés et timides l’un envers l’autre ; ce matin, ils rient, ils se chamaillent, ils se touchent fréquemment du bout de la main, ils ont un sourire radieux. Il y a quelques mois, Markus lui avait parlé de son attirance pour les garçons ; elle et son mari l’avaient accepté, mais Markus ne leur avait jamais parlé de ses éventuels petits copains. Ce matin, en voyant Lucas, elle sait… Elle ne dit rien, elle se contente d’un sourire appuyé envers le jeune Français, en guise d’assentiment. Elle est simplement heureuse que son fils soit amoureux.
[Cette histoire a déjà été publiée sur d’autres sites d’histoires érotiques gay, sous le même pseudo ou sous celui de Yayi.]
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