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Le correspondant allemand

Chapitre 2

Gay
La journée semble bien longue à Markus et Lucas, malgré l’excursion préparée par les professeurs français et allemands. Ils ont hâte de se retrouver dans leur chambre ce soir, pour explorer leurs corps et de nouveaux plaisirs. Markus qui avait pénétré Lucas la veille, s’est promis d’inverser les rôles : offrir à Lucas sa première pénétration anale comme actif et sa propre virginité comme passif. En rentrant à la maison, il a trouvé un prétexte pour se rendre à la salle d’eau et nettoyer sa rosette avec du gel douche. Le soir, dans la chambre, ce sont d’abord de longues embrassades, les mains courent sur les corps, soulèvent les tee-shirts, les langues s’aventurent sur chaque centimètre carré de peau, s’immiscent dans les coins les plus intimes. Très vite, Lucas gobe la queue de Markus, ses lèvres glissent le long de cette colonne fièrement dressée. Markus n’y tient plus, il fait signe à Lucas qu’il va jouir, mais le Français poursuit ses va-et-vient ; Markus se cambre, sa bite frémit et se répand dans la bouche de Lucas, qui avale cette semence, avant d’en partager les dernières gouttes avec Markus.
C’est au tour de Markus de lécher la queue de son ami, il la fait coulisser le long de ses lèvres, il l’humidifie de sa salive ; la bite de Lucas est plus épaisse que jamais. Puis Markus stoppe sa fellation, se met à quatre pattes, se cambre pour soulever ses petites fesses rondes, et montre sa rosette à Lucas. Ce dernier, fasciné par cette peau rose et douce, légèrement plissée autour de l’anus, vient respirer ; timidement, il avance sa langue, il se souvient du plaisir ressenti la veille, il veut offrir les mêmes sensations électriques à Markus. Il fait tourner sa langue autour du trou, en rond : son amant respire déjà plus fortement, son corps ondule sous le coup de cette caresse. Puis il tente d’insérer la langue dans l’anus : progressivement, il semble se détendre et s’ouvrir ; Markus découvre des sensations nouvelles pour lui aussi, sa queue a repris toute sa vigueur. Les deux garçons sont fascinés par le caractère érogène de cette zone, qu’ils n’auraient pas imaginé.
Markus indique où sont les préservatifs et le gel. Le jeune Français insère délicatement un doigt dans l’anus de son ami, doucement et profondément, puis un deuxième. Il fait tourner ses doigts pour élargir l’anus de Markus ; enfin un troisième doigt, Markus se tord sous l’effet de cette caresse intime : mais maintenant, il veut autre chose que quelques doigts. Il prend un préservatif, en chapeaute la verge de Lucas et le fait glisser jusqu’à la base avec la bouche. Lucas l’enduit de gel ; Markus a repris sa position à quatre pattes. Lucas présente son gland devant la rosette encore étroite, il pousse doucement, il ne veut pas blesser son amant. Une première résistance et il voit son gland englouti par l’anus de Markus, qui respire très fort sous l’effet de la douleur. Il n’ose bouger ; c’est Markus qui commence à reculer doucement, à son rythme. Lucas est fasciné de voir sa queue disparaître dans les entrailles de Markus. C’est chaud, c’est serré, c’est doux, que c’est bon ! C’est ce que pense Markus, qui n’avait jamais connu cette sensation de plénitude : cette queue poussée à son maximum, le remplit physiquement et d’un bien-être qu’il ne saurait décrire.
Lucas commence à reculer doucement sa verge, puis à l’avancer ; le rythme s’accélère, il gémit ; puis il ralentit pour repousser la jouissance qu’il sent monter en lui. Markus ressent chaque coup de bite dans sa prostate, qui transmet des picotements dans sa queue. Il n’ose la toucher, il pressent qu’il pourrait éjaculer au moindre contact, et lui aussi veut retarder cet instant délicieux. Les deux jeunes respirent fort, gémissent, se lancent de petits mots doux, en allemand, en français – qu’importe, ce sont des mots d’amour ! Puis Lucas s’immobilise dans le cul de Markus, il est en train de remplir le préservatif de longs jets de sperme ; cela ne semble pas en finir, il a l’impression de ne jamais avoir autant éjaculé. Sous l’effet de la jouissance, tout son corps tremble, il peut à peine tenir debout. Il lui faut s’accrocher quelque part, et quelque part, c’est la bite tendue de Markus qu’il attrape comme par réflexe. Le contact de cette main sur sa verge fait jouir le jeune Allemand. Lucas recueille le sperme de Markus pour le porter à ses lèvres : décidément, il apprécie le goût sucré et un peu âcre du jus de son amant. Markus ne veut pas être en reste : lui aussi veut goûter la semence de Lucas : il retire délicatement le préservatif et en verse le contenu dans sa bouche.
Le reste de la semaine a permis aux garçons de mieux se connaître, dans tous les sens du terme. D’abord dans de longues discussions sur tous les sujets, sur tout et rien, tantôt en français, tantôt en allemand : ils ont fait d’énormes progrès – voilà un séjour linguistique qui aura porté ses fruits au-delà de toute espérance ! C’est d’ailleurs ainsi qu’ils ont compris que l’un et l’autre avaient vécu ensemble leur première pénétration, aussi bien comme actif que comme passif : désormais, ils pourront se passer de préservatif ! Ensuite, Lucas et Markus ont appris à connaître leur propre corps, les sources de plaisir qu’il peut receler : durant cette semaine, les garçons ont multiplié les expériences, les positions, les caresses sur toutes les zones du corps. D’une façon générale, les garçons ont mûri : Lucas, qui manquait d’assurance au lycée, se sent plus fort pour assumer son homosexualité vis-à-vis de ses camarades ; Markus, qui avait déjà fait son coming-out, peut désormais parler librement de Lucas. C’est ainsi qu’un matin, ils sont arrivés au départ d’une excursion organisée par les professeurs, en se tenant par la main !
Toute bonne chose a une fin : le séjour des Français en Allemagne ne dure qu’une semaine, et Lucas doit repartir demain soir. Deux semaines de séparation avant le séjour des Allemands en France. C’est l’heure des grands serments : Lucas et Markus jurent de se voir tous les jours sur internet ; c’est beau les webcams et le progrès ! Ils échafaudent des scénarios, où ils pourront se montrer nus, se caresser simultanément à des centaines de kilomètres de distance, essayer de jouir ensemble. Mais il leur faut aussi des photos de leur amour : ils entament une séance de photos, d’abord très sages, puis de plus en plus dénudées, tantôt seul, tantôt tous les deux, puis des photos de leur bite en érection. Finalement, Markus propose de filmer leurs ébats. Rapidement, ils installent leur caméra et leurs appareils photo (une prise automatique toutes les 30 secondes) de façon à bien voir le lit.
Ils commencent par des baisers, encore plus langoureux qu’à l’accoutumée ; les jeux de langue n’en finissent plus, en gros plan devant les objectifs. Les mains s’insinuent à l’intérieur des jeans, sous les boxers. Les deux garçons sont rapidement nus, sous des mains de plus en plus habiles dans l’art de l’effeuillage. Les langues titillent les tétons, le nombril, les testicules, le périnée, toujours sous l’œil des caméras. Chacun des deux garçons s’efforce de réussir sa fellation devant l’objectif : aucun millimètre de bite n’échappe à la bouche de nos deux affamés. Même chose pour le léchage de rosette. Enfin, vient l’heure de la pénétration : l’entrée de la verge de Lucas dans l’anus de Markus se fait plus facile, une semaine d’assouplissement, ça compte ! Ils ont eu aussi le temps d’expérimenter différentes positions, et veulent que leur vidéo soit variée de ce côté-là. Lucas essaie d’être le plus endurant possible, mais le trou de Markus est si confortable, si serré, et ses gémissements sont si excitants, qu’il ne tarde pas à sentir la jouissance monter dans sa queue. Il se retire, Markus approche son visage, tripote doucement la verge et reçoit de longs jets de semence sur le visage, dans sa bouche ouverte, toujours près de l’objectif de l’appareil photo. Puis les rôles sont inversés, et c’est le visage de Lucas qui est aspergé de sperme. Les photos et la vidéo sont stockées sur deux clés USB, une pour chacun des amants.
L’après-midi qui précède le départ, les deux jeunes gens ont du temps libre pour les derniers préparatifs. Markus connaît un magasin où l’on vend des bagues en argent ; à 17 ans, l’âge des premières amours, on reste attaché à ce type de symboles, qui valent serment, surtout lorsqu’on s’apprête à vivre loin l’un de l’autre. Les deux garçons choisissent un anneau assez large aux motifs de frise grecque. Arrivés à la maison, les deux garçons s’embrassent, chacun a min un anneau dans le creux de sa main ; de l’autre main, ils commencent à se masturber, pour « baptiser » l’anneau de leur sperme. Puis, chacun porte la main, coupelle portant la « Sainte Crème », vers la bouche de son amant, afin qu’il en boive le contenu et nettoie l’anneau, qu’il pourra ensuite porter à son doigt. Ce cérémonial est censé sceller leur amour juvénile.
[Comme le premier épisode, ce texte a déjà été publié sur d’autres sites, avec le même pseudo ou celui de Yayi.]
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