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Corvée de linge avec Maéva

Chapitre 1

Hétéro
Depuis 6 heures ce matin je ramassais les draps et les empilais dans le chariot à linge ; j’aime bien faire cette corvée parce que c’est avec Michèle l’aide soignante du service. Elle est cool Michèle, elle pourrait surement être ma mère, mais elle me prend pas pour un gamin, elle me fait même un peu de l’œil. Ça doit l’exciter qu’un petit jeune s’intéresse à elle ; moi en tout cas ça m’excite, m’imaginer lui faire l’amour, caresser ses seins, son corps, rien que d’y penser... faut dire à mon âge y’a pas besoin de grand-chose pour s’exciter, l’autre jour j’ai lu qu’à 20 ans un mec ça bandait toutes les 5 minutes. Sur le coup ça m’a paru beaucoup, et puis finalement non, depuis ce matin il y a eu les jambes de l’infirmière chef que j’ai croisé en arrivant, la bise avec Michèle quand elle est arrivée, le décolleté de Claire sa collègue du deuxième, les fesses de Martine quand elle s’est baissée pour ramasser les papiers qu’elle avait fait tomber... oui toutes les 5 minutes en moyenne, je doit pas être loin de ça.
Enfin Michèle elle a un truc en plus quand même, c’est pas que ce soit un super canon, mais elle est plutôt bien foutue, assez mince avec des rondeurs ou il faut pour tendre sa blouse, blonde les cheveux courts, les yeux bleus et ce que j’aime le plus c’est son regard qui pétille quand elle me regarde. Je sais pas si ça fait ça tout le temps, mais quand elle me regarde j’ai vraiment l’impression de voir de l’excitation dans ces yeux, j’imagine sa respiration qui s’accélère, son cœur qui bat plus vite, ses seins... et voilà, il en faut pas plus pour m’exciter à nouveau. Donc la corvée de drap ce matin c’était chouette, on a changé tous les lits sur les trois étages du service de rééducation fonctionnelle de l’hôpital Ambroise Paré. Il y a bien une soixantaine de lit, avec Michèle on enlevait les draps, on les pliait et Martine et Joël refaisaient les lits derrière nous. On a rigolé souvent, c’est pas que mes blagues étaient très drôles, mais nos corps qui se frôlaient, nos mains qui se touchaient, nos regards qui se croisaient, tout ça créait une ambiance... électrique, alors ça devait être nerveux, ça nous faisait souvent rigoler, même si je disait une connerie.
Maintenant on a fini, Michèle va aller préparer les chariots à l’office pour servir les repas de midi, après on mangera tous ensemble et à 14h la journée sera terminée. Je vais descendre mes deux chariots de linge au sous sol pour que la lingerie vienne les récupérer ; il y a un petit train qui fait le tour des services et ramène tous les chariots en début d’après midi. Dans le monte charge je range mes deux chariots l’un derrière l’autre contre la paroi, il me reste un peu de place sur le coté pour appuyer sur le bouton -1 et descendre moi aussi les quatre étages. Au second l’ascenseur s’immobilise et la porte s’ouvre sur Maéva qui me regarde un sourire jusqu’aux oreilles. « Comment y va mon p’tit blanc aujourd’hui ? »
Maéva, c’est l’infirmière du deuxième, une black ou une fille des iles je sais pas trop, en tout cas elle est bien black. Elle parle fort tout le temps, et elle me met la honte chaque fois que le la croise en me parlant comme à un gosse. Elle est plutôt costaud comme nana, j’y connais rien en tailles mais elle doit s’habiller en XL ; rien que pour loger sa paire de miche il faut du large. Quand elle rentre dans le monte charge, je me met à rougir comme un idiot, et évidement ça ne lui échappe pas. Sitôt la porte refermée dans le petit espace exigu qui n’est pas occupé par les chariot à linge elle se rapproche de moi et me regarde comme le chat qui mate la souris. Elle a des petites tresses sur la tête avec de boucles de couleur à chaque bout, un rouge à lèvre rouge foncé qui tranche avec sa peau noire, avec ses grosses lèvre ça lui fait une bouche d’enfer. J’avais jamais remarqué avant parce qu’en général je l’évite, mais elle a vraiment une bouche de suçeuse. Et voilà que direct elle me met la main entre les cuisses, pour tâter ma virilité, je sursaute, fait un bond en arrière et me retrouve coincé au fond de la cabine. — Faut pas avoir peur mon p’tit blanc, tata Maéva elle va pas te manger. Oulala, mais il est tout rouge, qu’est ce qui t’arrive, t’aime pas que tata Maéva elle te tâte les couilles ?
Moi comme un idiot je bredouillais une réponse inintelligible. Heureusement on arrivait déjà au sous sol, la porte allait s’ouvrir et j’allais pouvoir respirer.— Avec ces gros chariots de linge tu vas pas y arriver, je vais t’aider. Dit-elle en empoignant le premier chariot et en le tirant à l’extérieur. Je sors avec le second et lui indique le chemin vers la porte extérieure ou la lingerie vient récupérer les chariots, Maéva me suit, moi poussant mon chariot, elle tirant le sien et nous remontons le long couloir sous la lumière blafarde des néons.— Il a un joli p’tit cul mon p’tit blanc. Et voilà qu’elle m’attrape par la ceinture et me tire vers la porte du vestiaire des hommes. Elle ouvre la porte et on se retrouve tous les deux à l’intérieur, d’abord dans l’obscurité puis après quelques grésillement éclairés par le néon du plafond. Le vestiaire est sommaire, une dizaines de casiers métalliques, deux chaises, un vieux canapé avachi et une table basse. Sur les murs, du sol au plafond, des images pornos découpées dans des magazines, il y a de tout, des filles genre top modèle en maillot, des playmates seins nus, d’autres les cuisses largement ouvertes sur leur intimités, des blondes, des brunes, des rousses, seules ou en train de se faire besogner par des hommes tous plus musclés les uns que les autres.
— Ben dis donc, on s’ennuie pas chez les garçons à ce que je vois ! ça t’excite tout ça ? y’a quand même mieux que le papier glacé, regarde. Et la voilà qui fait sauter les deux premiers boutons de sa blouse et me montre ses gros seins emprisonnés dans un soutien gorge rose bonbon. — Tu as vu comme ils sont gros ? en plus ça m’a toute excitée ces photos moi, écoute mon cœur comme il bat. Elle me met le stéthoscope qui entourait son cou sur les oreilles, attrape ma main pour y glisser l’écouteur et plaque celle-ci sur son sein gauche.
— Tu entends ? J’entendais rien, mais par contre je sentais bien sous ma main, la chair élastique de ce sein chaud qui frémissait et pour le coup la réaction entre mes jambes fut immédiate, je me mis à bander comme un âne, à en faire péter mon slip, d’un autre coté j’étais paralysé, je ne savais pas quoi faire pour reprendre le contrôle, tout ça allait trop vite pour moi l’excitation à son comble mêlée à la crainte du geste déplacé qui la ferait fuir, je ne savais quoi faire mais n’ai pas eu à réfléchir longtemps, déjà Maéva glissait sa main dans mon pantalon et tombait sur ma queue en rut.— Dis donc, t’es bien monté pour un p’tit blanc mon mignon, fait voir ça à tata Maéva. Elle s’agenouilla devant moi baissa mon pantalon et mon slip sur mes chevilles et ma bite contempla ma bite dressée en son honneur.
Je ne savais plus ou me mettre, hypnotisé par cette femme à genoux devant moi, une main sur ma queue à quelques centimètres de sa bouche qui s’approchait. Les grosses lèvres de Maéva se posèrent alors sur mon sexe et je cru défaillir, quand elle passa sa langue sur mon gland, qu’elle remonta jusqu’à mes couilles en me léchant et qu’elle m’engloutit finalement tout entier je n’ai pas pu me retenir de jouir et ma semence a inondé sa bouche. Effrayé, j’ai cru que cela allait lui déplaire et qu’elle allait me laisser en plan, voire me cracher au visage ce foutre que j’avais trop top déversé mais pas du tout, elle se lécha les lèvres et se releva pour m’embrasser à pleine langue et j’ai pu moi aussi sentir l’odeur de mon sperme qui parfumait encore sa salive. Nos langues emmêlées dans un baiser fougueux ont eu sur moi un effet rassurant et c’est à ce moment que je me suis vraiment lâché. J’ai attrapé les deux pans de sa blouse et les ai écartés violemment, les boutons qui restaient on sautés et Maéva s’est retrouvé en sous vêtement devant moi, à travers le soutien gorge j’ai attrapé les deux seins que j’ai pressés l’un contre l’autre avant de les embrasser tour à tour, j’avais encore ma tête entre les deux énormes globes mais déjà une main dans sa culotte ou je sentis vraiment à quel point elle était excitée. Dire qu’elle mouillait n’était qu’une piètre représentation de la réalité, en fait elle était trempée, inondée, mes doigts pénétraient dans sa chatte visqueuse de mouille et je la sentais frémir sous mes caresses. Je ne sais pas comment, elle s’est retrouvée à quatre pattes sur le vieux canapé, la culotte baissée, les seins ballottant libérés de tout vêtement, le cul offert et ma queue qui n’avait pas débandée allait et venait dans sa chatte ouverte. A grand coup de boutoir je la pilonnais, mes mains pétrissaient ses hanches et ses fesses généreuses, je ne sais pas lequel de nous deux y mettait le plus de cœur mais nos deux corps se projetaient l’un vers l’autre en un mouvement saccadé jusqu’au paroxysme du plaisir. Je l’ai entendue hurler, j’ai joui une nouvelle fois en elle et nous nous sommes effondrés sur le sol, l’un à coté de l’autre nos corps perlant de sueur.
Je me réveille, par terre dans le vestiaire des hommes, nu, il fait froid. J’ai rêvé, non c’est impossible, Maéva, ses seins, son cul, cette pipe je n’ai pas pu rêver tout ça. Pourtant je suis seul comme un con dans le vestiaire, quelle heure est il, midi moins cinq, merde, les repas à servir, faut que je m’affole.
Je ramasse mes fringues qui jonchent le sol, sous ma blouse sur le carrelage, un petit bout de dentelle rose bonbon, elle est repartie sans sa culotte...
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