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Un coup de main amical

Chapitre 1

Erotique
Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, Antoine, alors je n’ai plus vingt-trois ans maintenant, j’en ai trois de plus et je vis amoureusement avec Claire. Une fille que j’ai rencontrée dans un fast-food de la ville.
Nous nous sommes plu assez rapidement, puis nous avons pris la décision d’emménager ensemble au bout de trois ans. J’oserai dire que nous sommes complémentaires. Et sincèrement, par rapport à ce que j’ai vécu dans le passé, je suis rassuré.
Nous vivons dans un petit pavillon, qui mériterait sans hésitation d’un coup de peinture histoire de rafraîchir les pièces, il y a aussi un petit jardin histoire afin de se reposer après le travail. Ma compagne est devenue responsable de son fast-food, et de mon côté, je travaille dans les métiers de la comptabilité. Concernant nos finances, nous sommes à l’abri.
Mais, il nous manque ce petit plus, ce petit truc qui ferait que notre vie serait encore plus joyeuse. Nous avons pris la décision de faire un enfant ensemble.
Après quelques mois de parties de jambes en l’air, Claire a eu les soucis traditionnels d’une femme enceinte. Après avoir fait le test pharmaceutique, et une prise de sang, le médecin de famille nous a annoncé la bonne nouvelle. Nous allons être parents.
Un autre souci apparaît, nous avons bien trois chambres dans la maison, mais aucune n’est emménager pour accueillir un enfant et n’étant pas bricoleur pour un sous, nous devons trouver une entreprise qui travaille dans la peinture et la décoration.Ça fait maintenant trois mois que nous sommes embêtés dans nos démarches, et le ventre légèrement arrondi de ma compagne ne manque pas de nous rappeler que l’échéance va approcher à grand pas. Claire tente de passer des annonces sur les réseaux sociaux, sur les des sites spécialisés dans l’entraide entre voisins, mais rien ne fonctionne.
C’est seulement au bout de deux semaines, que ma femme a reçu un message sur son ordinateur d’un certain Roberto, un ancien petit ami qu’elle avait connu au lycée, et qui est devenu autoentrepreneur dans la peinture d’intérieur et la décoration. C’est sans hésitation que nous lui avons donné rendez-vous afin de faire un devis.
Il nous propose de venir en fin d’après-midi histoire de voir ce qui l’attend. Il est dix-huit heures, il sonne à la porte, je vais lui ouvrir, le salue, et vois dans le même temps un charmant garçon au teint légèrement bronzé. Il est habillé avec un polo blanc et un jean assez classe. Il fait la bise à Claire puis nous nous installons sur le canapé.
Ma femme est vêtue d’une robe qui lui arrive au-dessus du genou, et par habitude ne porte pas de soutien-gorge lorsque nous sommes à la maison, c’est la tenue de détente comme elle aime le dire, et moi, j’aime la voir comme ça, car en général, nous échangeons un plaisir charnel à ce moment de la journée.
Avec Roberto, ils partagent quelques souvenirs sur leur passé respectif et sur leur vie actuelle. Il félicite ma femme pour l’arrivée du bébé. Et pose sa main sur le ventre arrondi de celle-ci, je n’y trouve aucune suggestion à dire puisqu’en général les gens s’attardent souvent sur ce détail-là. Je leur propose de boire un rafraîchissement, effectivement, nous sommes au mois de mai et les premières chaleurs sont assez suffocantes.
Ils acceptent, je prépare une citronnade pour Claire et prends deux bouteilles de bière, l’une pour moi et l’autre pour Roberto. En revenant dans la pièce, je vois clairement que les deux amis se sont rapprochés. Ce qui est normal puisque ce dernier à sortie un classeur avec des photos. Elles montrent le résultat de son travail chez des anciens clients.
Je m’assois sur un fauteuil qui est en face d’eux. Et je suis interpellé par un motif assez sympathique, des nœuds de marin accompagnés de bateaux à voiles. Le fond est bleu clair. Ma femme approuve ce choix. Puis nous trinquons de nouveau à cet accord.
Maintenant, nous allons dans la pièce en question, le seul souci est qu’il y a un bon débarrassage à faire, ce qui ne semble pas être un problème, car Roberto a des cousins d’origine gitane qui travaillent dans ce domaine. Il est presque dix-neuf heures trente, le décorateur nous annonce qu’il nous fera un prix d’ami, soit cinq cents euros pour effectuer le travail qui durera entre deux et trois jours.
Avec ma femme, nous validons le devis. Et les travaux commenceront le lundi suivant. Nous sommes très heureux, car nous avons trouvé la solution à notre problème. La suite de la soirée se déroule dans la plus grande tranquillité, soirée télévision avec un plateau repas.
Au moment d’aller au lit, Claire tente de faire une approche sensuelle. Mais je ne réagis pas, je m’endors comme une masse, et puis sincèrement, je n’ose pas trop la touchée depuis qu’elle a ce ventre arrondi, j’ai peur de lui faire mal ou de causer du tort au bébé. Ce comportement l’agace au plus haut point, mais elle comprend. J’entends aussi des bruits de masturbation, et des légers gémissements la nuit, ma femme tente certainement de combler le déficit de libido actuel.

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Entre-temps, ma femme qui est gérante de son fast-food, a eu l’accord de son président régional pour travailler à mi-temps jusqu’à l’accouchement. Pour ma part, j’ai un dossier épineux en comptabilité qui vient d’arriver, le responsable d’un atelier de mécanique auto ne gère pas bien sa société et il faut que je lui donne un coup de main avant de subir un éventuel redressement. Je sens que je vais avoir des heures supplémentaires à n’en plus finir.
Mais il faut que je sois absolument chez moi lundi aux alentours de dix-sept heures, pour assister aux premières heures des travaux. Mais les choses ne se déroulent pas comme prévu, effectivement, j’ai eu rendez-vous pendant plus de deux heures avec le responsable de l’atelier mécanique pour comprendre ses difficultés financières.
Il est maintenant dix-sept heures trente, je suis en route pour la maison, je suis épuisé et en plus, j’ai chaud. Je n’ai pas forcément de mal avec les températures, mais il fait assez lourd ce qui est désagréable, surtout en costume. Au bout d’une demi-heure, je stationne ma voiture devant le garage de mon pavillon.
Je vois que le véhicule de Roberto est toujours là aussi. Et je commence à avoir une boule dans le ventre. J’entre dans la maison, je vais en direction de la pièce en travaux. La porte est entièrement ouverte, j’entends alors des murmures, et le bruit de deux bouches qui s’embrassent. J’ai mon cœur qui bat la chamade et je me dis que ce n’est pas possible.
Je passe ma tête discrètement, et je vois clairement Claire et Roberto coller l’un à l’autre. Je fuis alors à pas de loup en dehors de la maison. J’essaye alors de me positionner discrètement afin de les voir depuis la fenêtre. Je n’ose penser que ma femme aille jusqu’au point de coucher avec lui. Autre chose troublante, c’est qu’à ce moment de la journée, elle est habillée en mode repos et donc très attirante.
Je vois alors le couple d’amants partir de la future chambre, je me dis que c’est fini, que c’est bon, que c’était une simple incartade, rien de bien méchant. Je fais le tour de la maison, je passe devant la chambre matrimoniale, rien, devant la chambre d’ami, rien, et je termine par la baie vitrée. Et sur là pour le coup, j’ai bien cru que le sol allait s’effondrer sous mes pieds. Ma femme est assise sur le canapé, avec Roberto. Sa robe est relevée jusqu’à la lisière de la poitrine et celui-ci en profite pour caresser ce ventre arrondi. Jusqu’ici, je ne trouve rien à y redire. Mais je me doute bien que ce petit manège de tendresse ne va pas s’arrêter. Et mes craintes se sont avérées réelles.
Puisqu’il a remonté sa main sur l’un des seins de ma femme. J’ai vu la tête de celle-ci partir en arrière, telle une délivrance, effectivement depuis quelque temps, nous n’avons eu aucun contact physique. Je vois le haut de la robe bouger au gré des caresses, puis elle enlève la barrière vestimentaire. Elle est maintenant seins nus face à son amant. Il en profite pour lui lécher le bout des tétons, lui mordiller, et les aspirer.
Claire grogne de plaisir, elle repousse légèrement le visage de Roberto, il se relève, se déshabille, et exhibe un sexe fièrement tendu. Elle ne met pas longtemps pour le prendre en bouche et lui faire une fellation. Elle semble être morte de faim, à tel point que son amant essaye de la ralentir dans sa manœuvre.
Elle prend une pause, elle semble essouffler, c’est à ce moment-là que l’homme positionne ma femme sur le dos, lui enlève sa culotte et plonge entre ses cuisses. À ce moment-là, elle devient incontrôlable, il la lèche avec vigueur, doit certainement jouer avec son clitoris, ses lèvres et dans un grognement puissant, je l’entends jouir.
Il se relève, essaye de la prendre en missionnaire, mais comme elle est enceinte cette position ne semble pas être pratique. Elle se met donc à quatre pattes sur le canapé, Roberto ne prend même pas le soin de mettre un préservatif, et embroche ma femme avec douceur dans un premier temps, puis dans un rythme effréné par la suite.
Après cette levrette, il s’assoit sur le canapé, et la voilà à califourchon sur le membre de cet homme. Les vas et viens sont rapides, Claire s’éclate le plus qu’elle peut, et au bout de dix minutes jouit de nouveau avec une puissance extrême. Les amants semblent être en sueur, et changent de position.
Ils sont à présent en cuillère. À chaque aller-retour, ma femme pousse un cri, elle doit être dans le fameux septième ciel et moi, j’ai la tête dans le brouillard. Roberto quant à lui, semble être au bout du bout. Et c’est après deux, trois coups assez puissants qu’il jouit à son tour dans le vagin de ma femme. Il lui demande de lui nettoyer sa verge, ce qu’elle fait sans hésiter.
Puis, après quelques minutes, ils reprennent leurs esprits, Claire a un moment de panique en se demandant où je suis, que vu l’heure, je devrais déjà être présent. Roberto tente de la rassurer en lui disant qu’il n’y a aucun souci, il se rhabille, il part de la maison, quant à ma femme, elle va certainement prendre une douche rafraîchissante.
J’en profite alors pour entrer dans la maison comme si de rien n’était. Je range mes petites affaires, ma femme sort de la douche en sous-vêtement, m’embrasse avec un naturel assez hallucinant. Ce soir-là, nous avons mangé dans un silence de cathédrale.
Puis lorsque nous nous sommes couchés, j’ai tenté une approche sensuelle auprès d’elle,mais forcément, je me suis fait recaler. Je me suis endormi avec des sentiments de honte, de révolte, et je ne peux même pas arrêter ce manège, qui va durer une semaine puisque je ne connais personne pour faire ou du moins finir les travaux…
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