Il est sept-heure du matin, mon réveil sonne, j’ai encore la tête dans le brouillard. En effet, hier ma femme m’a trompé avec Roberto. Celui-ci est un ancien copain de lycée avec qui elle avait eu une aventure. Le temps ayant fait les choses chacun avait fait sa vie de son côté. Mais, car il y a toujours un, mais, avec Claire, nous avions pris la décision de faire un enfant et elle est donc tombée enceinte. Nous étions donc dans l’obligation de refaire une chambre dans la maison afin d’accueillir dignement cet enfant. Malheureusement, au bout de trois mois de grossesse rien n’avait avancé. Les annonces, les réseaux sociaux ont apporté que des réponses négatives. Et nous stressions énormément, jusqu’au jour où celle-ci reçue un message de la part de ce fameux Roberto qui est peintre et décorateur d’intérieur. Le premier contact fut sympathique, mais notre couple ayant une libido quasi-inexistante, ne battait pas de l’aile, il était fragile. Pour preuve, lors du premier jour des travaux, Claire m’a trompé avec cet homme sur le canapé. Je suis à présent pris de remords, mais aussi de colère. Je suis d’accord que sur le plan sexuel, je ne suis pas au top, j’ai peur de faire mal au bébé ou autre. Donc je peux comprendre que le besoin soit énorme, mais tout de même, on ne trompe pas son compagnon alors que l’on est enceinte. Bref, je vais dans la cuisine, prépare mon petit-déjeuner et je sais par avance que cette journée va être pénible, entre le responsable du garage qui ne sait pas gérer sa comptabilité et qui est sous le couperet d’un redressement et ma femme qui va certainement profiter de toute l’après-midi pour s’envoyer en l’air avec Roberto, je ne sais pas comment je vais finir. Il est aux alentours de midi, Claire me téléphone, elle me demande comment se passe ma matinée, si je ne souffre pas trop de la chaleur. Bref, des futilités classiques, puis elle me prévient que deux cousins à Roberto seront présent cette après-midi afin d’avancer le chantier au plus vite car ce dernier à une urgence auprès d’un client qu’il doit aller voir en fin de semaine. Je lui indique qu’il n’y a aucun souci, puis nous raccrochons. D’un côté, je suis rassuré, cela voudrait dire que le calvaire que je subis prendra fin mercredi, et non-vendredi comme je l’aurais pensé dans un premier temps, mais d’un autre côté, je me demande, si les deux autres cousins ne sont pas au courant de l’aventure de la veille et qu’il voudrait profiter eux aussi des plaisirs charnels que peuvent procurer une femme enceinte. J’essaye de me sortir cette image de ma tête, mais rien n’y fait, il faut que je sois à la maison aux alentours de dix-sept heures. Mais comme de par hasard, il faut que je me retrouve bloquer en conférence téléphonique avec la chambre des commerces pour expliquer les erreurs comptables du garagiste et que je vais le remettre en selle pour qu’il n’y est plus de soucis à l’avenir. Le délai est de six mois, sinon le redressement sera inévitable. J’en fais part au garagiste qui accepte ceci. A présent, je file en trombe jusqu’à mon domicile. Je stationne mon véhicule à une dizaine de mètres. J’avance lentement en direction de l’allée centrale, et vois bien entendu le véhicule de Roberto. Comme pour la première prise en flagrant délit, plutôt que de rentrer à la maison, je regarde par les fenêtres ce qui se passe chez moi. Les voisins doivent me prendre pour un fou. Je constate avec surprise que la chambre du futur bébé est merveilleuse, tout est agencé avec qualité, que ce soit le lit ou les meubles. Bref, je ne suis pas là pour ça. Comme vous, vous doutez bien. Je passe devant la fenêtre de la chambre d’ami, rien, devant la baie vitrée, rien, et c’est avec stupeur que je vois ma femme, Roberto et ses deux cousins dans notre chambre. J’essaye de me cacher du mieux possible pour voir la suite des évènements. Je me trouve donc derrière un buisson, qui me permet de voir et de bien entendre. J’ai dans le même temps, une boule au ventre, les mains qui tremblent de colère, mais que faire quand le désir du plaisir n’est pas comblé. Dans un premier temps, le quatuor discute de peinture, de décoration, puisque le pavillon manque clairement de rafraîchissement. Ça parle de tarif, et visiblement pour refaire la maison entièrement, il y en a pour trois mille euros environ. Une somme accessible avec deux salaires. Puis, le groupe sort de la pièce, ils s’assoient dans le salon extérieur qui se situe sur la terrasse. Ma femme accompagnée de Roberto emmène un plateau avec des bières et sa fameuse citronnade qu’elle boit depuis qu’elle est enceinte. Soit depuis quatre mois maintenant. L’ambiance est bonne, Roberto raconte quelques blagues, les bouteilles se vident à une vitesse incroyable. Puis ce dernier en profite pour caresser le ventre de ma femme à travers la robe. Un peu gênée par ce geste, elle repousse la main gentiment, expliquant que ce n’est ni le moment, ni le lieu pour le faire. Son amant lui indique que ses cousins ont déjà vu une femme enceinte et qu’elle ne doit pas s’inquiéter. Elle finit par faire un sourire en guise d’affirmation, celui-ci reprend donc ses caresses, puis soulève la robe par-dessus le ventre arrondi. Elle se retrouve la culotte à l’air sans aucun complexe. Les deux cousins complimentent ma femme, ils trouvent qu’il n’y a rien de plus beau que de voir une femme enceinte, que c’est magnifique, que c’est ça la vie. Puis l’un d’eux se lève pour caresser à son tour le ventre de cette dernière. Roberto qui est un homme à la fois intrépide et malicieux, n’hésite pas une seule seconde à remonter sa main sur le sein gauche de ma femme. Elle le repousse une première fois, en disant que ça ne se fait pas quand il y a du monde, toujours sur le ton de l’humour, il lui indique qu’elle n’a aucune inquiétude à se faire. Je vois bien que le rouge lui monte aux joues et qu’elle a bien envie de revivre une aventure sexuelle, mais est-ce bien raisonnable ? La question ne reste pas sans réponse puisqu’au bout de quelques secondes, son amant replonge sa main sur le sein dénudé. Il le pince, le titille, son cousin lui fait les gros yeux, et par un acquiescement de la tête effectue la même manœuvre sur le sein droit. Claire accepte ces attouchements sans aucun complexe, à tel point qu’elle a enlevé sa robe. Les deux hommes s’occupent visiblement très bien de cette poitrine. Les tétons pointent fièrement d’excitation. Ils sont à la fois gobés, mordillés, léchés. Le cousin qui était en retrait s’est rapproché de ma femme, quant à lui, a enlevé la culotte de mon épouse. Il est à présent entre ses jambes, il doit s’amuser avec divinité avec son clitoris puisqu’elle commence déjà à pousser des grognements de plaisir. Au bout de quelques minutes, le corps de celle-ci se raidit, puis jouit une première fois. Les deux autres hommes qui s’occupaient de sa poitrine se sont déshabillés et à tour de rôle lui ont offert une branlette espagnole digne de ce nom. Ils sont à présent de part et d’autre de sa tête. Roberto et son cousin profitent de cette divine fellation. Comme la veille, Claire semble être morte de faim. L’autre cousin profite de la libération de la place pour lui faire une cravate de notaire. Une fois les préliminaires terminés, elle s’est positionnée à quatre pattes sur le transat. Roberto qui a été le premier à découvrir la douceur vaginale de ma femme, lui fait sa première pénétration. Les vas et vient sont réguliers, puis il laisse sa place à ses cousins qui ne se font pas prier pour démonter cette vulve qui leur est offerte. Après une quart d’heure d’exercices, Claire s’empale sur le membre de son amant. Elle monte, elle descend sur le pieu sans retenue, pendant que l’un des cousins se fait sucer, et que l’autre titille l’anus de cette dernière, soit avec la langue, soit avec deux doigts. Je sens bien qu’elle va exploser, son visage est rouge écarlate, et c’est ce qui s’est produit au bout de dix minutes. Le cousin qui était derrière en profite pour récupérer de la cyprine afin de lubrifier définitivement le petit trou. Elle m’a toujours refusé cette pratique, et aujourd’hui non, c’est normal. Bref, après quelques instants de préparation, elle est désormais prise en sandwich par les deux hommes. Elle grogne, elle crie, j’ai bien peur qu’un voisin entende tout. Je regarde autour de moi, et aperçois Hubert, un type d’environ soixante ans qui habite la maison mitoyenne de la nôtre. Il doit bien se rincer l’œil le salaud. Tour à tour, les hommes échangent leur place, et les cris de jouissance sont toujours de plus en plus forts. Roberto prend un moment de pause, se relève un peu, boit une gorgée de bière et voit la présence de Hubert. Au début, les hommes s’invectivent un peu, puis l’amant de Claire invite ce dernier à les rejoindre. Ça fait maintenant presque une heure que les amants partagent cette partie de jambes en l’air et saluent l’arrivée de ce nouveau partenaire qui ne met pas beaucoup de temps pour se mettre nu. Il est déjà bien en forme, Claire étant prise depuis le début par ses trois compagnons ne s’est aperçu de rien. Elle le prend en bouche comme si c’était l’un des cousins. Il la positionne à quatre pattes, et lui fait une levrette d’anthologie qui ne dure pas bien longtemps puisqu’il se vide en moins d’un quart d’heure dans le vagin de ma femme. Les trois cousins dégoûtés par ce qui vient de se passer ordonnent à Hubert de nettoyer sa bêtise. Ce dernier se retrouve entre les fesses de Claire, il nettoie jusqu’à la dernière goutte cette vulve poisseuse, puis part de la maison comme si de rien n’était. Roberto excité par cette scène reprend ma compagne avec vigueur, et ne tarde pas à jouir, les deux autres cousins font de même. Celle-ci vient de crier tellement fort son plaisir que je me demande comment nos voisins, nous regarderons à présent. Ils s’étalent tous sur le sol de fatigue. Et ce n’est qu’au bout d’une demi-heure, que ma femme et les trois hommes se sont remis de leurs émotions. Ils ont échangé quelques banalités, cette dernière les a remerciés pour cette partie de jambes en l’air endiablé. Et moi, je me retrouve avec une tâche de sperme dans le pantalon, car les images que je viens de voir m’ont complètement fait chavirer dans une sorte de perversion. Je ne me connaissais pas comme ça. A la suite de ces évènements, nous avons retrouvé une vie normale puisque les trois hommes sont partis en voyage dans des contrées lointaines, nul doute qu’ils reviendront ici lorsqu’ils poseront les caravanes à proximité de notre faubourg. Et qu’ils viendront profiter des charmes de ma femme. Ma libido étant revenue, nous ne voyons pas pourquoi ce genre de dérapages reviendraient, mais on ne sait jamais.
