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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Cours particuliers

Chapitre 2

Divers
Le mardi suivant, j’arrivai à l’heure prévue chez Mme Simonin. Elle était dans la cuisine, en train de ranger les affaires du petit-déjeuner. Elle portait une robe courte, boutonnée devant, assez décolletée. Moi, j’étais en polo manches courtes et bermuda mi-cuisses. Je lui fis la bise et je sentis ses lèvres près des miennes, en même temps qu’elle caressait le bas de mon dos.— Bonjour, Cédric, cette tenue te va très bien, dit-elle en rigolant, et en regardant mon bermuda, qui devait faire une petite bosse.— Ah oui ? fis-je interrogateur, ah bon ?— Oui, oui, tu es très mignon. Mais bon, parlons sérieusement. Cindy t’attend au salon. Ah, et puis, il y a sa copine Elodie qui doit passer te demander un truc en Math qu’elle n’a pas compris. Vois si tu peux la dépanner. Tu sais, c’est la meilleure amie de Cindy. Elles sont très complices pour tout.— Bon je verrai ce que je peux faire, madame.Je me dirigeais vers le salon, où Cindy m’attendait, assise sur le canapé. Elle avait un petit haut vert pomme assez court qui laissait son nombril à découvert, et un petit short blanc, qui mettait en valeur ses jambes d’adolescente. Quand j’entrai, elle vint me sauter au cou, se colla contre moi, et je sentais ses petits seins durs contre mon torse et ses cuisses contre les miennes. Sa mère entra et nous surprit dans cette position.— Ouah, les enfants, c’est le grand amour à ce que je vois. Je vous porte quelques jus de fruits, au cas où vous auriez soif. Ah, ma chérie, tu te rappelle qu’Elodie doit passer ce matin : tu lui donneras ce paquet pour sa maman.— Oui, maman.— Bon, allez, je m’en vais. Travaillez bien, et... soyez sages, hein ?— Oui, oui...Quand Mme Simonin fut partie, je me mis à la table du salon, invitant Cindy à s’asseoir à côté de moi. Elle me dit :— Je peux m’asseoir sur tes genoux ?— Ben, pour écrire, ça va pas être très commode, que je lui réponds— Mais si, tu vas voir.Et, en fait de s’asseoir sur mes genoux, elle s’assit à cheval sur une de mes cuisses, si bien que ses petites fesses étaient pratiquement collées contre ma braguette. J’avais déjà une forte érection, et j’avais du mal à me concentrer pour lui expliquer la mise en facteurs et autres subtilités mathématiques. J’avais mes mains sur ses hanches fines, à même sa peau nue. Tantôt je les posais sur ses cuisses, tantôt entre ses cuisses qu’elle serrait alors sur mes doigts. Je lui glissais à l’oreille :— Chaque fois que tu as un exo juste, je te caresse un sein, ok ?— Huum oui, ok, je vais m’appliquer.Et effectivement, Cindy s’appliquait beaucoup, et moi aussi, mais pas sur les mêmes exercices ! On avait presque terminé le cours qu’on sonne deux coups brefs à la porte.— Ah, me dit Cindy, ça c’est Elodie, elle sonne toujours comme ça.Elle se lève pour aller lui ouvrir. J’en profite pour remettre en place ma verge dans mon slip, qui faisait une belle bosse en avant. J’entends les deux filles papoter un moment dans l’entrée, ce qui permet à mon érection de se calmer. Puis les deux adolescentes déboulent au salon en riant.— Cédric, je te présente Elodie, dite ? Bébé ?, me dit Cindy en rigolant encore plus fort— Salut, Elodie, que je fais.Et je me lève pour aller faire une bise à la copine de Cindy. Elle est aussi mignonne qu’elle, aussi blonde que Cindy est brune. Elle porte ce matin une petite veste blanche en coton boutonnée devant, tendue par son soutien-gorge, sur une minijupe en jean. Elle a dû prendre des bains de soleil, parce qu’elle est toute bronzée. Avant d’arriver jusqu’à Elodie, je vois la fille lorgner coquinement mon entre jambes.— Alors, comme ça, t’es la copine de Cindy ?— Ouais, on se connaît depuis la maternelle sup ! qu’elle me répond en rigolant, dévoilant ses dents immaculées.
— Et vous êtes dans la même classe ?— Toujours. On s’est toujours suivies ; d’ailleurs, on est même presque toujours à côté en cours, sauf avec quelques profs qui peuvent pas nous saquer.— Bon, et alors tu voulais que je t’explique quoi ?— Ben c’est les mises en facteurs.— Oh, ben ça tombe bien, on vient d’en faire avec Cindy— Ouais, et il explique super bien, tu verras, dit Cindy à sa copine, et il a un truc pour t’obliger à réussir.— Ah bon ? fait Elodie, et c’est quoi ?Je vois Cindy chuchoter quelque chose à l’oreille d’Elodie, puis les deux filles partent d’un grand éclat de rire.— Bon, alors on voit ça, Elodie ?— Oui d’accord. Je peux me mettre sur tes genoux, comme Cindy ?— Ben, si tu veux, ouiCindy s’était placée de l’autre côté de la table et nous regardait. Comme elle se penchait en avant, j’avais - et Elodie aussi bien sûr - une vue plongeante sur le sillon entre ses seins. Mon érection reprenait, d’autant que le parfum léger d’Elodie et son jeune corps sur moi m’excitaient. J’expliquais à Elodie la théorie de la mise en facteurs, puis je lui posais quelques exercices sur sa feuille. Je la laissais se débrouiller seule. Le premier exercice fini, je fus obligé de dire à Elodie qu’il était faux ; je lui réexplique en le faisant devant elle. Le second est juste, puis le troisième. Je la félicite mais je ne bronche pas. Elodie me dit :— Ben, j’ai pas droit à une récompense, comme Cindy, qu’elle me dit en se retournant vers moi ?— Ah oui, petite coquine, tu veux que je te caresse un peu ?— Hummm, oui, Cindy m’a dit que tu faisais ça super.Et j’en profitai avec mes mains pour caresser les deux petits mamelons qui pointaient sous la veste légère. Les deux filles rigolaient ; je sentais Elodie se tortiller de plaisir sur mes genoux. Ses cuisses tièdes enserraient ma cuisse gauche. Elle ne pouvait pas ne pas sentir contre ses fesses mon sexe qui durcissait à travers mon bermuda. Cindy s’était rapprochée de nous. Pendant qu’Elodie planchait sur un autre exo, je laissais ma main tomber vers le short de Cindy, qui avait passé un bras autour de mon cou.— Eh, les amoureux, qu’est-ce que vous faites derrière moi ? que demande Elodie— Mais rien, mais rien, dit Cindy— Ouais, mon oeil, tu crois pas que je vois pas que vous vous touchez— Ben y a pas de mal à se faire du bien, lui répond Cindy. T’as qu’à demander à Cédric de te faire plaisir aussi. Il en meurt d’envie.Et je vois Elodie se lever, puis se mettre à cheval sur mon autre cuisse, mais face à moi. Elle avait défait deux boutons de sa veste, la coquine, et j’apercevais son soutien-gorge. Je l’embrassais sur la joue, puis fougueusement sur la bouche. Mes mains remontaient sur ses cuisses, sous sa jupette en jean, puis je défaisais les autres boutons de sa veste pour mieux voir et toucher sa poitrine. Ses seins étaient fermes, et ses petits tétons pointaient sous le tissu léger du soutif. Le genou d’Elodie frôlait ma verge dressée sous le bermuda. Je voyais Cindy se caresser l’entre-jambes du short, devant sa copine. Elodie la voit et lui dit :— Ben te gênes pas, Chouchou— Eh quoi, t’as qu’à en faire autant, Bébé, que lui répond CindyJ’avais devancé son désir, car ma main droite avait atteint le slip d’Elodie, et j’effleurais sa petite chatte à travers le tissu. Le slip était déjà tout humide. Cindy avait viré son haut. Elle était en soutien-gorge, et elle s’efforçait de m’enlever le polo. Je me laissais faire. Les mains d’Elodie parcouraient mon torse, les miennes le sien, ses cuisses. Je passais des jambes d’Elodie à celles de Cindy. Celle-ci me dit :— Si on allait dans ma piaule ?— Ouais, lance Elodie— Waooouh, dit Cindy, t’as vu Bébé dans quel état t’as mis Cédric, en montrant mon bermuda.— Tu nous la montreras, Cédric, fait Elodie— Moi, je l’ai déjà vue, dit Cindy— D’accord, si vous êtes sages, que je réponds, et si vous faites un truc ensemble.— Quoi ? Quoi ? demandent les deux filles presque en même temps— Ben comme vous êtes très copines, vous devez bien vous faire plaisir ensemble quand vous n’avez pas de garçon, hein ?Cindy avait compris. Elle enlaça Elodie, en l’embrassant sur la bouche. En même temps, elle dégrafait le soutien-gorge de sa copine. Elodie fit pareil pour Cindy. Les deux adolescentes étaient seins contre seins, et leurs mains s’égaraient sous la ceinture. Elle se caressaient mutuellement les seins, s’attardant sur les pointes. Elles se donnaient dessus de petits bisous mouillés.Moi, assis sur le lit de Cindy, je me caressais à travers le bermuda, puis je l’enlevais. J’étais torse nu en slip, la main sur puis dans le slip. Les filles s’en aperçurent et s’approchèrent. Là, c’est Elodie qui prit l’initiative d’enlever sa jupe. Cindy l’imita en se débarrassant de son short. J’avais devant moi les deux plus jolies nymphettes du monde, seins nus et en petite culotte. Elles s’allongèrent chacune d’un côté, caressant mon torse, mon cou, mes cuisses. Cindy me dit à l’oreille : ? Je peux ? ? Je compris qu’elle voulait baisser mon slip. ? Oui ?, que je lui réponds. Elle fait glisser rapidement mon slip puis me lève les jambes pour le faire sortir. Elodie regardait mon sexe tendu, et par-dessous, mes couilles.— Vous pouvez jouer avec, les fifilles, que je leur dis.Elodie s’était mise presque à l’envers, et j’avais son entrecuisse à hauteur de mon visage. Sans demander la permission, je fis glisser sa petite culotte et léchais sa jeune vulve entourée de poil blonds. Elle mouillait pas mal.— Attention, les filles, ça vient !En effet, je sentais monter mon sperme sous les caresses des deux filles.— Aaaah, ça y est ! dis-je en éjaculant devant elles deux, qui en prirent plein le visage et le haut du torse.Elodie et Cindy se massaient les seins avec ma jute. Puis Cindy me dit : ? Rentre-moi ton doigt ?. Allongé à côté d’elle, je la masturbai jusqu’à la faire jouir. Elodie nous regardait en se caressant toute seule sa petite chatte. ? Toi aussi, tu veux que je te le fasse ? ?, lui demandais-je. ? Oh oui, Cédric, touche-moi à l’intérieur ?. Pendant que je branlais Elodie, je voyais Cindy lui peloter les seins.Quand nous eûmes fini de bien nous amuser, on alla se nettoyer à la salle de bain, puis on se rhabilla sans manquer de se caresser encore par-dessus, par-dessous.A suivre...Pyrène
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