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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Cours particuliers

Chapitre 3

Inceste
Le mardi suivant, je me rendis comme d’habitude vers 8 heures et demie chez Madame Simonin. C’est elle qui vint m’ouvrir. Elle était en sous-vêtements, avec un peignoir qu’elle n’avat pas eu le temps de bien fermer. — Ah, c’est toi, Cédric ! Oh ! Je n’ai pas eu le temps de t’avertir. — Qu’est-ce qu’il y a, madame ? — Eh bien, Cindy a dû être hospitalisée cette nuit pour des douleurs au ventre. Aux urgences, ils m’ont dit que c’était sûrement l’appendicite. Je dois y retourner vers 11 heures. — Oh, madame, je suis désolé. Je reviendrai la semaine prochaine. — Mais non, reste, mon chéri, tu vas me tenir un peu compagnie. Je suis si inquiète. Elle a frisé la péritonite, tu sais— Mais, ne vous en faites pas, Madame Simonin, l’appendicite, c’est rien, vous savez. Moi, je n’ai rien senti quand on m’a opéré en Troisième. Et puis, la péritonite, elle n’a fait que la friser ! Et en disant cela, je m’étais rapproché de la mère de Cindy, posant une main sur son épaule nue. Madame Simonin se jeta dans mes bras en sanglotant. Je lui frottai le dos, en collant ma joue contre la sienne. Son peignoir s’était complètement ouvert, et j’avais une vue plongeante sur son soutien-gorge et sur ses seins. Je commençais à bander sous mon short de toile, et je sentais la mère de Cindy se coller à moi. Elle entourait mes hanches de ses mains, en caressant mon dos. — Tu sais, Cédric, j’apprécie beaucoup l’aide que tu apportes à Cindy. Avec toi, elle comprend bien les maths, et puis elle me dit que tu es patient, que tu expliques bien, que tu sais la gronder mais aussi la féliciter. Tu sais, elle t’estime beaucoup. — Moi aussi, Madame, je l’aime bien. Elle est très sérieuse, et, euh... en plus elle est très mignonne. — Toi aussi, tu es très mignon, tu sais. La main de Madame Simonin était descendu sur mes fesses et elle appuyait dessus pour coller mon bassin contre le sien. En même temps, elle me faisait de petits bisous sur la joue, de plus en plus près des lèvres, puis sur les lèvres. Je bandais un maximum, et j’en profitais pour caresser son soutien-gorge. — Oh, mon chéri, que tu caresses bien, attends. Et, lâchant mes fesses, elle mit ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Je croyais voir sa fille Cindy. — Ils te plaisent, mes seins ? Tu peux me toucher, tu sais, mais viens sur le canapé, on sera mieux. Elle était maintenant seins nus et en slip, moi j’étais encore habillé. Elle me dit :— Montre-moi comment tu es mignon torse nu, mon chéri, et enlève ton petit short. Je m’exécutais. Debout devant elle, je virai mon short d’abord, puis, vicieusement, je caressais devant elle le devant de mon slip avant de le baisser sur mes cuisses et de le poser avec mes autres vêtements. J’allais rejoindre Madame Simonin sur le canapé, la verge à l?horizontale, mais moins douloureuse que lorsqu’elle était comprimée dans le slip. La mère de Cindy m’embrassa de nouveau sur la bouche, titillant ma langue de la sienne. Ses mains caressaient mes tétons, puis descendaient jouer avec mes couilles. Je lui pelotais les seins, l’un après l’autre, dont les bouts étaient maintenant bien durs. Je tirais un peu les pointes, car j’avais vu que Cindy et Elodie avaient aimé ça. — Oh oui, mon chéri, c’est bon, gémissait Mme Simonin, continue ! Et en même temps elle serrait les cuisses, sans cesser de me masturber. J’étais super excité. En même temps que je la touchais, je ne pouvais m?empêcher de penser aux deux adolescentes avec lesquelles j’avais fait la même chose le mardi précédent. Ma main descendait maintenant vers son slip. Il était tout mouillé devant. Elle écartait les cuisses, et moi je lui baissais le slip sur les chevilles, puis le lui enlevais. Avec, je caressais son nez pour lui faire sentir sa cyprine, puis ses seins, puis je le jetais sur le canapé. Mon index entrait dans sa chatte, inondée, et je le tournais à l’intérieur, excitant son clito. — Aaaah, c’est bon, petit garçon, ouiiiii, continue ! Disait-elle en se tortillant sur ma main. — Vous aimez ça, hein ? — Oh oui, tu m’excites beaucoup. C’est très excitant de faire ça avec un jeune, tu sais ! - Et elle n’arrêtait pas de malaxer mes couilles, qu’elle abandonnait un moment pour faire des va et vient sur ma tige. — Moi aussi, j’aime bien faire ça avec des plus jeunes, me surpris-je à lui dire. — Ah oui, hein, petit vicieux, avec Cindy peut-être, ou avec Elodie ? Je crus qu’elle allait me gronder, me gifler, mais non, elle me masturbait de plus belle en prononçant les noms de sa fille et de sa copine.
— Euh oui, c’est vrai, madame. — Elles ont de jolis petits corps, hein ? — Oh oui, madame, elles sont très mignonnes. Elles deviennent petites femmes. — Tu sais, moi aussi, j’aime bien les caresser. Mais j’aimerais bien aussi vous voir ensemble, tous les trois. Vous devez être très mignons. Cette évocation m’excita tellement, en même temps que la masturbation, que j’éjaculais en deux longs jets qui atterrirent sur la poitrine de Mme Simonin. Elle se passa mon sperme sur les seins, comme si c’était de la crème, puis, s’allongeant sur le dos, elle me dit :— Viens sur moi, continue à te faire plaisir. Fais-moi aussi plaisir, petit adolescent, pénètre-moi ! Mes mains sur ses hanches, j’enfilais mon sexe dans le sien, d’abord doucement, puis, à sa demande, de plus en plus vite. Elle, pendant ce temps, les yeux fermés, malaxait ses seins, tirant sur les bouts, se tortillant de plaisir. — Attention, ça vient ! Lui dis-je. Et avant de pouvoir me retirer, j’envoyais au fond de son sexe le reste de mon sperme. Je m’allongeais, épuisé, sur elle, l’embrassant à pleine bouche, caressant ses seins encore humides de mon plaisir. Nous restâmes un moment enlacés, puis elle me proposa d’aller nous nettoyer sous la douche. Nos nous lavâmes mutuellement, et ses caresses sur ma queue firent que celle-ci reprit un peu de vigueur. — Bon, rhabillons-nous, il faut en laisser un peu pour la prochaine fois ! Me dit-elle en riant. Tu veux un café, ou autre chose ? — Ah oui, je veux bien un café. La mère de Cindy avait passé une petite robe bleu ciel, courte, sur ses sous-vêtements. J’avais remis mon t-shirt et mon short. Pendant qu’elle préparait les affaires petit-déjeuner, on sonna deux coups brefs. — Ah tiens, me dit-elle, ça c’est Elodie. Tu veux bien aller lui ouvrir ? Je me levais du canapé, et me dirigeais vers la porte d’entrée. Elodie était là devant moi, un peu surprise que ce soit moi qui lui ouvre. On se fit la bise comme entre deux copains, sans plus. Puis Elodie alla embrasser la mère de sa copine, qui la serra contre elle en lui caressant le cou, puis le dos. Elle lui raconta, avec un peu moins d’émotion que pour moi ce qui arrivait à Cindy, puis elle dit à Elodie :— Tu veux un chocolat, ma chérie ? — Oui, madame, je veux bien, mais pas trop chaud, vous savez ? Elodie portait un polo rose à manches courtes, dont les deux premiers boutons étaient déboutonnés, et une petite jupe plissée blanche, genre tennis, qui mettait bien en valeur ses jeunes cuisses bronzées. Elle avait ramassé ses longs cheveux en une queue de cheval. Quand on eut déjeuné, Mme Simonin nous dit : ? Vous restez un peu avec moi, les enfants, jusqu’à ce que ce soit l’heure d’aller à l’hôpital ? Venez un peu au salon ?. Elle s’assit sur le canapé avec Elodie, et moi en face d’elles sur un des deux fauteuils. De là où j’étais, j’avais une vue merveilleuse sur l’entrecuisse de Mme Simonin, et d’Elodie, qui ne se gênait pas pour écarter les jambes. La mère de Cindy s’en aperçut et lui dit sans conviction :— Tiens-toi bien, ma chérie, tu sais, tu es devant ton professeur ! Et en disant cela, elle me fit un clin d’oeil complice, tout en attirant Elodie contre elle, ce qui fit remonter encore plus sa jupette blanche. Elle embrassait Elodie sur le front, puis sur la joue, tout en caressant ses bras nus. La poitrine de l’adolescente était pratiquement collée contre celle de la mère de Cindy. Ce tableau raviva chez moi une érection, et je mis mes mains sur mon short pour la dissimuler. Puis, n’y tenant plus sans doute, Mme Simonin se mit à caresser les cuisses d’Elodie, qui se laissait faire. Ce ne devait pas être la première fois. Je la voyais lui dire quelque chose à l’oreille, quelque chose comme : ? Que tu as de belles cuisses, ma chérie ?, et aussitôt Elodie lui souriait en écartant les jambes. Puis, Mme Simonin fit monter Elodie sur ses genoux, enfin plutôt sur ses cuisses, et je la voyais glisser ostensiblement sa main sous la jupette blanche. En même temps, elle me fit un clin d’oeil pour aller les rejoindre sur le canapé. Je ne me fis pas prier, me levai, et la queue tendant mon short je me dirigeais vers elles. — Regarde, Elodie, comme Cédric est excité. Tu as vu son short ? Si on le caressait toutes les deux ? — Oh oui, Madame, il est si gentil ! — Tu vois, Cédric, que tu as beaucoup de succès auprès des petites filles. Tiens, prends Elodie sur tes genoux et fais-lui un câlin. Comme la semaine précédente, Elodie vint se placer à cheval sur ma cuisse gauche, face à moi. Je lui ôtai son polo, car je mourrais d’envie de la voir en soutien-gorge. Derrière elle, Mme Simonin lui caressait des deux mains les bonnets du soutif, puis le lui dégrafa. Je pelotais alors les seins d’Elodie, tandis que celle-ci me masturbait à travers mon short de toile. Soudain, Elodie me dit :— Cédric, j’aimerais bien m’allonger sur toi, et me faire plaisir sur toi. C’est toujours vous les garçons qui vous mettez au-dessus. Tu veux bien t’allonger sur le dos ? — Ben oui, pourquoi pas, t’as raison, le changement peut être sympa. Je retirai à nouveau mes vêtements. Elodie en fit autant. Elle ne voulait pas être pénétrée aujourd’hui, mais seulement se masturber sur un garçon. Ce n’était pas pour me déplaire. Je m’allongeais sur le dos, et ramenais ma verge tendu contre mon ventre. Elodie se coucha sur moi. J’avais sa chatte contre ma queue, et ses seins presque sur mon nez. Elle fit quelques va-et-vient sur moi, tandis que je massais ses petites mamelles dont les bouts étaient bien durs, ou ses petites fesses rondes, et tandis que Mme Simonin, debout à côté de nous, se doigtait d’une main et, de l’autre, robe relevée, et caressait les cuisses et les fesses d’Elodie. Très vite, Elodie eut un orgasme ; elle ne put réprimer un cri de jouissance, et je sentis sa cyprine couler sur mon ventre et le long de mes cuisses. Presque en même temps, de nous voir si jeunes et si vicieux, Mme Simonin jouit à son tour. Puis nous allâmes tous les trois nous laver. Mme Simonin partit à la clinique voir Cindy. Elle nous dit que nous pouvions rester jusqu’à son retour. Elodie de nouveau en jupette et moi de nouveau en short, nous avons continué à nous caresser amoureusement.
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